Braldahim est un jeu web et comme beaucoup de jeu web il est développé en PHP. C'est un jeu multi-joueurs permettant d'incarner un Semi-Homme, se jouant avec 12 points d'action par jour à l'aide d'un navigateur web.
Braldahim reprend des notions bien connues : runes et mots runiques, quêtes et donjons, métiers, compétences, gredins et redresseurs, monstres, agriculture et d'autres moins connues comme les matchs de Soule et autres festivités autour de quelques bonnes bières.
En moyenne, le jeu prend 5 minutes par jour et bien plus si vous souhaitez vous investir.
Bon, nous n'allons pas trop faire de pub ici, ce n'est pas forcément l'objectif, mais nous allons parler du développement du jeu et de la philosophie libre qui tourne autour...
WHAT NOW? > Créer des jeux d'aventure avec JACL 2.8.0
JACL (JACL Adventure Creation Language) est un système de création de jeux d'aventure textuels, développé par Stuart Allen depuis 1996.
Il vient de sortir en version 2.8.0.
Ses principales caractéristiques sont qu'il est :
Il vient de sortir en version 2.8.0.
Ses principales caractéristiques sont qu'il est :
- Francisé : vous pouvez créer des jeux d'aventure, ou autre, en langue française ;
- Entièrement libre (gpl v2), contrairement aux ténors des systèmes équivalents (Inform, Tads) ;
- Multiplateforme : Linux, Haiku, MSWindows, Nintendo DS, et il devrait être possible de le compiler sans trop de problème sous Mac OS X et BSD ;
- Interprété : pas besoin de compilation, on peut même éditer son code et tester certaines modifications sans redémarrer le jeu ;
- Jouable en ligne via un interpréteur utilisant Apache et FastCGI, ou bien le serveur web intégré, en transformant la machine en serveur de jeux, ce qui augmente encore les possibilités d'audience puisqu'il suffit d'un navigateur internet pour y accéder. En outre, l'interface web possède des facilites pour le joueur : rose des vents avec les sorties possibles, objets et personnages présents dans les lieux, raccourcis vers certains verbes courants ;
- Livré avec un bon manuel bien complet.
Revue de presse de l'April pour la semaine 33 de l'année 2010
La revue de presse de l'April est régulièrement éditée par les membres de l'association. Elle couvre l'actualité de la presse en ligne, liée au logiciel libre. Il s'agit donc d'une sélection d'articles de presse et non de prises de position de l'association de promotion et de défense du logiciel libre.
Sommaire
Sommaire
- [clubic.com] Logiciel libre : retour sur 5 réussites et leur évolution
- [Mediapart] La neutralité expliquée à mon chien.
- [Echos du Net] Oracle change les règles sur OpenSolaris
- [écrans] Christian Paul : « Il faut inscrire le principe de neutralité dans le droit français »
- [ZDNet.fr] La plainte d'Oracle contre Android : une attaque dirigée contre l'Open Source ?
- [Numerama] Avec MeeGo, Nokia et Intel veulent séduire la communauté Linux
Revue de presse - été 2010
En retard, mais pas trop tard, voici la revue de presse de cet été. Tous ces numéros sont encore en kiosque (vérifié récemment), mais plus forcément pour très longtemps concernant certains titres qui vont être renouvelés en septembre. Ne traînez donc pas si un sujet vous intéresse !
OpenSource Magazine s'intéresse au robot Nao et à l'iPad sous Ubuntu, Planète Linux s'impose comme le répertoire de sites et de logiciels indispensables, Linux Pratique s'essaye aux gestionnaires de photos et sa déclinaison "Essentiel" part à la découverte de Fedora. Pour les plus expérimentés, Linux Magazine vous propose d'écrire vos propres sondes pour Nagios et le hors-série est un véritable cookbook sur Python. Enfin, actualité aidant, MISC mag décrypte la sécurité des jeux.
Bonnes lectures et rendez-vous dans quelques jours à la rentrée
OpenSource Magazine s'intéresse au robot Nao et à l'iPad sous Ubuntu, Planète Linux s'impose comme le répertoire de sites et de logiciels indispensables, Linux Pratique s'essaye aux gestionnaires de photos et sa déclinaison "Essentiel" part à la découverte de Fedora. Pour les plus expérimentés, Linux Magazine vous propose d'écrire vos propres sondes pour Nagios et le hors-série est un véritable cookbook sur Python. Enfin, actualité aidant, MISC mag décrypte la sécurité des jeux.
