Six mois après la sortie de la première édition, le succès de ce livre est tel qu’il a été en rupture depuis début mars... J’ai donc du préparer la deuxième édition plus tôt que je ne le pensais.
Mais c’est chose faite maintenant : elle arrive chez tous les bons libraires. Au menu des nouveautés de cette nouvelle édition on trouve une section traitant de la compilation noyau, une présentation des principales distributions dérivées, un glossaire des termes Debian ainsi que de nombreuses petites corrections et compléments sur tous les chapitres déjà présents dans la première édition.
Le cédérom d'accompagnement a bien-entendu été mis à jour, il contient la dernière version de l'installateur (rc3) et des paquets plus récents.
Rappelons que le livre, publié chez Eyrolles, traite de Debian Sarge qui ne devrait plus trop tarder à devenir la version stable officielle (je croise les doigts :-)).
Je tiens à remercier tous mes lecteurs et tous ceux qui ont fait la promotion de mon livre. Grâce à vous je pense que cette deuxième édition est meilleure que la première et qu'elle facilitera encore plus la diffusion de Debian auprès d'un public de plus en plus large.
Le tribunal de Munich confirme de nouveau la validité de la GPL
Il y a environ un an, en avril 2004, le tribunal de Munich avait condamné la société Sitecom à se mettre en conformité avec la loi. Sitecom utilisait des logiciels sous licence GPL dans ses produits sans en diffuser le code source. En obligeant l'entreprise à distribuer ces codes source, le tribunal de Munich était le premier tribunal reconnaissant la licence GPL.
Dans une autre affaire, le même Harald Welte, responsable du projet gpl-violations.org, vient d'obtenir une injonction préliminaire à l'encontre de la société Fortinet Ltd, basée en Angleterre. Cette injonction interdit à la société de poursuivre la distribution de ses produits tant qu'elle ne se met pas en conformité avec la licence GPL.
L'entreprise Fortinet propose différents produits de firewall et d'antivirus, FortiGate et FortiWifi, sur lesquels l'entreprise déclare utiliser FortiOS. Le projet gpl-violations.org a découvert que FortiOs utilise le noyau Linux et de nombreux autres logiciels distribués uniquement sous licence GPL.
Harald Welte a déclaré que « cette violation par Fortinet est particulièrement étonnante puisque l'entreprise n'a pas seulement violé la GPL, mais a activement essayé de cacher cette violation ». L'entreprise aurait en effet essayé de cacher l'utilisation de logiciels sous licence GPL en utilisant des moyens cryptographiques.
Dans une autre affaire, le même Harald Welte, responsable du projet gpl-violations.org, vient d'obtenir une injonction préliminaire à l'encontre de la société Fortinet Ltd, basée en Angleterre. Cette injonction interdit à la société de poursuivre la distribution de ses produits tant qu'elle ne se met pas en conformité avec la licence GPL.
L'entreprise Fortinet propose différents produits de firewall et d'antivirus, FortiGate et FortiWifi, sur lesquels l'entreprise déclare utiliser FortiOS. Le projet gpl-violations.org a découvert que FortiOs utilise le noyau Linux et de nombreux autres logiciels distribués uniquement sous licence GPL.
Harald Welte a déclaré que « cette violation par Fortinet est particulièrement étonnante puisque l'entreprise n'a pas seulement violé la GPL, mais a activement essayé de cacher cette violation ». L'entreprise aurait en effet essayé de cacher l'utilisation de logiciels sous licence GPL en utilisant des moyens cryptographiques.
Libération par IBM d'Object REXX
Langage bien connu des utilisateurs de Mainframe et d'OS/2, Rexx s'était vu adjoindre en 1997 un petit frère du nom d' Object Rexx, doté de fonctionnalités permettant la programmation orienté objet. D'abord disponible sous windows, le langage a été porté sur AIX, Linux et Solaris.
Après plusieurs mois de négociations entre RexxLA (Rexx Language association) et IBM, Big Blue a accepté de libérer le bébé (renommé pour l'occasion Open Object Rexx), le plaçant sous la Common Public License 1.0 (libre au sens OSI du terme).
