Sur les idées de gauche, le PCF est beaucoup plus honnêtd et les communistes ont déjà combattu le nazisme.
Le problème, c’est qu’avec la règle des 5 %, s’il fait moins (ce qui semble à craindre d’après les sondages), ce sera des voix perdues et un peu plus de place pour les représentants de l’oligarchie.
Du coup, si tu veux des élus qui ne servent pas (que) les ultra-riches et les très grosses entreprises, ça laisse beaucoup moins de choix (il faut déjà qu’ils soient élus avec les règles en vigueur, quoiqu’on en pense)…
Je regrette, compte tenu de cette règle des 5 %, que les partis de gauche (je ne parle donc pas du PS) ne se soient pas alliés. La diversité, c’est bien, mais seulement si elle a une chance d’être encore là à l’arrivée.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Par contre, il ne semble pas y avoir de version à jour.
Peut-être est-ce plus compliqué à partir d’une Debian maintenant qu’elle est basée sur systemd. Ce qui n’empêcherait pas pour autant de faire une distribution GNU/kFreeBSD sans systemd, comme les (quelques) distributions GNU/Linux sans systemd qui existent encore (Void Linux, Devuan…).
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En gros (d’après le lien de l’auteur), la Freebox ne propose pas de filtrage de l’IPv6, tous les appareils le supportant sont donc accessibles directement depuis Internet et de plus (d’après mon lien) désactiver IPv6 semblerait ne pas fonctionner.
À l’époque de « l’Internet des objets » mal sécurisés, l’absence de possibilité de filtrage d’IPv6 est selon moi une grosse tare. Rappelons le discours habituel selon lequel l’utilisation d’adresses privées en IPv4 n’apporte pas plus de sécurité que le filtrage en IPv6. Oui, mais à condition d’en avoir un.
Je savais depuis longtemps que ce n’était pas le cas de ma Freebox, mais je pensais que ça ne concernait que les anciennes comme elle (que je soupçonne d’être laissées un peu à l’abandon), mais le signalement concerne une Freebox plus récente. Il faut croire que la sécurité informatique de ses utilisateurs n’est pas la préoccupation principale de Free.
Devoir pour avoir une sécurité décente ajouter un routeur Ethernet et Wi‐Fi a une Freebox louée de plus en plus cher et éventuellement déjà constituée de deux appareils, ça devient lourd, pour la consommation, pour l’encombrement et pour le portefeuille. De plus, si c’est facile pour un informaticien, ça ne l’est pas forcément pour monsieur tout le monde.
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je pourrais très bien utiliser #!/bin/sh, et mon environnement d’exécution se débrouillera toujours pour trouver un shell compatible POSIX pour exécuter mon script.
Rien n’est complètement garanti.
La dernière fois que j’ai essayé openindiana, il y a quelques années seulement, il conservait encore comme /bin/sh un ksh antédiluvien et notoirement buggé, paraît‐il pour garantir la compatibilité à des logiciels qui en dépendent étroitement…
Et ce n’est pas que ce shell fasse des choses en plus par rapport à la norme POSIX, c’est qu’il en fait moins.
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Ce projet, démarré par des développeurs d’OpenBSD, vise à proposer une alternative libre, sécurisée et moderne à des logiciels d’administration distante comme telnet et rlogin.
On peut peut-être considérer qu’il a réussi, non ?
Surtout que de nos jours, on ne peut plus trop se permettre d’utiliser telnet et rlogin pour de l’administration distante…
J’aurais juste mis « propose ».
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Pour ceux qui n’ont pas envie de lire un article long en anglais (quoiqu’intéressant), un résumé très très grossier : évitez de monter dans un 737 Max, il est défectueux par conception.
Résumé un peu moins grossier
Le 737 Max est équipé d’un moteur trop gros, donc mal placé pour ne pas frotter par terre, et ce pour des raisons financières (coût de développement d’un avion significativement différent, coût de (re)formation des pilotes…).
En conséquence, l’avion a tendance à se cabrer quand on augmente la poussée des moteurs, ce qui augmente le risque de décrochage et serait normalement un défaut rédhibitoire, mais est censé être corrigé par un logiciel, appelé MCAS (signifiant « système d’augmentation des caractéristiques de manœuvre »).
Ce logiciel non débrayable par les pilotes (alors que l’équivalent pour un avion de tourisme l’est !) est censé compenser le défaut et plus généralement prévenir le décrochage, mais il ne se base sur la mesure que d’un seul des deux capteurs d’angle d’incidence dans l’air (et aucune autre indication qui pourrait être contradictoire), alors que ceux‐ci ne sont pas fiables à 100 %.
