"Moi, si j'achètes un laptop, je payes effectivement un OS que je ne vais pas utiliser, mais ça ne fera pas une différence de prix significative avec un équivalent nu"
Parce que c'est sous pression MS. MS vend son OS très chère, de l'ordre de 100€. C'est facile de menacer de faire sauter une remise si une machine est vendu sans OS.
Le problème de l'OS est exactement le même que le problème du navigateur internet, sauf qu'il y a un tier, le constructeur HW, sous influence de MS.
"L'idée qu'il serait mieux d'acheter son OS séparément, c'est un peu comme acheter ses pneus séparément quand on achète une voiture : c'est une lubie de hobbyiste, mais ça fait chier la majorité des acheteurs."
Non, c'est comme acheter une assurance en même temps que sa voiture : cela ne viendrait à l'idée de personne !
À ton avis, pourquoi ? Probablement parce que les ventes étaient décevantes, ou qu'il y avait beaucoup de retour de clients insatisfaits…
Parce que microsoft a ressorti une version de XP à 30€ pour les OEM ?
Pour mémoire, les 2 premiers jeu d'instruction RISC était SPARC et MIPS. Ils étaient très simple, donc rapide, et petit. Ils sont fait leur effets à leur sorti. Avec l'arrivé du superscalaire, l'avantage de leur taille a disparu (le gain dû à un décodeur simple étant masqué par la gestion des unités multiples).
RISC était à l'opposé du CISC qui avait des instructions tellement complexes qu'un compilateur ne savait pas les utilisé. Donc, ces instructions ont été vu comme inutiles.
De plus, le RISC a une "architecture load/store", cela veut dire que tout se faire depuis et/ou vers un registre. Cela veut dire que l'unité de mémoire est au même niveau que l'ALU dans le pipeline, dans un CISC, on peut faire des accès mémoire, puis une opération, puis une opération mémoire, cela signifie un pipeline très long. Donc, une grosse latence potentielle entre 2 instructions dépendantes, et tout ça, pour des opérations pas si courantes.
"Je ne vois pas en quoi c'est trompeur de livrer un PC avec un OS préinstallé,"
Ce n'est pas trompeur, c'est surtout de l'abus de position dominante par microsoft.
"La demande séparation du prix sur la facture est aussi bizarre, on ne demande pas le prix du logiciel de sa machine à laver, de son GPS ou de son smartphone, pourquoi celui de son PC ?"
Parce que c'est très facile à changer, parce qu'une machine à laver, lave le linge et n’exécute pas des logiciels.
C'est vrai que souvent le vrai travail à faire est très flou, ici, j'avais du mal à comprendre qu'il s'agissait de dev ou de tests.
Le but du travail peut être une motivation (hopital vs dernier gadget high tech).
Ce qu'apporte la boite aussi : politique de formation, dev de logiciel libre, présence à des conférences, nouvelle technologies utilisées. C'est important de savoir si on va gagner en compétence ou se rendre obsolète en 2 ans…
En dev web je ne sais pas, mais dans d'autres domaines informatique(embarqué/lourd), le salaire d'un ingé sans responsabilité de 5 ans d'expérience, c'est entre 40/45 k€ à Paris et Paca. Et j'ai l'impression, à vue de nez mouillé, que 40 k€, c'est surtout pour les demoiselles… (et oui, c'est dégueulasse)
Avoir un smartphone plus fin, et un tas de bidule en plus, je ne vois pas l’intérêt.
J'avais eu le cas avec un VAIO, un bidule pour l'écran VGA, un bidule pour le réseau. En gros, avec l'alimentation, il y avait de plus de volume de bidule que d'ordinateur.
C'est assez moche comme code. En Ocaml, le type optionnel est un type somme, ce qui oblige à le décomposer, donc, c'est impossible de l'oublier ou de tomber sur un pointeur nul. Il manque ce filtrage à C++ pour avoir toutes la puissance du truc.
Ensuite, niveau exception je déteste ça. Ne pas trouver quelques choses dans une recherche, peut être un bug ou un cas attendu, j'ai déjà eu des gros problèmes à démêler les 2 cas. Dans le cas de Ocaml, il faudra que les fonctions inclus leur exceptions dans leur signature, cela permettra au moins d'éviter des oublies.
Il ne restera que le bluetooth pour la musique. C'est du mepg1 layer2 à 128kbits, soit très loin de la hifi. Il existe des normes de qualité supérieur, mais il faut trouver le matos qui le gère. Le plus haut standard laisse le casque décodé… J'imagine un casque gérer le bazar des codecs audio…
Des langages comme Smalltack utilisent des contrats qui sont simplement des tests en début et fin de fonctions. Ces tests s’héritent avec l'interface objet.