Le code est disponible depuis février 2005 et la communauté d'utilisateurs s'organise autour du site web http://www.oorexx.org
Après plusieurs mois de négociations entre RexxLA (Rexx Language association) et IBM, Big Blue a accepté de libérer le bébé (renommé pour l'occasion Open Object Rexx), le plaçant sous la Common Public License 1.0 (libre au sens OSI du terme).
Le code est disponible depuis février 2005 et la communauté d'utilisateurs s'organise autour du site web http://www.oorexx.org
[débat] Pourquoi Sun rejette la GPL
Sun a rejeté dernièrement la GPL, ne comptant pas l'appliquer à la diffusion des composants logiciels que la firme souhaite ouvrir.
Selon Jonathan Shwartz, président de Sun, elle ne permettrait pas de toucher un public assez large, et garderait un aspect viral très gênant. Il va même jusqu'à dire que la GPL sert les États-Unis, ces derniers souhaitant s'accaparer la totalité de la propriété intellectuelle. Il ajoute également que les pays en voie de développement nécessitent d'autres mécanismes de protection de leurs découvertes, afin de pouvoir se développer par leurs propres moyens.
La CDDL (Community Developement and Distribution Licence) répond selon lui aux besoins des entreprises, des institutions et des pays en voie de développement, car aucun aspect de viralité n'y est présent.
Elle est tout à fait comparable à une LGPL, ou à un dérivé BSD.
Jonathan Shwartz affirme également que, ayant discuté avec des chefs d'entreprises et autres, il se serait aperçu qu'un grand nombre d'entre eux ont eu des problèmes avec la GPL : apparemment, ces derniers ont eu la malchance d'utiliser des composants ou des segments logiciels GPL, obligeant leurs produits à passer sous GPL.
La question est : la GPL est-elle inadaptée ou plutôt les personnes l'utilisant n'en font pas un bon usage ? La GPL n'est-elle pas réservée à un certain type de développement ?
Selon Jonathan Shwartz, président de Sun, elle ne permettrait pas de toucher un public assez large, et garderait un aspect viral très gênant. Il va même jusqu'à dire que la GPL sert les États-Unis, ces derniers souhaitant s'accaparer la totalité de la propriété intellectuelle. Il ajoute également que les pays en voie de développement nécessitent d'autres mécanismes de protection de leurs découvertes, afin de pouvoir se développer par leurs propres moyens.
La CDDL (Community Developement and Distribution Licence) répond selon lui aux besoins des entreprises, des institutions et des pays en voie de développement, car aucun aspect de viralité n'y est présent.
Elle est tout à fait comparable à une LGPL, ou à un dérivé BSD.
Jonathan Shwartz affirme également que, ayant discuté avec des chefs d'entreprises et autres, il se serait aperçu qu'un grand nombre d'entre eux ont eu des problèmes avec la GPL : apparemment, ces derniers ont eu la malchance d'utiliser des composants ou des segments logiciels GPL, obligeant leurs produits à passer sous GPL.
La question est : la GPL est-elle inadaptée ou plutôt les personnes l'utilisant n'en font pas un bon usage ? La GPL n'est-elle pas réservée à un certain type de développement ?
Projet SkoleLinux à la recherche de volontaires
Au début du mois de mars 2005 est né le groupe d’utilisateurs Linux et Logiciels Libres de Forbach, le SchlossGul. Parrainé par la communauté Emmaüs, le groupe a cherché comment recycler les nombreux ordinateurs récupérés.
Une des réponses les plus prometteuses qu’étudie SchlossGul est la réutilisation de ces ordinateurs anciens en clients légers d’un réseau SkoleLinux.
Destinés aux écoles maternelles et élémentaires cette solution s’appuie sur un serveur (une machine très performante) qui partage ses ressources avec tous les clients légers connectés sur le réseau.
Aussi incroyable que ça puisse paraître, dans cette configuration, les ordinateurs anciens fonctionnent comme des machines récentes. Offrant une alternative à la destruction de ces machines, cette solution est fondée sur une architecture Linux complètement libre et gratuite !
Le SchlossGul (Groupe d’Utilisateur de Linux de Forbach) s’est lancé dans une adaptation de ce logiciel d’origine norvégienne au besoin pédagogique français. Nous comptons aboutir et faire une première installation pour la rentrée scolaire 2005-2006.
Une des réponses les plus prometteuses qu’étudie SchlossGul est la réutilisation de ces ordinateurs anciens en clients légers d’un réseau SkoleLinux.
