Hum, Pasqua, ce ne sont pas de « grandes entreprises » qui lui donnent de l’argent pour la corruption le lobbying, ce seraient plutôt des « amis » qui ont besoin de faire une lessive…
Je dirais que si, une entreprise peut très bien avoir pour raison sociale de louer le matériel nécessaire à la copie, et ce matériel pourra notamment servir pour la mise en œuvre de la copie privée.
Bien sûr, elle ne dira pas « venez faire vos copies privées ici ». Ce serait limiter son public. Elle dira simplement « venez faire vos copies ici ».
En plus, elle n’aura strictement aucune obligation de vérifier l’usage qui est fait du matériel et notamment du respect du droit d’auteur. En fait, il suffira qu’elle mette quelques affichettes pour rappeler que « c’est vilain, le faisez pas » pour avoir bonne conscience.
Et j’irai même plus loin, je dirais que ça existe déjà. Je pense notamment aux centres de photocopie.
On me répondra : « ouin, c’est pas vrai, les photocopies, c’est moche, c’est pas pareil », mais il n’empêche. Et comme autre exemple, on pourrait aussi penser aux imprimeurs : un imprimeur n’a pas à vérifier que vous avez les droits de reproduction de ce que vous lui demander d’imprimer. De même pour les distributeurs : ils ne vérifient pas que vous avez le droit de diffusion. Ce sont des sous-traitants.
Vous souvenez[-]vous de ce Macworld de Boston en 1997, celui où Steve Jobs invitait Bill Gates [à] particip[er] via un système de visio[-]conférence[ ]? Les ennemis jurés se réconciliaient... Imagine[z] la même chose avec un[e] conférence de Mark Shuttleworth, avec la même mise en scène et Bill Gates qui appara[î]]trait pour faire son annonce. Ne serait-ce pas une révolution[ ]?
Ça voudrait surtout dire que Bill Gates vient « sauver » Ubuntu.
La dite intervention, c’était surtout :
— Microsoft vient financièrement sauver Apple, donc aveu d’échec ;
— Bill Gates apparaît sur un écran géant, certes façon Big Brother (d’où quelques huées) mais surtout façon « PWNED!1!! ».
Plutôt qu’une révolution, ce serait plutôt une catastrophe…
En français, on différencie /p/ de /b/ parce que faire la différence permet de distinguer des mots (pots/baux, pas/bas, par/bar, pierre/bière…). Or différencier /œ̃/ de /ε̃/ ne servirait que dans la paire brin/brun (en tant que substantif). Pour emprunte/empreinte, on a un verbe et un substantif. Bon, il y a bien le verbe empreindre mais il est peu utilisé et deux paires, c’est insuffisant pour que ce soit utile.
En résumé, les sons sont proches et il est peu utile de les différencier.
Remarquons aussi que les zones où l’on prononce /ʒɔnə/ et /ʀɔzə/ au lieu de /ʒon/ et /ʀoz/ s’étendent (il s’agit à la fois du nord et du sud de la France qui écrasent le centre).
T’es trop fort, toi.
Citation du lien que tu donnes :
« Constatant que la complexité des semiconducteurs proposés en entrée de gamme doublait tous les dix-huit mois à coût constant depuis 1959 »
je vois que je n'ai pas trop progressé depuis le primaire
Le paléozoïque ? :oP
savoir le prix à l'avance est une nécessité
Techniquement (je le mets en gras puisque ça n’a pas l’air d’avoir eu de l’effet la première fois), ce n’est pas une nécessité. Ce n’est qu’un gage de l’honnêteté du vendeur.
La raison, le motif, ce qui fait qu’il est pour toi nécessaire de connaître le prix de la licence, ce n’est pas « pour pouvoir être remboursé », c’est « pour être sûr qu’on est bien remboursé ». C’est différent.
Connaître le prix n’a qu’une seule raison pratique et objective : pouvoir faire marcher la concurrence.
Le problème de la vente liée est que trop de raisons ont été données, parfois à tort.
La raison principale que je vois dans l'illégitimité de la vente liée d’un ordinateur avec un logiciel est la suivante :
l'ordinateur est un bien matériel. J'en fais donc ce que je veux. Je peux le démonter et vendre les pièces séparement. Or pour les licences, ce n'est pas le cas vu qu'elles sont liées. Je ne paye donc pas pour un bien qui m'appartient, mais pour… bah pour rien en fait, c'est juste une sorte de taxe payée en plus, qui ne sert à rien et que je ne peux pas revendre, ni même redonner.
Le deuxième point que je trouve le plus pertinent car là, on ne peut pas dire « et alors, où est le problème » : c'est tout simplement le respect des contrats, justement. MS stipule dans le CLUF que dans le cas où l'on refuse la license, il faut demander au revendeur pour se la faire rembourser. Or, comment faire si l'on ne connait pas le montant à l'avance ?
