C'est bien pour ça que je signale qu'en français, il ne l'est pas non plus (dans le cas général et dans ce cas particulier), il n'y a donc pas besoin de dire « si je prends le ou logique », juste « ici, rien ne m'indique qu'il y a exclusion, donc je conserve le cas général : inclusif », et comme c'est un cas général qui s'applique très bien au particulier, on ne dit rien.
D'ailleurs, « En logique, le ou n'est pas exclusif », c'est vite dit : Quelle logique ? Quel ou ?
En français, ça dépend : à la cantine, fromage ou dessert, c'est un XOR.
Ça ne dépend pas très souvent : il est exclusif quand les options, dans le contexte, sont clairement exclusives (p.ex. « oui ou non »), sinon, il est inclusif.
De plus, l'on dispose de plein de moyens pour le rendre clairement exclusif : utiliser « soit », le compléter en « ou bien »...
C'est pour cela que l'on a pas besoin de l'affreux « et/ou » qui, si le ou était fortement équivoque (c'est-à-dire si les cas où il est exclusif sont suffisamment nombreux proportionnellement aux cas où il est inclusif), aurait déjà trouvé un remplaçant depuis bien longtemps.
Pour revenir au hors-sujet précédent, une donnée n'est pas forcément une information. Il s'agit donc d'une ouverture des possibles : des informations (qui sont plus intéressantes puisque informatives) ou des données (un tas de trucs pas forcément utiles ni bien définis). C'est une formulation classique, du particulier au général par le truchement d'un énumération disjonctive.
Même quand une boîte coule (ce qui n'est pas le cas ici), les commerciaux sont les derniers à partir : il faut bien quelqu'un pour liquider ce qui reste.
Par contre, la R&D...
Comme p.ex. le fait qu'ils sont d'une incompétence crasse qui fait qu'ils pensent définir seulement le méchant P2P en parlant de logiciels d'échange de données ?
Au fait, le téléphone tombe-t-il aussi sous le coup de cette loi : c'est un médium d'échange de données et les centraux utilisent des logiciels pour la distribution.
Juste parce que je n'aime pas trop le raccourci induit par l'utilisation du signe égal, je développe un peu ton explication :
D'un côté il y a le _langage_ Java, de l'autre les outils : jdk/sdk (development kit), jre (runtime environment).
1. Dénomination « Java ».
Le langage Java a été défini dans The Java Language Specification.
Le « 1 » n'est jamais donné avant la sortie du « 2 », il n'est donné que pour le différencier, a posteriori.
Les jdk/jre qui permettent d'utiliser ce langage sont les versions 1.0.x et 1.1.x (les 1.1x diffèrent dans l'api standard, notamment la gestion des évènements dans les interfaces utilisateur).
2. Dénomination « Java 2 ».
Il n'y a en fait pas eu beaucoup de modifications au langage lui-même, mais l'api standard a intégré Swing et le modèle sand-box des applets/applications a changé (avant : applet signée ou pas, après : + gestionnaire de sécurité avec des droits bien découpés (policy...)).
Les sdk/jre correspondants sont les 1.2.x, 1.3.x et 1.4.x. Entre 1.2 et 1.3, des modifications de JVM. Entre 1.3 et 1.4, beaucoup de nouvelles api standards (regexp, log, xml...).
On peut aussi noter l'apparition du mot-clef assert dans le 1.4 (avec la possibilité de l'activer/le désactiver par package).
3. Dénomination « Java 5 ».
Grosses modifications du langage : génériques, énumérations, autoboxing, annotations, nouveau for, import static...
sdk/jre : 1.5.x
Conclusion
En fait, comme tu le dis, on peut penser que le 2 du Java 2, c'était surtout pour faire comprendre que les outils étaient débarassés des problèmes de jeunesse des précédentes versions et aussi un pour dire que le langage était stable (cf. le gros décalage d'api entre 1.0 - 1.1 (awt) et 1.1 - 1.2 (Swing)).
Être normal ne signifie pas être dans la majorité.
Être anormal ne signifie pas être dans une minorité.
Avoir les yeux bleus est tout aussi normal que d'avoir des yeux marrons. Les personnes aux yeux bleus sont pourtant minoritaires.
Avoir les yeux rouges est considéré comme anormal (pour un homo sapiens).
La norme est une convention. Elle est établie plus ou moins consciemment (dans les plus : les standards, dans les moins : les préjugés).
