bubar🦥 a écrit 6904 commentaires

  • [^] # Re: D'abord 25% de la population

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Free Mobile va utiliser le réseau d'Orange.. Évalué à 8.

    L'emplacement est là, pas les puces.

  • [^] # Re: Solution libre

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Avec Android, vous en avez plus pour votre argent. Évalué à 1.

    Merde j'ai foiré mes blagues

  • [^] # Re: Solution libre

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Avec Android, vous en avez plus pour votre argent. Évalué à 3.

    T'oublie un peu vite le côté social du truc :
    Tu fais une fois, ça passe mais tu es grillé ensuite. Et puis ça va se régler à coup de batte de base-ball, ou bien au fond de la seine, bien lesté. Le social, c'est bien.

  • [^] # 41,1° de fièvre

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Envie de laisser traîner tes traces partout sur le web ?. Évalué à 1.

    Et pourquoi avoir besoin d'un compte et d'un nom fictif pour s'exprimer ? Avons nous si peur de dire ce qu'on pense qu'on est obligé d'avoir des fausses identités pour cela ? Ou faire attention à ce qu'on dit ?

    Et DLFP ne propose pas la suppression des commentaires : les admins décident, à notre place, de notre degrés de liberté. Pourquoi n'avons nous pas cette possiblité ? Cela ne choque personne que d'autres décident à votre place de la pérénité de vos propos ? Quant à la censure sur FaceBook : on ne peux pas publier une reproduction de "l'origine du monde". Mais ici c'est pareil, même pire puisqu'il s'agit de censure selon l'appréciation ou l'intérêt d'une personne, et non pas pour des critères objectifs (discutables, mais objectifs).

    Je ne comprends pas bien que certaines personnes qui font rapidement fît de la vie privée d'autres (publication de photos issu des webcams, mise en place d'un site moqueur, etc etc) fassent ensuite les vierges effarouchées devant Facebook.

    (ça va saigner je sens)

  • [^] # Re: demander à irail

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Un plasmoïde pour Infolignes : ai-je le droit de le publier?. Évalué à 2.

    il se nomme IVi, pour Is not Vi, s'il te plait.

  • [^] # Re: Une autre nouvelle importante

    Posté par  (Mastodon) . En réponse à la dépêche FreeBSD 8.2 et 7.4 : deux sorties pour le prix d'une. Évalué à 4.

    Meuh, le taf de portage de la Glibc sur le noyau freebsd a démarré en 2004 ou 2005 il me semble. On est loin de la nouveauté. Dans le troll, on pourrait dire que la GNUification de freebsd avance bien moins vite que la BSDification de linux (llvm, apache, android, etc etc...)

  • [^] # Re: Netbook

    Posté par  (Mastodon) . En réponse à la dépêche FreeBSD 8.2 et 7.4 : deux sorties pour le prix d'une. Évalué à 3.

    Un des intérêts est justement d'apprendre à manier les options pour la compilation. (un peu comme http://wiki.debian.org/Hardening mais en plus simple et plus rapide. Tout comme Gentoo, je ne vois pas l'intérêt (à part se la raconter (...)) d'utiliser une gentoo si c'est pour installer un stage 5 et des binaires tout prêts. LE truc c'est justement d'avoir une solution intermédiaire facilitant la gestion de la compilation des sources.

    Bref, les ports (ou les overlays), faut les faire mais pas les utiliser ;-) oula ça va taper je sens :-)

    En plus, en général (et je suppose que c'est ton cas également) on sait ce qu'on veux et se dont on a besoin. On l'installe, et basta. Pour faire quelques tests de quelques softs (certainement bien moins souvent que la moyenne des gens utilisant windows), la compilation convient très bien. Non ?

    Enfin, ça me semble pas être ni le même but ni la même manière d'utiliser son système.

  • [^] # Re: Une autre nouvelle importante

    Posté par  (Mastodon) . En réponse à la dépêche FreeBSD 8.2 et 7.4 : deux sorties pour le prix d'une. Évalué à 2.

    Ha ben c'est sûr que lancer une nouvelle instance shell ne charge pas un module noyau ipv6 :-)

  • [^] # Re: Merci le LTS

    Posté par  (Mastodon) . En réponse à la dépêche FreeBSD 8.2 et 7.4 : deux sorties pour le prix d'une. Évalué à 3.

