Moi, je n’ai pas trouvé les commentaires sur la fameuse page, je navigue avec les scripts bloqués par défaut et j’ai abandonné avant de trouver le truc à activer pour avoir les commentaires parmi la pelletée de cochoncetés auxquelles cette page fait appel.
Pour l’écologie comme dans l’intérêt de ses utilisateurs, 20 Minutes devrait dépolluer ses pages.
D’un autre côté si les commentaires en question correspondent à la déclaration de Greta Thunderg à l’Assemblée nationale (« Nous sommes devenus les méchants qui doivent dire des choses désagréables aux gens car personne d’autre ne veut le faire. Et (pour cela), nous recevons un déferlement de haine et de menaces »), l’extension anti-scripts fait peut-être aussi office d’extension anti-cons…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Pourquoi faire si compliqué ?
for in accepte plusieurs arguments (d’ailleurs même si l’on ne met qu’un seul nom avec un joker, il est développé avant d’être passé à cette instruction.
Donc
for f in src/*.mp4 src/*.MP4;do
fera l’affaire.
Sinon, j’aurais utilisé cp -p voire cp -a pour préserver les dates et les attributs des fichiers.
Quoique s’il s’agit réellement de renommer comme dit dans la question, c’est mv qu’il faut (mais l’utilisation de cp est peut-être pour s’assurer que le résultat convienne avant de supprimer les fichiers originaux).
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Si un pays filtre l'accès au web, je suppose qu'il filtre également la possibilité d'établir des tunnel/VPN vers n'importe où.
Pour un résultat efficace, il faudrait qu’ils mettent un filtre avec liste blanche et tout le reste bloqué. Il pourrait être difficile à expliquer aux autres pays de l’UE qu’on bloque la majorité de leurs sites, parce que bon, on est plus avancés qu’eux sur la censure…
Évidemment, s’ils bloquent les protocoles classiques des VPN, il ne sera probablement pas facile de trouver un fournisseur de VPN sur HTTPS.
En dernier recours, il restera la possibilité d’une liste de diffusion avec les vrais messages chiffrés et en stéganographie dans des images de chats…
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Je ne connaissais pas l'alias de push en $t[@t]=, j'adopte (pour les oneliners…).
Sauf si le but est d’écrire le code le plus court possible, il est sûrement plus rapide (et accessoirement plus clair) d’écrire push @t, : c’est à peine plus long et ça nécessite moins AltGr (sauf à taper en Qwerty).
Pour le reste, je suis content aussi d’avoir appris qu’on peut passer des paramètres avec -M (je ne m’étais jamais posé la question, mais bon, ça me servira peut-être un jour).
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Alors, à quand le déménagement de linuxfr.org dans un pays qui ne pratique ni la censure ni la surveillance généralisée de sa population, même s’il ne sera probablement accessible de France que par VPN (bah oui, l’étape suivante sera de bloquer les sites qui n’imposent pas l’identification de leurs contributeurs) ?
Histoire qu’on puisse continuer de dire tout le bien qu’on pense des mesures liberticides de nos gouvernants sans être arrêtés grâce aux lois « antiterroristes » (après tout, leur principal usage jusqu’ici a bien été d’arrêter des écologistes) et condamnés pour « incitation à la haine » (critique de nos bienveillants dirigeants ; si la haine envers eux n’est pas la pire…).
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Je pense que c'est peu probable, il a changé d'opérateur pour un MVNO au moment où il a changé de téléphone. Toutes les opérations sur cet opérateur se font en ligne et une demande de nouvelle carte sim nous aurait été notifié.
L’abonnement au nouvel opérateur a-t-il été fait aussi en ligne ?
Le paiement a-t-il été fait avec la carte bancaire en question (ne serait-ce que pour la carte SIM) ?
Un personne malhonnête chez l’opérateur aurait pu récupérer le numéro de carte et pourrait aussi intercepter tes SMS.
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Les versions 32 bits seraient plus légères que leurs copines en 64 bits.
En effet.
Pas de beaucoup.
C’est-à-dire que quand ce qui consomme le plus, c’est les pages web…
Par contre le choix est moindre au niveau des distributions (et on ne sait pas si celles qui font encore une version 32 bits la feront encore pour la prochaine version), et mieux vaut ne pas avoir besoin d’un logiciel non libre (pas sûr qu’il y ait encore une version 32 bits)…
Cela dit, quand on manque de mémoire, la chasse aux Ko est un point important : si la machine est inutilisable dès maintenant avec une distribution donnée, la question de savoir si elle sera encore supportée par la version suivante est caduque.
Et puis quasiment plus aucun site n’utilise Flash (le logiciel non libre difficilement contournable à une époque), alors…
À la réflexion, la distribution Devuan est peut-être à considérer aussi : c’est un fork de Debian (avec une version 32 bits) sans systemd. Quand on a 16 Go de mémoire, la consommation de systemd est négligeable, mais quand on n’a qu’1 Go…
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Sinon tu as Slackware, ça c’est léger de chez léger.
J’ai beaucoup de considération pour la Slackware : la plus vieille distribution Linux encore maintenue, un système à l’ancienne sans fioritures et c’est la première distribution que j’ai utilisée (en 1996, la RedHat plantait net sur mon PC…).