Réponses :
pour le premier point :
Ce n’est pas parce qu’elles sont liées que les licences ne sont pas cessibles. C’est parce qu’elles ne sont pas cessibles (ben oui, c’est réflexif). On peut écrire des licences cessibles et liées : imaginons que le CLUF n’empêche pas la revente, et bien on pourrait le revendre. C’est con, hein ? On peut même avoir des licences cessibles qui restent liées ou qui se « délient » : liées à la première vente mais pas ensuite.
pour le second point :
Techniquement, je ne vois pas en quoi ne pas connaître le montant du remboursement à l’avance ne permettrait pas de se faire rembourser. C’est l’honnête revendeur qui doit le connaître…
Les arguments possibles sont alors :
1. j’en veux pas, je ne veux pas le payer ;
2. le CLUF dit qu’on doit me rembourser, remboursez-moi ;
3. je veux savoir ce que je paye et combien je le paye ; et c’est même plus qu’une volonté, c’est un droit, acté dans les lois ; et pour les chagrins qui s’assoient sur les lois, c’est même un principe du capitalisme (une nécessité de la libre concurrence).
Pour l’indentation du code : je mets des espaces insécables :oP
Pour le 2., mon code (qui élimine les commentaires et les espaces dès le départ) fonctionne sur les exemples que tu as donnés. Tu as des exemples qui ne passent pas ?
Pour *? et +?, ils se différencient de * et + par le fait que * et + essaient de correspondre à la plus longue chaîne possible alors que *? et +? s’arrêtent dès qu’ils peuvent. (* et + sont dits greedy, *? et +? lazy.) Exemple classique : pour attraper une balise HTML (et juste la balise), on utilise /<.+?>/ car /<.+>/ va tout gober entre la première et la dernière balises du texte.
Utiliser la négation ([^X]*) est moins gourmande car le moteur n’a pas besoin de faire du backtrack (ce qu’il doit faire avec .*?). Je trouve ça aussi plus clair.
Pour les guillemets, il va peut-être falloir utiliser autre chose (une grammaire p.ex., au moins des états), ne serait-ce que parce qu’il faudra aussi gérer les sauts de ligne entre les guillemets.
Beaucoup de Français pensent encore au Belge un peu second degré dans sa façon de vivre et mangeant des frites à longueur de temps.
N’importe quoi ! On sait très bien qu’ils passent aussi du temps à boire de la (bonne) bière.
Deux principes :
1. Comme tu veux les deux valeurs autour du =, il est plus logique de ne faire qu’une fois le boulot (une seule fois la même expression régulière).
2. Quand on veut s’arrêter au premier caractère X, l’expression régulière qui précède X se base sur [^X]*, pas sur .*.
Résultat :
File.open('test.txt').each_line do |line|
line.sub!(/[;#].*/, '') # enlever les commentaires de fin de ligne
line.strip! # enlever les espaces en trop
next if line.empty?
if line =~ /\s*([^=\s]*)\s*=\s*([^\s]*)/
name, value = $1, $2
print ".#{name}. == .#{value}.\n"
end
end
La variable value n’est jamais nil car $2 peut prendre la chaîne vide.
[^] # Re: La france , pays de ringards ?
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche Les Anglais n'ont pas le RGI mais ils ont Becta et ils s'en servent !. Évalué à 3.
[^] # Re: Jurisprudence, DADVSI
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche Le droit à la copie privée n'existerait pas ?. Évalué à 4.
Bien sûr, elle ne dira pas « venez faire vos copies privées ici ». Ce serait limiter son public. Elle dira simplement « venez faire vos copies ici ».
En plus, elle n’aura strictement aucune obligation de vérifier l’usage qui est fait du matériel et notamment du respect du droit d’auteur. En fait, il suffira qu’elle mette quelques affichettes pour rappeler que « c’est vilain, le faisez pas » pour avoir bonne conscience.
Et j’irai même plus loin, je dirais que ça existe déjà. Je pense notamment aux centres de photocopie.
On me répondra : « ouin, c’est pas vrai, les photocopies, c’est moche, c’est pas pareil », mais il n’empêche. Et comme autre exemple, on pourrait aussi penser aux imprimeurs : un imprimeur n’a pas à vérifier que vous avez les droits de reproduction de ce que vous lui demander d’imprimer. De même pour les distributeurs : ils ne vérifient pas que vous avez le droit de diffusion. Ce sont des sous-traitants.
[^] # Re: Snif
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Bill Gates part à la retraite.... Évalué à 8.
Tu veux dire qu’il va se planquer sur un toit ? Ou c’est au figuré et il va dans un monastère népalais, sur le toit du monde ?