Il y a même des cas où la majorité de la population considérée n'est pas dans la norme que se fixe cette même population.
Merci de ne pas confondre majorité, habitude, norme, bien...
Mouaif, l'abstention est une solution quand on propose de choisir entre différents candidats et qu'aucun ne plaît et que le bulletin « personne ne me plaît » blanc n'existe pas. Mais quand il s'agit de répondre si oui ou non une loi est acceptable, et quand on est élu pour avoir un avis, l'abstention n'est pas justifiable¹.
¹ : d'aucuns diraient que cela signifie que le non-votant n'a pas de couilles...
pourquoi vouloir retirer tous mes vieux paquets alors ?
Parce que aptitude fait la différence entre les paquets que l'utilisateur lui a demandé d'installer (dits « manuels ») et les paquets que d'autres paquets lui ont demandé d'installer (dits « automatiques »), que tes paquets sont marqués « automatiques » et qu'il n'y a aucun paquet qui demande leur installation. Aptitude en déduit donc qu'ils doivent être supprimés car ils ne sont désirés par personne.
Il suffit alors de marquer ces paquets comme « manuels » (avec 'm' ('M' pour « automatiques »)) dans aptitude et il ne te proposera plus de les virer.
Effectivement, « Bouchée » aurait dû être en italique ou entre guillemets.
Comme je le disais dans mon commentaire plus haut, le byte a eu fait 4, 8 ou 9 bits (et peut-être même d'autres valeurs plus exotiques).
Par contre, le mot (word) n'est pas synonyme de byte. En fait, la taille du byte s'est fixée assez vite et l'augmentation de la capacité des processeurs a fait que l'on a utilisé le terme de « mot », avec des mots de 2, 4, 8 bytes ou plus.
Il suffit d'avoir fait du Pascal pour savoir que le byte y faisait 8 bits et le Word 16 (au départ sur des machines majoritairement 16 bits, mais les 32 bits sont arrivées bien vite).
Poussons le raisonnement jusqu'au bout et cela devient absurde.
C'est justement là le problème : lorsque l'on donne ces exemples, on nous rétorque que l'on a trop d'imagination, que l'on va trop loin, que personne ne fera cela, p.ex. qu'aucun postier ne lira le courrier, il s'en fout, ou bien que les personnes qui vérifieront le courrier le feront comme des robots, qu'ils ne nous connaissent pas, qu'ils s'en foutent, qu'ils ne s'intéressent qu'aux pédophiles...
Pousser vers des exemples extrêmes et absurdes décribilise les exemples plus plausibles, plus immédiats.
On a déjà parfois du mal à convaincre de la réalité des dangers avec des exemples réels (déjà survenus) (= « ça n'arrivera pas chez nous », « ils l'ont fait et ils se sont fait prendre, personne ne le refera »...), alors faire de la SF¹...
¹ : ceux qui en lisent savent que cela signifie bien science-fiction et que les deux termes y ont leur place. Les autres pensent qu'il s'agit, au mieux, de fantaisies débordantes d'exagération ou, au pire, de stupidités irrationnelles invraisemblables, et, en tout cas, qu'il s'agit plus d'imagination que d'extrapolation scientifique.
Il faudrait tout simplement interdire l'espèce humaine.
Ça c'est pas faux.
Bah oui, les autres espèces animales sont libre[s],
Mouaif, va dire ça aux pucerons prisonniers des fourmis.
(Oui, je sais, en fait, c'est une « protection » des pucerons par les fourmis, lesquelles sont « payées » par du lait... Elles ont une bonne agence de com. ces fourmis...)
et n'ont pas besoin d'arme pour défendre leurs territoires.
Ils n'ont pas besoin d'arme supplémentaire (et encore) parce que leurs armes font partie d'eux-mêmes (cornes, bois, sabots, dents, griffes, pinces, venin et autres).
Une critique du modèle monolithique de Gnome ou de KDE "tout en C" ou "tout en C++" ?
Je ne pense pas que l'on puisse parler de « modèle monolithique », en tout cas pas par idéologie.
Il est logique que :
- le langage soit répandu, pour avoir un maximum de contributeurs et une plus grande chance de survivre ;
- le langage permette d'écrire des bibliothèques « de base » (c'est-à-dire des .so pour ELF), pour être utilisables par un max. de programmes, en tout ou partie, et de manière optimale ;
- le projet ne s'éparpille pas en utilisant quarante langages.
À partir de là, les langages possibles sont le C (plus utilisé) et le C++ (un peu moins).