Néanmoins, à notre époque de failles de sécurité où l’on passe son temps à mettre à jour, la mise à jour est quand même plus rustique avec Slackware qu’avec d’autres distributions (l’installation aussi, mais l’installation tu la fais bien moins souvent)…
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Avec seulement 1 Go (à moins que tu arrives à récupérer un peu plus de mémoire compatible), je partirais sur LXDE comme environnement. Il laisserait un petit plus de mémoire aux applications (un navigateur a vite fait de consommer 1 Go de nos jours…).
Il me semble que les derniers Pentium 4 sont 64 bits (au moins les modèles pour machine de bureau), mais pas les premiers.
Si Lubuntu (la variante LXDE d’Ubuntu) se plaint que le processeur n’est pas 64 bits, il restera Debian et Linux Mint qui proposent des versions 32 bits (mais pas forcément avec LXDE d’origine).
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Ça ressemble à une partition de restauration de Windows. Ce n’est peut-être pas le plus important pour toi, sauf si tu veux remonter le portable sous Windows avec un autre disque (ce qui n’est pas forcément facile à partir de la partition de restauration du disque d’origine).
Cette fois, c’est la partition 5 (censément vide d’après la table des partitions) qui s’est montée et pas la 1.
Cela dit, si ce sont tes données que tu veux récupérer, il est probable qu’elles soient plutôt avec le système sur la plus grande, la 3.
J’ai essayé une Lubuntu 19.04 et de brancher une clé USB à deux partitions.
Elles apparaissent dans le gestionnaire de fichiers dans la colonnes de gauche dans la rubrique Appareils, mais elles sont de plus montées automatiquement.
totof2000 a noté la présence d’au moins un secteur défectueux sur le disque. C’est peut-être ce qui gêne le montage. Ou alors simplement que Windows a été arrêté brutalement et que par conséquent ses partitions n’ont pas été démontées proprement.
Reprenons, si tu essaies de monter juste la partition 3 avec les commandes suivantes, qu’est-ce que ça donne ?
Ca pue tellement la merde que, personnellement, je considère que la course est déja perdue, et que la seule solution est une fuite en avant : epuiser les dernieres ressources pour conquérir l'espace.
Mettons (supposition forte) qu’on ait bientôt les technologies pour atteindre un autre système solaire avec une planète à peu près habitable (qu’il faut déjà trouver, hein).
Tu as vu la taille de l’humanité. Tu penses qu’on aura les ressources pour déplacer tout le monde ? De toute façon, ce ne sera sûrement pas donné et les très riches ne vont quand même pas payer pour déplacer tous les autres (s’ils avaient une telle générosité, ça se verrait déjà).
À mon avis, la meilleure perspective en suivant cette voie est d’envoyer une toute petite minorité de privilégiés dévaster d’autres planètes (enfin, ils vont peut-être envoyer des grouillots avant pour essuyer les plâtres et préparer leur installation, à moins que des robots puissent faire le job), pendant que les autres devront tenter de survivre sur ce qu’il restera de celle-ci.
Et ça, c’est si les très riches comprennent qu’il vaut mieux conserver des ressources que de les gaspiller n’importe comment pour faire grossir leur compte en banque.
Peut-être qu’Elon Musk ou l’un de ses descendants iront vivre sur une autre planète, mais moi, je suis conscient que je finirai ma vie sur celle-ci. Tout le suspens portant sur dans quelles conditions…
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Je ne l’ai pas trouvée, mais c’est probablement lié à l’ancienneté de ma box (Freebox HD ; je suppose que les anciennes Freebox (aussi avec un abonnement moins cher) ne seront pas les premières à disposer d’une nouvelle fonctionnalité, si elles en disposent un jour).
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mkdir: impossible de créer le répertoire «/»: Le fichier existe
mkdir: impossible de créer le répertoire «/»: Le fichier existe
mkdir: impossible de créer le répertoire «mnt/part3»: Aucun fichier ou dossier de ce type
Il ne faut pas mettre d’espace dans /mnt/part3 (ni dans les autres).
mount: /mnt/part1: /dev/sdb1 déjà monté sur /media/sammutjl/MEDIADIRECT.
Eh bien il est déjà monté (probablement par le gestionnaire de fichiers), dans /media/sammutjl/MEDIADIRECT. Il suffit donc de remonter à la racine depuis le gestionnaire de fichiers (en appuyant plusieurs fois sur la flèche verte vers le haut), puis de double-cliquer sur media, sammutjl puis MEDIADIRECT.
Si les autres ont déjà été montés, ils devraient être aussi dans /media/sammutjl.
The volume may be already mounted, or another software may use it which
could be identified for example by the help of the 'fuser' command.
Il semble déjà monté aussi.
Pour trouver où, je te conseille la commande :
df -h
Que t’affiche-t-elle ?
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On va bientôt voir si Chromium est un projet véritablement libre ou s’il est assujetti à Chrome et Google.
Sinon, il paraît que maintenant que Google a abandonné le slogan « Don’t be evil. », il a adopté comme slogan « Do the right thing. ». « The right thing » pour qui ?
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À partir de là, il apparaît peut-être dans un des sous-menu (Système notamment) du menu principal de ton environnement (ce n’est pas sûr vu que tu n’es pas sous Gnome, et puis son nom est peut-être explicité ou traduit).
Sinon, tu peux toujours le lancer directement sous root (le compte administrateur sous Linux) avec la commande :
sudo gnome-disks &
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J'ai bien rentré la commande id, et cela m'a donné en début de commentaire uid=1000 et pas 1001.
