Wouhouhou !
Ils ont fourni la position géographique des stations de métro et les correspondances !
Et sous licence en plus !
Je suis… choqué.
Nan sérieux, je ne comprend pas que qui que ce soit ait pu imaginer qu'il puisse pouvoir y avoir un quelconque copyright sur ces infos.
Comme si n'importe qui n'importe quand n'aurait pas eu le droit de fournir ces infos à n'importe qui avant ça !
C'est pas comme s'il suffisait de se balader dans Paris et de référencer les stations de métro avec un GPS, et de regarder quelles lignes passent où…
D'accord, je le ferais pas tout seul un week-end d'ennui profond, mais je pourrais…
C'est… public !
Et je suis persuadé qu'OpenStreetMap ont pas attendu cette libération pour intégrer ces infos dans leurs données cartographiques.
Ce qui devrait naturellement être des informations publiques et librement accessibles est exploitable, on est content quand on nous donne le droit de les regarder sous conditions ?
Beuaerk !
Preuve encore qu'il y a quelque chose de pourri dans le royaume du droit d'auteur…
Il y a une très grande majorité de bouddhistes en Chine et au Japon.
Le Bouddhisme n'implique pas de croire en une quelconque divinité (il ne s'y oppose pas non plus).
Il n'y a pas de contradiction entre être athée (ergo ne pas croire en un ou plusieurs dieux), et être bouddhiste.
Et même, selon la tradition bouddhiste considérée, et le pays, certains l'appellent une religion et d'autres non.
En fait cette étude semble être centrée sur le théisme, et non la spiritualité. Le Taoisme, le Confucianisme, ou même l'Humanisme, ou le Scientisme, vont plutôt tomber dans les catégories peu religieuses ou athée convaincu, alors qu'il peut s'agir aussi d'un système de croyances, et d'une spiritualité.
Bref, on peut conclure de cette étude que le judaïsme et ses dérivés (chrétienté et islamisme) ont assez peu de prise en Chine et au Japon, et ont sévèrement perdu du terrain en république Tchèque, et en France.
L'Inde étant comme pour bien des choses un cas spécial, où l'hindouisme est la dernière religion polythéiste vraiment répandue et pratiquée, mais relativement confinée à ce pays et ses proches voisins.
Bref à mon avis, rien d'intéressant dans cette étude, rien de nouveau, rien de surprenant, les religions monothéistes déclinent globalement, les croyants croient généralement, et les non croyants sont plutôt athée (je pige vraiment pas le bas de la page 19 et le haut de la page 20, classement selon la religion, de si les gens sont plutôt religieux ou athée ! Fichtre, qui va répondre qu'il est catholique et athée convaincu ?, bon 1% des gens apparemment, mais j'avoue, je comprend pas…).
Est-ce vraiment le rôle du desktop de concurrencer firefox, chrome ou autres ?
De refaire un énième clone d'office, on son fork perso d'OOo/libreO ?
De concurrencer Sylpheed, Claws, Thunderbird etc. ?
De faire mieux que xchat ?
De recoder Gaim, Psi, et autres ?
Le desktop il serait pas là pour utiliser la machine essentiellement ? Permettre de gérer le matériel, gérer ses fichiers, proposer une interface pratique quand on branche une clé USB ?
Et puis les grosses applis sont au dessus. Pourquoi faire un gimp spécifique à E17 alors que gimp existe déjà ? Pour utiliser les EFL plutôt que GTK ? Pourquoi pas, l'idée peut valoir le coup, mais est-ce que ça doit être partie intégrante du fameux « desktop » ?
Si tu n'utilises que E17 plus des outils autres genre firefox/libreOffice/gimp/Sylpheed/Xchat/Psi, tu n'aurais pas de « desktop » ? Conception étrange de l'espace de travail informatique je trouve…
Avec une telle définition il n'en existe qu'un de « Desktop » sous Linux, c'est KDE…
J'avoue, je suis un brin largué par ces distinctions diptérosodomites et pas très KISS.
Le sondage montre qu'à l'évidence les plus de 60 ans sont victimes de Parkinson et non d'Alzheimer.
En effet, ils sont 57 et ont tous eu du mal à viser entre 60-70 et 70+, et ont cliqué sur les deux à la fois : 57 précisément de chaque à l'heure où j'écris.
Ouaiiis !
Tiens, si t'aimes ça, je te suggère la route des Gorges de la Bourne, dans le Vercors, à pas moins de 60km/h, double-sens bien sûr, t'auras de l'adrénaline (et puis peut-être plus du tout assez rapidement, mais bon).
Au moins, c'est clairement touristique :)
« Ah, la version 1.0 du noyau est toujours maintenue ? »
Réponse 1 : Oui, elle s'appelle 3.4-rc7 aujourd'hui.
Réponse 2 : Non, mais elle fonctionne encore comme au premier jour, ce qui n'entre pas dans la définition de l'obsolescence programmée, qui stipule qu'elle devrait ne plus fonctionner du tout après un certain temps.
« Tu compares de l'immatériel à du matériel, donc je ne te suivrai pas sur cet exemple. »
Ah mais ce n'est pas moi qui ait fait cet amalgame.
On disserte ici de l'absurdité fondamentale du concept d'obsolescence programmée pour les logiciels. L'obsolescence programmée est un concept tiré du monde matériel qui stipule que les fabrications humaines modernes sont conçues pour tomber en panne au bout d'un certain temps (le plus près possible de la fin de la garantie).
Plaquer le concept sur les programme, bah, après tout, je suis d'accord avec toi : comparer du matériel à de l'immatériel, quelle absurdité. Mais le concept pourrait exister pour les logiciels, sauf que c'est absurde.
Mais tu crois que plus personne n'aura envie de maintenir google d'ici quelques années ?
L'obsolescence elle n'a rien de programmée.
Et certain logiciels existent depuis des décennies, ont évolués depuis et sont encore maintenus.
Allez, au pif, le noyau Linux !
Je ne le vois pas disparaître comme ça pouf, par enchantement.
Pour qu'il disparaisse il faudra qu'il soit remplacé par quelque chose de foncièrement meilleur.
Dès lors, l'obsolescence n'existe pas, elle n'a rien de programmée, il s'agit juste d'évolution, comme les armes en fer ont remplacé les armes en bronze, parce que c'était plus facile à fabriquer, plus solide, plus léger, etc.
Il a tout à fait raison de dire que l'obsotrucmuche buzzwordée n'a pas de sens pour les logiciels, et tu ne fais qu'approuver ses dires en écrivant : « parce qu'il n'y a plus personne pour le maintenir, parce que peu de monde l'utilise », ça n'a rien de programmé ça, c'est la vie, et ça peut ne jamais arriver, et en plus une personne seule peut l'en empêcher, en continuant à maintenir un logiciel qui n'est presque plus utilisé !
« Pour le gérant de hedge fund Eric Jackson, la génération Google et Facebook sera bientôt chassée par celle des entreprises du web mobile qui, elles, ont su développer des modèles économiques rentables. »
Diantre, pour une boîte qui a un modèle économique non rentable, je trouve que google fait un paquet de pognon, et depuis longtemps, sans vraiment surfer sur une vague…
Enfin, disons que je vois mal la publicité disparaître dans les années à venir, c'est pas vraiment un effet de mode ce truc là…
200f ?