Bonnes lectures et rendez-vous dans quelques jours à la rentrée
Unity Linux en version Finale (et le projet LiveCD)
Un peu tard, à cause des vacances, il est intéressant de mettre en avant une toute nouvelle distribution, sortie le 8 juillet en version Finale : Unity-Linux, ainsi que son projet associé : LiveCD
Unity-Linux, fork de Mandriva Linux, est une distribution au format Vif (CD ou USB) minimaliste, présentée par ses développeurs comme « solide et bien maintenue », que les développeurs peuvent utiliser comme point de départ pour construire leur propres distributions « remasterisées », ou « branches » (Unity étant le cœur, ou Tronc). LiveCD est le projet, inclus dans Unity, permettant de créer sa propre branche.
Actuellement, Unity Linux est proposée en isos pour CD (ou clefs USB) vifs 32 et 64 bits. Presque 7700 paquetages sont disponibles après installation. Afin de donner aux développeurs de distributions un maximum de flexibilité, le tronc reste petit et fonctionnel, mais sans être trop basique. Unity Linux fournit donc aux développeurs le strict minimum, juste ce qu’il faut pour utiliser les outils de construction de CD vifs et le gestionnaire de paquetage Smart, un kernel 2.6.31 et RPM5.
Pour faciliter l’accès aux paquetages, Unity Linux utilise un dépôt SVN qui héberge aussi d’autres projets internes. Tous les outils nécessaires ainsi qu’un tutoriel de base sur la construction de paquetages sont fournis dans le wiki documentaire. Un système de construction automatique fonctionnant conjointement avec le SVN est en cours de réalisation, ainsi que de nombreux autres outils pour démarrer une branche personnelle ou professionnelle.
Des méta-paquetages permettent d'installer la majorité des environnements ou gestionnaires de fenêtres, maintenus par des équipes indépendantes, comme :
Plus précisément concernant cette distribution et ci-dessous à propos de LiveCD :
Unity-Linux, fork de Mandriva Linux, est une distribution au format Vif (CD ou USB) minimaliste, présentée par ses développeurs comme « solide et bien maintenue », que les développeurs peuvent utiliser comme point de départ pour construire leur propres distributions « remasterisées », ou « branches » (Unity étant le cœur, ou Tronc). LiveCD est le projet, inclus dans Unity, permettant de créer sa propre branche.
Actuellement, Unity Linux est proposée en isos pour CD (ou clefs USB) vifs 32 et 64 bits. Presque 7700 paquetages sont disponibles après installation. Afin de donner aux développeurs de distributions un maximum de flexibilité, le tronc reste petit et fonctionnel, mais sans être trop basique. Unity Linux fournit donc aux développeurs le strict minimum, juste ce qu’il faut pour utiliser les outils de construction de CD vifs et le gestionnaire de paquetage Smart, un kernel 2.6.31 et RPM5.
Pour faciliter l’accès aux paquetages, Unity Linux utilise un dépôt SVN qui héberge aussi d’autres projets internes. Tous les outils nécessaires ainsi qu’un tutoriel de base sur la construction de paquetages sont fournis dans le wiki documentaire. Un système de construction automatique fonctionnant conjointement avec le SVN est en cours de réalisation, ainsi que de nombreux autres outils pour démarrer une branche personnelle ou professionnelle.
Des méta-paquetages permettent d'installer la majorité des environnements ou gestionnaires de fenêtres, maintenus par des équipes indépendantes, comme :
- KDE 4.5.0, par Synergy Linux
- Gnome 2.30.0
- Openbox 3.4.11.2 par TinyMe
- XFCE 4.6.2 par Qua Il
- E17 0.16.999.49898 par UnitE17
Plus précisément concernant cette distribution et ci-dessous à propos de LiveCD :
- Aucun calendrier de sortie n'a été publié, car le désir des développeurs est d'orienter le tronc vers un modèle de rolling Distribution. Rien n'empêche cependant les concepteurs de distributions branches de proposer des sorties à date fixe.
- Le premier liveCD basé sur la version finale est Unite17. Des live-CD incluant d'autres gestionnaires de fenêtre vont sortir très bientôt.