    Si je peux me permettre une remarque, qui je l'espère ne sera pas mal prise : il y a il me semble une erreur d'appréciation sur le modèle FreeBSD. Modèle économique et cible clients. Le Desktop FreeBSD restera un "truc de geek" (ou de professionnels) et ne sortira certainement pas de là (en tout cas je ne vois ni besoin ni volonté). Et FreeBSD n'a pas vocation à vouloir "vendre" du FreeBSD à "tire larigot".

    Par contre FreeBSD est soutenue par un sacré gros paquet d'entreprises, et même si on peux considérer que certaines n'échangent pas assez (etc...), il n'en reste pas moins que pour le business, une entreprise s'adresse à une autre entreprise. Le fournisseur de services (matériels & appliances, supports, développement, purs services) n'a pas de lien économique directe avec FreeBSD.

    Et puis c'est quant même historiquement un coeur de cible "réseaux", comme NetBSD. Cela non plus ne tends vers "un décollage vers les décideurs pressés".

    Voili voilà. Un exemple ? le plus "célèbre" : http://www.ixsystems.com Mais bien d'autres existent. Ainsi que des ISV d'ailleurs.

    /ma vie/ me faut vraiment bouger mon cul pour installer cette version ...

  • [^] # Re: Pb franco-français ?

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Les SSII, précurseurs d'un modèle social. Évalué à 3.

    Je le vois pas comme du hors-sujet, dans la mesure où la question sur laquelle on rebondit est : "Comment expliquer celà autrement que par une inédaquation entre l'action des syndications et les attentes de certains salaries ?"

    Les relations sont normées, et tenter d'expliquer le phénomène de désertion syndical en france par simplement regarder le type de relations, c'est faire fi de l'essentiel : les normes. Et ton point, "faire péter cette histoire de syndicats représentatifs" mis en relation avec l'obligation de se syndiquer (pas l'un sans l'autre, c'est une bonne chose) est un des fondements de cette problématique posée par Ronan plus haut. C'est bien dans le cadre de fonctionnement (représentativité et heures de délégation) qu'il faut chercher les raisons de l'absence quasi totale de syndicats sérieux chez nous.

    Rejeter la balle sur le relationnel c'est avoir les même arguments que le medef : dire à quelqu'un d'enfermer qu'il a tort de ne pas sortir. Les raisons ne sont peut être pas évidentes, ok, mais elles sont structurelles et non relationnelles.

  • [^] # Re: Techniquement, je ne suis pas convaincu

    Posté par  (Mastodon) . En réponse à la dépêche FreedomBox. Évalué à 3.

    ha ben le "diit" a pas bougé d'un pouce depuis 2006 : http://sourceforge.net/projects/diit/

  • [^] # Re: Techniquement, je ne suis pas convaincu

    Posté par  (Mastodon) . En réponse à la dépêche FreedomBox. Évalué à 2.

    Ouhai enfin la stéganographie est vite repérable, quant ton .jpeg commence à faire 1mo. A tiens, quoi que c'est vrai, de nos jours c'est peut être à remettre au goût du jour, finalement :-) Y avait un chouette outil java en 2006 pour ça... zut comment se nommait il, déjà ? ha oui : diit.

    Ben en fait ça dépend de ce qu'on veux transmettre comme infos. Y a pas de solution absolue. Ou plutôt si, la solution absolue ce sont des solutions multiples :-)

    (-: Les dns root sont gris, je répète les dns root sont gris :-)

  • [^] # Re: Pb franco-français ?

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Les SSII, précurseurs d'un modèle social. Évalué à 2.

    Qué préjugés ?? mode évidence : d'accord avec tout ce que tu dis. sauf l'intro, car oui, à partir du moment où les syndicalistes ont été payés par l'entreprise pour mener à bien une partie de leur mission syndicale, le vert a été placé dans le fruit. Et c'est humain (le fait de ne pas être parfaitement intègre mais à géométrie variable selon ses intérêts personnels). Et bien sûr qu'il y a des exceptions.