En conséquence, si le capteur donne des indications erronées, le MCAS peut faire piquer l’avion vers le sol sans que les pilotes puissent reprendre la main, crasher l’avion et tuer tout le monde, d’ailleurs c’est ce qui est déjà arrivé. Merci d’avoir fait confiance à notre compagnie pour votre dernier voyage.
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Ça, c'est un constat, pas une explication. La vraie question, c'est plutôt : est-ce que ce constat est la conséquence de la présence d'un chromosome X chez les garçons (ou d'un deuxième chromosome Y chez les filles) ou est-ce la conséquence d'une construction sociale ?
Une question concomitante : pourquoi est‐ce que la biologie ne t’a pas plus intéressé (en particulier la génétique) ?
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Lorsqu’un fichier ouvert en lecture ou écriture est supprimé, il est déréférencé du répertoire, mais il n’est pas réellement supprimé. Il est maintenu sur le système de fichiers (sa place n’est pas récupérée) jusqu’à ce qu’il soit fermé (ou à la limite que le programme qui le maintien ouvert se termine), et c’est à lui que continue d’accéder le programme qui l’a ouvert, quand bien même un nouveau fichier du même nom le remplacerait dans son répertoire.
Dans le cas d’une bibliothèque ou d’une ressource quelconque, c’est un comportement clairement souhaitable. Si on empêchait tout remplacement d’un fichier utilisé, ça rendrait les mises à jour difficiles. Si un fichier était changé par un autre pendant qu’il est utilisé, ça causerait des problèmes de stabilité.
Dans la plupart des cas, on n’a pas à se préoccuper de fonctionnement, mais c’est mieux quand même d’en être conscient pour certains cas particuliers.
Par exemple, si un log remplit la partition et qu’on se dit qu’on va le supprimer pour faire de la place, il continue d’exister tant qu’on a pas relancé le service qui écrit dedans.
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Manifestement, dans les outils cités, il n'y à rien pour gérer les dépendances des services, ni même pour vérifier que tous les pré-requis pour lancer le daemon final sont présents.
Sur quelle distribution utilises-tu runit ?
Il me semble que Void Linux utilise runit nativement.
Cette distribution peut donc être un bon choix si on veut utiliser runit (on peut supposer qu’il est déjà configuré, au moins en bonne partie).
À défaut, ça peut toujours être intéressant de l’installer sur une machine virtuelle, pour regarder comment runit est configuré dessus. Ou même carrément d’en récupérer la configuration et les unités runit.
(Tout ça, à moins que tu n’utilises déjà Void Linux et ne parles là que de ce qu’il reste à configurer ; dans ce cas Void Linux serait moins fini que ce que j’aurais pensé.)
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Si tu connais quelqu’un qui a un graveur DVD, tu pourrais lui demander de copier la fameuse face A sur un DVD-R (après, il faut voir comment ton lecteur lit les DVD-R).
Mais si tu as une connexion Internet correcte, tu peux aussi bien télécharger les distributions et les mettre sur une clé USB (avec Rufus, il me semble, pour avoir une clé bootable).
Concernant le choix de la distribution, je pense que le plus important est de choisir un environnement graphique qui te convient.
Après certains environnements graphiques conditionnement plus ou moins le choix de la distribution. Pour Gnome avec le dock d’Ubuntu, Ubuntu, pour Cinnamon, plutôt Linux Mint ; pour Gnome, c’est certainement Fedora qui te donnera la version la plus aboutie et pour KDE, openSUSE.
D’autres environnements graphiques, comme Xfce, sont disponibles avec une qualité similaire sur la plupart des distributions, après l’installation ou mieux comme variante disponible en live (Xubuntu, ou le spin Fedora).
Si l’environnement graphique que tu préfères te laisse une marge de choix, les critères suivants sont selon moi le temps de support, la fraîcheur des logiciels (les deux étant souvent contradictoires), la communauté (au cas où tu aurais besoin d’aide).
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Posté par Arthur Accroc .
En réponse au message DVD Linux.
Évalué à 2.
Dernière modification le 05 avril 2019 à 10:10.
Moralité le prob vient de mon lecteur, mais je comprend toujours pas pourquoi un coté fonctionne, pas l'autre.
J’ai un lecteur Blu-Ray de salon qui fonctionne sans souci pour les Blu-Ray, mais n’est pas fichu de lire entre un tiers et la moitié de mes DVD (éventuellement, il commence à les lire et ça foire après)…
C’est toujours les mêmes qui posent problème et toujours au même stade.
Il faut croire que certains pressages de DVD sont moins faciles à lire pour un mauvais lecteur Blu-Ray.
Le laser utilisé par un lecteur Blu-Ray (bleu) n’est pas le même que celui d’un lecteur DVD (rouge) ou CD (infrarouge), mais le lecteur est censé s’adapter.
S’il n’arrive pas à le faire avec un ou deux, c’est peut-être leur pressage qui est mauvais. S’il n’est pas fichu de le faire avec quasiment la moitié comme le mien, c’est certainement lui qui l’est.