- J'ai traduit quelques pages du site officiel, mais il n'existe pas encore de communauté francophone (même si un des créateurs est francophone). Si vous êtes intéressés, rejoignez l'équipe sur le canal #unitylinux sur Freenode et proposez vos services
Sortie de Node.js v0.2.0
Node.js, dont le slogan est Evented I/O for V8 JavaScript, a pour but d'offrir un moyen simple d'écrire des applications réseau scalables. Le code est placé sous licence MIT.
Pour bien comprendre ce qu'est Node.js, je vous propose le cheminement suivant. Partons de V8, la machine virtuelle développée par Google qui permet d'interpréter du javascript. Ajoutons un modèle événementiel, similaire à EventMachine en Ruby ou à Twisted en Python. Cela tombe bien, en javascript, c'est assez naturel de procéder de cette manière : le javascript dans les navigateurs utilise déjà un modèle événementiel (les événements sont 'DOM chargé', 'touche pressée' ou encore 'clic de la souris'). C'est un bon début, mais le javascript ne possède pas de bibliothèque standard pour manipuler des fichiers ou faire des opérations réseau. Utilisons donc notre modèle événementiel pour ajouter des API qui permettent de faire ça de manière asynchrone. Une autre lacune de javascript est l'absence de moyen de charger une bibliothèque depuis un script, et comme on n'a pas spécialement envie de tout écrire dans un seul fichier, rajoutons donc une fonction require pour charger un autre script. Enfin, saupoudrons le tout avec quelques API utilitaires, un interpréteur interactif, et vous obtiendrez une bonne idée de la composition de Node.js.
Node.js permet ainsi de développer simplement des applications en javascript que l'on peut qualifier de server-side. Voici quelques exemples de ce que l'on peut faire avec Node.js :
La version 0.2.0 est sortie le 20 août et marque une première stabilisation du projet. Jusqu'à maintenant, les versions s'enchaînaient à un rythme soutenu (2 à 3 par mois), avec souvent des changements d'API et des problèmes de compatibilité divers et variés. Il est donc difficile pour les développeurs de bibliothèques de les maintenir, et pour les développeurs d'applications, de trouver les bonnes bibliothèques qui fonctionne avec la dernière version de Node.js. Cela devrait maintenant changer : Ryan Dahl a promis d'assurer la compatibilité de l'API pour les versions 0.2.x. Si vous souhaitez essayer Node.js, c'est donc le bon moment pour vous lancer !
Pour bien comprendre ce qu'est Node.js, je vous propose le cheminement suivant. Partons de V8, la machine virtuelle développée par Google qui permet d'interpréter du javascript. Ajoutons un modèle événementiel, similaire à EventMachine en Ruby ou à Twisted en Python. Cela tombe bien, en javascript, c'est assez naturel de procéder de cette manière : le javascript dans les navigateurs utilise déjà un modèle événementiel (les événements sont 'DOM chargé', 'touche pressée' ou encore 'clic de la souris'). C'est un bon début, mais le javascript ne possède pas de bibliothèque standard pour manipuler des fichiers ou faire des opérations réseau. Utilisons donc notre modèle événementiel pour ajouter des API qui permettent de faire ça de manière asynchrone. Une autre lacune de javascript est l'absence de moyen de charger une bibliothèque depuis un script, et comme on n'a pas spécialement envie de tout écrire dans un seul fichier, rajoutons donc une fonction require pour charger un autre script. Enfin, saupoudrons le tout avec quelques API utilitaires, un interpréteur interactif, et vous obtiendrez une bonne idée de la composition de Node.js.
Node.js permet ainsi de développer simplement des applications en javascript que l'on peut qualifier de server-side. Voici quelques exemples de ce que l'on peut faire avec Node.js :
- Node.js ircd, un serveur IRC ;
- How To Node, un blog parlant de Node.js ;
- Vows, un framework BDD ;
- Express, un framework web qui utilise les middlewares Connect.
La version 0.2.0 est sortie le 20 août et marque une première stabilisation du projet. Jusqu'à maintenant, les versions s'enchaînaient à un rythme soutenu (2 à 3 par mois), avec souvent des changements d'API et des problèmes de compatibilité divers et variés. Il est donc difficile pour les développeurs de bibliothèques de les maintenir, et pour les développeurs d'applications, de trouver les bonnes bibliothèques qui fonctionne avec la dernière version de Node.js. Cela devrait maintenant changer : Ryan Dahl a promis d'assurer la compatibilité de l'API pour les versions 0.2.x. Si vous souhaitez essayer Node.js, c'est donc le bon moment pour vous lancer !