Jamais j'aurais mis les pieds dans un cinéma à ce tarif là…
200f ça fait 30€, ben aujourd'hui si je vois une place de cinoche à 30€ je tomberais encore dans les pommes…
A mon avis tu délires un brin :)
J'en ai vu deux en 3D : le dernier Harry Potter pour lequel je trouve que ça n'apportait absolument rien.
Et Kung-Fu Panda 2 où pour le coup ça donnait carrément bien.
L'animation a été faite avec la 3D à l'esprit, et les images de synthèses donnent un excellent résultat, alors que pour le film, bah, à part quelques scènes qui en auraient de toute façon mises plein la gueule même sans 3D, en général on fait même pas vraiment gaffe…
Nope, j'ai un mail à Laposte depuis de nombreuses années, et je n'ai jamais eu rien à y redire, ils ne modifient aucun mail, fonctionnent bien.
D'un autre côté, je pope tout pour stocker sur mon imap local, donc je n'exploite pas du tout l'hébergement chez eux, mais comme fournisseur d'adresse mail, je n'ai vu aucun comportement dérangeant chez eux.
J'avoue que sous slackware, la configuration du serveur mail se fait en moins de dix secondes :
chmod 755 /etc/rc.d/rc.sendmail
/etc/rc.d/rc.sendmail start
Et ça marche directement, j'ai pas eu à faire plus d'efforts.
J'avais tendance à répondre quand gmail est sorti et que les gens étaient fous d'avoir genre 1Go ou 2, de dire que j'en avais quelques centaines sur mon hébergeur de mail, et qu'on pouvait aussi m'envoyer des mails de 100Mo sans que ça fasse tomber mon service, ou que ça soit refusé à l'entrée, j'ai rien contre les personnes enrobées moi…
Et côté maintenance, ben le serveur a un uptime de 753 jours (une coupure de courant qui a excédé la durée de survie de l'onduleur), et je dois cumuler environ 1h de maintenance sur le serveur sur cette durée.
Le serveur fait routeur/firewall (95% de la maintenance, comme c'est NATé, faut bien modifier quelques règles iptables de temps en temps), serveur web, mail (imap/pop/smtp), ftp (rsync des paquets slackware et des slackbuilds), serveur dhcp et dnsmasq.
Tout ça sur un ARM7 400Mhz, qui doit pas consommer, DD compris, plus de 3 ou 4W.
Dans mon école d'ingénieur, les résidences étudiantes étaient câblées sur le réseau de l'école.
On pouvait demander à l'admin de nous filer une adresse IP fixe sur le DHCP local, et comme j'avais trois machines, j'en avais trois :
192.168.0.17, 192.168.0.64, 192.168.0.68.
J'ai conservé les mêmes adresses IPs depuis, et même une des trois machines depuis 12 ans maintenant !
Bon, j'ai dû en créer d'autres pour cause de… Ben j'ai 7 IPs locales à la maison, et les machines à la cave ont toujours leurs IP fixes dans la conf du DHCP.
Plus qu'un point de centralisation, je vois ça comme un point de départ.
Le principe de la bibliothèque nationale me semble assez bon, pertinent et efficace.
Actuellement une œuvre est « possédée » par une entreprise, cette entreprise assure parfois une avance à l'auteur, gère la publicité, et récolte les sous. Mais elle a le monopole complet de la distribution de cette œuvre.
L'idée du service public, c'est qu'il y a une source, et que derrière n'importe qui puisse distribuer n'importe quelle œuvre, comme il le souhaite, à l'instar des œuvres actuellement dans le domaine public. Si l'ayant-droit souhaite une rémunération par distribution de son œuvre, alors le revendeur devra s'en acquitter auprès de l'instance source. Finalement un peu comme la TVA, tu ajoutes ça à ton prix de vente, et tu rembourses l'état après. Là tu renvoies à l'établissement central qui reversera à l'auteur.
A la différence de la SACEM actuellement : la SACEM se contente d'aller taxer à droite à gauche et n'apporte aucun service. Je n'ai pas le droit de distribuer une œuvre d'un auteur dont les droits sont gérés par la SACEM, même si je m'acquitte des droits d'auteur - enfin pour autant que je sache.
La distribution ça peut être la distribution de livres papiers, de cdroms, de DVD, de biens matériels, ou la mise à disposition de bien immatériel avec un service en plus, ou dans un format ou un environnement particuliers, comme l'intégration immédiate d'un catalogue sur un smartphone.
Et il n'y a pas contradiction entre un organisme central et des vendeurs à côté.
Et dans le cas d'une œuvre libre de droits, ou sous licence libre, comme pour un logiciel libre, n'importe qui peut le vendre, et garder 100% des bénéfices.
Ça marche très bien avec les logiciels libres, pourquoi est-ce que ça ne pourrait pas fonctionner aussi avec la musique, ou les livres libres ?
La SACEM c'est l'exemple à ne pas suivre. La bibliothèque nationale est celui à suivre. Toute édition de livre doit être enregistrée à la BN, on a une trace de tout ça. Il suffirait de lui rajouter comme mission d'archiver sous format numérique les livres, et de les mettre à disposition quand c'est autorisé (licence libre, domaine public, etc).
Derrière ça il suffit de donner accès aussi aux œuvres non libres, et payantes, mais en payant.
De toute façon on n’empêchera pas plus que maintenant la propagation gratuite, et ce qui est aujourd'hui à tort appelé le piratage, mais au moins on aurait une offre légale et crédible de base.
A charge aux entrepreneurs ensuite de faire un service plus sexy, de fournir les œuvres dans des formats plus adaptés, ou de simplifier leur accès, mais sans que eux n'aient à se préoccuper directement de gérer les droits d'auteurs : ils revendent ce qu'ils ont pris dans l'établissement public.
Par exemple j'écris un livre, je le déclare à la BN, et je demande une rémunération de 1€ pour son achat.
Un éditeur décide de me publier, ça lui coûte 1€ à produire, 1€ à distribuer, 1€ de marge pour le revendeur (le libraire), 1€ à reverser à la BN qui me le reversera ensuite, il vend ça 5€, il a 1€ de bénéfice pour lui.
S'il fait une édition de luxe qui coûte 10€ à produire et qu'il décide de se faire 10€ de marge dessus en ne laissant que 3€ au libraire, ça fera au total 10+10+1+1+3=25€, sur lesquels je ne toucherai toujours que 1€.
S'il le met sur sa plate-forme d'ebooks, il le vend 1€50, 1€ à la BN puis à moi, 50c dans sa poche directement.
Enfin, voilà c'est l'idée générale.
Je ne trouve pas ça complètement absurde, et je ne vois pas tellement de dérives possibles, sauf peut-être une sur-prolifération des nouvelles œuvres enregistrées, mais à la rigueur en mettant un coût d'enregistrement, même assez faible, ça pourrait éliminer ce problème.
Après ça ferait pas forcément le bonheur des maisons d'édition, c'est sûr. Pour les livres c'est pas forcément complètement ultime. Mais pour la musique, ça ferait le malheur des majors qui exploitent quand même apparemment très sérieusement leurs artistes, tout en se foutant de la gueule du monde niveau qualité et coût du produit fini en magasin…
Bref, comme je disais c'est un peu une idée en l'air, comme ça, pas très développée…
En fait, la rémunération de la création devrait être un service public.