Les DVD double face et double couche ne sont peut-être pas les plus faciles à réaliser pour un pressage de qualité. En tout cas, le fait que ça n’ait pas mieux fonctionné pour toi avec un autre exemplaire tendrait à démontrer que le processus de production est cohérent.
Moralité, il aurait mieux valu que tu trouves une compilation de distributions sur Blu-Ray ou que tu aies un portable plus bas de gamme avec juste un lecteur DVD…
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Justement, ces normes en question sont promeus par… l'Open Group, une sorte d'association de boîtes plus ou moins grosses.
Je l’avais oublié. Avec la disparition de beaucoup des Unix historiques, voire des boîtes qui les vendaient (Sun, Digital, Silicon Graphics…), j’aurais pensé qu’il n’existait plus.
VMS, l’Open Group… le passé revient en force !
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Dans mon esprit la liste était découpée en zones géographiques, par exemple par bureau de vote.
Effectivement, comme ça, tricher serait beaucoup plus risqué. Encore qu’on peut toujours prétexter un bug. Après la fois en Belgique où à un endroit, il y avait eu beaucoup plus de votes que d’électeurs, ce serait crédible.
Affecter les numéros avant le vote serait encore plus efficace pour limiter les risques. Il me semble que c’est ce qui est fait pour les élections professionnelles à distance. Mais je ne crois pas que ce soit avec affichage public des votes par numéro avec le décompte.
Dans ce cas, ça n’exclut pas qu’on affiche quelque chose à l’électeur, mais que par ailleurs le compte présenté soit totalement bidon.
Il faut une solution où chaque électeur a une clef privée.
Le vote par isoloir et bulletin physique a le mérite de garantir à la fois à l’électeur que :
– c’est bien son bulletin qui est mis dans l’urne ;
– personne ne peut faire pression sur lui pour connaître son vote (bon, sauf si tout le monde à son bureau de vote a voté la même chose).
Les deux sont importants, mais il me paraît très difficilement possible de les garantir à la fois avec un système de vote électronique.
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Je me suis demandé en consultant le lien en quoi « OpenVMS » était plus « Open » que « VMS » tout court, vu que c’est manifestement toujours propriétaire et commercial.
La page Wikipédia que tu référence l’explique : « Puis il est à nouveau rebaptisé, OpenVMS, en 1991, marquant ainsi l'adhésion à des normes industrielles comme POSIX ou Unix. »
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Un moyen de garantir le non bricolage est que la liste des votes soit publiée (par exemple avec un numéro aléatoire par bulletin, dans un format informatique permettant à chacun de refaire le calcul), afin que chaque électeur puisse constater que son vote est bien le bon en comparant avec un ticket imprimé lors de son vote.
Il suffit juste d’indiquer le même numéro « aléatoire » à plusieurs électeurs qui ont voté pour le « mauvais » candidat. Et ça te laisse la marge pour placer de faux votes pour le « bon ». Sur la taille de la population et avec une bonne répartition géographique, le risque que deux personnes qui se connaissent aient le même numéro peut être minimisé, et le principe n’est pas de communiquer son numéro aux autres, ce qui fait encore baisser le risque que des gens se rendent compte de la triche.
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c'est le genre d'émission ou il faudrait tester le QI des téléspectateurs AVANT et APRES chaque émission pour voir dans quel sens cela évolue …
A chaque fois […]
Là, du coup, je m’inquiètes pour toi. Arrête vite ! Avant que ton QI ne soit assez bas pour que tu apprécies ces émissions au premier degré. Là, tu auras dépassé le point de non retour.
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Je n’ai encore jamais vu le cas avec le contrôleur SATA, mais j’ai vu plusieurs fois l’affichage déconner complètement voire planter net, juste pour une régression dans le pilote du noyau ou de X.org.
Ça pourrait quand même valoir le coup de tester avec un système live datant d’avant le moment où tu as commencé à avoir des problèmes, juste pour être sûr.
Ça pourrait aussi valoir le coup de vérifier s’il n’y a pas une mise à jour du firmware concernant ta carte mère. Une carte mère qui déconne à cause d’un firmware bogué, ça s’est déjà vu.
Une mauvaise soudure est possible aussi. Mais refaire les soudures sur une carte multicouche et pour des composants de surface sans rien détériorer n’est pas trivial.
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Si c’est une machine fixe je commencerais par changer le câble SATA (voire de port SATA). Ce n’est pas peut-être pas la source la plus probable du problème, mais comme c’est le moins coûteux, ça vaut toujours le coup d’essayer (rien que débrancher et rebrancher le même câble m’a parfois résolu un souci de faux contact).