Destinés aux écoles maternelles et élémentaires cette solution s’appuie sur un serveur (une machine très performante) qui partage ses ressources avec tous les clients légers connectés sur le réseau.
Aussi incroyable que ça puisse paraître, dans cette configuration, les ordinateurs anciens fonctionnent comme des machines récentes. Offrant une alternative à la destruction de ces machines, cette solution est fondée sur une architecture Linux complètement libre et gratuite !
Le SchlossGul (Groupe d’Utilisateur de Linux de Forbach) s’est lancé dans une adaptation de ce logiciel d’origine norvégienne au besoin pédagogique français. Nous comptons aboutir et faire une première installation pour la rentrée scolaire 2005-2006.
PHP Québec recense les applications PHP
L'équipe de la Conférence PHP Québec recense les meilleures applications développées autour de PHP, MySQL et Apache. Toutes les applications qui seront soumises avant le vendredi 22 avril 2005 seront évaluées par un jury constitué de professionnels et de membres de l'équipe de PHP Québec.
Les applications qui auront été retenues seront automatiquement incluses sur le CD-ROM Conférence PHP Québec 2005, puis une copie du CD-ROM sera distribuée gratuitement au chargé de projet.
Les applications qui auront été retenues seront automatiquement incluses sur le CD-ROM Conférence PHP Québec 2005, puis une copie du CD-ROM sera distribuée gratuitement au chargé de projet.
Nouvelles versions d'Antemium Linux, le liveCD francophone au bon goût de fromage de chèvre.
PTT : un outil de trace pour la NPTL
La NPTL (Native POSIX Thread Library) remplace de plus en plus l'ancienne bibliothèque Linux-Threads pour des raisons de performances, fiabilité et de conformité POSIX.
L'implémentation commence a être bien testée, cependant la plupart des bugs rencontrés avec la NPTL se trouvent au niveau de l'application utilisateur. Ces problèmes sont très difficiles à détecter et à résoudre car ils peuvent dépendre de plusieurs facteurs comme la charge de la machine et le nombre de processeurs.
De plus l'utilisation de débogueurs entraîne la modification de la dynamique des applications, ce qui rend leur utilisation très difficile dans un contexte multi-threadé.
PTT (POSIX Thread Trace Toolkit pour la NPTL), publié sous licence LGPL, a pour but d'aider à résoudre ces problèmes et à faciliter l'analyse d'applications multi-threadées complexes.
Il fournit des outils qui permettent de tracer les évènements importants intervenant au niveau de la NPTL (entrée/sortie dans les routines, prise/relâchement de lock, ...) tout en ayant un impact faible.
C'est en quelque sorte l'équivalent de LTT (Linux Trace Toolkit) sauf qu'on se place au niveau de la NPTL au lieu du noyau.
Un de ses avantages est qu'aucune modification au niveau kernel n'est nécessaire et qu'il est même possible d'utiliser l'outil sans la moindre intervention du super-utilisateur, ni modification de l'application.
L'implémentation commence a être bien testée, cependant la plupart des bugs rencontrés avec la NPTL se trouvent au niveau de l'application utilisateur. Ces problèmes sont très difficiles à détecter et à résoudre car ils peuvent dépendre de plusieurs facteurs comme la charge de la machine et le nombre de processeurs.
De plus l'utilisation de débogueurs entraîne la modification de la dynamique des applications, ce qui rend leur utilisation très difficile dans un contexte multi-threadé.
PTT (POSIX Thread Trace Toolkit pour la NPTL), publié sous licence LGPL, a pour but d'aider à résoudre ces problèmes et à faciliter l'analyse d'applications multi-threadées complexes.
Il fournit des outils qui permettent de tracer les évènements importants intervenant au niveau de la NPTL (entrée/sortie dans les routines, prise/relâchement de lock, ...) tout en ayant un impact faible.
C'est en quelque sorte l'équivalent de LTT (Linux Trace Toolkit) sauf qu'on se place au niveau de la NPTL au lieu du noyau.
Un de ses avantages est qu'aucune modification au niveau kernel n'est nécessaire et qu'il est même possible d'utiliser l'outil sans la moindre intervention du super-utilisateur, ni modification de l'application.