    Cela n'empêche nullement que ce simple fait, d'être payer par l'entreprise pour faire du syndicalisme, avait un objectif et a deux conséquences. Et un objectif atteint, une conséquence : promouvoir le syndicalisme de co-gestion par le corporatisme. Le second effet, même si la cause n'est pas unique, c'est la désertion des adhérents aux syndicats. A quoi bon prendre une carte vu que le représentant est payé par le patron ? (ce qui n'enlève pas la valeur de son travail). Et à quoi bon pousser vers plus de syndicalisme de corporation puisque les instances n'ont jamais suivies ? (ie au petit bon vouloir de chaque boite).

    Est ce que ça été volontaire et pensé ? j'en sais foutre rien, bien sûr. En tout cas le constat aujourd'hui est assez clair : les représentants syndicaux sont payés par la boite, les syndicats n'ont pas en France la représentation légal au sein de l'entreprise (cela passe toujours par l'état, on nomme cela les partenaires sociaux, puis ça redescend...), et les syndicats sont déserts d'adhérents. Juste un constat.

  • [^] # Re: Pb franco-français ?

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Les SSII, précurseurs d'un modèle social. Évalué à 5.

    C'est aussi celui où les enfants goutent au cannabis dès le collège, où les jeunes fument le plus de toute l'Europe, mais chut, la prohibition c'est mieux.

    Une boum de gamins aux pays bas ? mais y a pas un joint qui traine. Une boum de gamins sans joints en france ? mais c'est une boum nulle, même quant on fume pas. Cherchez l'erreur. En Espagne, où le canna est libéralisé (on peux fumer en privé, on peux en faire pousser, on peux vendre et acheter des graines de "qualité médicale" mais le commerce est interdit : la meilleure des solutions transitoires, favoriser l'auto-prod pour casser les réseaux qui n'hésitent pas à vendre à des gamins) on observe le même phénomène : le cannabis devient "un truc de vieux", et n'a pas été remplacé dans le fameux "passage d'interdit" des ado, gros argument à-la-con souvent avancé par chez nous.

    Ca fait trente ans qu'on manque de courage politique. Sur de nombreux sujets.

    A propos de politique, perso je vais boycotter les Cantonales. Ils servent à quoi ceux là en fait ? ha ben à rien. Ca devrait être partout en France comme à Paris.

  • [^] # Re: Le danger guette

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Les SSII, précurseurs d'un modèle social. Évalué à 2.

    J'me permet d'avancer une explication de plus : L'éducation.

    Il n'est plus possible, pour ces pouvoirs là, de contrôler ce que pense les gens. L'outil internet a amener deux choses essentielles : la liberté d'expression et d'échanges des savoirs et informations, ainsi que qu'un outil d'immédiateté pour cette communication. Le premier point rejoint donc l'éducation, où certaines ""traditions"" locales se heurtent à ""notre"" culture, et facilité la naissance (au delà des cercles étudiants et intellectuels) d'une envie d'émancipation. Le second est un nouvel outil, où il n'est plus possible de contrôler l'information aussi facilement qu'avant (même s'il y a encore besoin d'aide... tout le monde n'est pas équipé pour faire de la diffusion sur le net en quasi direct depuis son téléphone... il faut donc des relais dans les deux sens...) En cela, personnellement, je qualifie ces révolutions de "révolutions par les journalistes", car ce sont bien des journalistes (professionnels locaux et étrangers, et dans le même lots quelques bloggueurs) grâce auquels les informations sont passées.

    Dans une certaine mesure nous en avons eu aussi des exemples ici, om certains casseurs ont été filmés pendant la casse, puis juste après, mettant un brassard police. très embêtant, ça. Peanuts par rapport à ce qui se passe là bas, mais c'est le même outil qui le permet.

    Bref, ces révolutions sont -il me semble- essentiellement tournées vers le pouvoir médiatique un peu décentralisé. Des "révolutions par le journalisme".

  • [^] # Re: SSII

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Les SSII, précurseurs d'un modèle social. Évalué à 1.

    c'est pas très kikoolol mon dernier commentaire (inutile et limite diviseur) Désolé.

  • [^] # Re: SSII

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Les SSII, précurseurs d'un modèle social. Évalué à 2.