Lire le résultat de smartmontool est dur, même pour un utilisateur habitué, vu que les seuils sont dépendants des constructeurs (en plus faire un check complet va énormément solliciter le disque).
GSmartControl est bien : quand on laisse le pointeur souris sur un attribut, il affiche une description.
S’il n’indique rien de suspect, ça peut valoir le coup d’essayer le disque sur un autre PC (pas en démarrant dessus, au cas où ce serait lié au système) ou un autre disque sur celui-ci, au cas où ce serait le contrôleur SATA du PC qui poserait problème. Néanmoins, si un tel test ne montre pas que c’est lié au PC, c’est bien que c’est lié au disque.
En considérant que le disque a un souci, comme le conseille _kaos_, je copierais les données les plus importantes.
Puis je ferais une copie brute des partitions par ordre d’importance de leur contenu avec GNU ddrescue sur un disque assez gros pour les accueillir (ça sollicite moins le disque qu’une lecture par fichiers), de préférence une première passe avec l’option -n et si elle ne peut pas tout lire une deuxième avec les options -d -r3 (voir les exemples de la documentation au format info).
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Du côté de Chromium, autant en standard il est calamiteux en chargeant tous les onglets, autant il devient bien plus intéressant avec l’extension Lazy Tabs :
– il ne charge plus tous les onglets immédiatement, mais seulement quand on les clique ;
– quand on clique sur l’icône, cela décharge les autres onglets que le courant.
Quand on a ouvert par exemple des services Google, comme Google Maps ou Youtube, décharger leurs onglets libère instantanément une grosse quantité de mémoire (ce qui n’est pas forcément le cas avec Firefox, soit qu’il tarde à faire passer son garbage collector, soit qu’il préfère conserver la mémoire dans la perspective de la réutiliser plus tard).
Je ne dis pas cependant que Chromium consomme moins que Firefox à utilisation identique. Je ne peux même pas en avoir une utilisation identique : après un certain nombre d’onglets (atteint plus vite sur l’écran de mon portable du fait de sa faible définition), les onglets les plus à droite ne sont plus visibles…
Et comme toi je fais le constat que ce problème est relativement récent. 1 ou 2 ans grand maximum, pourtant j'ai toujours eu des dizaines d'onglets ouverts. Donc soit le web est devenu ingérable à cause des des frameworks JS front, soit y'a un soucis dans Firefox, ou le noyau, ou les trois…
Pour les navigateurs, la consommation mémoire est clairement liée aux sites. En termes de charge mémoire comme CPU, Google Maps, par exemple, est vraiment beaucoup plus lourd que les anciennes versions. Le mot qui m’est venu à l’esprit lors de son changement de version le plus marquant a été « sabotage ». Fermer ou décharger les onglets de ce genre de sites sous Chromium permet bien de se rendre compte de leur consommation mémoire.
Pour le fait que quand on a atteint la limite de la mémoire physique, le système s’écroule d’un coup au lieu de juste se ralentir et qu’on ait encore suffisamment la main pour fermer sereinement des applications, j’aimerais bien avoir l’explication…
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J’ajouterais le conseil de mettre la localisation dans le sujet, comme ça on la voit aussitôt et encore quand le post est passé en négatif. Ça permettrait d’attirer les intéressés et d’éviter aux autres de perdre leur temps.
Surtout que là, c’est la localisation qui fait l’attrait (en tout cas pour les autochtones) : des boulots d’informaticiens à Caen, il y en a beaucoup moins qu’à Paris.
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[^] # Proportionnelle, mais pas tout à fait
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Élections européennes de 2019. Évalué à 8.
Le problème, c’est qu’avec la règle des 5 %, s’il fait moins (ce qui semble à craindre d’après les sondages), ce sera des voix perdues et un peu plus de place pour les représentants de l’oligarchie.
Du coup, si tu veux des élus qui ne servent pas (que) les ultra-riches et les très grosses entreprises, ça laisse beaucoup moins de choix (il faut déjà qu’ils soient élus avec les règles en vigueur, quoiqu’on en pense)…
Je regrette, compte tenu de cette règle des 5 %, que les partis de gauche (je ne parle donc pas du PS) ne se soient pas alliés. La diversité, c’est bien, mais seulement si elle a une chance d’être encore là à l’arrivée.
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[^] # Re: On s'en fout de Linux, c'est un kernel interchangeable.
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Windows est enfin prêt pour le desktop . Évalué à 4.
En tout cas, c’est possible puisque ça a déjà été fait.
Par contre, il ne semble pas y avoir de version à jour.
Peut-être est-ce plus compliqué à partir d’une Debian maintenant qu’elle est basée sur systemd. Ce qui n’empêcherait pas pour autant de faire une distribution GNU/kFreeBSD sans systemd, comme les (quelques) distributions GNU/Linux sans systemd qui existent encore (Void Linux, Devuan…).