[débat] Pour ou contre le développement des logiciels libres sous Windows ?
Développer des logiciels libres sous Windows favorise-t-il les prises de conscience et les processus de migration ou bien au contraire ne fait-il que renforcer la position dominante de Microsoft pour finir par faire du tort aux projets d'OS libres ?
Le débat n'est pas nouveau. Mais il reste pourtant d'actualité avec aujourd'hui une situation qui voit les logiciels libres en passe de couvrir presque tout le spectre applicatif sous Windows, alors que dans le même temps Linux continue ses spectaculaires progrès pour se rendre de plus en plus accessible.
C'est sur ce thème que, prenant pour point de départ le projet de portage KDE sous Windows, deux développeurs de cet environnement graphique, Aaron J. Seigo (le "contre") et Kurt Pfeifle (le "pour") se sont livrés il y a peu à une intéressante petite passe d'armes traduite en français par Framasoft.
Le débat n'est pas nouveau. Mais il reste pourtant d'actualité avec aujourd'hui une situation qui voit les logiciels libres en passe de couvrir presque tout le spectre applicatif sous Windows, alors que dans le même temps Linux continue ses spectaculaires progrès pour se rendre de plus en plus accessible.
C'est sur ce thème que, prenant pour point de départ le projet de portage KDE sous Windows, deux développeurs de cet environnement graphique, Aaron J. Seigo (le "contre") et Kurt Pfeifle (le "pour") se sont livrés il y a peu à une intéressante petite passe d'armes traduite en français par Framasoft.
Sortie de Mandriva Limited Edition 2005
Mandriva Limited Edition 2005 est la première distribution portant le nom de la nouvelle entité formée par la fusion de Conectiva et MandrakeSoft.
Dernière distribution du cycle à une sortie tous les six mois, il n'y aura pas de version "Official" et aucune forme de support ne devrait être fournie pour cette version, les mises à jour de sécurité seront tout de même assurées. Le cycle de sortie d'un an sera adopté à partir de la Mandriva Linux 2006 dont la sortie est prévue à l'automne et devant intégrer la "technologie" Conectiva. Les boîtes Limited Edition 2005 sont disponibles en pré-commande.
Les ISOs sont disponibles dès à présent pour les membres du MandrivaClub et devraient l'être pour tous d'ici un mois.
NdM : il s'agit bien de la distribution qui devait s'appeler Mandrakelinux 10.2 et qui a suivi le cycle de beta et de RC.
NdM bis : merci à Kalimero et mornik pour avoir également proposé une dépêche sur cette sortie.
Dernière distribution du cycle à une sortie tous les six mois, il n'y aura pas de version "Official" et aucune forme de support ne devrait être fournie pour cette version, les mises à jour de sécurité seront tout de même assurées. Le cycle de sortie d'un an sera adopté à partir de la Mandriva Linux 2006 dont la sortie est prévue à l'automne et devant intégrer la "technologie" Conectiva. Les boîtes Limited Edition 2005 sont disponibles en pré-commande.
Les ISOs sont disponibles dès à présent pour les membres du MandrivaClub et devraient l'être pour tous d'ici un mois.
NdM : il s'agit bien de la distribution qui devait s'appeler Mandrakelinux 10.2 et qui a suivi le cycle de beta et de RC.
NdM bis : merci à Kalimero et mornik pour avoir également proposé une dépêche sur cette sortie.
NdM ter : lien neutralisé en raison de la disparition des domaines
L'annonce (1 clic) http://www.mandriva.com/company/press/pr?n=/pr/products/2552
Mandriva LE 2005 (12 clics) http://www.mandriva.com/products/limited-edition
Andrew Tridgell interviewé par NewsForge
Le site web Newsforge a interviewé Andrew Tridgell à l'occasion de son embauche par l'OSDL (une organisation qui emploie par ailleurs Linus Torvalds) dans le cadre de son travail sur Samba.
Il explique que le développement de Samba lui prenait de plus en plus de temps et que c'est ce qui a motivé son passage chez OSDL, où il pourra se consacrer à plein temps au développement du logiciel d'interopérabilité entre Windows et le reste du monde.