Un établissement public, ou plusieurs, qui sert à enregistrer les œuvres - la bibliothèque nationale par exemple - mais étendu à tout type d’œuvres immatérielles, donc aux films, musiques, etc. (ou peut imaginer plusieurs établissements pour ne pas mélanger les genres).
A ces établissements on ajoute une mission non plus seulement de conservation et d'archivage, mais de mise à disposition du public, sous format portable, libre, normalisé, standard, de toutes les œuvres, sans restriction.
Et enfin une dernière mission liée à la plate-forme de distribution permettant de rémunérer les créateurs, c'est à dire que chaque personne peut donner de l'argent à l'auteur, ou aux auteurs, d'une œuvre, directement.
On peut envisager que le téléchargement de l’œuvre soit assujetti à une obligation de rémunération, pendant une certaine période, selon la volonté des ayants-droit, mais même si cette période est de 70 ans ça n'est pas fondamentalement gênant.
L'établissement est public, et ces services ne doivent pas lui permettre de se rémunérer, il ne s'agit pas d'une entreprise qui prélèvera sa commission : donner 5€ à un auteur, c'est lui donner 5€ à lui.
La distribution immatérielle devient un service public.
A côté de ça, la distribution matérielle se fait hors de tout droit d'auteur - hormis l'éventuelle rémunération obligatoire pour chaque copie qui doit être inclue dans le prix de vente et reversée, ou volonté (limitée dans le temps évidemment) de l'auteur de ne pas être publié (droit de retrait ou autre).
Puisque le contenu est public, n'importe qui peut éditer sous un format physique n'importe quelle œuvre, donc ça n’empêcherai en rien la distribution de DVD, Blu-Ray, CD, livres etc.
De même les catalogues en ligne d'ebooks ou de musique, la VOD, peuvent très bien se rémunérer sur un service supplémentaire, qui est l'accès aisé, mobile, n'importe où, etc, et prélever leur commission, sachant que tout le monde peut aller directement à la source, ie l'établissement public.
La distribution ne possède donc plus de monopole, et devra se démarquer par la qualité physique du produit et non sa rareté obligeant de passer par telle ou telle société mais pas une autre. Une entreprise de distribution aurait des droits sur la présentation de l’œuvre, qui ne pourrait donc être copiée à l'identique par d'autres.
Ce genre de distribution existe déjà, par exemple les livres de la pléiades essentiellement d’œuvres dans le domaine public, qui misent sur une très grande qualité du produit.
Bref, une idée en l'air, comme ça…
Yth, qui procrastine à mort en ce vendredi ensoleillé…
Oui, on est d'accord, il n'y a pas de vol dans l'affaire. Même l'histoire de classifier ça en tant que contrefaçon est bancale.
Et il y a évidemment une différence entre mes exemples : c'est pour ça qu'il est important de conserver un code de la route et de réglementer la consommations de diverses substances, même si beaucoup de gens aimeraient bien s'en foutre royalement et faire comme bon leur semble. Alors que l'absurde culpabilisation autour du téléchargement n'a pas lieu d'être.
L'exemple le plus proche est à mon avis celui du cannabis : tout le monde s'en fout en réalité. Légal ou non, il y aura toujours en gros le même nombre de consommateurs réguliers. Les problèmes sont ailleurs : dans la distribution qui se fait en marché noir par exemple, avec tout les problèmes qu'engendrent ce genre de mafias.
Mais condamner le consommateur ? Ça n'a aucun sens et aucun intérêt. Réglementer, pas condamner.
Bah je fais pas mal de parallèles avec le téléchargement : télécharger on s'en fout, le problème est là aussi celui de la distribution, comme tu le dis. Avec des profiteurs tel megaupload qui gagnaient de l'argent avec les œuvres d'autrui sans aucun droit de le faire ! Il faut réglementer la distribution, et de toute évidence la laisser se développer de la façon qu'elle souhaite. C'est la Sacem directement qui devrait vendre en ligne, et au format FLAC au minimum ou un autre sans DRM et de bonne qualité.
Et le fait que la majorité des citoyens télécharge à gogo, malgré les tentatives hadopesques et autre de culpabilisation, devrait être un indicateur suffisant pour montrer que ces lois sont absurdes, et qu'il ne faut pas envisager le droit d'auteur comme étant si exclusif qu'on n'aurait plus le droit de fredonner sous sa douche sans avoir payé les ayants-droits au préalable…
Et il y a beaucoup de protections qui ne sont absolument pas remises en cause.
Comme le plagiat.
Ou aussi qu'on n'ai pas le droit de prendre le texte d'un autre et de le publier en son nom propre.
Que si on exploite une partie non négligeable d'une œuvre, il faut indiquer sa source.
Et tout un tas d'autres, je suis pas juriste moi…
Si, justement. Enfin, disons que c'est discutable, mais si une loi est très largement enfreinte, c'est qu'elle n'est pas cohérente avec la société à laquelle elle s'applique.
Les lois ne sont pas là pour changer une société, simplement pour essayer d'empêcher les comportements nuisant au plus grand nombre.
Par exemple : on ne peut pas légaliser le meurtre : la peur de se faire tuer pour un oui ou pour un non influencerait trop de gens, et globalement tout le monde est contre : personne n'a envie de se faire poignarder dans la rue.
Par contre on peut légaliser le cannabis : globalement tout le monde s'en fout (z'allez pas me dire que le fait que des types fument des joint loin de chez vous ça vous perturbe ?). Mais par exemple on doit l'interdire au volant - comme l'alcool en fait : pas au volant, pas drogué en public, etc. -, parce que ça devient dangereux pour les autres, pour n'importe qui de façon arbitraire, donc ça peut affecter n'importe qui.
On a encore me semble-t-il une loi interdisant aux femmes de porter des pantalons (référence nécessaire, mais si celle là n'existe pas, il y en a pléthores d'autres toutes aussi absurdes). La société a changé, cette loi est devenue caduque, il est normal de l'ignorer.
Maintenant certaines lois interdisent de copier des œuvres sous droits d'auteur ne l'autorisant pas. Mais si tout le monde le fait (ou en tout cas une majorité suffisamment grande), alors c'est que c'est comme ça que la société souhaite vivre. Il est donc normal de les ignorer - ça serait même bien de les abroger, mais une loi en France ça ne s'abroge pas, on en crée une nouvelle qui dit qu'il faut ignorer la précédentes, et voilà comment on crée un nouveau corps de métier ultra-spécialisé en cinquante ans : les avocats.
Il est normal de les ignorer parce que c'est ce que la société veut, et si une poignée de gens y sont opposés, la démocratie fait qu'ils ont simplement le droit d'exprimer leur désaccord.
Et si ça signifie la mort de toute création artistique, alors c'est que c'est ce que la société souhaite, mais on sait bien tous ici que le partage libre ne détruira en rien la création.
Bref, si, le fait qu'un délit soit commis massivement, et qu'il soit difficile de lutter contre, signifie que la loi doit être remise en cause.
Et le cas des excès de vitesse ne fait pas réellement exception : les gens ne roulaient pas massivement au delà de 150km/h sur l'autoroute avant, mais il y en avait suffisamment pour que ça soit dangereux pour beaucoup de monde. Mais même avant les radars et tout, la majorité des gens roulaient en gros tous à la même vitesse, quelque part entre 130 et 140, comme aujourd'hui, un poil plus vite peut-être mais pas significativement.