L’intérêt est de faire confiance à la lib de base, ce qui évite de programmer de façon défensive, ce qui a un coût en perf énorme. Les contrats permettent ici de récupérer les erreurs.
Le problème des types complexes, c'est qu'un humain a du mal à s'en sortir avec. Comprendre simplement les type GADT de Ocaml, n'est pas simple du tout. Et pourtant les possibilités sont limités.
Tu as totalement raison, mais tu es bien français pour ne penser qu'au cas, ou "cela ne marchera jamais".
Il faut par défaut faire confiance au gens, ensuite, rien n’empêche de faire un système de notation par étoile ("fait ce qu'il dit") et de commentaire qui permet de pondérer.
L'abonnement mensuel est soi pour une application, soit pour ta plateforme. Ainsi, tu peux influer plusieurs logiciels à la fois. L'utilisateur vote pour plusieurs bug, mais plus il vote et plus l'argent se dilue. Je ne pense pas qu'il soit bien que l'utilisateur "voit" encore ses sous. Si l'argent n'est pas utilisé, il y a un magot qui se forme pour le prochain bug.
De l'autre coté, les auteurs peuvent attendre un montant certain, avant de se lancer. L'argent est bloqué jusqu'à la livraison.
Tu peux aussi noter une application comme "utile" ou autre j'aime. Ainsi, l'abonnement sert aussi à faire un don mensuel à l'auteur. Mais c'est un don, où tu n'as pas à prendre ta carte à chaque fois.
En gros, les utilisateurs ne doivent pas trop sentir filer leur argent (abonnement, renouvelable tacitement), mais sans se sentir se faire avoir (sans engagement), se faire valoriser, etc…
Les auteurs ont besoin d'un flux d'argent relativement constant et prévisible.
Avec un notion de planning aussi : le temps du dev n'est pas infini, et il peut avoir une conception élastique du temps.
Je présentais uber comme une plateforme qui définit la règle du jeu, et la "force" aussi bien du coté des VTC (prix de la course), que des clients (paiement par CB). Cela rassure de chaque coté.
Tu peux aussi avoir un coté packaging dans les distro. Un LL particulier peut être très chiant à mettre en œuvre par soi-même. Idem pour la doc ou le marketing.
Pour le paiement à x pour 1 bug, pourquoi pas. Mais tu pourrais aussi faire un abonnement, genre maintenance. Cela revient au même, sauf que la décision de s'abonner est prise une fois, il ne faut pas payer à chaque bug. J'imagine que cela peut être sécurisant pour un pro, de s'abonner pour pouvoir influer sur la correction de bugs d'un logiciel important pour son business, mais sans avoir assez de moyen pour payer directement l'auteur.
[^] # Re: Il faut lire
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal [Bookmark] 8 ans de procédure pour... rien. Évalué à 7.
Parce que c'est sous pression MS. MS vend son OS très chère, de l'ordre de 100€. C'est facile de menacer de faire sauter une remise si une machine est vendu sans OS.
Le problème de l'OS est exactement le même que le problème du navigateur internet, sauf qu'il y a un tier, le constructeur HW, sous influence de MS.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Pas vraiment pour rien
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal [Bookmark] 8 ans de procédure pour... rien. Évalué à 10.
On ne va pas refaire l'histoire, mais MS a tué BeOS en leur interdisant le double boot.
Le retour de la mauvaise foi et du FUD…
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Pas vraiment pour rien
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal [Bookmark] 8 ans de procédure pour... rien. Évalué à 9.
Cela veut surtout dire que MS touche 50 à 100€ pour chaque machine, quand cet argent pourrait aller ailleurs.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Pas vraiment pour rien
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal [Bookmark] 8 ans de procédure pour... rien. Évalué à 4.
Non, c'est comme acheter une assurance en même temps que sa voiture : cela ne viendrait à l'idée de personne !
Parce que microsoft a ressorti une version de XP à 30€ pour les OEM ?
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Pas vraiment pour rien
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal [Bookmark] 8 ans de procédure pour... rien. Évalué à 7.
L'interdiction de la vente liée a été explicitement créé pour interdire la vente d'assurance avec la voiture !
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: 2-3 remarques
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le logiciel libre au-delà de x86. Évalué à 8.