Entretien avec Stefano Zacchiroli, Responsable du Projet Debian
Stefano Zacchiroli (Zack) a été élu Responsable du Projet Debian en avril dernier. Il est actuellement en post-doctorat au laboratoire "Preuves, Programmes et Systèmes" de l'université Paris 7 (où travaille également Roberto Di Cosmo). Son travail s'inscrit au sein du projet européen de recherche Mancoosi qui vise à améliorer les gestionnaires de paquets des distributions.
Au sein de Debian, Zack s'occupe des paquets liés au langage de programmation OCaml et il est aussi très impliqué dans tout ce qui touche l'assurance qualité. En septembre 2009, il a également lancé l'initiative "Release Critical Bugs of the Week" qui se propose de corriger chaque semaine des bugs bloquants du projet Debian.
En lisant ce qui précède, on comprend que Zack est quelqu'un de très occupé. Pour ajouter à son fardeau, j'ai essayé de collecter les questions se trouvant dans la proposition d'entretien initiée par Florent, j'en ai ajouté quelques-unes et j'ai envoyé le tout par mail. Il a eu la gentillesse d'accepter de répondre à cet entretien pour les lecteurs de LinuxFr. Qu'il en soit chaudement remercié.
Au sein de Debian, Zack s'occupe des paquets liés au langage de programmation OCaml et il est aussi très impliqué dans tout ce qui touche l'assurance qualité. En septembre 2009, il a également lancé l'initiative "Release Critical Bugs of the Week" qui se propose de corriger chaque semaine des bugs bloquants du projet Debian.
En lisant ce qui précède, on comprend que Zack est quelqu'un de très occupé. Pour ajouter à son fardeau, j'ai essayé de collecter les questions se trouvant dans la proposition d'entretien initiée par Florent, j'en ai ajouté quelques-unes et j'ai envoyé le tout par mail. Il a eu la gentillesse d'accepter de répondre à cet entretien pour les lecteurs de LinuxFr. Qu'il en soit chaudement remercié.
Enlightenment Foundation Libraries 1.0.0 Alpha
Les EFL (Enlightenment Foundation Libraries) sont un ensemble de bibliothèques dédiées au graphisme, très optimisées, et utilisées entre autres pour l'écriture du gestionnaire de fenêtre Enlightenment, du media player Enna, ainsi que d'autres applications : Enki (gestionnaire de photos), Eyelight (outil de présentation). En développement depuis plusieurs années, elles viennent de sortir en version 1.0.0 Alpha. L'API est donc considérée comme stable. La priorité est la correction des erreurs, avec comme but la sortie en version 1.0.0 finale.
Problème de sécurité entre le serveur X et le noyau
Invisible Things Lab est une société polonaise spécialisée dans la sécurité. Elle est à l'origine de QubesOs, un projet où les applications bureau tournent toutes dans une machine virtuelle Xen, ce afin de renforcer le plus possible la sécurité.
C'est un membre de cette équipe, Rafal Wotjtczuk, qui a trouvé un moyen légitime, sans aucun bug donc, d'obtenir des privilèges root à travers une application graphique pour faire des actions malicieuses.
Cette vulnérabilité, révélée le 17 août et découverte deux mois plus tôt, est maintenant comblée dans les noyaux 2.6.27.52, 2.6.32.19, 2.6.34.4, et 2.6.35.2.
C'est un membre de cette équipe, Rafal Wotjtczuk, qui a trouvé un moyen légitime, sans aucun bug donc, d'obtenir des privilèges root à travers une application graphique pour faire des actions malicieuses.
Cette vulnérabilité, révélée le 17 août et découverte deux mois plus tôt, est maintenant comblée dans les noyaux 2.6.27.52, 2.6.32.19, 2.6.34.4, et 2.6.35.2.
Un point sur l'export ODT pour les applications web
De plus en plus d'applications web proposent une fonctionnalité d'export au format ODT. Cette dépêche propose un résumé des évolutions qui ont eu lieu ces derniers mois. Les applications concernées sont :
- DokuWiki, avec son greffon ODT ;
- Dotclear, avec son greffon ODT ;
- Trac, avec son greffon OdtExportPlugin ;
- Drupal, et son greffon node_to_odt ;
- La bibliothèque xhtml2odt ;
- et quelques autres...