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# IPv6 sans filtre
Posté par Arthur Accroc . En réponse au lien sortez couverts avec votre Freebox, en IPV6. Évalué à 9. Dernière modification le 11 mai 2019 à 11:42.
Il y a aussi ce lien qui concerne IPv6.
En gros (d’après le lien de l’auteur), la Freebox ne propose pas de filtrage de l’IPv6, tous les appareils le supportant sont donc accessibles directement depuis Internet et de plus (d’après mon lien) désactiver IPv6 semblerait ne pas fonctionner.
À l’époque de « l’Internet des objets » mal sécurisés, l’absence de possibilité de filtrage d’IPv6 est selon moi une grosse tare. Rappelons le discours habituel selon lequel l’utilisation d’adresses privées en IPv4 n’apporte pas plus de sécurité que le filtrage en IPv6. Oui, mais à condition d’en avoir un.
Je savais depuis longtemps que ce n’était pas le cas de ma Freebox, mais je pensais que ça ne concernait que les anciennes comme elle (que je soupçonne d’être laissées un peu à l’abandon), mais le signalement concerne une Freebox plus récente. Il faut croire que la sécurité informatique de ses utilisateurs n’est pas la préoccupation principale de Free.
Devoir pour avoir une sécurité décente ajouter un routeur Ethernet et Wi‐Fi a une Freebox louée de plus en plus cher et éventuellement déjà constituée de deux appareils, ça devient lourd, pour la consommation, pour l’encombrement et pour le portefeuille. De plus, si c’est facile pour un informaticien, ça ne l’est pas forcément pour monsieur tout le monde.
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# Solaris
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Shebang #!/usr/bin/env sh : testé et approuvé. Évalué à 4.
Rien n’est complètement garanti.
La dernière fois que j’ai essayé openindiana, il y a quelques années seulement, il conservait encore comme /bin/sh un ksh antédiluvien et notoirement buggé, paraît‐il pour garantir la compatibilité à des logiciels qui en dépendent étroitement…
Et ce n’est pas que ce shell fasse des choses en plus par rapport à la norme POSIX, c’est qu’il en fait moins.
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[^] # Re: Mouais...
Posté par Arthur Accroc . En réponse au lien Facebook compte activer par défaut le chiffrement de bout en bout des conversations sur Messenger. Évalué à 4.
Il est indiqué en fin d’article que « Facebook a également expliqué qu’il était en train de supprimer les données indûment récoltées ».
Après, on n’est peut-être pas à l’abri d’une autre « erreur »…
Facebook, c’est un peu l’inverse de MySpace, qui, en cas d’« erreur », perd des données.
L’autre truc énorme, c’est que Facebook ait jusqu’à récemment demandé les mots de passe du compte mail externe de nouveaux utilisateurs pour valider leur inscription.
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# Bien visé ! Non ???
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Parution d’OpenSSH 8.0. Évalué à 3.
On peut peut-être considérer qu’il a réussi, non ?
Surtout que de nos jours, on ne peut plus trop se permettre d’utiliser telnet et rlogin pour de l’administration distante…
J’aurais juste mis « propose ».
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# 737 Too Much
Posté par Arthur Accroc . En réponse au lien Le Boeing 737 Max et les limites du logiciel avec un matériel mal conçu. Évalué à 10.
Pour ceux qui n’ont pas envie de lire un article long en anglais (quoiqu’intéressant), un résumé très très grossier : évitez de monter dans un 737 Max, il est défectueux par conception.
Résumé un peu moins grossier
Le 737 Max est équipé d’un moteur trop gros, donc mal placé pour ne pas frotter par terre, et ce pour des raisons financières (coût de développement d’un avion significativement différent, coût de (re)formation des pilotes…).
En conséquence, l’avion a tendance à se cabrer quand on augmente la poussée des moteurs, ce qui augmente le risque de décrochage et serait normalement un défaut rédhibitoire, mais est censé être corrigé par un logiciel, appelé MCAS (signifiant « système d’augmentation des caractéristiques de manœuvre »).
Ce logiciel non débrayable par les pilotes (alors que l’équivalent pour un avion de tourisme l’est !) est censé compenser le défaut et plus généralement prévenir le décrochage, mais il ne se base sur la mesure que d’un seul des deux capteurs d’angle d’incidence dans l’air (et aucune autre indication qui pourrait être contradictoire), alors que ceux‐ci ne sont pas fiables à 100 %.
En conséquence, si le capteur donne des indications erronées, le MCAS peut faire piquer l’avion vers le sol sans que les pilotes puissent reprendre la main, crasher l’avion et tuer tout le monde, d’ailleurs c’est ce qui est déjà arrivé. Merci d’avoir fait confiance à notre compagnie pour votre dernier voyage.
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[^] # Re: Et si on leur demandait ?