Alors, il faut utiliser uid=1000 dans les commandes que j’ai indiquées pour la suite. D’après le résultat de fdisk -l, la partition 4 est une pseudo-partition qui contient la partition, sauf que celle-ci serait vide, donc les commandes suivantes devraient suffire :
sudo mkdir /mnt/part1 /mnt/part2 /mnt/part3
sudo mount /dev/sdb1 /mnt/part1 -o uid=1000,ro
sudo mount /dev/sdb2 /mnt/part2 -o uid=1000
sudo mount /dev/sdb3 /mnt/part3 -o uid=1000
",ro" à la fin de la première commande mount, c’est pour monter en lecture seule, ce qui est plus prudent si tu n’as pas fait de fsck avant. Mais tu peux l’enlever si tu as fait le fsck, ou au contraire le mettre à la fin de toutes les commandes mount si tu n’as pas l’intention d’écrire sur le disque (attention, pas d’espace ni avant ni après la virgule).
Si tu as des messages d’erreur en retour de ces commandes, indique-nous lesquels.
Sinon, dans ton gestionnaire de fichiers, tu cliques sur la flèche verte vers le haut jusqu’à ce que le champ à côté affiche seulement /, ensuite, tu double-cliques sur mnt, puis sur part1 pour accéder au contenu de la première partition ou part2 pour la deuxième, etc.
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Les entrées de la table de partitions ne sont pas dans l'ordre du disque.
C’est sans importance (sauf quand on veut modifier le partitionnement).
Tant que j’y pense, en montant tes partitions avec sudo, elles seront affectées à root et l’accès te sera moins facile… à moins d’ajouter l’option qui va bien pour qu’il te les attribue.
Entre la commande id, elle t’affichera les détails pour ton utilisateur, la partie utile ici étant le début qui doit ressembler à uid=1001 (j’utiliserai ce nombre comme exemple par la suite ; si tu as autre chose, il faudra adapter).
Du coup, pour monter tes partitions, des commandes comme la suivante doivent fonctionner :
sudo mkdir /mnt/sdb1; sudo mount /dev/sdb1 /mnt/sdb1 -o uid=1001
Éventuellement, pour celle-ci, qui est signalée comme ayant été mal démontée, si tu n’as pas confiance en fsck, tu peux la monter en lecture seule (option -o ro de mount) ; ça te permettra de récupérer le contenu sans risquer de la modifier et donc d’aggraver un éventuel problème (cela dit, il n’y a pas un problème grave à chaque fois qu’une partition est démontée salement ; le plus souvent seuls les derniers fichiers écrits sont perdus ou incomplets) :
À la suite de cette commande, le contenu de ta partition sera accessible dans /mnt/sdb1.
Note : tu n’aura probablement pas de problème avec la première partition, mais le montage pourrait rater pour les autres s’il manque les commandes supportant leur système de fichier (certainement NTFS, au pire exFAT) dans ton système.
Il suffit d’installer les paquets les contenant, mais je ne suis pas sous Ubuntu chez moi et je ne peux donc pas te dire leur nom tout de suite (si quelqu’un qui est sous Ubuntu passe par là…).
La commande suivante devrait te permettre de trouver le paquet pour ntfs (pour exFAT, faire la même chose avec exfat) :
sudo apt update
apt search ntfs
S’il y en a plusieurs, regarde leurs descriptions avec :
apt show nom_du_paquet
Ensuite choisis le paquet qui semble le bon (si tu te trompes, le seul risque est d’avoir un paquet inutile sur ton système et de ne toujours pas pouvoir monter tes partitions), installer le bon paquet avec :
sudo apt install nom_du_paquet
N’oublies pas de démonter proprement avant de débrancher le disque :
sudo umount /mnt/sdb*
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Il n’y a peut-être rien pour gérer automatiquement les disques USB sur Lubuntu, en tout cas sur ton installation… Est-ce que ça fonctionne avec une clé USB ?
Le disque est-il visible avec la commande suivante (si tu as un seul disque interne, c’est /dev/sda ; le disque externe serait donc /dev/sdb) :
sudo fdisk -l
Si tu ne le vois pas, c’est qu’il y a un problème avec l’adaptateur USB, le disque, la prise USB… Dans ce cas, comme suggéré par totof2000, les dernières lignés affichées par la commande sudo dmesg donneront des indications pertinentes, avec un peu de chance (si ça n’indique rien, c’est que le périphérique n’est même pas détecté).
Si tu le vois mais qu’il n’a pas d’icône sur le bureau, c’est qu’il n’y a pas de partition montable (fdisk liste aussi les partitions, donc on peut le voir avec) ou qu’il n’y a rien pour gérer ça au niveau de ton environnement graphique.
Dans ce dernier cas, essaye (éventuellement à adapter suivant le nombre de disques internes et les partitions listées par fdisk pour le disque externe) :
sudo mkdir /mnt/usb
sudo mount /dev/sdb1 /mnt/usb
et quand tu as fini, avant de débrancher le disque :
sudo umount /mnt/usb
sudo sync
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Toutes les méthodes à essayer sont censés seulement lire le disque et jamais écrire dessus
Pas celle que je propose, puisque je préconise d’abord de réécraser la zone écrasée par l’image disque par des zéros (une occasion de reperdre des données si on se trompe sur la taille — accessoirement, je n’ai pas testé mon indication) pour éviter ensuite que les utilitaires ne perdent du temps avec son contenu, et qu’ensuite si tu valides les partitions que trouve testdisk, il réécrit la table des partitions (OK, avec peu de partitions, on peut supposer qu’elle n’occupe que le début du disque).
Il faut faire une image raw, faut avoir le temps et l’espace
En effet.