# Contresens
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Bill Gates part à la retraite.... Évalué à 8.
Ça voudrait surtout dire que Bill Gates vient « sauver » Ubuntu.
La dite intervention, c’était surtout :
— Microsoft vient financièrement sauver Apple, donc aveu d’échec ;
— Bill Gates apparaît sur un écran géant, certes façon Big Brother (d’où quelques huées) mais surtout façon « PWNED!1!! ».
Plutôt qu’une révolution, ce serait plutôt une catastrophe…
[^] # Re: "logiciel privateur"
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche Ce que pensent Stallman, Torvalds, Brown et Zemlin de Microsoft. Évalué à 1.
Non. Pas en partant du droit d’auteur. Et on part forcément du droit d’auteur car c’est ce qui s’applique s’il n’y a pas de licence explicite.
Les licences libres accordent des droits supplémentaires à l’utilisateur (utilisation, reproduction, distribution). C’est copyleft contre copyright.
(Bon, les licences privatives accordent aussi un droit d’utilisation, très limité. Donc elles sont privatives par rapport aux licences libres.)
[^] # Re: La mort du PC?
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche Nokia s'offre Symbian pour le rendre libre. Évalué à 10.
Tiens, c’est nouveau ça.
[^] # Re: Dis donc !
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche code_swarm ou comment visualiser la construction d'un logiciel libre dans le temps. Évalué à 3.
La même chose sur le travail de Pénélope ferait une très jolie animation mais on n’aura quand même jamais la tapisserie.
[^] # Re: IN / UN
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Questions trollesques sur GNOME & cie. Évalué à 4.
En français, on différencie /p/ de /b/ parce que faire la différence permet de distinguer des mots (pots/baux, pas/bas, par/bar, pierre/bière…). Or différencier /œ̃/ de /ε̃/ ne servirait que dans la paire brin/brun (en tant que substantif). Pour emprunte/empreinte, on a un verbe et un substantif. Bon, il y a bien le verbe empreindre mais il est peu utilisé et deux paires, c’est insuffisant pour que ce soit utile.
En résumé, les sons sont proches et il est peu utile de les différencier.
Remarquons aussi que les zones où l’on prononce /ʒɔnə/ et /ʀɔzə/ au lieu de /ʒon/ et /ʀoz/ s’étendent (il s’agit à la fois du nord et du sud de la France qui écrasent le centre).
[^] # Re: et le jre ?
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche OpenJDK 6 passe le TCK. Évalué à 2.
(C’est pas pour critiquer-gnagna, c’est que ça pourrait reservir…)
# Beurk
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche Subversion (SVN) 1.5 est disponible. Évalué à 10.
quanT
[^] # Re: Mouais...
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Microsoft: "ODF has clearly won". Évalué à 6.
[^] # Re: Mouais...
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Microsoft: "ODF has clearly won". Évalué à 2.
[^] # Re: low cost ?
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal EEEPC en Belgique (3ème). Évalué à 6.
En gros, oui. Les Suisses sont les seuls à toujours mettre « .- » pour « ,00 ».
Bon, c’est sûr, il fallait le savoir…
[^] # Re: Marrant les dates...
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche Un top 500 sous le signe du pétaflops. Évalué à 2.
Citation du lien que tu donnes :
« Constatant que la complexité des semiconducteurs proposés en entrée de gamme doublait tous les dix-huit mois à coût constant depuis 1959 »
[^] # Re: Déprimant
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal La vente liée a ses fervents défenseurs. Évalué à 2.
[^] # Re: Déprimant
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal La vente liée a ses fervents défenseurs. Évalué à 2.
Le paléozoïque ? :oP
savoir le prix à l'avance est une nécessité
Techniquement (je le mets en gras puisque ça n’a pas l’air d’avoir eu de l’effet la première fois), ce n’est pas une nécessité. Ce n’est qu’un gage de l’honnêteté du vendeur.
La raison, le motif, ce qui fait qu’il est pour toi nécessaire de connaître le prix de la licence, ce n’est pas « pour pouvoir être remboursé », c’est « pour être sûr qu’on est bien remboursé ». C’est différent.
Connaître le prix n’a qu’une seule raison pratique et objective : pouvoir faire marcher la concurrence.
[^] # Re: Déprimant
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal La vente liée a ses fervents défenseurs. Évalué à 6.
Le problème de la vente liée est que trop de raisons ont été données, parfois à tort.
La raison principale que je vois dans l'illégitimité de la vente liée d’un ordinateur avec un logiciel est la suivante :
l'ordinateur est un bien matériel. J'en fais donc ce que je veux. Je peux le démonter et vendre les pièces séparement.