Il n'y a qu'à voir les autoroutes allemandes dans les sections sans limitations de vitesse : à 150km/h tu doubles quasiment tout le monde, sauf quelques psychopathes avec leurs bagnoles de fous qui roulent à 180 voire plus !
Les radars ont réduit les comportements aberrants et dangereux, de peut-être des centaines de milliers de gens, mais qui restent une très petite minorité par rapport au 30 millions d'automobilistes (ordre de grandeur, je n'ai aucune idée du chiffre exact) qui n'avaient pas ce comportement.
Aujourd'hui, les gens qui téléchargent sans se préoccuper de savoir s'ils ont le droit, si ça ne représente pas encore la majorité (et j'en doute), ça ne doit pas être loin. Ce comportement est donc admis par la société - au sens de l'ensemble des gens - et ne peut pas être pénalisé : ça n'a plus de sens aujourd'hui.
Les institutions doivent s'adapter, ce qui ne signifie pas faire sauter directement le droit d'auteur et ce qui tourne autour, tel que ça existe maintenant, mais l'adapter pour ne garder que la partie qui protège le maximum de gens des comportements abusifs. Par exemple on ne va pas légaliser le plagiat, globalement tout le monde est contre, or ça fait partie de la sphère légale du droit d'auteur et de ce qui va avec.
Yth, je peux me tromper, je n'ai que le sentiment d'être dans le juste.
Bah c'est simple, dès que j'ai essayé de configurer un peu l'environnement MacOS pour mettre des fonctionnalités assez basiques auxquelles je suis très habitué et attaché, comme les bureaux multiples par exemple, ça se met à faire n'importe quoi.
C'était il y a deux ans, certes, mais l'OS n'a pas dû tant évoluer que ça, et la machine est toujours le plus haut de gamme : l'iMac 27".
Ce qui est installé de base fonctionne directement, sans le moindre problème, d'accord, ça c'est vrai.
Pour le reste, pas mieux qu'une ubuntu buggée des origines, ou une mandrake de la belle époque, ça déconne, tu recommences, ça plante, tu cherches un autre logiciel pour répondre à ton besoin parce que les trois derniers que tu as utilisée déconne à fond les ballons, et que tu en es à 3 explosions en vol depuis ce matin, juste pour faire des trucs que tu as découvert avec Linux il y a 13 ans…
MacOS tout marche nickel et c'est le pays des bisounours ? Mais quelle blague ! MacOS a exactement les même défauts que Windows excepté que le panel de logiciels installé par défaut est nettement plus conséquent. Mais il reste toujours aussi ridicule comparé même à une Slackware de base.
Compose ton PC avec du matériel choisi (ou prend par exemple un portable LDLC conçu pour Linux), et tout marchera directement à l'installation sans le moindre effort avec n'importe quel Linux.
Maintenant Linux, les gens l'utilisent sur des matériels très divers et essaient de faire tourner des trucs très variés, à la différence de Mac qui a deux machines avec une poignée de déclinaisons, et du matériel estampillé Mac. Forcément, tu vas rencontrer plus de soucis avec des matériels exotiques, ou très récents sous Linux !
La seule chose que Mac t'enlève et te simplifie, c'est le choix du matériel, ils choisissent pour toi ce qui va marcher. Sinon c'est pas plus simple, pas plus stable, pas plus efficace, pas moins buggé… On est très loin du pays des Bisounours hein !
Donc, en plus de tes convictions, autant aller subir celles du voisin privatif !
Booya !
Mais oui, voilà une idée qu'elle est bonne, pourquoi n'y avais-je pas songé plus tôt ?
Damned, je vieillis dirait-on, mon cerveau pédale…
Ah non en fait, Apple c'est in-ergonomique, buggé, inutilisable, et ça plante plus souvent que ma Slackware sur le même matériel (ouais, au boulot on a essayé de me forcer à utiliser un Mac, j'ai cédé, mais c'est une slack dessus, MacOS, c'est juste… abominable), bon, bah ok, je reste dessus alors.
Yth, diantre, fuir les ennuis du quotidien pour tomber dans un système carcéral, ça rassure de se voir dicter sa vie, mais moi j'préfère mes petits problèmes, sérieux !
Un geek sait si la faille est exploitable dans son cas particulier, et mettra à jour si et seulement si c'est le cas, et qu'il n'y a pas d'autre solution simple et permettant de contrer cette faille précise…
Inutile par exemple de recompiler ton noyau pour une faille dans un module que tu n'utilises pas, et sachant que le geek a chargé exclusivement les modules dont il a besoin, ça t'enlève déjà moult possibilités de failles de sécurité.
De plus il lui reste la possibilité de rétro-patcher un module présentant une faille, et de simplement le remplacer à chaud sans redémarrer le noyau, ni la machine, en ne recompilant que ce qui est strictement nécessaire.
# Droit d'auteur, licence, public, et foutage de gueule...
Posté par Yth (Mastodon) . En réponse à la dépêche La RATP et l’Open Data. Évalué à 6.
Wouhouhou !
Ils ont fourni la position géographique des stations de métro et les correspondances !
Et sous licence en plus !
Je suis… choqué.
Nan sérieux, je ne comprend pas que qui que ce soit ait pu imaginer qu'il puisse pouvoir y avoir un quelconque copyright sur ces infos.
Comme si n'importe qui n'importe quand n'aurait pas eu le droit de fournir ces infos à n'importe qui avant ça !
C'est pas comme s'il suffisait de se balader dans Paris et de référencer les stations de métro avec un GPS, et de regarder quelles lignes passent où…
D'accord, je le ferais pas tout seul un week-end d'ennui profond, mais je pourrais…
C'est… public !
Et je suis persuadé qu'OpenStreetMap ont pas attendu cette libération pour intégrer ces infos dans leurs données cartographiques.
Ce qui devrait naturellement être des informations publiques et librement accessibles est exploitable, on est content quand on nous donne le droit de les regarder sous conditions ?
Beuaerk !
Preuve encore qu'il y a quelque chose de pourri dans le royaume du droit d'auteur…
Yth.
[^] # Re: Nous somme bien lotis.
Posté par Yth (Mastodon) . En réponse au journal 37% de Français croient au père Noël.. Évalué à 5.
Il y a une très grande majorité de bouddhistes en Chine et au Japon.
Le Bouddhisme n'implique pas de croire en une quelconque divinité (il ne s'y oppose pas non plus).
Il n'y a pas de contradiction entre être athée (ergo ne pas croire en un ou plusieurs dieux), et être bouddhiste.
Et même, selon la tradition bouddhiste considérée, et le pays, certains l'appellent une religion et d'autres non.
En fait cette étude semble être centrée sur le théisme, et non la spiritualité. Le Taoisme, le Confucianisme, ou même l'Humanisme, ou le Scientisme, vont plutôt tomber dans les catégories peu religieuses ou athée convaincu, alors qu'il peut s'agir aussi d'un système de croyances, et d'une spiritualité.
Bref, on peut conclure de cette étude que le judaïsme et ses dérivés (chrétienté et islamisme) ont assez peu de prise en Chine et au Japon, et ont sévèrement perdu du terrain en république Tchèque, et en France.
L'Inde étant comme pour bien des choses un cas spécial, où l'hindouisme est la dernière religion polythéiste vraiment répandue et pratiquée, mais relativement confinée à ce pays et ses proches voisins.
