D'ailleurs, j'ajouterais que ce remarquable poème n'était utilisable qu'au temps béni où les gens maîtrisaient encore leur langue. Aujourd'hui, ça donnerait :
Ke jème a fer aprendre 1 nonbre utile o sage
imortelle archimaide, artist injénieure,
ki 2 ton jujement peu prizer la valeure ?
Pour moa, ton pb U 2 pareil zavantache.
Ce qui ramènerait la valeur de Pi à 2,4138165, environ ...
Posté par Obsidian .
En réponse au message APRENTI.
Évalué à 6.
La seule chose que j'ai trouvé, c'est :
> je voudrais pirater la fac ou je suis qui est sur réseau sur linux!
> Aidez moi SVP
echo "C'est quoi le mot de passe?" | mail root
-+- AGV in Guide du linuxien pervers - "Faut savoir rendre service." -+-
D'ailleurs je ne sais pas sur quels critères cela se fait, parce que cela ne fonctionne pas avec unzip, mais cela fonctionne avec dpkg par exemple...
Je ne sais pas mais à mon humble avis, il n'y pas de critères. A la place, il doit y avoir les programmes écrits sous Unix à la base, donc par des programmeurs habitués à cela, et les programmes importés du DOS, dont les services proposés de ce côté se résument au minimum.
Il y a une chose que l'on sait, par contre, c'est que l'opérateur * développe une liste de fichiers en argument, mais n'appelle certainement pas le programme itérativement.
L'avantage du "for" en shell, c'est que non seulement il permet d'utiliser de cette manière les programmes qui n'attendent qu'un nombre fixe d'arguments, mais surtout de faire des lignes de commandes composées (et notamment, de choisir à chaque fois le fichier de sortie).
parce qu'avec un cat *html > documentcomplet.html il aura son document dans le désordre s'il se présente ainsi :
Oui, ça tu viens de le dire. Moi, je voulais savoir ce qu'un for i in *hmtl;do cat "$i" avait de plus qu'un cat *. On dirait que beaucoup de gens sont restés à l'idée que cat ne sert qu'à afficher le contenu d'un fichier. C'est oublier que "cat" signifie avant tout "catenate" et sert précisément à concaténer le contenu de plusieurs fichiers.
Ah, si c'est bien celui-là, je ne peux que plussoyer avec véhémence. A noter que je me suis offert son cours à 2 euros par SMS (utile si on veut l'acquérir tout de suite sans se faire suer avec des microtransactions à la Paypal).
Etant donné que son cours 1.4 me sert encore et qu'il est toujours en ligne pour juger sur pièce, j'encourage tout le monde à faire de même.
j'ai trouvé (grâce à vous chers lecteurs) une très belle documentation html,
Oui ? Laquelle ?
Tu peux nous filer un lien ?
du coup j'aimerais pouvoir la lire facilement. Elle est sous la forme de liens...donc soit je passe beaucoup de temps à faire un documentation openoffice et j'imprime soit il existe un utilitaire pour faire facilement une transformation.
Ca dépend beaucoup de ce que tu veux faire. Quand tu dis "elle sous forme de liens", ça veut dire qu'elle est sur plusieurs pages ?
Si elle formatée en HTML de base, noir sur blanc avec des liens bleus, il y a de fortes chances pour qu'elle soit elle-même issue d'un document SGML ou DocBook. Dans ce cas, la version continue est en général sur le même site, ainsi que la source en Sgml. Il te suffit donc de récupérer ce fichier-là pour le transformer ensuite en n'importe quoi.
Sinon, avant de concaténer tes pages, il te faut déjà toutes les récupérer. La commande wget avec l'option -r peut suivre récursivement les liens HTML et donc se comporter en aspirateur de site. Attention toutefois à ne pas être indélicat vis-à-vis du serveur.
Merci de vos réponses (eh oui avec un s optimiste le gars).
Et pourquoi pas un cat *html > documentcomplet.html plutôt ?