    /humoooour inside/ Franchement, j'essai de me mettre à la place d'un DRH d'un gros client... quant il regarde sous lui et voit clairement une énorme tripotée de feignants boulets ki-ont-fait-un-truc-bien-y-a-vingts-ans, qui coute une fortune, ne rapporte rien, et parfois n'ont même pas décence de rester peinard mais en plus sont des boulets... Ben franchement, je serais bien content de pouvoir disposer d'une ssii ;-) (et accessoirement de virer les boulets dans une structure séparée). Ce sont bien ces boulets et ces profiteurs qui ont fait la méfiance actuelle envers le salariat de base. Je ne citerai pas de nom bien sûr, mais on connait tous dans de grandes entreprises françaises des gens qui sont grassement payés, totalement intouchables (merci le syndicat de corporation), qui ne branlent rien, vraiment rien, et qui sont même parfois de vrais nuisibles.

    Ben c'est sûr qu'en faisant ce constat, amer mais réaliste, en tant que DRH je vais voter pour celui qui me promet un assouplissement puissant du droit du travail. Franchement, vous, non ? Rester de gauche aujourd'hui, compressé entre le tas de profiteurs d'un côté, et le tas de peureux d'un autre, c'est vraiment un sacerdoce respectable.

  • [^] # Re: Précariat

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Les SSII, précurseurs d'un modèle social. Évalué à 6.

    ça, la grêce, ça fait mal au cul à tout le monde. à ces connards de libéraux français, qui n'ont de libéraux que le nom, parceque le modèle d'un pays sans états et sans impôts s'envole, vite et sec. tout comme ) ces trous de balles d'extrème gauche qui préfèrent rejeter la faute sur l'autre (le lointain, le fmi, l'europe, finalement l'étranger) tout comme ces fumiers d'extrèmes droites qui essaient de ratiboiser et se heurtent eux aussi à leur propre contradiction (ils ne restent que l'immigré comme discours, l'immigrés qui volent le travail du local, mouhahaha)

    Désolé d'avoir employé des gros mots.. ha et puis finalement non, ça illustre le truc aussi :-)

    Bref la Grêce est vraiment "fondamentale", encore une fois. Et faut pas s'étonner que nos médias n'en parlent plus, ni à gauche ni à droite. :-)

  • [^] # Re: Précariat

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Les SSII, précurseurs d'un modèle social. Évalué à 4.

    Les infos contradictoires elles sont simples : regarde l'origine première du problème et regarde ce que le kke, comme les autres, ne fait pas. Le problème n'est pas ce qu'ils font, c'est ce qu'ils ne font pas. Bon maintenant, si tu me donnes un lien vers un tract distribué par une orga "de gauche" expliquant clairement les choses et les acteurs en jeux, là je changerai d'avis. Pour le moment, même les syndicats d'étudiants n'ont pas fait ce boulot là : expliquer. Ce sont pourtant, historiquement, partout, les plus véloces, les plus informés, les plus mobiles.

    Et je vois quoi ? "bouh le grand méchant fmi !!" ou encore "bouh le grand méchant gouvernement" ... Y a t il un grec qui explique à un autre grec que le problème vient du troisième grec et de sa forte propension à la fraude fiscale depuis vingts ans ? Perso j'ai pas vu.

  • [^] # Re: Pb franco-français ?

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Les SSII, précurseurs d'un modèle social. Évalué à 2.

    Perso je suis assez d'accord avec ta critique, tout comme je le suis avec les points soulevés par d'autres dans la discussion. Et ça ne me semble pas contradictoire, c'est juste une question échelle temporelle. Et mon nanavis : il faut les deux, un syndicalisme de corporation et de co-gestion, permettant d'assoir et de préserver des visions de longs termes (un paradoxe, une évolution) ainsi que les intérêts du personnel. Et un syndicalisme réel, de combat, non corporatiste (ie : pas prêt à vendre son cul en échange de l'intérêt d'une seule boite) à qui l'individu peux s'adresser pour faire valoir ses droits. Les deux sont nécessaires : un syndicalisme à l'allemande (ou europe du nord) pour une gestion complète des intérêts de l'entreprise, et un syndicalisme de combat pour défendre les individus. Mais l'un à tuer l'autre, partout. Sauf ici où parfois le combat subsiste (voir les Contis par exemple... exemplaire)

    Toute institution tends à se scléroser et à agir autant pour sa pérénité que pour défendre ses valeurs initiales. Bref, tout pouvoir doit être décentralisé au maximum, et renouvellés régulièrement.