Bref à mon avis, rien d'intéressant dans cette étude, rien de nouveau, rien de surprenant, les religions monothéistes déclinent globalement, les croyants croient généralement, et les non croyants sont plutôt athée (je pige vraiment pas le bas de la page 19 et le haut de la page 20, classement selon la religion, de si les gens sont plutôt religieux ou athée ! Fichtre, qui va répondre qu'il est catholique et athée convaincu ?, bon 1% des gens apparemment, mais j'avoue, je comprend pas…).
Yth.
[^] # Re: Applications ?
Posté par Yth (Mastodon) . En réponse à la dépêche Enlightenment 0.17 a un release manager. Évalué à 10.
Est-ce vraiment le rôle du desktop de concurrencer firefox, chrome ou autres ?
De refaire un énième clone d'office, on son fork perso d'OOo/libreO ?
De concurrencer Sylpheed, Claws, Thunderbird etc. ?
De faire mieux que xchat ?
De recoder Gaim, Psi, et autres ?
Le desktop il serait pas là pour utiliser la machine essentiellement ? Permettre de gérer le matériel, gérer ses fichiers, proposer une interface pratique quand on branche une clé USB ?
Et puis les grosses applis sont au dessus. Pourquoi faire un gimp spécifique à E17 alors que gimp existe déjà ? Pour utiliser les EFL plutôt que GTK ? Pourquoi pas, l'idée peut valoir le coup, mais est-ce que ça doit être partie intégrante du fameux « desktop » ?
Si tu n'utilises que E17 plus des outils autres genre firefox/libreOffice/gimp/Sylpheed/Xchat/Psi, tu n'aurais pas de « desktop » ? Conception étrange de l'espace de travail informatique je trouve…
Avec une telle définition il n'en existe qu'un de « Desktop » sous Linux, c'est KDE…
J'avoue, je suis un brin largué par ces distinctions diptérosodomites et pas très KISS.
[^] # Re: Gni ?
Posté par Yth (Mastodon) . En réponse au sondage Quel est votre âge ?. Évalué à 4.
Le sondage montre qu'à l'évidence les plus de 60 ans sont victimes de Parkinson et non d'Alzheimer.
En effet, ils sont 57 et ont tous eu du mal à viser entre 60-70 et 70+, et ont cliqué sur les deux à la fois : 57 précisément de chaque à l'heure où j'écris.
Yth.
[^] # Re: Irrémédiable
Posté par Yth (Mastodon) . En réponse au journal Gnome3 et systemd, c'est la fin des haricots!. Évalué à 7.
Tu veux dire que systemd devrait remplacer le système d ?
Pas étonnant que je sois largué tiens…
Yth, système à tic.
[^] # Re: Et maintenant aussi : lancer Nessus contre impots.gouv.fr »
Posté par Yth (Mastodon) . En réponse à la dépêche La loi Godfrain sur la fraude informatique modifiée. Évalué à 4.
Bah, je le fais plus depuis une bonne trentaine d'années, ça sert plus à rien, ils sont vides…
Yth.
[^] # Re: Rhaaa
Posté par Yth (Mastodon) . En réponse au journal Comparatif de principaux fournisseurs de cartes. Évalué à 2. Dernière modification le 01 juin 2012 à 10:51.
Ouaiiis !
Tiens, si t'aimes ça, je te suggère la route des Gorges de la Bourne, dans le Vercors, à pas moins de 60km/h, double-sens bien sûr, t'auras de l'adrénaline (et puis peut-être plus du tout assez rapidement, mais bon).
Au moins, c'est clairement touristique :)
Yth.
[^] # Re: L’obsolescence programmée
Posté par Yth (Mastodon) . En réponse au journal Google et FaceBook vont disparaitre !. Évalué à 4.
« Ah, la version 1.0 du noyau est toujours maintenue ? »
Réponse 1 : Oui, elle s'appelle 3.4-rc7 aujourd'hui.
Réponse 2 : Non, mais elle fonctionne encore comme au premier jour, ce qui n'entre pas dans la définition de l'obsolescence programmée, qui stipule qu'elle devrait ne plus fonctionner du tout après un certain temps.
« Tu compares de l'immatériel à du matériel, donc je ne te suivrai pas sur cet exemple. »
Ah mais ce n'est pas moi qui ait fait cet amalgame.
On disserte ici de l'absurdité fondamentale du concept d'obsolescence programmée pour les logiciels. L'obsolescence programmée est un concept tiré du monde matériel qui stipule que les fabrications humaines modernes sont conçues pour tomber en panne au bout d'un certain temps (le plus près possible de la fin de la garantie).
Plaquer le concept sur les programme, bah, après tout, je suis d'accord avec toi : comparer du matériel à de l'immatériel, quelle absurdité. Mais le concept pourrait exister pour les logiciels, sauf que c'est absurde.
Yth.
[^] # Re: L’obsolescence programmée
Posté par Yth (Mastodon) . En réponse au journal Google et FaceBook vont disparaitre !. Évalué à 4.
Mais tu crois que plus personne n'aura envie de maintenir google d'ici quelques années ?
L'obsolescence elle n'a rien de programmée.
Et certain logiciels existent depuis des décennies, ont évolués depuis et sont encore maintenus.
Allez, au pif, le noyau Linux !
Je ne le vois pas disparaître comme ça pouf, par enchantement.
Pour qu'il disparaisse il faudra qu'il soit remplacé par quelque chose de foncièrement meilleur.
Dès lors, l'obsolescence n'existe pas, elle n'a rien de programmée, il s'agit juste d'évolution, comme les armes en fer ont remplacé les armes en bronze, parce que c'était plus facile à fabriquer, plus solide, plus léger, etc.
Il a tout à fait raison de dire que l'obsotrucmuche buzzwordée n'a pas de sens pour les logiciels, et tu ne fais qu'approuver ses dires en écrivant : « parce qu'il n'y a plus personne pour le maintenir, parce que peu de monde l'utilise », ça n'a rien de programmé ça, c'est la vie, et ça peut ne jamais arriver, et en plus une personne seule peut l'en empêcher, en continuant à maintenir un logiciel qui n'est presque plus utilisé !
Yth.
# Modèle économique non rentable...
Posté par Yth (Mastodon) . En réponse au journal Google et FaceBook vont disparaitre !. Évalué à 10.
« Pour le gérant de hedge fund Eric Jackson, la génération Google et Facebook sera bientôt chassée par celle des entreprises du web mobile qui, elles, ont su développer des modèles économiques rentables. »
Diantre, pour une boîte qui a un modèle économique non rentable, je trouve que google fait un paquet de pognon, et depuis longtemps, sans vraiment surfer sur une vague…
Enfin, disons que je vois mal la publicité disparaître dans les années à venir, c'est pas vraiment un effet de mode ce truc là…
Yth.
[^] # Re: whaou
Posté par Yth (Mastodon) . En réponse au journal Cinéma en 3D : heu, combien de fois on me le fait payer ?. Évalué à -7.
200f ?
Jamais j'aurais mis les pieds dans un cinéma à ce tarif là…
200f ça fait 30€, ben aujourd'hui si je vois une place de cinoche à 30€ je tomberais encore dans les pommes…
A mon avis tu délires un brin :)
Yth.
[^] # Re: whaou
Posté par Yth (Mastodon) . En réponse au journal Cinéma en 3D : heu, combien de fois on me le fait payer ?. Évalué à 2.