De toutes façon, cela reste dégueu. Il faut au filtrer chaque fichier pour ne conserver que le contenu de , et ensuite aller remettre un header général en tête de fichier avec les CSS.
GIMP permet la sauvegarde d'une image au format *.PSD, ce qui simplifie les choses. Pour l'environnement de travail complet, ce sera peut-être plus dur et il n'y a guère de chance pour que Photoshop reconnaisse, lui, le *.XCF (format GIMP). En revanche, les formats des image proprement dites, eux, sont bien entendus parfaitement reconnus par les deux logiciels.
Coté prise en main, GIMP a la réputation d'être difficile, mais c'est surtout les habitudes du logiciel dont on vient qui sont difficiles à perdre. Si tu es une habituée de Photoshop, et que tu es un minimum curieuse, tu devrais très vite retrouver tes marques (sinon les forums et tutoriels sur le sujet sont légions).
Enfin, si vraiment tu as besoin de transmettre un fichier de travail GIMP a des collaborateurs éloignés, GIMP est disponible sous Windows, et téléchargement, gratuitement. N'hésites donc pas à le faire savoir si quelque ne peut pas ouvrir tes documents.
Ce sera toujours une bonne chose d'avoir les deux environnements sur sa plateforme.
Par contre, gros point noir : leur modèle 3d des immeubles me fait penser à Doom, pour ceux qui se souviennent. En fait c'est de la 2D, avec de altitudes différentes, cad qu'il n'est pas possible d'avoir un trou
C'était toute la subtilité de la chose, d'ailleurs, que de dessiner des niveaux qui en donnaient quand même l'illusion !
Ce qui permet d'être à bon compte conforme au respect des lois sur les copyrights.
Dans l'absolu, c'est plus facile, en effet. Maintenant, la plupart des logiciels dits "libres" tombent quand même sous le coup d'une licence dont il faut respecter les termes. Les meilleurs exemples sont les Freebox et autres routeurs à logiciel (libre) embarqué ...
C'est effectivement une bonne idée, mais il manque au moins le header de status ! Il faut renvoyer HTTP/1.1 200 OK pour faire les choses proprement.
Ici le script est écrit comme un CGI-BIN, et c'est ce qu'il faut, mais c'est faire abstraction du fait que l'entête du document est d'habitude complété automatiquement par les modules d'Apache.
Maintenant, le navigateur fait avec et c'est normal, mais ça peut poser problème dans certains cas, proxys, firewalls ou vieux navigateurs, par exemple.
En effet, mais le lien Répondre t'envoie précisément vers une page distincte et néanmoins ordinaire. Celle-là même qui contient un formulaire que tu pourras ensuite soumettre.
Autant que je sache (en tout cas, c'est vrai pour les partoche primaires), le numéro des partitions est celui de la position de leur entrée dans la table.
Si tu veux renuméroter tes partitions d'une manière particulière, il faut donc déplacer ces entrées. Attention, bien que ce ne soit pas à proprement parler , ton logiciel de repartitionnement risque de se plaindre si l'ordre des partitions dans la table n'est pas le même que leurs places sur le disque.
A noter quand même que le 2.6.18 n'est plus tout jeune. On en est déjà au 2.6.23.9 ... Vérifie si le bug n'a pas déjà été corrigé dans les versions récentes du noyau avant de le soumettre.
1) tu utilises un protocole type connexion (comme TCP) et dans ce cas, tu considères que ta socket est à traiter comme l'entrée standard, c'est-à-dire un flux continu de données. Tu sais donc que la transmission est terminée lorsque ta connexion se referme. Accessoirement, c'est comme ça que fonctionne HTTP (par défaut stateless et aux connexions non persistantes).
2) tu utilises un protocole à paquets (comme UDP) et dans ce cas, chaque datagramme est en lui-même indépendant des autres, mais tu le reçoit en entier. Tu peux utiliser ce mode si tu veux envoyer des "unités" de données sans te faire suer à savoir si c'est terminé ou pas. Cela a ses avantages et ses inconvénients.