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Pourquoi les femmes ont déserté l’informatique dans les années 1980. Évalué à 8. Dernière modification le 22 avril 2019 à 13:16.
Une question concomitante : pourquoi est‐ce que la biologie ne t’a pas plus intéressé (en particulier la génétique) ?
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[^] # Suppression (ou remplacement) d’un fichier ouvert
Posté par Arthur Accroc . En réponse au message que ce passe t'il quand on fait des mises à jour sur un programme qui en cours d'exécution. Évalué à 4.
Lorsqu’un fichier ouvert en lecture ou écriture est supprimé, il est déréférencé du répertoire, mais il n’est pas réellement supprimé. Il est maintenu sur le système de fichiers (sa place n’est pas récupérée) jusqu’à ce qu’il soit fermé (ou à la limite que le programme qui le maintien ouvert se termine), et c’est à lui que continue d’accéder le programme qui l’a ouvert, quand bien même un nouveau fichier du même nom le remplacerait dans son répertoire.
Dans le cas d’une bibliothèque ou d’une ressource quelconque, c’est un comportement clairement souhaitable. Si on empêchait tout remplacement d’un fichier utilisé, ça rendrait les mises à jour difficiles. Si un fichier était changé par un autre pendant qu’il est utilisé, ça causerait des problèmes de stabilité.
Dans la plupart des cas, on n’a pas à se préoccuper de fonctionnement, mais c’est mieux quand même d’en être conscient pour certains cas particuliers.
Par exemple, si un log remplit la partition et qu’on se dit qu’on va le supprimer pour faire de la place, il continue d’exister tant qu’on a pas relancé le service qui écrit dedans.
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# Void Linux
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Gestion des services avec runit. Évalué à 2.
Sur quelle distribution utilises-tu runit ?
Il me semble que Void Linux utilise runit nativement.
Cette distribution peut donc être un bon choix si on veut utiliser runit (on peut supposer qu’il est déjà configuré, au moins en bonne partie).
À défaut, ça peut toujours être intéressant de l’installer sur une machine virtuelle, pour regarder comment runit est configuré dessus. Ou même carrément d’en récupérer la configuration et les unités runit.
(Tout ça, à moins que tu n’utilises déjà Void Linux et ne parles là que de ce qu’il reste à configurer ; dans ce cas Void Linux serait moins fini que ce que j’aurais pensé.)
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[^] # Nom…
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Mise à jour parties pour Mageia 7. Évalué à 3. Dernière modification le 11 avril 2019 à 04:24.
Tu donnes le nom que tu veux, effectivement. Et je ne prétends pas en avoir de meilleur.
En première lecture, cependant, je me suis demandé où les mises à jour étaient parties…
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[^] # Une idée
Posté par Arthur Accroc . En réponse au message DVD Linux. Évalué à 3.
Si tu connais quelqu’un qui a un graveur DVD, tu pourrais lui demander de copier la fameuse face A sur un DVD-R (après, il faut voir comment ton lecteur lit les DVD-R).
Mais si tu as une connexion Internet correcte, tu peux aussi bien télécharger les distributions et les mettre sur une clé USB (avec Rufus, il me semble, pour avoir une clé bootable).
Concernant le choix de la distribution, je pense que le plus important est de choisir un environnement graphique qui te convient.
Après certains environnements graphiques conditionnement plus ou moins le choix de la distribution. Pour Gnome avec le dock d’Ubuntu, Ubuntu, pour Cinnamon, plutôt Linux Mint ; pour Gnome, c’est certainement Fedora qui te donnera la version la plus aboutie et pour KDE, openSUSE.
D’autres environnements graphiques, comme Xfce, sont disponibles avec une qualité similaire sur la plupart des distributions, après l’installation ou mieux comme variante disponible en live (Xubuntu, ou le spin Fedora).
Si l’environnement graphique que tu préfères te laisse une marge de choix, les critères suivants sont selon moi le temps de support, la fraîcheur des logiciels (les deux étant souvent contradictoires), la communauté (au cas où tu aurais besoin d’aide).
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[^] # Re: Problème matériel ?
Posté par Arthur Accroc . En réponse au message DVD Linux. Évalué à 2. Dernière modification le 05 avril 2019 à 10:10.
J’ai un lecteur Blu-Ray de salon qui fonctionne sans souci pour les Blu-Ray, mais n’est pas fichu de lire entre un tiers et la moitié de mes DVD (éventuellement, il commence à les lire et ça foire après)…
C’est toujours les mêmes qui posent problème et toujours au même stade.
Il faut croire que certains pressages de DVD sont moins faciles à lire pour un mauvais lecteur Blu-Ray.
Le laser utilisé par un lecteur Blu-Ray (bleu) n’est pas le même que celui d’un lecteur DVD (rouge) ou CD (infrarouge), mais le lecteur est censé s’adapter.