J'en ai vu deux en 3D : le dernier Harry Potter pour lequel je trouve que ça n'apportait absolument rien.
Et Kung-Fu Panda 2 où pour le coup ça donnait carrément bien.
L'animation a été faite avec la 3D à l'esprit, et les images de synthèses donnent un excellent résultat, alors que pour le film, bah, à part quelques scènes qui en auraient de toute façon mises plein la gueule même sans 3D, en général on fait même pas vraiment gaffe…
Yth…
[^] # Re: laposte.net
Posté par Yth (Mastodon) . En réponse au journal free et la gestion des mails. Évalué à 3.
Nope, j'ai un mail à Laposte depuis de nombreuses années, et je n'ai jamais eu rien à y redire, ils ne modifient aucun mail, fonctionnent bien.
D'un autre côté, je pope tout pour stocker sur mon imap local, donc je n'exploite pas du tout l'hébergement chez eux, mais comme fournisseur d'adresse mail, je n'ai vu aucun comportement dérangeant chez eux.
Yth.
[^] # Re: J'en connais qu'un
Posté par Yth (Mastodon) . En réponse au journal free et la gestion des mails. Évalué à 6.
J'avoue que sous slackware, la configuration du serveur mail se fait en moins de dix secondes :
chmod 755 /etc/rc.d/rc.sendmail
/etc/rc.d/rc.sendmail start
Et ça marche directement, j'ai pas eu à faire plus d'efforts.
J'avais tendance à répondre quand gmail est sorti et que les gens étaient fous d'avoir genre 1Go ou 2, de dire que j'en avais quelques centaines sur mon hébergeur de mail, et qu'on pouvait aussi m'envoyer des mails de 100Mo sans que ça fasse tomber mon service, ou que ça soit refusé à l'entrée, j'ai rien contre les personnes enrobées moi…
Et côté maintenance, ben le serveur a un uptime de 753 jours (une coupure de courant qui a excédé la durée de survie de l'onduleur), et je dois cumuler environ 1h de maintenance sur le serveur sur cette durée.
Le serveur fait routeur/firewall (95% de la maintenance, comme c'est NATé, faut bien modifier quelques règles iptables de temps en temps), serveur web, mail (imap/pop/smtp), ftp (rsync des paquets slackware et des slackbuilds), serveur dhcp et dnsmasq.
Tout ça sur un ARM7 400Mhz, qui doit pas consommer, DD compris, plus de 3 ou 4W.
L'investissement en temps est assez rentable…
Yth.
# La force de l'habitude ?
Posté par Yth (Mastodon) . En réponse au sondage Quelle plage d'adresse IPv4 est utilisée sur votre LAN?. Évalué à 1.
Dans mon école d'ingénieur, les résidences étudiantes étaient câblées sur le réseau de l'école.
On pouvait demander à l'admin de nous filer une adresse IP fixe sur le DHCP local, et comme j'avais trois machines, j'en avais trois :
192.168.0.17, 192.168.0.64, 192.168.0.68.
J'ai conservé les mêmes adresses IPs depuis, et même une des trois machines depuis 12 ans maintenant !
Bon, j'ai dû en créer d'autres pour cause de… Ben j'ai 7 IPs locales à la maison, et les machines à la cave ont toujours leurs IP fixes dans la conf du DHCP.
La force de l'habitude j'vous dis…
Yth.
[^] # Re: Pas convaincu
Posté par Yth (Mastodon) . En réponse au journal Plaidoyer pour la réforme du droit d'auteur. Évalué à 2.
Plus qu'un point de centralisation, je vois ça comme un point de départ.
Le principe de la bibliothèque nationale me semble assez bon, pertinent et efficace.
Actuellement une œuvre est « possédée » par une entreprise, cette entreprise assure parfois une avance à l'auteur, gère la publicité, et récolte les sous. Mais elle a le monopole complet de la distribution de cette œuvre.
L'idée du service public, c'est qu'il y a une source, et que derrière n'importe qui puisse distribuer n'importe quelle œuvre, comme il le souhaite, à l'instar des œuvres actuellement dans le domaine public. Si l'ayant-droit souhaite une rémunération par distribution de son œuvre, alors le revendeur devra s'en acquitter auprès de l'instance source. Finalement un peu comme la TVA, tu ajoutes ça à ton prix de vente, et tu rembourses l'état après. Là tu renvoies à l'établissement central qui reversera à l'auteur.
A la différence de la SACEM actuellement : la SACEM se contente d'aller taxer à droite à gauche et n'apporte aucun service. Je n'ai pas le droit de distribuer une œuvre d'un auteur dont les droits sont gérés par la SACEM, même si je m'acquitte des droits d'auteur - enfin pour autant que je sache.
La distribution ça peut être la distribution de livres papiers, de cdroms, de DVD, de biens matériels, ou la mise à disposition de bien immatériel avec un service en plus, ou dans un format ou un environnement particuliers, comme l'intégration immédiate d'un catalogue sur un smartphone.
Et il n'y a pas contradiction entre un organisme central et des vendeurs à côté.
Et dans le cas d'une œuvre libre de droits, ou sous licence libre, comme pour un logiciel libre, n'importe qui peut le vendre, et garder 100% des bénéfices.
Ça marche très bien avec les logiciels libres, pourquoi est-ce que ça ne pourrait pas fonctionner aussi avec la musique, ou les livres libres ?
La SACEM c'est l'exemple à ne pas suivre. La bibliothèque nationale est celui à suivre. Toute édition de livre doit être enregistrée à la BN, on a une trace de tout ça. Il suffirait de lui rajouter comme mission d'archiver sous format numérique les livres, et de les mettre à disposition quand c'est autorisé (licence libre, domaine public, etc).
Derrière ça il suffit de donner accès aussi aux œuvres non libres, et payantes, mais en payant.
De toute façon on n’empêchera pas plus que maintenant la propagation gratuite, et ce qui est aujourd'hui à tort appelé le piratage, mais au moins on aurait une offre légale et crédible de base.
A charge aux entrepreneurs ensuite de faire un service plus sexy, de fournir les œuvres dans des formats plus adaptés, ou de simplifier leur accès, mais sans que eux n'aient à se préoccuper directement de gérer les droits d'auteurs : ils revendent ce qu'ils ont pris dans l'établissement public.
Par exemple j'écris un livre, je le déclare à la BN, et je demande une rémunération de 1€ pour son achat.
Un éditeur décide de me publier, ça lui coûte 1€ à produire, 1€ à distribuer, 1€ de marge pour le revendeur (le libraire), 1€ à reverser à la BN qui me le reversera ensuite, il vend ça 5€, il a 1€ de bénéfice pour lui.
S'il fait une édition de luxe qui coûte 10€ à produire et qu'il décide de se faire 10€ de marge dessus en ne laissant que 3€ au libraire, ça fera au total 10+10+1+1+3=25€, sur lesquels je ne toucherai toujours que 1€.
S'il le met sur sa plate-forme d'ebooks, il le vend 1€50, 1€ à la BN puis à moi, 50c dans sa poche directement.
Enfin, voilà c'est l'idée générale.
Je ne trouve pas ça complètement absurde, et je ne vois pas tellement de dérives possibles, sauf peut-être une sur-prolifération des nouvelles œuvres enregistrées, mais à la rigueur en mettant un coût d'enregistrement, même assez faible, ça pourrait éliminer ce problème.