Travailler directement au niveau de l'IP n'est pas une bonne idée si tu travaille sur une application de haut-niveau, spécialement si tu réimplémente un protocole qui a été conçu pour circuler au travers d'une liaison streaming sûre.
Pour ceux à qui cela arrive, il suffit d'ouvrir un onglet sur le lien "Lire le journal" qui reste disponible même lorsqu'on est justement en train de lire ledit journal et ses commentaires, puis de lancer l'édition de son commentaire à partir de là. C'est clair, sapu, ça fait deux étapes au lieu d'une, mais au moins ça reste possible.
Tout-à-fait, mais l'orthographe a connu une fracture ces dernière années aussi, qui se fait particulièrement sentir dans le milieu des jeunes geeks.
Geek 2.0 :
- Je dis souvent lol !
- gé bo essayé, je ne sait toujours pas écrire les participes passer.
- Gkris en SMS
- Je communique principalement avec MSN les messageries instantanées.
Geek 1.0 :
- Je kicke souvent les gens qui disent lol !
- Je mets un point d'honneur à écrire mes SMS en bon français (minuscules, majuscules, ponctuation et lettres accentuées).
- Je communique principalement par e-mail, éventuellement par IRC, mais seulement quand je ne trouve pas de BBS approprié.
J'en pense la même chose et c'est pour cela que je ne m'y suis jamais mis complètement. :-) Mais bon, 'faut voir le Perl dans ce pourquoi il a été conçu à la base : écrire des super-shellscripts.
Ceci dit, je m'inscris complètement dans l'attitude Geek 1.0 / Geek 2.0 proposée dans ce journal :
La distinction des générations old-school et plus récente est de plus en plus marquée. La limite était moins flagrante avec les dinos de la précédente génération.
[^] # Re: Simple :
Posté par Obsidian . En réponse au message APRENTI. Évalué à 3.
[^] # Re: C'est pas mieux ailleurs !
Posté par Obsidian . En réponse au journal Free déploie l'IPV6. Évalué à 2.
# Essaie le LDC
Posté par Obsidian . En réponse au message Choisir une distrbution ?. Évalué à 2.
http://www.zegeniestudios.net/ldc/index.php?lang=fr
C'est généralement assez efficace pour viser au plus près.
# Simple :
Posté par Obsidian . En réponse au message APRENTI. Évalué à 2.
[^] # Re: éduquer les utilisateurs d'abord
Posté par Obsidian . En réponse au journal Le changement de password pue du rond. Évalué à 4.
Ke jème a fer aprendre 1 nonbre utile o sage
imortelle archimaide, artist injénieure,
ki 2 ton jujement peu prizer la valeure ?
Pour moa, ton pb U 2 pareil zavantache.
Ce qui ramènerait la valeur de Pi à 2,4138165, environ ...
[^] # Re: éduquer les utilisateurs d'abord
Posté par Obsidian . En réponse au journal Le changement de password pue du rond. Évalué à 2.
[^] # Re: La loi des séries.
Posté par Obsidian . En réponse au journal Et apres, certains ont encore espoir que l'homme trouvera une solution. Évalué à 10.
# Voir usenet ? /o\
Posté par Obsidian . En réponse au message APRENTI. Évalué à 6.
mais ça ne marche pas, malheureusement ...
[^] # Re: cat
Posté par Obsidian . En réponse au message Imprimer facilement une documentation HTML. Évalué à 2.
Je ne sais pas mais à mon humble avis, il n'y pas de critères. A la place, il doit y avoir les programmes écrits sous Unix à la base, donc par des programmeurs habitués à cela, et les programmes importés du DOS, dont les services proposés de ce côté se résument au minimum.
Il y a une chose que l'on sait, par contre, c'est que l'opérateur * développe une liste de fichiers en argument, mais n'appelle certainement pas le programme itérativement.
L'avantage du "for" en shell, c'est que non seulement il permet d'utiliser de cette manière les programmes qui n'attendent qu'un nombre fixe d'arguments, mais surtout de faire des lignes de commandes composées (et notamment, de choisir à chaque fois le fichier de sortie).
