Sylvain Sauvage a écrit 2933 commentaires

5. j'en oublie s[û]rement.

Par exemple le fait qu'on peut ensuite supprimer le paquet sans douleur (parce que le « make uninstall », il est pas souvent là, ou alors faut utiliser stow...).

Petit ajout : -thèque vient du grec pour poser (le même grec que pour thèse : ce qu'on pose, antithèse : ce qu'on pose à côté ou contre, et synthèse : poser ensemble).

-thèque veut donc dire, soit, pour un objet, étagère, soit, dans un sens plus global, collection (tout est posé au même endroit).

Voilà. La semaine prochaine, nous parlerons de l'apothicaire et de ses étagères en hauteur...

Exact, ce qu'il tape fait ouvrir, fermer des fenêtres (utiliserait-il ion ?) ou bien défiler des images (en général toujours la même série de 10 photos de terroristes ou de 10 empreintes digitales (je vois toujours pas l'intérêt d'afficher pour comparer)).

Peut-être sont-ils moins prosélytes qu'on ne pourrait le craindre ou, plus simplement, que d'autres journaux (qui sont, eux aussi, orientés*) :
- parce que leur lectorat est déjà convaincu, qu'il n'est donc pas la peine d'en rajouter une couche (au contraire même (?)) ;
- parce qu'ils savent que certains les attendraient au tournant.

(* Remarquez que je ne connais pas vraiment de journal qui ne soit pas orienté d'une façon ou d'une autre...)

Pour être plus précis, on trouve ici : http://wiki.debian.net/?AMD64FTBFS(...) la liste des bogues des paquets se trouvant dans Sarge et qui ne compilent pas directement depuis les sources en amd64.
La plupart des bogues ont un patch tout prêt (notés + après le n° dans la liste précédente) ou carrément une version plus récente dans Sid (un * après le n°).

La liste est donc très courte.

Sans compter la possibilité de chrooter une application en 32 bits (pas de reboot nécessaire, intégration directe à X...).

Je préfère mettre plus d'argent dans la mémoire (quantité) que dans la vitesse du processeur (mais un 3000+ me semble correct).

En ce qui concerne la distribution gratuite, la debian a un port amd64 qui possède 98 % à 99 % des 17000 paquets disponibles.
Certains logiciels (comme openoffice et acroread) qui ne sont pas encore disponibles en paquets 64 bits peuvent facilement être utilisés en 32 bits (par un chroot ou quelques manips simples).

Les distributions 32 bits fonctionnent aussi (on perd les avantages du 64 bits mais on conserve ceux de la gestion double-canal de la mémoire par les amd64).

Un double-boot 32/64 est toujours possible.
Personnellement, c'est ce que j'avais prévu mais, finalement, la version 32 bits ne me sert qu'en chroot pour openoffice, acroread, qemu et avidemux (dont la version 64 bits a quelques ennuis avec les fichiers supérieurs à 1 Go).

Ouais, c'est comme Jésus, même sur la croix, il n'a jamais baissé les bras.

Qui a détourné le terme le premier ? Parce que :
Un barbu, c'est un barbu. Trois barbus, c'est des barbouzes !

Pour commencer, je n'ai pas de Renault et je ne connais personne (de proche) qui ait eu un problème avec sa Renault (ou autre), je ne suis pas non plus mécanicien.

Mais (forcément, il y en a un), la communication de Renault sur le coup me semble douteuse (en plus d'être inefficace) :

1. des types ont des problèmes avec leur tuture ;

2. Renault nous dit « les conducteurs prennent de mauvaises habitudes et se trompent de pédale » (très bonne idée : tous les conducteurs se sentent traités de crétins) ;

3. Renault nous explique en long en large et en travers (tous les journaux, les émissions spécialisées, etc.) que, même si un problème survenait, il y a un tas de sécurités et qu'il y a plusieurs façons d'arrêter ou de court-circuiter le régulateur, notamment :
- appuyer (fort) sur le frein (qui, de toute façon, est plus fort que le moteur) ;

- appuyer (fort) sur l'accélérateur (ça, ça permet surtout de passer le limiteur mais il semblerait que ça affecte aussi le régulateur) ;

- débrayer.

Donc, si je résume, utiliser n'importe quelle pédale alerterait le régulateur.
À moins que l'on ait ajouté d'autres pédales (qui ne commandent ni les freins, ni l'accélération, ni l'embrayage), j'ai la forte impression que les points 2. et 3. se contredisent et que, au choix :
- Renault se fout de la gueule des conducteurs ;
- Renault mentcommunique très mal.

Remarquez, au passage, que dans « conducteur », il y a « ducteur ». Surtout lorsqu'il est consommateur (avec « sommateur » dedans).

(mode mauvaise-foi)
Ah ah ! C'est pas XSL-T, c'est XPath !
(/)

Plus sérieusement : au temps pour moi, je n'ai jamais eu à le faire et la séparation des deux docs XSL-T/XPath fait que j'ai toujours du mal à trouver les fonctions. (Comment ça « elle est bidon » mon excuse ?)

Seulement si tu édites ton sources.list.
Sinon, tu vas être en etch (= nouvelle testing qui continuera donc d'évoluer).