S’il n’arrive pas à le faire avec un ou deux, c’est peut-être leur pressage qui est mauvais. S’il n’est pas fichu de le faire avec quasiment la moitié comme le mien, c’est certainement lui qui l’est.
Les DVD double face et double couche ne sont peut-être pas les plus faciles à réaliser pour un pressage de qualité. En tout cas, le fait que ça n’ait pas mieux fonctionné pour toi avec un autre exemplaire tendrait à démontrer que le processus de production est cohérent.
Moralité, il aurait mieux valu que tu trouves une compilation de distributions sur Blu-Ray ou que tu aies un portable plus bas de gamme avec juste un lecteur DVD…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Québécois
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Nouvelles fonctionnalités radicales pour Telegram. Évalué à 3.
Les Québécois remplacent-ils tous les mots d’une syllabe par des mots de quatre ?
Ça doit drôlement rallonger les conversations… ☺
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Je suis à l'ouest.
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche L’ultime challenge LinuxFr.org. Évalué à 2.
Quoi ??? Le changement d’heure, ce n’était pas un poisson d’avril ?
M… ! Alors c’est pour ça que mes collègues sont tous arrivés avant moi aujourd’hui…
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[^] # Re: Mais si. Mais pas l'« Open » qu'on croit.
Posté par Arthur Accroc . En réponse au lien Boot de (Open)VMS sur processeur x86 dans sa phase finale. Évalué à 2.
Je l’avais oublié. Avec la disparition de beaucoup des Unix historiques, voire des boîtes qui les vendaient (Sun, Digital, Silicon Graphics…), j’aurais pensé qu’il n’existait plus.
VMS, l’Open Group… le passé revient en force !
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[^] # Re: Numéro aléatoire ?
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Revue de presse de l’April pour la semaine 12 de l’année 2019. Évalué à 3.
Effectivement, comme ça, tricher serait beaucoup plus risqué. Encore qu’on peut toujours prétexter un bug. Après la fois en Belgique où à un endroit, il y avait eu beaucoup plus de votes que d’électeurs, ce serait crédible.
Affecter les numéros avant le vote serait encore plus efficace pour limiter les risques. Il me semble que c’est ce qui est fait pour les élections professionnelles à distance. Mais je ne crois pas que ce soit avec affichage public des votes par numéro avec le décompte.
Dans ce cas, ça n’exclut pas qu’on affiche quelque chose à l’électeur, mais que par ailleurs le compte présenté soit totalement bidon.
Le vote par isoloir et bulletin physique a le mérite de garantir à la fois à l’électeur que :
– c’est bien son bulletin qui est mis dans l’urne ;
– personne ne peut faire pression sur lui pour connaître son vote (bon, sauf si tout le monde à son bureau de vote a voté la même chose).
Les deux sont importants, mais il me paraît très difficilement possible de les garantir à la fois avec un système de vote électronique.
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[^] # « Open » ?
Posté par Arthur Accroc . En réponse au lien Boot de (Open)VMS sur processeur x86 dans sa phase finale. Évalué à 4.
Je me suis demandé en consultant le lien en quoi « OpenVMS » était plus « Open » que « VMS » tout court, vu que c’est manifestement toujours propriétaire et commercial.
La page Wikipédia que tu référence l’explique : « Puis il est à nouveau rebaptisé, OpenVMS, en 1991, marquant ainsi l'adhésion à des normes industrielles comme POSIX ou Unix. »
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# Temps de support
Posté par Arthur Accroc . En réponse au lien Installation d’un poste de travail entreprise CentOS 7 KDE. Évalué à 2.
Le temps de support de la RHEL et de la CentOS est un argument fort quand elles viennent de sortir.
Quand on est presque cinq ans après, que le temps de support s’est rogné d’autant, et qu’il n’y a pas de nouvelle version, c’est moins percutant…
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[^] # Numéro aléatoire ?
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Revue de presse de l’April pour la semaine 12 de l’année 2019. Évalué à 3. Dernière modification le 29 mars 2019 à 07:29.
Il suffit juste d’indiquer le même numéro « aléatoire » à plusieurs électeurs qui ont voté pour le « mauvais » candidat. Et ça te laisse la marge pour placer de faux votes pour le « bon ». Sur la taille de la population et avec une bonne répartition géographique, le risque que deux personnes qui se connaissent aient le même numéro peut être minimisé, et le principe n’est pas de communiquer son numéro aux autres, ce qui fait encore baisser le risque que des gens se rendent compte de la triche.
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[^] # Je suis inquiet pour toi !
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Il y a six mois Linus décidait de changer, a‐t‐il réussi ?. Évalué à 2.