[^] # Re: cat
Posté par Obsidian . En réponse au message Imprimer facilement une documentation HTML. Évalué à 3.
Oui, ça tu viens de le dire. Moi, je voulais savoir ce qu'un for i in *hmtl;do cat "$i" avait de plus qu'un cat *. On dirait que beaucoup de gens sont restés à l'idée que cat ne sert qu'à afficher le contenu d'un fichier. C'est oublier que "cat" signifie avant tout "catenate" et sert précisément à concaténer le contenu de plusieurs fichiers.
C'est bon, je l'ai fait plus bas.
[^] # Re: Sous forme de liens ?
Posté par Obsidian . En réponse au message Imprimer facilement une documentation HTML. Évalué à 3.
Etant donné que son cours 1.4 me sert encore et qu'il est toujours en ligne pour juger sur pièce, j'encourage tout le monde à faire de même.
# Sous forme de liens ?
Posté par Obsidian . En réponse au message Imprimer facilement une documentation HTML. Évalué à 2.
Salut,
Oui ? Laquelle ?
Tu peux nous filer un lien ?
Ca dépend beaucoup de ce que tu veux faire. Quand tu dis "elle sous forme de liens", ça veut dire qu'elle est sur plusieurs pages ?
Si elle formatée en HTML de base, noir sur blanc avec des liens bleus, il y a de fortes chances pour qu'elle soit elle-même issue d'un document SGML ou DocBook. Dans ce cas, la version continue est en général sur le même site, ainsi que la source en Sgml. Il te suffit donc de récupérer ce fichier-là pour le transformer ensuite en n'importe quoi.
Sinon, avant de concaténer tes pages, il te faut déjà toutes les récupérer. La commande wget avec l'option -r peut suivre récursivement les liens HTML et donc se comporter en aspirateur de site. Attention toutefois à ne pas être indélicat vis-à-vis du serveur.
T'en a déjà six, donc ça rentre.
De même.
[^] # Re: cat
Posté par Obsidian . En réponse au message Imprimer facilement une documentation HTML. Évalué à 2.
De toutes façon, cela reste dégueu. Il faut au filtrer chaque fichier pour ne conserver que le contenu de , et ensuite aller remettre un header général en tête de fichier avec les CSS.
# Réponse rapide
Posté par Obsidian . En réponse au message cherche renseignements sur Gimp. Évalué à 4.
GIMP permet la sauvegarde d'une image au format *.PSD, ce qui simplifie les choses. Pour l'environnement de travail complet, ce sera peut-être plus dur et il n'y a guère de chance pour que Photoshop reconnaisse, lui, le *.XCF (format GIMP). En revanche, les formats des image proprement dites, eux, sont bien entendus parfaitement reconnus par les deux logiciels.
Coté prise en main, GIMP a la réputation d'être difficile, mais c'est surtout les habitudes du logiciel dont on vient qui sont difficiles à perdre. Si tu es une habituée de Photoshop, et que tu es un minimum curieuse, tu devrais très vite retrouver tes marques (sinon les forums et tutoriels sur le sujet sont légions).
Enfin, si vraiment tu as besoin de transmettre un fichier de travail GIMP a des collaborateurs éloignés, GIMP est disponible sous Windows, et téléchargement, gratuitement. N'hésites donc pas à le faire savoir si quelque ne peut pas ouvrir tes documents.
Ce sera toujours une bonne chose d'avoir les deux environnements sur sa plateforme.
[^] # Re: Question ...
Posté par Obsidian . En réponse au journal IGN 3d sous Linux, va falloir attendre. Évalué à 2.
C'était toute la subtilité de la chose, d'ailleurs, que de dessiner des niveaux qui en donnaient quand même l'illusion !
[^] # Re: un truc marrant dans l'article
Posté par Obsidian . En réponse au journal Plus le salaire est élevé, moins le salarié paie d'impot !. Évalué à 2.