Tux Droid est mort, vive Tux Droid !
Kysoh, société belge produisant Tux Droid, a fermé ses portes au mois de juillet pour faillite. Depuis, les sources et paquets d'installation ne sont plus publiquement disponibles.
Tux Droid est un robot libre sans fil à l'image de la mascotte Tux, permettant d'utiliser les services internet et de contrôler l'ordinateur. Il est nécessaire d'installer un logiciel sur son ordinateur, MS Windows ou GNU/Linux, pour contrôler par interface web l'appareil. Un dongle en forme de poisson se connecte en USB à l'ordinateur et communique par onde radio avec Tux Droid permettant ainsi de s'affranchir d'une connexion personnelle wifi. Tux Droid n'a pas besoin non plus de serveur central pour communiquer.
À l'heure actuelle, les sources sont en cours de migration sur sourceforge. Un des soucis à venir est l'utilisation de la bibliothèque non libre Acapela pour le TTS (Text to Speech, Synthèse vocale).
Son canal IRC reste disponible (#tuxdroid@freenode). Le projet a besoin d'être repris par la communauté pour continuer d'exister.
NdM : Rappelons que Kysoh avait régulièrement soutenu les concours et autres quizz organisés par LinuxFr.org en nous permettant de faire gagner des Tux Droid. Encore merci à eux.
Tux Droid est un robot libre sans fil à l'image de la mascotte Tux, permettant d'utiliser les services internet et de contrôler l'ordinateur. Il est nécessaire d'installer un logiciel sur son ordinateur, MS Windows ou GNU/Linux, pour contrôler par interface web l'appareil. Un dongle en forme de poisson se connecte en USB à l'ordinateur et communique par onde radio avec Tux Droid permettant ainsi de s'affranchir d'une connexion personnelle wifi. Tux Droid n'a pas besoin non plus de serveur central pour communiquer.
À l'heure actuelle, les sources sont en cours de migration sur sourceforge. Un des soucis à venir est l'utilisation de la bibliothèque non libre Acapela pour le TTS (Text to Speech, Synthèse vocale).
Son canal IRC reste disponible (#tuxdroid@freenode). Le projet a besoin d'être repris par la communauté pour continuer d'exister.
NdM : Rappelons que Kysoh avait régulièrement soutenu les concours et autres quizz organisés par LinuxFr.org en nous permettant de faire gagner des Tux Droid. Encore merci à eux.
Le client F2F libre OneSwarm sort en version 0.7
OneSwarm[2] est un logiciel de F2F libre, basé sur le client bittorrent Vuze. Pour ceux qui ne connaissent pas, le F2F est une technologie similaire au P2P, mais avec une meilleure préservation de l'anonymat. En effet, quand un client veut télécharger un fichier sur un réseau P2P classique, il doit se connecter à un serveur centralisé et annoncer publiquement son intention de télécharger ce fichier. C'est d'ailleurs sur cette faiblesse que la technologie à la base d'Hadopi est basée.
Vim 7.3
Vim, le célèbre éditeur de texte, est sorti en version 7.3. Bram Moolenaar a annoncé que cette version, sans être majeure, était néanmoins plus conséquente qu'une simple version mineure. Il faut dire que deux ans s'étaient écoulés depuis la sortie de la version 7.2.
Les nouveautés les plus intéressantes de cette version sont :
Les nouveautés les plus intéressantes de cette version sont :
- Persistance de l'historique des commandes pouvant être annulées ;
- Possibilité d'annuler un rechargement ;
- Chiffrement avec blowfish ;
- Chiffrement du fichier de swap ;
- Possibilité de cacher du texte (par exemple, des commentaires) ;
- Interface pour Lua ;
- Interface pour Python3 ;
- Prise en charge de la coloration syntaxique et de l'indentation pour Perl6 ;
- Coloration syntaxique pour le langage de balisage Markdown.
0 A.D. Alpha 1
0 A.D. est un jeu historique de type RTS (Real Time Strategy), en production depuis 9 ans par Wildfire Games.
Le code est sous licence GPL v2, tandis que les données sont sous licence CC-BY-SA. Le code source du moteur est écrit en C++, tandis que les parties scriptables du jeu sont en javascript (en utilisant SpiderMonkey). La 3D est gérée par OpenGL, pour rendre le jeu multi-plateforme.