Ensuite, si les contributions sont d'utilisation générale, il est logique de demander que celles-ci s'intègrent dans l'existant, c'est-à-dire qu'elles puissent être utilisées depuis le langage choisi par le projet et qu'elles puissent aussi être intégrées dans des .so.
De plus, il est aussi bon de rappeler que Gnome a, dès le début, proposé une interaction via CORBA, et KDE via DCOP, permettant ainsi à une communication à la fois dynamique et ouverte (multi-langage).
Ça, c'était pour le côté « mono-langage ». En ce qui concerne l'aspect monolithique, rappelons encore que le modèle de KDE est compentiel (toujours DCOP) et que celui de Gnome ne l'est pas beaucoup moins. Ils sont largement plus modulaires que monolithiques.
Voilà pour ce point. Pour les autres points, complexité et cycle de développement, la complexité est inhérente à la nature de ce genre de projet et je ne vois pas trop ce que le cycle de développement peut poser comme problèmes au développeur d'applications Gnome ou KDE ou en quoi l'utilisation d'un langage interprété viendrait modifer ce cycle.
[^] # Re: Réaction de Microsoft
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Microsoft condamné à 32 millions USD pour abus de position dominante. Évalué à 2.
[^] # Re: Autant ou au temps pour moi ?
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Wikipedia dans la Matinale sur Canal+. Évalué à 5.
C'est bien pour ça que je signale qu'en français, il ne l'est pas non plus (dans le cas général et dans ce cas particulier), il n'y a donc pas besoin de dire « si je prends le ou logique », juste « ici, rien ne m'indique qu'il y a exclusion, donc je conserve le cas général : inclusif », et comme c'est un cas général qui s'applique très bien au particulier, on ne dit rien.
D'ailleurs, « En logique, le ou n'est pas exclusif », c'est vite dit : Quelle logique ? Quel ou ?
Ça ne dépend pas très souvent : il est exclusif quand les options, dans le contexte, sont clairement exclusives (p.ex. « oui ou non »), sinon, il est inclusif.
De plus, l'on dispose de plein de moyens pour le rendre clairement exclusif : utiliser « soit », le compléter en « ou bien »...
C'est pour cela que l'on a pas besoin de l'affreux « et/ou » qui, si le ou était fortement équivoque (c'est-à-dire si les cas où il est exclusif sont suffisamment nombreux proportionnellement aux cas où il est inclusif), aurait déjà trouvé un remplaçant depuis bien longtemps.
Pour revenir au hors-sujet précédent, une donnée n'est pas forcément une information. Il s'agit donc d'une ouverture des possibles : des informations (qui sont plus intéressantes puisque informatives) ou des données (un tas de trucs pas forcément utiles ni bien définis). C'est une formulation classique, du particulier au général par le truchement d'un énumération disjonctive.
Sur ce -->[]
[^] # Re: Feu vert au carrefour
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Noel, carrefour et geek.... Évalué à 2.
Par contre, la R&D...
[^] # Re: Autant ou au temps pour moi ?
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Wikipedia dans la Matinale sur Canal+. Évalué à 3.
[^] # Re: serveur web
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche Pétition EUCD.info « Non au projet de loi DADVSI ! ». Évalué à 2.
Comme p.ex. le fait qu'ils sont d'une incompétence crasse qui fait qu'ils pensent définir seulement le méchant P2P en parlant de logiciels d'échange de données ?
Au fait, le téléphone tombe-t-il aussi sous le coup de cette loi : c'est un médium d'échange de données et les centraux utilisent des logiciels pour la distribution.
[^] # Re: Autre sondage
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal DADVSI: mon sondage pas à moi !. Évalué à 2.
[^] # Re: java
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal numérotation (version) d'application. Évalué à 3.
D'un côté il y a le _langage_ Java, de l'autre les outils : jdk/sdk (development kit), jre (runtime environment).
1. Dénomination « Java ».
Le langage Java a été défini dans The Java Language Specification.
Le « 1 » n'est jamais donné avant la sortie du « 2 », il n'est donné que pour le différencier, a posteriori.
Les jdk/jre qui permettent d'utiliser ce langage sont les versions 1.0.x et 1.1.x (les 1.1x diffèrent dans l'api standard, notamment la gestion des évènements dans les interfaces utilisateur).
