nud a écrit 896 commentaires

Sérieusement, la lettre de motivation/d'accompagnement se met dans le corps de l'e-mail.

Je pense que la raison pour laquelle beaucoup de gens sont allergiques à la lettre de motivation, c'est que beaucoup de recruteurs et de plateformes-à-la-conᵃ demandent explicitement de joindre une lettre de motivation en pièce jointe. La palme pour ceux qui te contactent mais te demandent quand même d'envoyer une lettre de motivation et un CV au format Word.

ᵃ par plateforme-à-la-con j'entends ces sites sur lesquels certaines boites demandent qu'on upload son CV et sa lettre de motivation et puis de remplir 350 questions dont les réponses sont dans le CV (genre éducation, langues, expérience passée, etc).

ça s'appelle une offre d'emploi, mais souvent les employeurs pensent que ce qui motive les employés c'est avoir un baby foot au bureau.

Faut y aller à la YOLO et faire un rollback si ça pose problème !

(pas taper)

Fais un journal ou une dépèche, car j'imagine que pour beaucoup de gens (moi y compris), Jami ça évoque juste une faute d'orthographe dans la moitié (ou le tiers pour les plus jeune) de l'équipe de C'est pas Sorcier qui restait dans le camion.

Le mot que tu cherchais est « schnock ».

Je ne pense pas qu'il porte particulièrement les GAFAM dans son coeur (vu son historique personnel et son rappel de Schrems II) mais je pense qu'il déplore le fait que les prestataires européens n'ont rien à proposer en face de ce que les géants américains proposent. Mais il a le ton souvent outrancier, ce qui amha déforce son propos.

On peut aussi se demander la pertinence de ce que les appels d'offres demandent, certains appels d'offre sont très maximalistes et demandent des trucs qui ne seront vraisemblablement jamais nécessaires ni utilisés (un peu comme pour les offres d'emplois, tiens).

Par contre si la loi demande une certification (la TVA n'est qu'un exemple), et bien il est logique que tous les acteurs soient certifiés, et le fait d'être indépendant en soi n'est pas une bonne raison pour le pas le faire. Par contre le coût de la certification est parfois (souvent?) prohibitif et peut rendre les choses compliquées pour les petits acteurs, par exemple si l'on doit certifier chaque version de chaque logiciel plutôt que la société en elle-même. Mais en Europe on aime bien les certifications et la législation à outrance. C'est souvent présenté comme une façon de contrôler les géants américains mais en pratique ça rend également très compliqué l'accès au marché par les petits acteurs. C'est aussi ce dont se plaignent les agriculteurs dans leur domaine, par ailleurs, et c'est surprenant quand en façade certaines personnaltiés mettent en avant le logiciel libre comme une solution à l'hégémonie logicielle américaine.

Le nom de l'intéressé est repris plusieurs fois dans cette dépêche comme "Maxime Dunin" mais il semblerait que la graphie correcte soit "Maxim Dounin" comme attesté un peu partout sur le web (comme par exemple sur son site web.

Je ne suis certes pas un expert de la translittération du russe vers le français ou l'anglais mais je suggérerais d'utiliser la graphie utilisée par l'intéressé pour référer à lui-même.

Je connaissais l'histoire avant de voir la dépêche donc je n'ai pas eu ce problème mais par contre je ne comprends pas le sens qu'enfourcher est censé avoir dans ce titre.

enfourcher \ɑ̃.fuʁ.ʃe\ transitif 1er groupe

1. (Vieilli) Prendre avec une fourche.
2. Se placer à califourchon sur une monture (un cheval, un âne), ou un véhicule à deux roues (moto, vélo).
3. Revenir sans cesse dans la conversation à son sujet favori, son opinion, ses lubies, etc.
4. (Ski) Passer les skis de chaque côté d’un piquet de la piste de ski.

Du coup "enfourcher" voudrait plutôt dire qu'il est partisan de la chose, sauf si c'est un euphémisme pour un autre verbe qui commence par "en", qui fait référence au fondement d'autrui et qui n'est plus tellement accepté de nos jours.

Je sais pas pour l'article (je pense pas que ce soit le cas) mais l'image d'illustration est clairement générée par une "intelligence" artificielle.

Bon je me demandais ce qu'était une machine de rebonds, et bien que j'imaginais bien que ça n'avait qu'un rapport ténu avec le bâton sauteur je n'ai pas immédiatement trouvé de définition dans l'article. L'auteur ne donne que cette description succinte :

[…] un point d'accès sécurisé à mon réseau privé depuis l'extérieur, et de plateforme pour exécuter mes scripts d'Infrastructure as Code (IaC).

Mais en fait je pense qu'en fait il parle d'un bastion et je ne suis pas certain que ce soit le meilleur endroit pour mettre sa configuration Ansible.

Et vu son schéma et le fait qu'il y a deux interfaces réseau j'imagine que ça en fait aussi un routeur ?

Ils expliquent quand même qu'on peut exécuter la commande inline avec les stdin/stderr/stdout attachés à la fenêtre courante. C'est juste pas la config par défaut.

