Ivre de colère, bien entendu. Manquerait plus que je sois bourré.
Du temps du premier confinement, j'avais dû acheter un ordinateur portable pour que mademoiselle fille puisse continuer à suivre ses cours (au Royaume-Uni, pas de questions, c'est Google Classrooms pour tout le monde).
J'avais donné 5 minutes à Windows pour me convaincre de le garder, et ça avait été un échec retentissant. Après avoir refusé d'avoir un compte Microsoft, refusé la télémétrie complète, refusé le contrôle à la voix (…)