2. Dénomination « Java 2 ».
Il n'y a en fait pas eu beaucoup de modifications au langage lui-même, mais l'api standard a intégré Swing et le modèle sand-box des applets/applications a changé (avant : applet signée ou pas, après : + gestionnaire de sécurité avec des droits bien découpés (policy...)).
Les sdk/jre correspondants sont les 1.2.x, 1.3.x et 1.4.x. Entre 1.2 et 1.3, des modifications de JVM. Entre 1.3 et 1.4, beaucoup de nouvelles api standards (regexp, log, xml...).
On peut aussi noter l'apparition du mot-clef assert dans le 1.4 (avec la possibilité de l'activer/le désactiver par package).
3. Dénomination « Java 5 ».
Grosses modifications du langage : génériques, énumérations, autoboxing, annotations, nouveau for, import static...
sdk/jre : 1.5.x
Conclusion
En fait, comme tu le dis, on peut penser que le 2 du Java 2, c'était surtout pour faire comprendre que les outils étaient débarassés des problèmes de jeunesse des précédentes versions et aussi un pour dire que le langage était stable (cf. le gros décalage d'api entre 1.0 - 1.1 (awt) et 1.1 - 1.2 (Swing)).
[^] # Re: Mais,
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Nouvelle fantasy sur la DADVSI. Évalué à 3.
[^] # Re: Pas d'accord...
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal DADVSI : C. Vanneste, un homme d'ouverture !. Évalué à 3.
Être anormal ne signifie pas être dans une minorité.
Avoir les yeux bleus est tout aussi normal que d'avoir des yeux marrons. Les personnes aux yeux bleus sont pourtant minoritaires.
Avoir les yeux rouges est considéré comme anormal (pour un homo sapiens).
La norme est une convention. Elle est établie plus ou moins consciemment (dans les plus : les standards, dans les moins : les préjugés).
Il y a même des cas où la majorité de la population considérée n'est pas dans la norme que se fixe cette même population.
Merci de ne pas confondre majorité, habitude, norme, bien...
[^] # Re: C'est beau de rêver....
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche Pétition EUCD.info « Non au projet de loi DADVSI ! ». Évalué à 6.
-->[]
[^] # Re: A rapprocher de la loi anti-terroristes
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche Projet de loi DADVSI: EUCD.INFO publie un dossier d'information complet et un appel. Évalué à 3.
¹ : d'aucuns diraient que cela signifie que le non-votant n'a pas de couilles...
[^] # Re: et aptitude dans tout ça ?
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Debian, Mandriva, une constatation et un petit besoin d'aide.... Évalué à 3.
Parce que aptitude fait la différence entre les paquets que l'utilisateur lui a demandé d'installer (dits « manuels ») et les paquets que d'autres paquets lui ont demandé d'installer (dits « automatiques »), que tes paquets sont marqués « automatiques » et qu'il n'y a aucun paquet qui demande leur installation. Aptitude en déduit donc qu'ils doivent être supprimés car ils ne sont désirés par personne.
Il suffit alors de marquer ces paquets comme « manuels » (avec 'm' ('M' pour « automatiques »)) dans aptitude et il ne te proposera plus de les virer.
[^] # Re: Inkscape, c'est bon, mangez-en...
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal OpenOffice et les logiciels libres pour les daïcidörs pressés. Évalué à 2.
[^] # Re: Bravo
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche Sortie de Apache 2.2.0. Évalué à 0.
[^] # Re: Ce que j'en pense ? Aucun intérêt...
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal La fin de l'internet ?. Évalué à 2.
Comme je le disais dans mon commentaire plus haut, le byte a eu fait 4, 8 ou 9 bits (et peut-être même d'autres valeurs plus exotiques).
Par contre, le mot (word) n'est pas synonyme de byte. En fait, la taille du byte s'est fixée assez vite et l'augmentation de la capacité des processeurs a fait que l'on a utilisé le terme de « mot », avec des mots de 2, 4, 8 bytes ou plus.
Il suffit d'avoir fait du Pascal pour savoir que le byte y faisait 8 bits et le Word 16 (au départ sur des machines majoritairement 16 bits, mais les 32 bits sont arrivées bien vite).
[^] # Re: Mouais....
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal La SNCF et les privileges.... Évalué à 8.
Pour sûr, si on supprimait tous les privilèges de ces fainéants, tout le monde¹ serait à égalité, c'est-à-dire à 0.
¹ Enfin, sauf les esclavagistes patrons².
[/]
² : ben oui, dans un bon troll, il faut qu'il y ait deux opinions extrêmes, sinon il n'y en a qu'un qui s'énerve tout seul...