Dans l'absolu, c'est plus facile, en effet. Maintenant, la plupart des logiciels dits "libres" tombent quand même sous le coup d'une licence dont il faut respecter les termes. Les meilleurs exemples sont les Freebox et autres routeurs à logiciel (libre) embarqué ...
# Et l'entête de status ?
Posté par Obsidian . En réponse au message [Web] créer un serveur web (une page) sans serveur web. Évalué à 2.
Ici le script est écrit comme un CGI-BIN, et c'est ce qu'il faut, mais c'est faire abstraction du fait que l'entête du document est d'habitude complété automatiquement par les modules d'Apache.
Maintenant, le navigateur fait avec et c'est normal, mais ça peut poser problème dans certains cas, proxys, firewalls ou vieux navigateurs, par exemple.
[^] # Re: en codant sur un bateau
Posté par Obsidian . En réponse au journal Comment les programmeurs écrivent du code flottant ?. Évalué à 3.
[^] # Re: Geek 0.1α
Posté par Obsidian . En réponse au journal geek 2.0 != geek1.0. Évalué à 2.
# Voir dans la table
Posté par Obsidian . En réponse au message cfdisk : renuméroter une partition en la supprimant re-créant ?. Évalué à 3.
Si tu veux renuméroter tes partitions d'une manière particulière, il faut donc déplacer ces entrées. Attention, bien que ce ne soit pas à proprement parler , ton logiciel de repartitionnement risque de se plaindre si l'ordre des partitions dans la table n'est pas le même que leurs places sur le disque.
[^] # Re: Deux possibilités
Posté par Obsidian . En réponse au message Correction de bug du noyau.. Évalué à 4.
Bonne chance et merci.
[^] # Re: Ben...
Posté par Obsidian . En réponse au message Les Sockets, et la taille en reception. Évalué à 3.
1) tu utilises un protocole type connexion (comme TCP) et dans ce cas, tu considères que ta socket est à traiter comme l'entrée standard, c'est-à-dire un flux continu de données. Tu sais donc que la transmission est terminée lorsque ta connexion se referme. Accessoirement, c'est comme ça que fonctionne HTTP (par défaut stateless et aux connexions non persistantes).
2) tu utilises un protocole à paquets (comme UDP) et dans ce cas, chaque datagramme est en lui-même indépendant des autres, mais tu le reçoit en entier. Tu peux utiliser ce mode si tu veux envoyer des "unités" de données sans te faire suer à savoir si c'est terminé ou pas. Cela a ses avantages et ses inconvénients.
Travailler directement au niveau de l'IP n'est pas une bonne idée si tu travaille sur une application de haut-niveau, spécialement si tu réimplémente un protocole qui a été conçu pour circuler au travers d'une liaison streaming sûre.
[^] # Re: Geek 0.1α
Posté par Obsidian . En réponse au journal geek 2.0 != geek1.0. Évalué à 2.
[^] # Re: fautes
Posté par Obsidian . En réponse au journal geek 2.0 != geek1.0. Évalué à 8.
Geek 2.0 :
- Je dis souvent lol !
- gé bo essayé, je ne sait toujours pas écrire les participes passer.
- Gkris en SMS
- Je communique principalement avec MSN les messageries instantanées.
Geek 1.0 :
- Je kicke souvent les gens qui disent lol !
- Je mets un point d'honneur à écrire mes SMS en bon français (minuscules, majuscules, ponctuation et lettres accentuées).
- Je communique principalement par e-mail, éventuellement par IRC, mais seulement quand je ne trouve pas de BBS approprié.
[^] # Re: Spaces matter
Posté par Obsidian . En réponse au message Explication syntaxe Perl. Évalué à 2.
Ceci dit, je m'inscris complètement dans l'attitude Geek 1.0 / Geek 2.0 proposée dans ce journal :
http://linuxfr.org/~skeespin/25766.html
La distinction des générations old-school et plus récente est de plus en plus marquée. La limite était moins flagrante avec les dinos de la précédente génération.