La période couverte par l'histoire est Rome et les civilisations qui ont eu des relations avec Rome, entre -500 et le début de notre ère. À terme des extensions permettront de jouer des périodes jusqu'à +500.
Le rôle du joueur est d'être le leader militaire en vue de rassembler des ressources et de lever une armée contre les autres joueurs. L'accent est mis sur la réalité historique des éléments composant le jeu, mais cela ne doit pas se faire au détriment du plaisir de jouer ni de l'audience visée (jeu pour toute la famille).
Le code est sous licence GPL v2, tandis que les données sont sous licence CC-BY-SA. Le code source du moteur est écrit en C++, tandis que les parties scriptables du jeu sont en javascript (en utilisant SpiderMonkey). La 3D est gérée par OpenGL, pour rendre le jeu multi-plateforme.
La période couverte par l'histoire est Rome et les civilisations qui ont eu des relations avec Rome, entre -500 et le début de notre ère. À terme des extensions permettront de jouer des périodes jusqu'à +500.
Le rôle du joueur est d'être le leader militaire en vue de rassembler des ressources et de lever une armée contre les autres joueurs. L'accent est mis sur la réalité historique des éléments composant le jeu, mais cela ne doit pas se faire au détriment du plaisir de jouer ni de l'audience visée (jeu pour toute la famille).
Sortie de Seeks en version stable 0.2.4
Le Projet Seeks développe une architecture et une application libres pour la recherche collaborative sur le Web.
La première étape logicielle du projet est un méta moteur de recherche libre (AGPL), sous forme de serveur mandataire (proxy) ou de serveur HTTP. Seeks est déployable aussi bien en tant que moteur public que sur machine personnelle.
La version 0.2.4 est la seconde importante version livrée de Seeks. Elle comprend plusieurs nouveaux outils pour la recherche en ligne, comme la recherche d'images et l'analyse de similarité des résultats, y compris des images. Aujourd'hui il est possible à chacun de monter son propre nœud ou d'utiliser des nœuds publics.
La prochaine étape sera la livraison pour cet automne/hiver du module pair à pair pour le regroupement automatique des utilisateurs sur la base de la similarité de leurs requêtes. Cela permettra l'inter-connexion des noeuds existants et la collaboration entre utilisateurs à partir des résultats fournis par le méta-moteur. Sur cette base Seeks permettra l'émergence d'un véritable moteur décentralisé, avec un contrôle continu et collaboratif des utilisateurs sur les résultats et leurs données.
Comme le projet grandit, votre aide devient cruciale. Une aide indirecte mais simple aujourd'hui consiste à s'inscrire et voter pour nous sur la plate-forme Drumbeat de Mozilla. Toute participation est un plus, Seeks cherchant à redonner le contrôle aux utilisateurs sur leurs données de recherche et sur les algorithmes des moteurs existants.
La première étape logicielle du projet est un méta moteur de recherche libre (AGPL), sous forme de serveur mandataire (proxy) ou de serveur HTTP. Seeks est déployable aussi bien en tant que moteur public que sur machine personnelle.
La version 0.2.4 est la seconde importante version livrée de Seeks. Elle comprend plusieurs nouveaux outils pour la recherche en ligne, comme la recherche d'images et l'analyse de similarité des résultats, y compris des images. Aujourd'hui il est possible à chacun de monter son propre nœud ou d'utiliser des nœuds publics.
La prochaine étape sera la livraison pour cet automne/hiver du module pair à pair pour le regroupement automatique des utilisateurs sur la base de la similarité de leurs requêtes. Cela permettra l'inter-connexion des noeuds existants et la collaboration entre utilisateurs à partir des résultats fournis par le méta-moteur. Sur cette base Seeks permettra l'émergence d'un véritable moteur décentralisé, avec un contrôle continu et collaboratif des utilisateurs sur les résultats et leurs données.
Comme le projet grandit, votre aide devient cruciale. Une aide indirecte mais simple aujourd'hui consiste à s'inscrire et voter pour nous sur la plate-forme Drumbeat de Mozilla. Toute participation est un plus, Seeks cherchant à redonner le contrôle aux utilisateurs sur leurs données de recherche et sur les algorithmes des moteurs existants.