[^] # Re: Exemples de la lettre de Zimmermann et autres
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Liberticide et compagnie. Évalué à 3.
C'est justement là le problème : lorsque l'on donne ces exemples, on nous rétorque que l'on a trop d'imagination, que l'on va trop loin, que personne ne fera cela, p.ex. qu'aucun postier ne lira le courrier, il s'en fout, ou bien que les personnes qui vérifieront le courrier le feront comme des robots, qu'ils ne nous connaissent pas, qu'ils s'en foutent, qu'ils ne s'intéressent qu'aux pédophiles...
Pousser vers des exemples extrêmes et absurdes décribilise les exemples plus plausibles, plus immédiats.
On a déjà parfois du mal à convaincre de la réalité des dangers avec des exemples réels (déjà survenus) (= « ça n'arrivera pas chez nous », « ils l'ont fait et ils se sont fait prendre, personne ne le refera »...), alors faire de la SF¹...
¹ : ceux qui en lisent savent que cela signifie bien science-fiction et que les deux termes y ont leur place. Les autres pensent qu'il s'agit, au mieux, de fantaisies débordantes d'exagération ou, au pire, de stupidités irrationnelles invraisemblables, et, en tout cas, qu'il s'agit plus d'imagination que d'extrapolation scientifique.
[^] # Re: ben c'est comme tout
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal RFID: liberté, sécurité ?. Évalué à 2.
Ça c'est pas faux.
Mouaif, va dire ça aux pucerons prisonniers des fourmis.
(Oui, je sais, en fait, c'est une « protection » des pucerons par les fourmis, lesquelles sont « payées » par du lait... Elles ont une bonne agence de com. ces fourmis...)
Ils n'ont pas besoin d'arme supplémentaire (et encore) parce que leurs armes font partie d'eux-mêmes (cornes, bois, sabots, dents, griffes, pinces, venin et autres).
[^] # Re: engin automatisé
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal La SNCF et les privileges.... Évalué à 5.
[^] # Re: Vas-Y
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal La SNCF et les privileges.... Évalué à 8.
Il faut au moins être capable de trouver « où on signe ».
[^] # Re: Tu parles d'une source...
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal La SNCF et les privileges.... Évalué à 9.
et tous les employés de la SNCF sont conducteurs de TGV avec 30 ans d'ancienneté...
[/]
[^] # Re: re
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Vers la fin de la branche 2.4 ?. Évalué à 2.
# monolithe ?!
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Langages pour desktop. Évalué à 4.
Je ne pense pas que l'on puisse parler de « modèle monolithique », en tout cas pas par idéologie.
Il est logique que :
- le langage soit répandu, pour avoir un maximum de contributeurs et une plus grande chance de survivre ;
- le langage permette d'écrire des bibliothèques « de base » (c'est-à-dire des .so pour ELF), pour être utilisables par un max. de programmes, en tout ou partie, et de manière optimale ;
- le projet ne s'éparpille pas en utilisant quarante langages.
À partir de là, les langages possibles sont le C (plus utilisé) et le C++ (un peu moins).
Ensuite, si les contributions sont d'utilisation générale, il est logique de demander que celles-ci s'intègrent dans l'existant, c'est-à-dire qu'elles puissent être utilisées depuis le langage choisi par le projet et qu'elles puissent aussi être intégrées dans des .so.
De plus, il est aussi bon de rappeler que Gnome a, dès le début, proposé une interaction via CORBA, et KDE via DCOP, permettant ainsi à une communication à la fois dynamique et ouverte (multi-langage).
Ça, c'était pour le côté « mono-langage ». En ce qui concerne l'aspect monolithique, rappelons encore que le modèle de KDE est compentiel (toujours DCOP) et que celui de Gnome ne l'est pas beaucoup moins. Ils sont largement plus modulaires que monolithiques.
Voilà pour ce point. Pour les autres points, complexité et cycle de développement, la complexité est inhérente à la nature de ce genre de projet et je ne vois pas trop ce que le cycle de développement peut poser comme problèmes au développeur d'applications Gnome ou KDE ou en quoi l'utilisation d'un langage interprété viendrait modifer ce cycle.
[^] # Re: Pas d'énervement...
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal HP et le libre. Évalué à 2.
[^] # Re: Mais...
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Petit texte de Victor Hugo. Évalué à 10.
¹ j'ai failli dire « capable de s'exprimer ainsi »...