Cela dit, un nouveau disque acheté à l’occasion pourra servir ensuite à faire des sauvegardes ensuite…
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Les anti-nucléaires sont en fait souvent de vieilles associations contre les armes nucléaires, et qui mettent un peu tout ce qui contient « nucléaire » ou « atomique » dans le même panier. De plus, certaines de ces associations ont des intérêts financiers – par exemple, Enercoop a été fondée par Greenpeace, entre autres – et dans ce cas on peut comprendre que c'est plus intéressant pour elles de ratisser large en faisant du catastrophisme que d'être posé et rationnel.
Tout catastrophisme évacué, il faut quand même rappeler qu’on n’est plus capable en France de construire une centrale nucléaire pas défectueuse : malfaçons à répétition, explosion du temps de construction et du budget, mise en service programmée avec une cuve (la pièce principale !) défectueuse pour une question de coût et suite à des pressions politiques…
Par ailleurs, les réserves actuelles d’uranium 235 ne pourront durer plus longtemps que le pétrole que parce que (tant que) les autres pays ne sont pas assez « intelligents » pour utiliser le nucléaire aussi massivement que nous.
Même si l’on se satisfait du nucléaire (malgré les risques, les déchets…), il serait temps de construire des centrales utilisant un autre combustible (sauf que même s’il y a des perspectives, on ne les a pas encore mises au point).
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Je commencerais par faire une copie brute du disque externe sur un autre disque au moins aussi gros (sans se tromper de destination cette fois, hein !).
Comme ça, si la méthode qu’on essaie n’est pas la bonne, on peut toujours recommencer avec une autre à partir d’une autre copie non altérée.
Ensuite, sur cette copie, je copierais des zéros sur la place prise par l’image copiée involontairement. Ça éviterait de perdre du temps sur ce qu’elle contient avec les outils de récupération.
Une commande de ce style devrait faire l’affaire :
Ensuite, j’essaierais de rétablir les partitions avec testdisk. S’il y en avait plusieurs, il devrait au moins retrouver intactes celles qui n’ont pas été touchées. Il n’y aurait plus qu’à les monter et récupérer les données. Ou encore rétablir la même table de partitions sur le disque d’origine :
(il me semble que la version actuelle de sfdisk supporte les partitions GPT ; sinon, il faut trouver comment faire l’équivalent avec sgdisk si la table de partitions est en GPT).
S’il n’y en avait qu’une seule et que testdisk échouait, j’essaierais de refaire avec fdisk la partition par défaut, en espérant que l’ancienne commençait bien au même endroit.
Là, je tenterais sur la première partition le fsck du système de fichiers qui était dessus (fsck.ext4, fsck.xfs…).
Si par chance il fonctionnait (même si c’est loin d’être gagné, ce n’est pas complètement à exclure : ext2 et ses descendants notamment créent des superblocs de secours au formatage), il arriverait sûrement mieux à rétablir les fichiers et surtout leurs noms et la structure que photorec.
Et en dernier recours, photorec.
Bonne chance.
Moralité : sur un gros disque externe, il faudrait peut-être laisser une partition bidon de 8 Go au début (et puis sauvegarder la table des partitions avec sfdisk -d sur un autre disque), au cas où on copierait par erreur une distribution live dessus…
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Si le smartphone était en plus juste pour recevoir un code de confirmation, ce serait une sécurité supplémentaire, quelle que soit la sécurité du smartphone : il faudrait pirater tes deux appareils pour faire des opérations frauduleuses sur ton compte (en plus, on peut se contenter d’un SMS et ça marche aussi avec un dumb phone — on peut faire plus sécurisé qu’un SMS, mais un dumb phone est moins vulnérable qu’un smartphone).
Mais à partir du moment où ils t’obligent à avoir en plus l’application qui permet de tout faire depuis le smartphone (un truc difficile à sécuriser et facile à voler), effectivement, comme « amélioration de la sécurité », ça craint.
Cela dit, d’après la réponse qu’à eue danielrocher, il semble qu’il y aura possibilité de se contenter d’un code de confirmation envoyé par SMS.
L’annonce sur le site web servirait donc à inciter très fortement les clients à installer leur fichue application, quitte à perdre ceux qui sont soucieux de leur sécurité informatique ou pas assez modernes.
Les dirigeants de la Poste doivent être sur le même modèle que ceux de l’État (pour l’accès au services publics) : ils n’ont pas envie de s’emmerder avec les pauvres et les rétrogrades qui n’ont pas d’accès à Internet ou de smartphone.
Déjà, au moment où ils avaient coupé le service par Minitel (sans abonnement), ils avaient énormément alourdi leur site web (l’ancien était léger ; franchement, ça ne gênait pas), de sorte qu’il était très difficilement utilisable avec un accès Internet RTC (pour lequel il y avait des abonnements gratuits).
Enfin j’attendrai de voir : pas la peine de changer de banque avant que la directive n’entre réellement en vigueur et qu’on puisse être sûr de ce que fera la Poste et de ce que feront les autres banques.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Dépolluer 20 Minutes
Posté par Arthur Accroc . En réponse au lien En réponse à FaceApp, Greenpeace lance EarthApp qui nous montre la Terre dans quelques années. Évalué à 1.
Moi, je n’ai pas trouvé les commentaires sur la fameuse page, je navigue avec les scripts bloqués par défaut et j’ai abandonné avant de trouver le truc à activer pour avoir les commentaires parmi la pelletée de cochoncetés auxquelles cette page fait appel.