Pour mémoire, les 2 premiers jeu d'instruction RISC était SPARC et MIPS. Ils étaient très simple, donc rapide, et petit. Ils sont fait leur effets à leur sorti. Avec l'arrivé du superscalaire, l'avantage de leur taille a disparu (le gain dû à un décodeur simple étant masqué par la gestion des unités multiples).
RISC était à l'opposé du CISC qui avait des instructions tellement complexes qu'un compilateur ne savait pas les utilisé. Donc, ces instructions ont été vu comme inutiles.
De plus, le RISC a une "architecture load/store", cela veut dire que tout se faire depuis et/ou vers un registre. Cela veut dire que l'unité de mémoire est au même niveau que l'ALU dans le pipeline, dans un CISC, on peut faire des accès mémoire, puis une opération, puis une opération mémoire, cela signifie un pipeline très long. Donc, une grosse latence potentielle entre 2 instructions dépendantes, et tout ça, pour des opérations pas si courantes.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Pas vraiment pour rien
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal [Bookmark] 8 ans de procédure pour... rien. Évalué à 9. Dernière modification le 07 septembre 2016 à 14:38.
A priori, il y a eu des irrégularités. Un article au moins est en cours de rédaction. https://twitter.com/fredcuif/status/773490559281496064
Ce n'est pas trompeur, c'est surtout de l'abus de position dominante par microsoft.
Parce que c'est très facile à changer, parce qu'une machine à laver, lave le linge et n’exécute pas des logiciels.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Jet d'encre vs laser ?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal A Savoir: Chez Canon, les cartouches d'encre peuvent désactiver des fonctions de votre scanner!. Évalué à 2.
J'ai aussi une Brother laser n&b, elle doit être à son 2ième toner en… 10 ans. Elle marche toujours.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: .
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Trouver un développeur. Évalué à 1.
tu connais le site des notaires : https://www.immobilier.notaires.fr/fr/conseil-immobilier/Prix%20immobilier%20des%20Notaires%20de%20France?idConseil=132 http://www.notaires.paris-idf.fr/outil/immobilier/prix-et-nombre-de-ventes-paris-idf ?
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Peut-être en changeant la forme / ajoutant des informations plus vendeuses ?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Trouver un développeur. Évalué à 2.
C'est vrai que souvent le vrai travail à faire est très flou, ici, j'avais du mal à comprendre qu'il s'agissait de dev ou de tests.
Le but du travail peut être une motivation (hopital vs dernier gadget high tech).
Ce qu'apporte la boite aussi : politique de formation, dev de logiciel libre, présence à des conférences, nouvelle technologies utilisées. C'est important de savoir si on va gagner en compétence ou se rendre obsolète en 2 ans…
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Salaire brut
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Trouver un développeur. Évalué à 1.
Le web est moins pointu mais tes connaissances sont obsolètes en 2 ans, donc bon…
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Salaire brut
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Trouver un développeur. Évalué à -1.
En dev web je ne sais pas, mais dans d'autres domaines informatique(embarqué/lourd), le salaire d'un ingé sans responsabilité de 5 ans d'expérience, c'est entre 40/45 k€ à Paris et Paca. Et j'ai l'impression, à vue de nez mouillé, que 40 k€, c'est surtout pour les demoiselles… (et oui, c'est dégueulasse)
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Salaire brut
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Trouver un développeur. Évalué à 3.
Pour ma part, j'ai toujours vu du brut annuel pour un poste. 40k€/an pour 5 ans d'expérience, je trouvais ça pas très haut pour un ingénieur.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: moche ?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Gestion de l'erreur - C++ - std::optional. Évalué à 2.
non, bind ne permet pas de vérifier que le cas "vide" est géré.
"La première sécurité est la liberté"
# ?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Trouver un développeur. Évalué à 10.
Le salaire me parait pas énorme mais je crois que le tueur, c'est ça :
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: audio casque
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Grosse fatigue.... Évalué à 2.
Le plus con, c'est un qu'un bon DAC usb, cela coute 100€. Alors qu'un bon DAC sur le SoC d'un téléphone, c'est gratuit ou presque.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: audio casque
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Grosse fatigue.... Évalué à 7.
Avoir un smartphone plus fin, et un tas de bidule en plus, je ne vois pas l’intérêt.
J'avais eu le cas avec un VAIO, un bidule pour l'écran VGA, un bidule pour le réseau. En gros, avec l'alimentation, il y avait de plus de volume de bidule que d'ordinateur.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: audio casque
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Grosse fatigue.... Évalué à 2.
En passant, par l'usb ? Je croyais que le but était de virer un câble ?