    Allez un exemple qui ne plaira pas au rouge-de-base : dite la place du colonel fabien, quant est ce qu'ils nous la rendent ? Naaan parceque ça serait bien d'en faire autre chose que des réunions de gens sclérosés de naissance ou de la louer pour des défilés de mode, hein les camarades ;-) Mouhahaha [désolé, samedi soir, toussa]

  • [^] # Re: SSII

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Les SSII, précurseurs d'un modèle social. Évalué à 5.

    clair +1 et finalement souvent cette critique est le fruit d'une des raisons d'être même des ssii : le service. Le service d'encaisser les coups à la place d'un client stupide, par exemple. Parceque le client qui veux tout et son contraire, qui n'hésite pas sur le dumping social, colle une pression intense sur son fournisseur, et se permet d'aller à une manif des emplyés de sa boite pour défendre leurs intérêts, moi j'ai juste envie de vomir. Et certainement pas sur la ssii. Le client qui palpe 4700 nets sur 16 mois + prime et qui ne branle rien, mais rien du tout, vraiment, deux réunions de heures pas semaines, et qui se décharge à la fois de sa flemme et de ce qu'il ne peux faire à ses propres salariés sur la ssii, ça existe aussi.

    Le modèle SSII est bon, on permet une précarisation de l'emploi, du poste, en échange d'une sécurité économique. Pour des boulots où c'est possible, avec des gens, les salariés, qui peuvent le comprendre et l'encaisser. C'est un putain de bon deal. Y a pas à discuter 107 ans il me semble. D'ailleurs on retrouve le même principe dans le système de "groupement d'employeurs", sauf c'est plus serré, plus proche des clients, avec moins de marges pour des gestionnaires tiers inutiles ici.

  • [^] # Re: Pb franco-français ?

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Les SSII, précurseurs d'un modèle social. Évalué à 2.

    (et l'acte de naissance du syndicalisme de corporation)

  • [^] # Re: Pb franco-français ?

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Les SSII, précurseurs d'un modèle social. Évalué à 5.

    teu teu teu le syndicalisme français à radicalement changé lorsque les syndicalistes sont devenus des professionnels du syndicalisme, soit au moment où les syndicats ont reçus le "droit" d'heures de délégation. Cela, au contraire d'être une avancée, a été une régression majeure : dans les entreprises où c'est possible (où les relations le permettent) c'est devenu un outil de promotion personnelle et de copinage. Dans les entreprises où les discussions sociales sont dures ou inexistantes, la situation n'a pas évoluée. Ceci a été l'acte d'achat, et l'acte de décès, du syndicalisme français.

  • [^] # Re: Pb franco-français ?

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Les SSII, précurseurs d'un modèle social. Évalué à 2.

    Et cela s'est répété souvent ? :)

  • [^] # Re: Précariat

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Les SSII, précurseurs d'un modèle social. Évalué à 5.

    Le kke en grêce ?? non masi c'est une mauvaise blague ? tu veux dire ces gens qui s'attaquent au pouvoir politique au lieu d'avoir le courage d'aller coller tirer de leur tériers tout ses petits patrons et artisans qui ont fraudés le fisc et on conduit la Grêce dans l'état où elle est aujourd'hui ?

    J'vais faire un parallèle assez moche : entre un policier qui voit un voleur volé et ne fait rien, et le voleur, ben vue de mes petits yeux qui comprennent rien (merci sam) le voleur reste le voleur...

    Bref à lire un truc comme ça, j'ai failli exploser de rire, les partis Grecs contestataires sont juste des couilles molles qui ne veulent qu'une seule chose : le pouvoir politique. Comme les autres, pas mieux. Pas un n'a eu le courage d'aller demander des comptes sur l'esprit de solidarité nationale, et de construction sociale, à tout les armateurs, petits commerçants et petits patrons, qui eux se sont assis dessus, pour faire payer la note par le peuple grec en premier, et par les partenaires européens en second.

    Dans ce pays, il a clairement qq patrons qui méritent d'être pendus par leurs boyaux.