Pour l’écologie comme dans l’intérêt de ses utilisateurs, 20 Minutes devrait dépolluer ses pages.
D’un autre côté si les commentaires en question correspondent à la déclaration de Greta Thunderg à l’Assemblée nationale (« Nous sommes devenus les méchants qui doivent dire des choses désagréables aux gens car personne d’autre ne veut le faire. Et (pour cela), nous recevons un déferlement de haine et de menaces »), l’extension anti-scripts fait peut-être aussi office d’extension anti-cons…
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[^] # Plus simple
Posté par Arthur Accroc . En réponse au message Renommage en masse selon métadonnées.. Évalué à 3.
Bonjour,
Pourquoi faire si compliqué ?
for in accepte plusieurs arguments (d’ailleurs même si l’on ne met qu’un seul nom avec un joker, il est développé avant d’être passé à cette instruction.
Donc
fera l’affaire.
Sinon, j’aurais utilisé
cp -p
voirecp -a
pour préserver les dates et les attributs des fichiers.Quoique s’il s’agit réellement de renommer comme dit dans la question, c’est
mv
qu’il faut (mais l’utilisation de cp est peut-être pour s’assurer que le résultat convienne avant de supprimer les fichiers originaux).« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: linuxfrlibre.org ?
Posté par Arthur Accroc . En réponse au lien La Quadrature du Net a déposé un recours contre l'appli ALICEM (reconnaissance faciale). Évalué à 2.
Pour un résultat efficace, il faudrait qu’ils mettent un filtre avec liste blanche et tout le reste bloqué. Il pourrait être difficile à expliquer aux autres pays de l’UE qu’on bloque la majorité de leurs sites, parce que bon, on est plus avancés qu’eux sur la censure…
Évidemment, s’ils bloquent les protocoles classiques des VPN, il ne sera probablement pas facile de trouver un fournisseur de VPN sur HTTPS.
En dernier recours, il restera la possibilité d’une liste de diffusion avec les vrais messages chiffrés et en stéganographie dans des images de chats…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Suggestions
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal TapTempo en une ligne. Évalué à 3. Dernière modification le 20 juillet 2019 à 23:48.
Sauf si le but est d’écrire le code le plus court possible, il est sûrement plus rapide (et accessoirement plus clair) d’écrire
push @t,
: c’est à peine plus long et ça nécessite moins AltGr (sauf à taper en Qwerty).Pour le reste, je suis content aussi d’avoir appris qu’on peut passer des paramètres avec -M (je ne m’étais jamais posé la question, mais bon, ça me servira peut-être un jour).
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # linuxfrlibre.org ?
Posté par Arthur Accroc . En réponse au lien La Quadrature du Net a déposé un recours contre l'appli ALICEM (reconnaissance faciale). Évalué à 4.
Alors, à quand le déménagement de linuxfr.org dans un pays qui ne pratique ni la censure ni la surveillance généralisée de sa population, même s’il ne sera probablement accessible de France que par VPN (bah oui, l’étape suivante sera de bloquer les sites qui n’imposent pas l’identification de leurs contributeurs) ?
Histoire qu’on puisse continuer de dire tout le bien qu’on pense des mesures liberticides de nos gouvernants sans être arrêtés grâce aux lois « antiterroristes » (après tout, leur principal usage jusqu’ici a bien été d’arrêter des écologistes) et condamnés pour « incitation à la haine » (critique de nos bienveillants dirigeants ; si la haine envers eux n’est pas la pire…).
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[^] # Scientific Linux
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Revue de presse de l’April pour la semaine 25 de l’année 2019. Évalué à 3.
Et pourtant, ils ont (co)développé une distribution Linux.
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[^] # Quelqu’un qui a peut-être eu accès aux deux…
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Validations frauduleuses de codes 3D Secure. Évalué à 3.
L’abonnement au nouvel opérateur a-t-il été fait aussi en ligne ?
Le paiement a-t-il été fait avec la carte bancaire en question (ne serait-ce que pour la carte SIM) ?
Un personne malhonnête chez l’opérateur aurait pu récupérer le numéro de carte et pourrait aussi intercepter tes SMS.
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[^] # Re: 64 bits ou pas ?
Posté par Arthur Accroc . En réponse au message Quelle distribution pour un vieux HP Pavillon ?. Évalué à 4.
En effet.
C’est-à-dire que quand ce qui consomme le plus, c’est les pages web…
Par contre le choix est moindre au niveau des distributions (et on ne sait pas si celles qui font encore une version 32 bits la feront encore pour la prochaine version), et mieux vaut ne pas avoir besoin d’un logiciel non libre (pas sûr qu’il y ait encore une version 32 bits)…
Cela dit, quand on manque de mémoire, la chasse aux Ko est un point important : si la machine est inutilisable dès maintenant avec une distribution donnée, la question de savoir si elle sera encore supportée par la version suivante est caduque.
Et puis quasiment plus aucun site n’utilise Flash (le logiciel non libre difficilement contournable à une époque), alors…
À la réflexion, la distribution Devuan est peut-être à considérer aussi : c’est un fork de Debian (avec une version 32 bits) sans systemd. Quand on a 16 Go de mémoire, la consommation de systemd est négligeable, mais quand on n’a qu’1 Go…
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[^] # Re: Pas de préférence mais
Posté par Arthur Accroc . En réponse au message Quelle distribution pour un vieux HP Pavillon ?. Évalué à 2.