"La première sécurité est la liberté"
# moche ?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Gestion de l'erreur - C++ - std::optional. Évalué à 3.
C'est assez moche comme code. En Ocaml, le type optionnel est un type somme, ce qui oblige à le décomposer, donc, c'est impossible de l'oublier ou de tomber sur un pointeur nul. Il manque ce filtrage à C++ pour avoir toutes la puissance du truc.
Ensuite, niveau exception je déteste ça. Ne pas trouver quelques choses dans une recherche, peut être un bug ou un cas attendu, j'ai déjà eu des gros problèmes à démêler les 2 cas. Dans le cas de Ocaml, il faudra que les fonctions inclus leur exceptions dans leur signature, cela permettra au moins d'éviter des oublies.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: audio casque
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Grosse fatigue.... Évalué à 5.
Il ne restera que le bluetooth pour la musique. C'est du mepg1 layer2 à 128kbits, soit très loin de la hifi. Il existe des normes de qualité supérieur, mais il faut trouver le matos qui le gère. Le plus haut standard laisse le casque décodé… J'imagine un casque gérer le bazar des codecs audio…
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: contrats
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Gestion de l'erreur - C++ - std::optional. Évalué à 2.
Des langages comme Smalltack utilisent des contrats qui sont simplement des tests en début et fin de fonctions. Ces tests s’héritent avec l'interface objet.
L’intérêt est de faire confiance à la lib de base, ce qui évite de programmer de façon défensive, ce qui a un coût en perf énorme. Les contrats permettent ici de récupérer les erreurs.
Le problème des types complexes, c'est qu'un humain a du mal à s'en sortir avec. Comprendre simplement les type GADT de Ocaml, n'est pas simple du tout. Et pourtant les possibilités sont limités.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: "le libre ça pue"
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Aseprite devient propriétaire. Évalué à 2.
Tu as totalement raison, mais tu es bien français pour ne penser qu'au cas, ou "cela ne marchera jamais".
Il faut par défaut faire confiance au gens, ensuite, rien n’empêche de faire un système de notation par étoile ("fait ce qu'il dit") et de commentaire qui permet de pondérer.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: "le libre ça pue"
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Aseprite devient propriétaire. Évalué à 2.
C'est du don "classique", on parle de méthodes différentes.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: "le libre ça pue"
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Aseprite devient propriétaire. Évalué à 4. Dernière modification le 02 septembre 2016 à 13:58.
L'abonnement mensuel est soi pour une application, soit pour ta plateforme. Ainsi, tu peux influer plusieurs logiciels à la fois. L'utilisateur vote pour plusieurs bug, mais plus il vote et plus l'argent se dilue. Je ne pense pas qu'il soit bien que l'utilisateur "voit" encore ses sous. Si l'argent n'est pas utilisé, il y a un magot qui se forme pour le prochain bug.
De l'autre coté, les auteurs peuvent attendre un montant certain, avant de se lancer. L'argent est bloqué jusqu'à la livraison.
Tu peux aussi noter une application comme "utile" ou autre j'aime. Ainsi, l'abonnement sert aussi à faire un don mensuel à l'auteur. Mais c'est un don, où tu n'as pas à prendre ta carte à chaque fois.
En gros, les utilisateurs ne doivent pas trop sentir filer leur argent (abonnement, renouvelable tacitement), mais sans se sentir se faire avoir (sans engagement), se faire valoriser, etc…
Les auteurs ont besoin d'un flux d'argent relativement constant et prévisible.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: "le libre ça pue"
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Aseprite devient propriétaire. Évalué à 1.
Avec un notion de planning aussi : le temps du dev n'est pas infini, et il peut avoir une conception élastique du temps.
Je présentais uber comme une plateforme qui définit la règle du jeu, et la "force" aussi bien du coté des VTC (prix de la course), que des clients (paiement par CB). Cela rassure de chaque coté.
Tu peux aussi avoir un coté packaging dans les distro. Un LL particulier peut être très chiant à mettre en œuvre par soi-même. Idem pour la doc ou le marketing.
Pour le paiement à x pour 1 bug, pourquoi pas. Mais tu pourrais aussi faire un abonnement, genre maintenance. Cela revient au même, sauf que la décision de s'abonner est prise une fois, il ne faut pas payer à chaque bug. J'imagine que cela peut être sécurisant pour un pro, de s'abonner pour pouvoir influer sur la correction de bugs d'un logiciel important pour son business, mais sans avoir assez de moyen pour payer directement l'auteur.
"La première sécurité est la liberté"