Ce n'est ni un port ni une réimplémentation, juste un projet qui fait un truc vaguement similaire et qui reprend le nom parce que why not?. Par défaut ça exécute la commande dans une nouvelle fenêtre…

Par ailleurs ils n'ont pas dû réfléchir très longtemps car il semble a priori impossible d'exécuter une commande qui s'appelerait "config".

D'après https://jpegxl.info/ le format (JPEG XL, pas LX) supporte la compression sans perte.

Par ailleurs il existe une version "animée" du JPEG (MJPEG) et du PNG (APNG), relativement bien supportés par les navigateurs. Et certains formats récents d'image sont en fait une seule frame d'un format vidéo (webp, HEIC, AVIF)

(bon y'a eu trois réponses avant, ça m'apprendra à mettre 1h avant d'appuyer sur "Envoyer")

Le format d'image de l'iPhone est HEIC depuis un certain temps et ça n'a pas l'air d'avoir beaucoup motivé les navigateurs…

À vrai dire, pour ceux qui sont intéressés par les conférences plus que par le côté social, il vaut mieux rester chez soi pour regarder les conférences en streaming parce que (hormis peut-être les main tracks) les salles sont généralement pleines à craquer, on ne peut pas rentrer et on est obligé de se replier sur le bar.

Et ça fait quelques années qu'il n'y a plus de bar au Janson, les traditions se perdent.

Je me souviens avoir émis les mêmes réserves lors de l'introduction de ce composant dans GTK, mais apparemment, bien qu'ils soient excessivement rares en Europe ce type d'interrupteurs est très courant aux états-unis…

Le souci principal d'utiliser des icônes c'est de pouvoir les trouver. Il faut soit avoir un graphiste sous la main (je pense pas qu'on en ait) soit avoir un icon set sous licence libre qui soit suffisamment étendu pour pouvoir piocher dedans (peut-être https://icons.getbootstrap.com/ ou bien les icones monochromes de Gnome?)

Avant de faire de grands travaux il faudrait peut-être envisager de merger le port vers Rails 7 et les autres grosses MR histoire d'éviter de se marcher sur les pieds et de provoquer des conflits de tout côtés?

Également https://linuxfr.org/suivi/fournir-un-jeu-de-donnees-de-test-pour-le-developpement-de-linuxfr

Voir https://linuxfr.org/suivi/fournir-des-donnees-d-exemple

Du coup ça retourne dans les oubliettes.

Avoir une recherche dans le suivi ne serait pas mal également, car je viens de constater que ceci est en fait un doublon d'une autre entrée: https://linuxfr.org/suivi/le-changement-de-page-dans-le-suivi-reinitialise-les-filtres

J'étais content en voyant ta réponse mais malheureusement je n'ai pas de dossier ffmpeg dans le dossier @appstore, ni de paquet ainsi nommé dans le Package Center. Je suppose que ça dépend de la version de DSM ou du modèle de NAS ?

Update: bon je suppose que tu fais en fait référence à https://synocommunity.com/ que je ne connaissais pas mais qui a l'air de mériter le coup d'oeil.

Je sais, c'est moi qui ait implémenté ça :op mais en soi rien n'interdit de faire pareil et de mettre un <link rel="me"> avec tous les liens configurés de la sorte, ça permettrait même le même type de vérification par d'autres logiciels.

Apparemment Github implémente une liste de lien et la vérification Mastodon donc c'est faisable.

Pour ma part je garde le format initial de la photo ou de la vidéo dans la mesure du possible. Pour les photos en raw, je garde généralement le raw et le jpeg généré par l'appareil côte à côte (je pense que je n'ai jamais "développé" aucun fichier raw en vrai, je configurais l'appareil pour le faire lui-même à une époque où le format était mal supporté avec Linux)

En effet chaque conversion d'un format avec pertes à un autre format avec pertes implique de nouvelles pertes (sauf exceptions dûment documentées comme une conversion de JPEG en JPEG-XL).

Aujourd'hui on sait lire à peu près tout avec Linux, et je pense que la "disparition" complète du support d'un format un tant soit peu utilisé est très improbable. Du coup j'ai du RAW, du TIFF, du JPG, du HEIC, du MPEG2 (des fichiers .MOD), du MOV, du MPEG4 avec des pistes vidéos et audio de formats divers…

Je seconde pour ffprobe.

Sur Synology par exemple ffprobe n'est pas disponible mais ffmpeg l'est, donc il est possible d'utiliser ffmpeg -i "$file" 2>&1 pour un résultat similaire.

La date de création est souvent incluse dans les informations relatives au flux MPEG mais ce ne semble pas être le cas pour les vidéos générées par des anciens appareils (par exemple les vieux iphones qui sortaient des fichiers .MOV) donc dans ce cas pour obtenir la date je me base sur deux infos: le ctime du fichier (qui est souvent inexact) et les dates des photos qui viennent avant/après pour déterminer la date de la vidéo.