J’ai beaucoup de considération pour la Slackware : la plus vieille distribution Linux encore maintenue, un système à l’ancienne sans fioritures et c’est la première distribution que j’ai utilisée (en 1996, la RedHat plantait net sur mon PC…).
Néanmoins, à notre époque de failles de sécurité où l’on passe son temps à mettre à jour, la mise à jour est quand même plus rustique avec Slackware qu’avec d’autres distributions (l’installation aussi, mais l’installation tu la fais bien moins souvent)…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
# 64 bits ou pas ?
Posté par Arthur Accroc . En réponse au message Quelle distribution pour un vieux HP Pavillon ?. Évalué à 3.
Bonjour,
Avec seulement 1 Go (à moins que tu arrives à récupérer un peu plus de mémoire compatible), je partirais sur LXDE comme environnement. Il laisserait un petit plus de mémoire aux applications (un navigateur a vite fait de consommer 1 Go de nos jours…).
Il me semble que les derniers Pentium 4 sont 64 bits (au moins les modèles pour machine de bureau), mais pas les premiers.
Si Lubuntu (la variante LXDE d’Ubuntu) se plaint que le processeur n’est pas 64 bits, il restera Debian et Linux Mint qui proposent des versions 32 bits (mais pas forcément avec LXDE d’origine).
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Et Doom ?
Posté par Arthur Accroc . En réponse au lien La sécurité des robots-cuisine connectés. Évalué à 7.
Font-ils tourner Doom ?
S’ils coûtent plus de 1000 € et ne font même pas tourner Doom… ☺
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Monter les partitions
Posté par Arthur Accroc . En réponse au message disque externe. Évalué à 2.
Salut,
Ça ressemble à une partition de restauration de Windows. Ce n’est peut-être pas le plus important pour toi, sauf si tu veux remonter le portable sous Windows avec un autre disque (ce qui n’est pas forcément facile à partir de la partition de restauration du disque d’origine).
Cette fois, c’est la partition 5 (censément vide d’après la table des partitions) qui s’est montée et pas la 1.
Cela dit, si ce sont tes données que tu veux récupérer, il est probable qu’elles soient plutôt avec le système sur la plus grande, la 3.
J’ai essayé une Lubuntu 19.04 et de brancher une clé USB à deux partitions.
Elles apparaissent dans le gestionnaire de fichiers dans la colonnes de gauche dans la rubrique Appareils, mais elles sont de plus montées automatiquement.
totof2000 a noté la présence d’au moins un secteur défectueux sur le disque. C’est peut-être ce qui gêne le montage. Ou alors simplement que Windows a été arrêté brutalement et que par conséquent ses partitions n’ont pas été démontées proprement.
Reprenons, si tu essaies de monter juste la partition 3 avec les commandes suivantes, qu’est-ce que ça donne ?
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Aller ailleurs ?
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Michel Serres Bronsonisé. Évalué à 6.
Mettons (supposition forte) qu’on ait bientôt les technologies pour atteindre un autre système solaire avec une planète à peu près habitable (qu’il faut déjà trouver, hein).
Tu as vu la taille de l’humanité. Tu penses qu’on aura les ressources pour déplacer tout le monde ? De toute façon, ce ne sera sûrement pas donné et les très riches ne vont quand même pas payer pour déplacer tous les autres (s’ils avaient une telle générosité, ça se verrait déjà).
À mon avis, la meilleure perspective en suivant cette voie est d’envoyer une toute petite minorité de privilégiés dévaster d’autres planètes (enfin, ils vont peut-être envoyer des grouillots avant pour essuyer les plâtres et préparer leur installation, à moins que des robots puissent faire le job), pendant que les autres devront tenter de survivre sur ce qu’il restera de celle-ci.
Et ça, c’est si les très riches comprennent qu’il vaut mieux conserver des ressources que de les gaspiller n’importe comment pour faire grossir leur compte en banque.
Peut-être qu’Elon Musk ou l’un de ses descendants iront vivre sur une autre planète, mais moi, je suis conscient que je finirai ma vie sur celle-ci. Tout le suspens portant sur dans quelles conditions…
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[^] # Re: IPv6 sans filtre
Posté par Arthur Accroc . En réponse au lien sortez couverts avec votre Freebox, en IPV6. Évalué à 2.
Merci de l’info.
Je ne l’ai pas trouvée, mais c’est probablement lié à l’ancienneté de ma box (Freebox HD ; je suppose que les anciennes Freebox (aussi avec un abonnement moins cher) ne seront pas les premières à disposer d’une nouvelle fonctionnalité, si elles en disposent un jour).
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[^] # Re: Monter les partitions
Posté par Arthur Accroc . En réponse au message disque externe. Évalué à 2.
Il ne faut pas mettre d’espace dans /mnt/part3 (ni dans les autres).
Eh bien il est déjà monté (probablement par le gestionnaire de fichiers), dans /media/sammutjl/MEDIADIRECT. Il suffit donc de remonter à la racine depuis le gestionnaire de fichiers (en appuyant plusieurs fois sur la flèche verte vers le haut), puis de double-cliquer sur media, sammutjl puis MEDIADIRECT.
Si les autres ont déjà été montés, ils devraient être aussi dans /media/sammutjl.
Il semble déjà monté aussi.
Pour trouver où, je te conseille la commande :
Que t’affiche-t-elle ?
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# Chromium
Posté par Arthur Accroc . En réponse au lien Chrome anti bloqueur. Pourquoi je reste sur Firefox.. Évalué à 5.
