Sylvain Sauvage a écrit 2933 commentaires

Tu ne te trompes pas. Sans doute une contamination par « acquis ».

Je n’ai pas été assez précis :

1. Le fait d’avoir un nom ne te permet pas forcément de t’en servir comme marque (ex. Leclerc).

2. Le fait de ne pas avoir le nom est un argument très fort pour perdre ton procès contre la famille Picasso quand tu créeras ta plomberie (ex. Milka).

3. Et, plus particulièrement, Picasso est une marque déposée internationalement dans toutes les classes de produit. Ben oui, on va pas s’gêner pour si peu quand on en a les moyens…
(Une petite recherche rapide donne ça comme référence « écrite et disponible sur le net » : http://www.editions-organisation.com/Chapitres/9782708128644(...) )

C’est plus clair ?

« Picasso » (et sûrement aussi « Pablo Picasso ») est une marque déposée, gérée par la famille Picasso. Tu ne peux donc pas appeler n’importe quoi « Picasso » (à moins d’avoir un accord financier, cf. Citroën).

Ça n’a rien à voir avec le fait de t’appeler toi-même Pablo Picasso. Si c’était le cas, et même si c’est ton vrai nom, tu ne possèdes pas la marque. Tu peux donc te servir de ton nom (encore heureux) mais pas comme marque (cf. les feues pompes funèbres Leclerc, maintenant Roc’Eclerc, par le frère de l’autre).

Pour ce qui est de signer des œuvres, il y a sûrement un moment où il y aura parasitage et suspicion d’escroquerie.

Sinon, les homonymies (célèbres ou pas), ça existe : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cat%E9gorie:Homonymie_de_person(...) )

(« Plomberie Jean-Jacques Rousseau »
— ça me dit quelque chose…
— j’pense bien, ça fait trente ans que j’suis dans le métier.)

Non, non. Ça a été dit et redit au moment de l’histoire du triangle et du gilet : il n’y avait strictement aucun de ces équipements d’obligatoire dans la loi française.

Pour les feux, ils doivent fonctionner − point. Si un ne fonctionne pas, c’est une amende (on est censé vérifier avant de partir).
Cependant, les forces de l’ordre ne sont pas des chiens. Donc si on peut réparer tout de suite ou si on est de bonne foi et qu’on leur demande où est le garage le plus proche…

Tiens, d’ailleurs je viens de trouver ça : http://www.automobileclub.org/site/actualites/auto/equip.php . On voit qui s’intéresse à la sécurité…

L’inversion du nom et du prénom, c’est :
— une erreur ;
— de l’espéranto ;
— une obligation dans Python 3 ;
— Kenobi Obi-Wan ?

Ça dépend de ce que tu « plotes ».

Mais si tu fais simplement
> plot 'fic'
ça veut dire en fait que tu fais
> plot 'fic' using 0:1
ce qui signifie : l’abscisse est un compteur automatique, l’ordonnée est la 1re colonne.
C’est aussi équivalent à
> plot 'fic' using ($0):($1)
on utilise le $ devant le numéro de colonne dans les expressions mathématiques.

Donc, avec plusieurs fichiers :
> plot 'fic1' using 0:1, plot 'fic2' using ($0+100):1
où 100 est l’abscisse de décalage (donc le nombre de lignes utiles de fic1).
Le problème est de connaître ce nombre…

(Voir aussi les directives linetype/pointtype pour conserver la même couleur…)

-Est ce que crée des classes les détruire et appeler des fonctions membre de classe est plus lent qu'appeler des fonctions ?

Oui, si tu as des constructeurs qui font des choses qui étaient pas dans le code initial (des inits etc...). Idem pour les destructeurs (surtout si tu fais plus attention au fuites mémoire)

En ce qui concerne les appels, il y a une indirection supplémentaire si les méthodes sont virtuelles.

En ce qui concerne la construction, si tu crées énormément d’objets, tu peux aussi faire attention aux initialisations des membres : préférer les initialisateurs aux affectations (syntaxe X(…) : mx(x) {} plutôt que X(…) { mx = x; }) et surtout éviter les recopies et les constructions inutiles (p.ex. mot-clef explicit pour les constructeurs de recopie, passage de paramètres en const&, etc.).

Et pourquoi pas l’Isard Intrépide ?

démarre en 15 secondes (c'est rapide quand même, même si moins que 5 secondes)

Tiens, chez moi, 15 secondes c’est plus que 5…

ok, ok, poussez pas ⟶[]

Choqué ?

Dans le sud, c’est « con » à l’ouest et « enculé » à l’est.
« Connard », c’est seulement chez les mal élevés.

Ça, évidemment, tous les bons GdF le font, mais, en général, ils minimisent le nombre de touches à taper (et ils sont cohérents), ce qui n’a pas l’air d’être le cas dans les flims…

Un type qui distribue le courrier ? Ce qui ne l’empêche pas d’avoir des rapports…

Ou celui qui fait des pianos, mais, là, je vois pas le rapport…

L'autre avantage, c'est que ça fait classe de taper sur les touches qui ne veulent rien dire ^^

Yep ! Presque¹ comme au cinéma.