Après ça ferait pas forcément le bonheur des maisons d'édition, c'est sûr. Pour les livres c'est pas forcément complètement ultime. Mais pour la musique, ça ferait le malheur des majors qui exploitent quand même apparemment très sérieusement leurs artistes, tout en se foutant de la gueule du monde niveau qualité et coût du produit fini en magasin…
Bref, comme je disais c'est un peu une idée en l'air, comme ça, pas très développée…
Yth.
[^] # Re: Pas convaincu
Posté par Yth (Mastodon) . En réponse au journal Plaidoyer pour la réforme du droit d'auteur. Évalué à 2.
En fait, la rémunération de la création devrait être un service public.
Un établissement public, ou plusieurs, qui sert à enregistrer les œuvres - la bibliothèque nationale par exemple - mais étendu à tout type d’œuvres immatérielles, donc aux films, musiques, etc. (ou peut imaginer plusieurs établissements pour ne pas mélanger les genres).
A ces établissements on ajoute une mission non plus seulement de conservation et d'archivage, mais de mise à disposition du public, sous format portable, libre, normalisé, standard, de toutes les œuvres, sans restriction.
Et enfin une dernière mission liée à la plate-forme de distribution permettant de rémunérer les créateurs, c'est à dire que chaque personne peut donner de l'argent à l'auteur, ou aux auteurs, d'une œuvre, directement.
On peut envisager que le téléchargement de l’œuvre soit assujetti à une obligation de rémunération, pendant une certaine période, selon la volonté des ayants-droit, mais même si cette période est de 70 ans ça n'est pas fondamentalement gênant.
L'établissement est public, et ces services ne doivent pas lui permettre de se rémunérer, il ne s'agit pas d'une entreprise qui prélèvera sa commission : donner 5€ à un auteur, c'est lui donner 5€ à lui.
La distribution immatérielle devient un service public.
A côté de ça, la distribution matérielle se fait hors de tout droit d'auteur - hormis l'éventuelle rémunération obligatoire pour chaque copie qui doit être inclue dans le prix de vente et reversée, ou volonté (limitée dans le temps évidemment) de l'auteur de ne pas être publié (droit de retrait ou autre).
Puisque le contenu est public, n'importe qui peut éditer sous un format physique n'importe quelle œuvre, donc ça n’empêcherai en rien la distribution de DVD, Blu-Ray, CD, livres etc.
De même les catalogues en ligne d'ebooks ou de musique, la VOD, peuvent très bien se rémunérer sur un service supplémentaire, qui est l'accès aisé, mobile, n'importe où, etc, et prélever leur commission, sachant que tout le monde peut aller directement à la source, ie l'établissement public.
La distribution ne possède donc plus de monopole, et devra se démarquer par la qualité physique du produit et non sa rareté obligeant de passer par telle ou telle société mais pas une autre. Une entreprise de distribution aurait des droits sur la présentation de l’œuvre, qui ne pourrait donc être copiée à l'identique par d'autres.
Ce genre de distribution existe déjà, par exemple les livres de la pléiades essentiellement d’œuvres dans le domaine public, qui misent sur une très grande qualité du produit.
Bref, une idée en l'air, comme ça…
Yth, qui procrastine à mort en ce vendredi ensoleillé…
[^] # Re: Pas convaincu
Posté par Yth (Mastodon) . En réponse au journal Plaidoyer pour la réforme du droit d'auteur. Évalué à 4.
Oui, on est d'accord, il n'y a pas de vol dans l'affaire. Même l'histoire de classifier ça en tant que contrefaçon est bancale.
Et il y a évidemment une différence entre mes exemples : c'est pour ça qu'il est important de conserver un code de la route et de réglementer la consommations de diverses substances, même si beaucoup de gens aimeraient bien s'en foutre royalement et faire comme bon leur semble. Alors que l'absurde culpabilisation autour du téléchargement n'a pas lieu d'être.
L'exemple le plus proche est à mon avis celui du cannabis : tout le monde s'en fout en réalité. Légal ou non, il y aura toujours en gros le même nombre de consommateurs réguliers. Les problèmes sont ailleurs : dans la distribution qui se fait en marché noir par exemple, avec tout les problèmes qu'engendrent ce genre de mafias.
Mais condamner le consommateur ? Ça n'a aucun sens et aucun intérêt. Réglementer, pas condamner.
Bah je fais pas mal de parallèles avec le téléchargement : télécharger on s'en fout, le problème est là aussi celui de la distribution, comme tu le dis. Avec des profiteurs tel megaupload qui gagnaient de l'argent avec les œuvres d'autrui sans aucun droit de le faire ! Il faut réglementer la distribution, et de toute évidence la laisser se développer de la façon qu'elle souhaite. C'est la Sacem directement qui devrait vendre en ligne, et au format FLAC au minimum ou un autre sans DRM et de bonne qualité.
Et le fait que la majorité des citoyens télécharge à gogo, malgré les tentatives hadopesques et autre de culpabilisation, devrait être un indicateur suffisant pour montrer que ces lois sont absurdes, et qu'il ne faut pas envisager le droit d'auteur comme étant si exclusif qu'on n'aurait plus le droit de fredonner sous sa douche sans avoir payé les ayants-droits au préalable…
Yth.
[^] # Re: Pas convaincu
Posté par Yth (Mastodon) . En réponse au journal Plaidoyer pour la réforme du droit d'auteur. Évalué à 4.
Et il y a beaucoup de protections qui ne sont absolument pas remises en cause.
Comme le plagiat.
Ou aussi qu'on n'ai pas le droit de prendre le texte d'un autre et de le publier en son nom propre.
Que si on exploite une partie non négligeable d'une œuvre, il faut indiquer sa source.
Et tout un tas d'autres, je suis pas juriste moi…
Yth.
[^] # Re: Pas convaincu
Posté par Yth (Mastodon) . En réponse au journal Plaidoyer pour la réforme du droit d'auteur. Évalué à 5.
Si, justement. Enfin, disons que c'est discutable, mais si une loi est très largement enfreinte, c'est qu'elle n'est pas cohérente avec la société à laquelle elle s'applique.
Les lois ne sont pas là pour changer une société, simplement pour essayer d'empêcher les comportements nuisant au plus grand nombre.
Par exemple : on ne peut pas légaliser le meurtre : la peur de se faire tuer pour un oui ou pour un non influencerait trop de gens, et globalement tout le monde est contre : personne n'a envie de se faire poignarder dans la rue.
Par contre on peut légaliser le cannabis : globalement tout le monde s'en fout (z'allez pas me dire que le fait que des types fument des joint loin de chez vous ça vous perturbe ?). Mais par exemple on doit l'interdire au volant - comme l'alcool en fait : pas au volant, pas drogué en public, etc. -, parce que ça devient dangereux pour les autres, pour n'importe qui de façon arbitraire, donc ça peut affecter n'importe qui.
On a encore me semble-t-il une loi interdisant aux femmes de porter des pantalons (référence nécessaire, mais si celle là n'existe pas, il y en a pléthores d'autres toutes aussi absurdes). La société a changé, cette loi est devenue caduque, il est normal de l'ignorer.