On va bientôt voir si Chromium est un projet véritablement libre ou s’il est assujetti à Chrome et Google.
Sinon, il paraît que maintenant que Google a abandonné le slogan « Don’t be evil. », il a adopté comme slogan « Do the right thing. ». « The right thing » pour qui ?
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[^] # Re: gnome-disks
Posté par Arthur Accroc . En réponse au message disque externe. Évalué à 2.
Ça a juste installé gnome-disks.
À partir de là, il apparaît peut-être dans un des sous-menu (Système notamment) du menu principal de ton environnement (ce n’est pas sûr vu que tu n’es pas sous Gnome, et puis son nom est peut-être explicité ou traduit).
Sinon, tu peux toujours le lancer directement sous root (le compte administrateur sous Linux) avec la commande :
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[^] # Re: Monter les partitions
Posté par Arthur Accroc . En réponse au message disque externe. Évalué à 2.
Alors, il faut utiliser uid=1000 dans les commandes que j’ai indiquées pour la suite. D’après le résultat de fdisk -l, la partition 4 est une pseudo-partition qui contient la partition, sauf que celle-ci serait vide, donc les commandes suivantes devraient suffire :
",ro" à la fin de la première commande mount, c’est pour monter en lecture seule, ce qui est plus prudent si tu n’as pas fait de fsck avant. Mais tu peux l’enlever si tu as fait le fsck, ou au contraire le mettre à la fin de toutes les commandes mount si tu n’as pas l’intention d’écrire sur le disque (attention, pas d’espace ni avant ni après la virgule).
Si tu as des messages d’erreur en retour de ces commandes, indique-nous lesquels.
Sinon, dans ton gestionnaire de fichiers, tu cliques sur la flèche verte vers le haut jusqu’à ce que le champ à côté affiche seulement /, ensuite, tu double-cliques sur mnt, puis sur part1 pour accéder au contenu de la première partition ou part2 pour la deuxième, etc.
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[^] # Re: gnome-disks
Posté par Arthur Accroc . En réponse au message disque externe. Évalué à 3.
Les commandes :
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[^] # Monter les partitions
Posté par Arthur Accroc . En réponse au message disque externe. Évalué à 2.
C’est sans importance (sauf quand on veut modifier le partitionnement).
Tant que j’y pense, en montant tes partitions avec sudo, elles seront affectées à root et l’accès te sera moins facile… à moins d’ajouter l’option qui va bien pour qu’il te les attribue.
Entre la commande id, elle t’affichera les détails pour ton utilisateur, la partie utile ici étant le début qui doit ressembler à uid=1001 (j’utiliserai ce nombre comme exemple par la suite ; si tu as autre chose, il faudra adapter).
Du coup, pour monter tes partitions, des commandes comme la suivante doivent fonctionner :
Éventuellement, pour celle-ci, qui est signalée comme ayant été mal démontée, si tu n’as pas confiance en fsck, tu peux la monter en lecture seule (option -o ro de mount) ; ça te permettra de récupérer le contenu sans risquer de la modifier et donc d’aggraver un éventuel problème (cela dit, il n’y a pas un problème grave à chaque fois qu’une partition est démontée salement ; le plus souvent seuls les derniers fichiers écrits sont perdus ou incomplets) :
À la suite de cette commande, le contenu de ta partition sera accessible dans /mnt/sdb1.
Note : tu n’aura probablement pas de problème avec la première partition, mais le montage pourrait rater pour les autres s’il manque les commandes supportant leur système de fichier (certainement NTFS, au pire exFAT) dans ton système.
Il suffit d’installer les paquets les contenant, mais je ne suis pas sous Ubuntu chez moi et je ne peux donc pas te dire leur nom tout de suite (si quelqu’un qui est sous Ubuntu passe par là…).
La commande suivante devrait te permettre de trouver le paquet pour ntfs (pour exFAT, faire la même chose avec exfat) :
S’il y en a plusieurs, regarde leurs descriptions avec :
Ensuite choisis le paquet qui semble le bon (si tu te trompes, le seul risque est d’avoir un paquet inutile sur ton système et de ne toujours pas pouvoir monter tes partitions), installer le bon paquet avec :
N’oublies pas de démonter proprement avant de débrancher le disque :
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# Diverses possibilités
Posté par Arthur Accroc . En réponse au message disque externe. Évalué à 2.
Il n’y a peut-être rien pour gérer automatiquement les disques USB sur Lubuntu, en tout cas sur ton installation… Est-ce que ça fonctionne avec une clé USB ?
Le disque est-il visible avec la commande suivante (si tu as un seul disque interne, c’est /dev/sda ; le disque externe serait donc /dev/sdb) :
Si tu ne le vois pas, c’est qu’il y a un problème avec l’adaptateur USB, le disque, la prise USB… Dans ce cas, comme suggéré par totof2000, les dernières lignés affichées par la commande sudo dmesg donneront des indications pertinentes, avec un peu de chance (si ça n’indique rien, c’est que le périphérique n’est même pas détecté).
Si tu le vois mais qu’il n’a pas d’icône sur le bureau, c’est qu’il n’y a pas de partition montable (fdisk liste aussi les partitions, donc on peut le voir avec) ou qu’il n’y a rien pour gérer ça au niveau de ton environnement graphique.
Dans ce dernier cas, essaye (éventuellement à adapter suivant le nombre de disques internes et les partitions listées par fdisk pour le disque externe) :
et quand tu as fini, avant de débrancher le disque :
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[^] # Re: Ce que je ferais
Posté par Arthur Accroc . En réponse au message Récupération disque dur externe. Évalué à 3.