L'interview aborde les fonctionnalités de Samba 4 et les problèmes soulevés par les brevets logiciels, mais ce qui est amusant c'est que cet entretien a sans doute eu lieu alors que M. Tridgell n'avait pas encore fait parler de lui lors de l'affaire BitKeeper. En effet, c'est bien le développement -sur son temps libre- d'un logiciel permettant de contourner la licence BitKeeper qui a conduit la société BitMover à modifier sa politique.
Pas un mot donc sur ce qui a conduit à l'abandon du logiciel de gestion de code source, pourtant fortement apprécié des développeurs du noyau et de Linus en particulier.
Il explique que le développement de Samba lui prenait de plus en plus de temps et que c'est ce qui a motivé son passage chez OSDL, où il pourra se consacrer à plein temps au développement du logiciel d'interopérabilité entre Windows et le reste du monde.
L'interview aborde les fonctionnalités de Samba 4 et les problèmes soulevés par les brevets logiciels, mais ce qui est amusant c'est que cet entretien a sans doute eu lieu alors que M. Tridgell n'avait pas encore fait parler de lui lors de l'affaire BitKeeper. En effet, c'est bien le développement -sur son temps libre- d'un logiciel permettant de contourner la licence BitKeeper qui a conduit la société BitMover à modifier sa politique.
Pas un mot donc sur ce qui a conduit à l'abandon du logiciel de gestion de code source, pourtant fortement apprécié des développeurs du noyau et de Linus en particulier.
JILs : Journées de l'Informatique Libre à Sélestat
La ville de Sélestat (67) en partenariat avec GNU/Linux Magazine organise le 14, 15 et 16 avril des journées de conférences visant à faire la promotion du Logiciel Libre auprès des collectivités locales, des entreprises et des particuliers.
Le jeudi 14 et le vendredi 15 sont dédiés aux professionnels et collectivités souhaitant découvrir ou en apprendre plus sur le Logiciel Libre, GNU/Linux, OpenOffice.org, etc.
On notera l'intervention de Frédéric Couchet (APRIL), Thierry Stoehr (AFUL), Pascal Feydel (ADULLACT) ou encore d'Anthony Milan (Gendarmerie Nationale).
La journée de samedi sera consacrée aux particuliers avec des tables rondes, des mini-conférences et des démonstrations de Logiciels Libres.
L'accès à la manifestation et aux conférences est gratuit.
Le jeudi 14 et le vendredi 15 sont dédiés aux professionnels et collectivités souhaitant découvrir ou en apprendre plus sur le Logiciel Libre, GNU/Linux, OpenOffice.org, etc.
On notera l'intervention de Frédéric Couchet (APRIL), Thierry Stoehr (AFUL), Pascal Feydel (ADULLACT) ou encore d'Anthony Milan (Gendarmerie Nationale).
La journée de samedi sera consacrée aux particuliers avec des tables rondes, des mini-conférences et des démonstrations de Logiciels Libres.
L'accès à la manifestation et aux conférences est gratuit.
Rencontre d'Associatifs « GNU-Linux et logiciels libres » - samedi 30 avril 2005 à Gap
Le CRVA organise une "Rencontre d’Associatifs" spécialement consacrée à l’usage de l’informatique libre dans le monde associatif avec l’association Linux Alpes et le Centre Social du Centre Ville...
Les Rencontres d’Associatifs « GNU-Linux et logiciels libres » se déroulent de 9h30 à 17h30 à Gap - au Centre Social du Centre Ville (Rue Pasteur prolongée - Place Grenette). Elles se prolongent à partir de 18h00 par une conférence de Jean-Christophe Becquet "Les logiciels libres, pourquoi ? comment ?".
Quel que soit votre niveau de connaissance et de maîtrise en informatique, vous participez à des ateliers de démonstration et de prise en main des logiciels libres et du système d’exploitation Linux.
Vous avez accès également à de nombreuses informations et à des ressources documentaires.
Si vous le souhaitez vous pouvez repartir avec des logiciels libres pour prolonger l’expérience dans votre association.
Les bénévoles de l’association Linux-Alpes et les animateurs du Centre de Ressource à la Vie Associative dans les Alpes du Sud sont à votre disposition pour répondre à toutes vos questions, vous informer, vous orienter ...
En toute convivialité, vous échangez avec d’autres acteurs de la vie associative, partagez vos expériences, envisagez des collaborations.