¹ ben oui, dans les flims, non seulement ils tapent n’importe quoi, mais les caractères ne s’affiche pas non plus. Ça fait apparaître, disparaître et bouger des fenêtres et des animations…

Sinon, une fois qu’on est habitué, c’est achte dur de taper à une seule main ou en regardant le clavier…

1. Celui qui commence est bien l’auteur et celui qui choisit la licence ;
2. si quelqu’un modifie le code, il le fait dans le respect de la licence, donc :
  a. à la question « Quels sont les droits des contributeurs ? », la réponse simple est « C’est dans la licence ! » ;
  b. conservation de la licence pour le code d’origine ;
  c. ajout de son nom dans la liste des auteurs (donc, en général, dans les mentions « Copyright xxx » des fichiers).
  d. il ne peut choisir la licence que de ce qu’il a écrit, dans le respect des compatibilités avec la licence originale.

Pour un changement de licence, il y a de nombreux cas différents, selon que le projet est organisé ou non et comment il l’est s’il l’est :
— pour un travail collectif, c’est la totalité qui doit être d’accord (ex. le noyau Linux) ;
— parfois, les contributeurs cèdent quelques droits au « primauteur » ou à une entité supérieure (ex. la FSF et GNU) ;
— et puis il y a le cas général des « reprises » (utilisation du code, fork, etc.) avec changement de licence. Dans ce dernier cas, il faut évidemment que la licence d’origine le permette et il faut la suivre. Donc ça dépend des licences. Il faut aussi rappeler que le code original reste dans sa licence d’origine ; donc le mieux est d’avoir une séparation ou une bonne traçabilité du code. Pour les mélanges à base de ou avec la GPL, c’est expliqué là : http://www.softwarefreedom.org/resources/2007/gpl-non-gpl-co(...)

Sinon, il y a aussi de bonnes explications pratiques chez KDE : http://techbase.kde.org/index.php?title=Policies/Licensing_P(...)

quand il a les fesses à sang à cause de ses dents.

Woh, il est drôlement souple !

Au moins en France, ce n'est vrai qu'en matière pénale (on ne peut pas être condamné pour un délit qui ne l'était pas au moment des faits, ni modifier les peines après le jugement, ce qui n'était pas vrai en URSS).

On peut modifier les peines après le jugement. Seulement si c’est dans le sens d’un « adoucissement ». P.ex. un condamné à mort (et pas encore mort) voit sa peine commuée dès l’abrogation de la peine de mort.

Sinon, on peut aussi citer la loi de finances qui, elle, est toujours rétroactive. On décide de comment vous allez payer vos impôts sur ce que vous avez gagné après que vous l’avez gagné.
(C’est problématique p.ex. pour les abattements et limites qui sont fixés après que vous les avez franchis. Ceux qui sont au courant avant auront fait attention. Bon, en général, il suffit de suivre l’actualité mais, parfois, il y a des mauvaises surprises et certains sont bizarrement plus facilement au courant que d’autres…)

Ce travail et cette augmentation de température se produisent pendant la digestion, or la digestion est à son maximum 1h ou 2h après le repas, notamment lorsque les intestins sont mis à contribution (c’est plein de muscles, ça prend la majeure partie du torse…).
Donc, au final, attendre 1h ou 2h après le repas, ce serait plutôt pire que tout de suite.

En revanche, si on a bien picolé (l’alcool fait dilater les vaisseaux sanguins)…

« mob » ?

Mais bon, souvent, ça se reconnaît au préfixe.

On pourra aussi remarquer que les en-têtes tél/fax/mob n’ont d’intérêt que :
— parce que ce sont tous les trois une série de 10/13 chiffres ;
— lorsqu’il peut y avoir un doute (s’il y a un seul numéro, c’est souvent un tél.).

Mappe est encore utilisé dans « mappemonde ».

Et le Littré (1863, ça date un peu quand même) est aussi disponible en paquet dans votre distribution préférée (format stardict).

s/meofite/néophyte/

néo- : nouveau
-phyte : planté/grandi

« Nouvellement converti », « nouveau né » (dans le sens religieux, comme « reborn » en anglais).

De l’eau de toilettes ?

c'est tout ce qui a attrait(?) au design

Avoir trait :
Loc. verb. Avoir trait à (qqc. ou qqn). Se rapporter à. Synon. ressortir à, concerner, intéresser, relever de, avoir rapport à, dépendre de.
(de http://atilf.atilf.fr/dendien/scripts/fastshowart.exe?76%7DT(...) )

Bon, alors je rappelle, « .- », c’est la façon suisse de dire « ,00 CHF »…

Non. « C’ » n’est pas une « contraction de Ceci ou (sans accent, merci) Cela ».

1. Ce n’est pas une contraction, c’est une ellision : on élide le e final en le remplaçant à l’écrit par une apostrophe.

2. Et donc, incidemment, « c’ » représente « ce », pronom démonstratif neutre.

En français, on n’élide que les voyelles finales (une seule à la fois), et le mot reste compté.
En anglais, on élide des voyelles et des consonnes (can’t pour can not p.ex.) et pour le comptage, ça dépend…