Oui, euh, enfin LaTeX3, comme vaporware, il surclasse tout le monde...

Oui, et en plus, ceux qui n'ont pas de télé mais n'ont pas compris ont laissé la case vierge et paieront quand même ;o)
Il n'y a pas de petit profit.

Les sujets ont l'air un peu raccoleur mais ils sont souvent à prendre au second degré. Il y a souvent des jeux de mots aussi.

Mais bon, cinq émissions par semaine, le renouvellement des sujets (et surtout des invités) est difficile.

1. Oui, ce n'est jamais facile d'avoir à décomposer une donnée agrégée (ici, chaîne -> nom + prénom), quel que soit le langage.

2. Comment tu fais ça en XSLt ?

Ben pourquoi repasser par le net ?
man mplayer est en français aussi (la preuve : le chemin est man/fr/mplayer.1, c'est bien le html tiré du man).

Qui a besoin d'un aide-mémoire papier pour la table ascii (ou iso-truc) alors qu'il suffit de faire man ascii ?

Ah, on me souffle que d'aucuns n'utilisent pas les pages de manuel parce qu'elles n'existent pas sur leur système.

(Remarquez aussi que je ne vois pas trop l'intérêt de ces tables : il est fini le temps où il fallait taper alt+code ascii pour obtenir un caractère spécial...)

Je crois que le meilleur argument est un exemple simple :
si le format A donne

<nom>Victor Hugo</nom>

et que le format B donne

<personne><nom>Hugo</nom><prenom>Victor</prenom></personne>

je vois très bien comment passer d'un document au format B en un document au format A, mais l'inverse, je fais comment en xsl pur ?

Nous pouvons faire la relation [...] L'analogie avec le wifi n'est pas très loin.

Ça me rappelle la (sans doute fausse) anecdote sur un système de reconnaissance vocale dans les années 1990 : pendant une démo en public, le démonstrateur montre que l'on peut demander l'ouverture d'une fenêtre DOS (ben oui, ça tournait sous windows) et, à son invitation (ou non, ça n'est pas très important), quelqu'un dans le public dit « format C column, return » et un autre de crier « yes, return ».

Pour ceux qui ne comprendraient pas, demandez à quelqu'un de vous prêter son windows (ben oui : les linuxfr-iens n'ont pas de windows ou ne sont pas assez fous pour faire des tests sur le leur), ouvrez une fenêtre de commande et tapez « format C: », puis répondez « yes » à la question (comme on le fait toujours avec les questions sous windows). Prévoyez quelques heures pour réparer après coup ou bien courrez très vite.

Pour revenir à la question principale, il n'y a pas de système absolument sûr, en informatique ou ailleurs : de la même façon que les portes blindées sont toutes cassables, tous les systèmes de chiffrement sont cassables, ce que l'on espère, c'est que le cambrioleur se fatiguera avant d'y arriver ou ira cambrioler le voisin dont la porte prend moins de temps à ouvrir.

Et pour revenir à ce fil en particulier, tout en restant dans l'analogie des portes et serrures, les serruriers sont capables d'ouvrir les portes, le concierge de l'immeuble aussi, les employés de banque ont accès à vos comptes, etc.
Il y a un moment où il faut faire confiance.
Il y a aussi un moment où les abus sont punis.
Cela s'appelle l'éthique.
Ce n'est pas facile de la définir, ce n'est pas facile de l'appliquer.

Je pencherais bien pour un réflexe pavlovien.
Y a-t-il un blog de chien qui en parlerait ?

Je ne sais pas pourquoi mais ton proverbe m'a tout de suite fait pensé à celui-ci :

Si ça bouge salue-le, si ça ne bouge pas, repeins-le.
Proverbe de la narine.

Hum, sarge débarque le 6 juin.

Euh, y a que moi qui trouve ça drôle ?

C'est vrai, je l'avais dit à cause d'un besoin de compenser mon cri primal.

Promis, je ne le referai plus. (Fontaine...)

Pendant qu'on est dans les remarques habituellement auto-censurées sur la forme des propos des uns et des autres, j'en profite pour m'élever énergiquement et pousser un cri cri primal libérateur :
AAAHHH !

La raison de ce cri ? L'utilisation de plus en plus fréquente de l'adjectif soi-disant (au passage : invariable en genre et en nombre) pour des objets ou des concepts. En effet, analysons ce mot.

Forme : ce mot est composé de deux mots,
- soi, pronom de la réflexivité ;
- disant, verbe dire au participe présent (d'où l'invariance).

Sens : soi-disant se rapproche d'auto-proclamé, le soi-disant X est celui qui se dit lui-même être X.

Il ne me semble pas que le sens de ce mot soit caché par une étymologie complexe, comme pourrait l'être un mot issu directement du grec par exemple.

Donc, d'où qu't'as vu q'un invariant pouvait dire quelque chose ?

En clair, cet invariant, il est prétendu, pas soi-disant.

Voilà, ça fait du bien. Allez-y, moinsez, moi j'me suis soulagé.

Et le « qu'est-ce que je prends ? j'en ai besoin tout de suite, c'est pour les devoirs du petit... » ?

Sans parler du temps qu'il faut pour les essayer...

Comme quoi c'est pas toujours évident.