Or pour les licences, ce n'est pas le cas vu qu'elles sont liées. Je ne paye donc pas pour un bien qui m'appartient, mais pour… bah pour rien en fait, c'est juste une sorte de taxe payée en plus, qui ne sert à rien et que je ne peux pas revendre, ni même redonner.
Le deuxième point que je trouve le plus pertinent car là, on ne peut pas dire « et alors, où est le problème » : c'est tout simplement le respect des contrats, justement. MS stipule dans le CLUF que dans le cas où l'on refuse la license, il faut demander au revendeur pour se la faire rembourser.
Or, comment faire si l'on ne connait pas le montant à l'avance ?
Réponses :
pour le premier point :
Ce n’est pas parce qu’elles sont liées que les licences ne sont pas cessibles. C’est parce qu’elles ne sont pas cessibles (ben oui, c’est réflexif). On peut écrire des licences cessibles et liées : imaginons que le CLUF n’empêche pas la revente, et bien on pourrait le revendre. C’est con, hein ? On peut même avoir des licences cessibles qui restent liées ou qui se « délient » : liées à la première vente mais pas ensuite.
pour le second point :
Techniquement, je ne vois pas en quoi ne pas connaître le montant du remboursement à l’avance ne permettrait pas de se faire rembourser. C’est l’honnête revendeur qui doit le connaître…
Les arguments possibles sont alors :
1. j’en veux pas, je ne veux pas le payer ;
2. le CLUF dit qu’on doit me rembourser, remboursez-moi ;
3. je veux savoir ce que je paye et combien je le paye ; et c’est même plus qu’une volonté, c’est un droit, acté dans les lois ; et pour les chagrins qui s’assoient sur les lois, c’est même un principe du capitalisme (une nécessité de la libre concurrence).
[^] # Re: Et sinon
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal État des PDA libres. Évalué à 4.
Et notamment http://familiar.handhelds.org/ (qui est un peu beaucoup morte mais qui marche).
Et http://www.handhelds.org/projects/ pour les différents PDA. Le HX4700 y est…
# Pourquoi en Java ?
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Notre ami Windows. Évalué à 10.
sifflotant ⟶[]
[^] # Re: manque bang ?!
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au message Expressions régulières. Évalué à 2.
Pour le 2., mon code (qui élimine les commentaires et les espaces dès le départ) fonctionne sur les exemples que tu as donnés. Tu as des exemples qui ne passent pas ?
Pour *? et +?, ils se différencient de * et + par le fait que * et + essaient de correspondre à la plus longue chaîne possible alors que *? et +? s’arrêtent dès qu’ils peuvent. (* et + sont dits greedy, *? et +? lazy.) Exemple classique : pour attraper une balise HTML (et juste la balise), on utilise /<.+?>/ car /<.+>/ va tout gober entre la première et la dernière balises du texte.
Utiliser la négation ([^X]*) est moins gourmande car le moteur n’a pas besoin de faire du backtrack (ce qu’il doit faire avec .*?). Je trouve ça aussi plus clair.
Pour les guillemets, il va peut-être falloir utiliser autre chose (une grammaire p.ex., au moins des états), ne serait-ce que parce qu’il faudra aussi gérer les sauts de ligne entre les guillemets.
[^] # Re: j'ai l'impression
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Les écoles wallones passent à OpenOffice. Évalué à 7.
N’importe quoi ! On sait très bien qu’ils passent aussi du temps à boire de la (bonne) bière.
[^] # Re: manque bang ?!
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au message Expressions régulières. Évalué à 4.
1. Comme tu veux les deux valeurs autour du =, il est plus logique de ne faire qu’une fois le boulot (une seule fois la même expression régulière).
2. Quand on veut s’arrêter au premier caractère X, l’expression régulière qui précède X se base sur [^X]*, pas sur .*.
Résultat :
File.open('test.txt').each_line do |line|
line.sub!(/[;#].*/, '') # enlever les commentaires de fin de ligne
line.strip! # enlever les espaces en trop
next if line.empty?
if line =~ /\s*([^=\s]*)\s*=\s*([^\s]*)/
name, value = $1, $2
print ".#{name}. == .#{value}.\n"
end
end
La variable value n’est jamais nil car $2 peut prendre la chaîne vide.
[^] # Re: Culot
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Un marketing vaseux pour IE ?. Évalué à 5.
Arboriste : personne qui cultive des arbres. On préfère dire pépiniériste.
(seulement dans Littré 1863)
Sylviculteur : personne qui fait de la sylviculture. Forestier.
Sylviculture : la culture des forêts.
[^] # Re: Bougies.
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Halogène vs fluo vs led vs induction. Évalué à 2.
De la suie déjà. Aussi du CO₂, de la chaleur…
[^] # Re: une idée
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche Vers un filtrage de masse du web français. Évalué à 4.
Eh, oh, ça va pas non !