Là, du coup, je m’inquiètes pour toi. Arrête vite ! Avant que ton QI ne soit assez bas pour que tu apprécies ces émissions au premier degré. Là, tu auras dépassé le point de non retour.
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[^] # Re: ata bus error
Posté par Arthur Accroc . En réponse au message pb disque dur sata. Évalué à 2.
Je n’ai encore jamais vu le cas avec le contrôleur SATA, mais j’ai vu plusieurs fois l’affichage déconner complètement voire planter net, juste pour une régression dans le pilote du noyau ou de X.org.
Ça pourrait quand même valoir le coup de tester avec un système live datant d’avant le moment où tu as commencé à avoir des problèmes, juste pour être sûr.
Ça pourrait aussi valoir le coup de vérifier s’il n’y a pas une mise à jour du firmware concernant ta carte mère. Une carte mère qui déconne à cause d’un firmware bogué, ça s’est déjà vu.
Une mauvaise soudure est possible aussi. Mais refaire les soudures sur une carte multicouche et pour des composants de surface sans rien détériorer n’est pas trivial.
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[^] # GSmartControl
Posté par Arthur Accroc . En réponse au message pb disque dur sata. Évalué à 4.
Si c’est une machine fixe je commencerais par changer le câble SATA (voire de port SATA). Ce n’est pas peut-être pas la source la plus probable du problème, mais comme c’est le moins coûteux, ça vaut toujours le coup d’essayer (rien que débrancher et rebrancher le même câble m’a parfois résolu un souci de faux contact).
GSmartControl est bien : quand on laisse le pointeur souris sur un attribut, il affiche une description.
S’il n’indique rien de suspect, ça peut valoir le coup d’essayer le disque sur un autre PC (pas en démarrant dessus, au cas où ce serait lié au système) ou un autre disque sur celui-ci, au cas où ce serait le contrôleur SATA du PC qui poserait problème. Néanmoins, si un tel test ne montre pas que c’est lié au PC, c’est bien que c’est lié au disque.
En considérant que le disque a un souci, comme le conseille _kaos_, je copierais les données les plus importantes.
Puis je ferais une copie brute des partitions par ordre d’importance de leur contenu avec GNU ddrescue sur un disque assez gros pour les accueillir (ça sollicite moins le disque qu’une lecture par fichiers), de préférence une première passe avec l’option -n et si elle ne peut pas tout lire une deuxième avec les options -d -r3 (voir les exemples de la documentation au format info).
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[^] # Re: Comment fonctionne "OOM Killer" et la gestion de la saturation du processeur et de la mémoire ?
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Sortie du noyau Linux 5.0. Évalué à 5.
Du côté de Chromium, autant en standard il est calamiteux en chargeant tous les onglets, autant il devient bien plus intéressant avec l’extension Lazy Tabs :
– il ne charge plus tous les onglets immédiatement, mais seulement quand on les clique ;
– quand on clique sur l’icône, cela décharge les autres onglets que le courant.
Quand on a ouvert par exemple des services Google, comme Google Maps ou Youtube, décharger leurs onglets libère instantanément une grosse quantité de mémoire (ce qui n’est pas forcément le cas avec Firefox, soit qu’il tarde à faire passer son garbage collector, soit qu’il préfère conserver la mémoire dans la perspective de la réutiliser plus tard).
Je ne dis pas cependant que Chromium consomme moins que Firefox à utilisation identique. Je ne peux même pas en avoir une utilisation identique : après un certain nombre d’onglets (atteint plus vite sur l’écran de mon portable du fait de sa faible définition), les onglets les plus à droite ne sont plus visibles…
Pour les navigateurs, la consommation mémoire est clairement liée aux sites. En termes de charge mémoire comme CPU, Google Maps, par exemple, est vraiment beaucoup plus lourd que les anciennes versions. Le mot qui m’est venu à l’esprit lors de son changement de version le plus marquant a été « sabotage ». Fermer ou décharger les onglets de ce genre de sites sous Chromium permet bien de se rendre compte de leur consommation mémoire.
Pour le fait que quand on a atteint la limite de la mémoire physique, le système s’écroule d’un coup au lieu de juste se ralentir et qu’on ait encore suffisamment la main pour fermer sereinement des applications, j’aimerais bien avoir l’explication…
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[^] # Localisation dans le sujet
Posté par Arthur Accroc . En réponse au message Emploi en CDI - Administrateur systèmes et réseaux Linux. Évalué à 2.
J’ajouterais le conseil de mettre la localisation dans le sujet, comme ça on la voit aussitôt et encore quand le post est passé en négatif. Ça permettrait d’attirer les intéressés et d’éviter aux autres de perdre leur temps.
Surtout que là, c’est la localisation qui fait l’attrait (en tout cas pour les autochtones) : des boulots d’informaticiens à Caen, il y en a beaucoup moins qu’à Paris.
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