Pas celle que je propose, puisque je préconise d’abord de réécraser la zone écrasée par l’image disque par des zéros (une occasion de reperdre des données si on se trompe sur la taille — accessoirement, je n’ai pas testé mon indication) pour éviter ensuite que les utilitaires ne perdent du temps avec son contenu, et qu’ensuite si tu valides les partitions que trouve testdisk, il réécrit la table des partitions (OK, avec peu de partitions, on peut supposer qu’elle n’occupe que le début du disque).
En effet.
Cela dit, un nouveau disque acheté à l’occasion pourra servir ensuite à faire des sauvegardes ensuite…
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[^] # Déclin
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Impressions sur la campagne pour les européennes. Évalué à 3.
Tout catastrophisme évacué, il faut quand même rappeler qu’on n’est plus capable en France de construire une centrale nucléaire pas défectueuse : malfaçons à répétition, explosion du temps de construction et du budget, mise en service programmée avec une cuve (la pièce principale !) défectueuse pour une question de coût et suite à des pressions politiques…
Par ailleurs, les réserves actuelles d’uranium 235 ne pourront durer plus longtemps que le pétrole que parce que (tant que) les autres pays ne sont pas assez « intelligents » pour utiliser le nucléaire aussi massivement que nous.
Même si l’on se satisfait du nucléaire (malgré les risques, les déchets…), il serait temps de construire des centrales utilisant un autre combustible (sauf que même s’il y a des perspectives, on ne les a pas encore mises au point).
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# Ce que je ferais
Posté par Arthur Accroc . En réponse au message Récupération disque dur externe. Évalué à 7. Dernière modification le 25 mai 2019 à 22:23.
Je commencerais par faire une copie brute du disque externe sur un autre disque au moins aussi gros (sans se tromper de destination cette fois, hein !).
Comme ça, si la méthode qu’on essaie n’est pas la bonne, on peut toujours recommencer avec une autre à partir d’une autre copie non altérée.
Ensuite, sur cette copie, je copierais des zéros sur la place prise par l’image copiée involontairement. Ça éviterait de perdre du temps sur ce qu’elle contient avec les outils de récupération.
Une commande de ce style devrait faire l’affaire :
Ensuite, j’essaierais de rétablir les partitions avec testdisk. S’il y en avait plusieurs, il devrait au moins retrouver intactes celles qui n’ont pas été touchées. Il n’y aurait plus qu’à les monter et récupérer les données. Ou encore rétablir la même table de partitions sur le disque d’origine :
(il me semble que la version actuelle de sfdisk supporte les partitions GPT ; sinon, il faut trouver comment faire l’équivalent avec sgdisk si la table de partitions est en GPT).
S’il n’y en avait qu’une seule et que testdisk échouait, j’essaierais de refaire avec fdisk la partition par défaut, en espérant que l’ancienne commençait bien au même endroit.
Là, je tenterais sur la première partition le fsck du système de fichiers qui était dessus (fsck.ext4, fsck.xfs…).
Si par chance il fonctionnait (même si c’est loin d’être gagné, ce n’est pas complètement à exclure : ext2 et ses descendants notamment créent des superblocs de secours au formatage), il arriverait sûrement mieux à rétablir les fichiers et surtout leurs noms et la structure que photorec.
Et en dernier recours, photorec.
Bonne chance.
Moralité : sur un gros disque externe, il faudrait peut-être laisser une partition bidon de 8 Go au début (et puis sauvegarder la table des partitions avec sfdisk -d sur un autre disque), au cas où on copierait par erreur une distribution live dessus…
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[^] # Re: double authentification ?
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Lettre ouverte à La Banque Postale. Évalué à 9.
Si le smartphone était en plus juste pour recevoir un code de confirmation, ce serait une sécurité supplémentaire, quelle que soit la sécurité du smartphone : il faudrait pirater tes deux appareils pour faire des opérations frauduleuses sur ton compte (en plus, on peut se contenter d’un SMS et ça marche aussi avec un dumb phone — on peut faire plus sécurisé qu’un SMS, mais un dumb phone est moins vulnérable qu’un smartphone).
Mais à partir du moment où ils t’obligent à avoir en plus l’application qui permet de tout faire depuis le smartphone (un truc difficile à sécuriser et facile à voler), effectivement, comme « amélioration de la sécurité », ça craint.
Cela dit, d’après la réponse qu’à eue danielrocher, il semble qu’il y aura possibilité de se contenter d’un code de confirmation envoyé par SMS.
L’annonce sur le site web servirait donc à inciter très fortement les clients à installer leur fichue application, quitte à perdre ceux qui sont soucieux de leur sécurité informatique ou pas assez modernes.
Les dirigeants de la Poste doivent être sur le même modèle que ceux de l’État (pour l’accès au services publics) : ils n’ont pas envie de s’emmerder avec les pauvres et les rétrogrades qui n’ont pas d’accès à Internet ou de smartphone.
Déjà, au moment où ils avaient coupé le service par Minitel (sans abonnement), ils avaient énormément alourdi leur site web (l’ancien était léger ; franchement, ça ne gênait pas), de sorte qu’il était très difficilement utilisable avec un accès Internet RTC (pour lequel il y avait des abonnements gratuits).
Enfin j’attendrai de voir : pas la peine de changer de banque avant que la directive n’entre réellement en vigueur et qu’on puisse être sûr de ce que fera la Poste et de ce que feront les autres banques.
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