A midi, un apéritif est offert à tous les participants, puis un repas est pris en commun par ceux qui le souhaitent (repas tiré du sac).
La participation est libre et gratuite (Inscription préalable souhaitable pour faciliter l’organisation).
Les Rencontres d’Associatifs « GNU-Linux et logiciels libres » se déroulent de 9h30 à 17h30 à Gap - au Centre Social du Centre Ville (Rue Pasteur prolongée - Place Grenette). Elles se prolongent à partir de 18h00 par une conférence de Jean-Christophe Becquet "Les logiciels libres, pourquoi ? comment ?".
Quel que soit votre niveau de connaissance et de maîtrise en informatique, vous participez à des ateliers de démonstration et de prise en main des logiciels libres et du système d’exploitation Linux.
Vous avez accès également à de nombreuses informations et à des ressources documentaires.
Si vous le souhaitez vous pouvez repartir avec des logiciels libres pour prolonger l’expérience dans votre association.
Les bénévoles de l’association Linux-Alpes et les animateurs du Centre de Ressource à la Vie Associative dans les Alpes du Sud sont à votre disposition pour répondre à toutes vos questions, vous informer, vous orienter ...
En toute convivialité, vous échangez avec d’autres acteurs de la vie associative, partagez vos expériences, envisagez des collaborations.
A midi, un apéritif est offert à tous les participants, puis un repas est pris en commun par ceux qui le souhaitent (repas tiré du sac).
La participation est libre et gratuite (Inscription préalable souhaitable pour faciliter l’organisation).
Ubuntu, un cauchemar pour la Debian ?
Dans une interview par InternetNews, Ian Murdoch (co-fondateur de la Debian), s'exprime au sujet d'Ubuntu.
Pour lui, cette distribution n'apporte rien de positif à la communauté Debian, au contraire.
Ian Murdoch explique notamment que "la popularité d'Ubuntu est une perte nette pour Debian", et qu'Ubuntu a "tellement divergé de Sarge que les paquets Ubuntu ne marchent le plus souvent pas sur Sarge".
Pour lui, cette distribution n'apporte rien de positif à la communauté Debian, au contraire.
Ian Murdoch explique notamment que "la popularité d'Ubuntu est une perte nette pour Debian", et qu'Ubuntu a "tellement divergé de Sarge que les paquets Ubuntu ne marchent le plus souvent pas sur Sarge".
Linus développe un remplaçant original à BitKeeper
Moins d'une semaine après l'annonce de l'arrêt de la version gratuite de BitKeeper et de son abandon simultané par de nombreux développeurs du noyau (dont Linus Torvalds bien sûr, mais aussi Greg Kroah-Hartman pour n'en citer qu'un), le développement du noyau reprend progressivement, avec des méthodes de travail légèrement modifiées.
Linus Torvalds a passé ces derniers jours à tester différentes solutions SCM [source code management] et a commencé à écrire un content tracker nommé git pour remplacer BitKeeper. D'autres développeurs ont contribué des idées et du code à ce petit outil, au point qu'au bout de moins d'une semaine, il est prêt pour un test grandeur nature. Andrew Morton vient d'envoyer un email titré "Incoming" sur la linux-kernel mailing-list, suivi de deux centaines de patches, qui vont être intégrés à l'arbre officiel par l'intermédiaire de git.
Espérons que les développeurs du noyau pourront être aussi efficaces avec git qu'ils l'étaient avec BitKeeper. La rapidité de ce changement d'outils laisse à penser que l'on peut être optimiste à ce sujet.
Linus Torvalds a passé ces derniers jours à tester différentes solutions SCM [source code management] et a commencé à écrire un content tracker nommé git pour remplacer BitKeeper. D'autres développeurs ont contribué des idées et du code à ce petit outil, au point qu'au bout de moins d'une semaine, il est prêt pour un test grandeur nature. Andrew Morton vient d'envoyer un email titré "Incoming" sur la linux-kernel mailing-list, suivi de deux centaines de patches, qui vont être intégrés à l'arbre officiel par l'intermédiaire de git.
Espérons que les développeurs du noyau pourront être aussi efficaces avec git qu'ils l'étaient avec BitKeeper. La rapidité de ce changement d'outils laisse à penser que l'on peut être optimiste à ce sujet.