Maintenant certaines lois interdisent de copier des œuvres sous droits d'auteur ne l'autorisant pas. Mais si tout le monde le fait (ou en tout cas une majorité suffisamment grande), alors c'est que c'est comme ça que la société souhaite vivre. Il est donc normal de les ignorer - ça serait même bien de les abroger, mais une loi en France ça ne s'abroge pas, on en crée une nouvelle qui dit qu'il faut ignorer la précédentes, et voilà comment on crée un nouveau corps de métier ultra-spécialisé en cinquante ans : les avocats.
Il est normal de les ignorer parce que c'est ce que la société veut, et si une poignée de gens y sont opposés, la démocratie fait qu'ils ont simplement le droit d'exprimer leur désaccord.
Et si ça signifie la mort de toute création artistique, alors c'est que c'est ce que la société souhaite, mais on sait bien tous ici que le partage libre ne détruira en rien la création.
Bref, si, le fait qu'un délit soit commis massivement, et qu'il soit difficile de lutter contre, signifie que la loi doit être remise en cause.
Et le cas des excès de vitesse ne fait pas réellement exception : les gens ne roulaient pas massivement au delà de 150km/h sur l'autoroute avant, mais il y en avait suffisamment pour que ça soit dangereux pour beaucoup de monde. Mais même avant les radars et tout, la majorité des gens roulaient en gros tous à la même vitesse, quelque part entre 130 et 140, comme aujourd'hui, un poil plus vite peut-être mais pas significativement.
Il n'y a qu'à voir les autoroutes allemandes dans les sections sans limitations de vitesse : à 150km/h tu doubles quasiment tout le monde, sauf quelques psychopathes avec leurs bagnoles de fous qui roulent à 180 voire plus !
Les radars ont réduit les comportements aberrants et dangereux, de peut-être des centaines de milliers de gens, mais qui restent une très petite minorité par rapport au 30 millions d'automobilistes (ordre de grandeur, je n'ai aucune idée du chiffre exact) qui n'avaient pas ce comportement.
Aujourd'hui, les gens qui téléchargent sans se préoccuper de savoir s'ils ont le droit, si ça ne représente pas encore la majorité (et j'en doute), ça ne doit pas être loin. Ce comportement est donc admis par la société - au sens de l'ensemble des gens - et ne peut pas être pénalisé : ça n'a plus de sens aujourd'hui.
Les institutions doivent s'adapter, ce qui ne signifie pas faire sauter directement le droit d'auteur et ce qui tourne autour, tel que ça existe maintenant, mais l'adapter pour ne garder que la partie qui protège le maximum de gens des comportements abusifs. Par exemple on ne va pas légaliser le plagiat, globalement tout le monde est contre, or ça fait partie de la sphère légale du droit d'auteur et de ce qui va avec.
Yth, je peux me tromper, je n'ai que le sentiment d'être dans le juste.
[^] # Re: donc en gros
Posté par Yth (Mastodon) . En réponse au journal Pourquoi le monde libre me gave de plus en plus.. Évalué à 10.
Bah c'est simple, dès que j'ai essayé de configurer un peu l'environnement MacOS pour mettre des fonctionnalités assez basiques auxquelles je suis très habitué et attaché, comme les bureaux multiples par exemple, ça se met à faire n'importe quoi.
C'était il y a deux ans, certes, mais l'OS n'a pas dû tant évoluer que ça, et la machine est toujours le plus haut de gamme : l'iMac 27".
Ce qui est installé de base fonctionne directement, sans le moindre problème, d'accord, ça c'est vrai.
Pour le reste, pas mieux qu'une ubuntu buggée des origines, ou une mandrake de la belle époque, ça déconne, tu recommences, ça plante, tu cherches un autre logiciel pour répondre à ton besoin parce que les trois derniers que tu as utilisée déconne à fond les ballons, et que tu en es à 3 explosions en vol depuis ce matin, juste pour faire des trucs que tu as découvert avec Linux il y a 13 ans…
MacOS tout marche nickel et c'est le pays des bisounours ? Mais quelle blague ! MacOS a exactement les même défauts que Windows excepté que le panel de logiciels installé par défaut est nettement plus conséquent. Mais il reste toujours aussi ridicule comparé même à une Slackware de base.
Compose ton PC avec du matériel choisi (ou prend par exemple un portable LDLC conçu pour Linux), et tout marchera directement à l'installation sans le moindre effort avec n'importe quel Linux.
Maintenant Linux, les gens l'utilisent sur des matériels très divers et essaient de faire tourner des trucs très variés, à la différence de Mac qui a deux machines avec une poignée de déclinaisons, et du matériel estampillé Mac. Forcément, tu vas rencontrer plus de soucis avec des matériels exotiques, ou très récents sous Linux !
La seule chose que Mac t'enlève et te simplifie, c'est le choix du matériel, ils choisissent pour toi ce qui va marcher. Sinon c'est pas plus simple, pas plus stable, pas plus efficace, pas moins buggé… On est très loin du pays des Bisounours hein !
Yth, mwarff, MacOS, c'te vaste blague planétaire…
[^] # Re: donc en gros
Posté par Yth (Mastodon) . En réponse au journal Pourquoi le monde libre me gave de plus en plus.. Évalué à 7.
Donc, en plus de tes convictions, autant aller subir celles du voisin privatif !
Booya !
Mais oui, voilà une idée qu'elle est bonne, pourquoi n'y avais-je pas songé plus tôt ?
Damned, je vieillis dirait-on, mon cerveau pédale…
Ah non en fait, Apple c'est in-ergonomique, buggé, inutilisable, et ça plante plus souvent que ma Slackware sur le même matériel (ouais, au boulot on a essayé de me forcer à utiliser un Mac, j'ai cédé, mais c'est une slack dessus, MacOS, c'est juste… abominable), bon, bah ok, je reste dessus alors.
Yth, diantre, fuir les ennuis du quotidien pour tomber dans un système carcéral, ça rassure de se voir dicter sa vie, mais moi j'préfère mes petits problèmes, sérieux !
[^] # Re: Faut pas grand chose...
Posté par Yth (Mastodon) . En réponse au sondage Quel est le meilleur indicateur pour mesurer la taille de sa geekitude ?. Évalué à 2.
Un nerd, c'est un peu un geek parmi les geek non ?
Et on est entre geeks ici ^
Yth.
[^] # Re: Peut mieux faire !
Posté par Yth (Mastodon) . En réponse au sondage Quel est le meilleur indicateur pour mesurer la taille de sa geekitude ?. Évalué à 3.
28,1% de paquets slack construits moi-même, c'pas mal tout ça !
Yth…
[^] # Re: Faut pas grand chose...
Posté par Yth (Mastodon) . En réponse au sondage Quel est le meilleur indicateur pour mesurer la taille de sa geekitude ?. Évalué à 4.
Un geek sait si la faille est exploitable dans son cas particulier, et mettra à jour si et seulement si c'est le cas, et qu'il n'y a pas d'autre solution simple et permettant de contrer cette faille précise…
Inutile par exemple de recompiler ton noyau pour une faille dans un module que tu n'utilises pas, et sachant que le geek a chargé exclusivement les modules dont il a besoin, ça t'enlève déjà moult possibilités de failles de sécurité.
De plus il lui reste la possibilité de rétro-patcher un module présentant une faille, et de simplement le remplacer à chaud sans redémarrer le noyau, ni la machine, en ne recompilant que ce qui est strictement nécessaire.
Yth.