Microsoft compte, à partir de novembre, rejeter tous les messages à destination de ses services MSN et Hotmail ne comportant pas d'identifiant Sender ID. Cet identifiant est une technique développée par Microsoft afin de lutter contre la falsification des entêtes de courriel, en s'assurant que le serveur d'émission du message est certifié.
Cette technique fait l'objet de nombreuses critiques dans ses principes et dans sa forme. Elle a en effet été rejetée par tous les organismes de normalisation de la communauté internet (IETF et OSI en particulier). De plus, elle est inefficace face aux spams (près de 50% de courriels émanant des serveurs utilisant le Sender ID étant du spam), et une solution peu pratique face au phishing.
Cette décision de rejeter tous les messages ne se conformant pas à cette technologie est perçue par l'ensemble de la communauté et de l'industrie internet comme un coup de force de la part de Microsoft. Ce coup de force a pourtant peu de chance d'aboutir : Microsoft n'étant pas un gros acteur des serveurs mails, tout en étant le seul à supporter le Sender ID, les principaux perdants seraient les usagers des services de courriel de MSN et de Hotmail.
Opquast et ses licences (suite et fin)
Opquast, le référentiel des bonnes pratiques pour la qualité des sites internet, est né de discussions entre des experts et des internautes. S'il a su rapidement trouver un consensus sur ce point, sa licence a été plus problématique. L'équipe dirigeante du projet souhaite adopter une licence libre appropriée et vous demande une fois encore votre avis.
Un aperçu du prochain Mozilla Firefox
La fondation Mozilla vient de publier une version alpha du prochain Mozilla Firefox 1.1 (nommé « Deer Park »). Cette version de test public permet surtout à tout un chacun de se faire une idée de ce que apportera cette prochaine version.
La liste et l'importance des nouveautés mérite en effet une petite actu malgré le fait que ce soit encore en développement et en test. On y trouve, en vrac :
- Un support XForms : XForms est l'avenir que nous a préparé le W3C pour l'édition et la diffusion de formulaires via le Web. Ce format est intégré à XML et propose une logique et des contrôles complexes qui faisaient défaut aux formulaires HTML.
- Des évolutions CSS, et en particulier un premier support pour la gestion des colonnes, la gestion des guillemets imbriqués ou les compteurs et la numérotation. On notera aussi une nouvelle règle pour sélectionner des objets selon l'URL du document (très pratique pour personnaliser des sites depuis le userContent.css).
- Un support de SVG natif (images vectorielles avec une syntaxe XML) : sans plugin, et avec possibilité de mélanger du SVG avec d'autres dialogues XML dans une même page. Le support est loin d'être complet mais il permet déjà l'intégration d'images complexes et l'utilisation d'animations ou du scripting via DOM.
- E4X : une API simplifiée (et normalisée par l'ECMA) pour remplacer DOM quand on n'a pas besoin de toute l'artillerie lourde.
- Implémentation de XTF (eXtensible Tag Framework), qui permet l'ajout de nouveaux espaces de noms et dialectes XML sans toucher au c½ur de Mozilla. C'est sur cette base qu'a été faite l'implémentation XForms.
- La gestion des extensions a été retravaillée. On peut supprimer une extension simplement en supprimant le répertoire associé, plus aucune donnée ne se trouve dans des fichiers partagés. L'installation se passe aussi simplement en copiant le XPI dans le répertoire d'extensions. On voit aussi arriver la possibilité d'avoir des extensions en dehors du répertoire de l'application ou du profile.
- L'amélioration du navigateur sur Mac OS X
La liste et l'importance des nouveautés mérite en effet une petite actu malgré le fait que ce soit encore en développement et en test. On y trouve, en vrac :
- Un support XForms : XForms est l'avenir que nous a préparé le W3C pour l'édition et la diffusion de formulaires via le Web. Ce format est intégré à XML et propose une logique et des contrôles complexes qui faisaient défaut aux formulaires HTML.
- Des évolutions CSS, et en particulier un premier support pour la gestion des colonnes, la gestion des guillemets imbriqués ou les compteurs et la numérotation. On notera aussi une nouvelle règle pour sélectionner des objets selon l'URL du document (très pratique pour personnaliser des sites depuis le userContent.css).
- Un support de SVG natif (images vectorielles avec une syntaxe XML) : sans plugin, et avec possibilité de mélanger du SVG avec d'autres dialogues XML dans une même page. Le support est loin d'être complet mais il permet déjà l'intégration d'images complexes et l'utilisation d'animations ou du scripting via DOM.
- E4X : une API simplifiée (et normalisée par l'ECMA) pour remplacer DOM quand on n'a pas besoin de toute l'artillerie lourde.
- Implémentation de XTF (eXtensible Tag Framework), qui permet l'ajout de nouveaux espaces de noms et dialectes XML sans toucher au c½ur de Mozilla. C'est sur cette base qu'a été faite l'implémentation XForms.
- La gestion des extensions a été retravaillée. On peut supprimer une extension simplement en supprimant le répertoire associé, plus aucune donnée ne se trouve dans des fichiers partagés. L'installation se passe aussi simplement en copiant le XPI dans le répertoire d'extensions. On voit aussi arriver la possibilité d'avoir des extensions en dehors du répertoire de l'application ou du profile.
- L'amélioration du navigateur sur Mac OS X
aMule version 2.0 disponible
Un an après la première Release Candidate, la version 2.0 du client P2P aMule vient de sortir.
aMule est un client du réseau eDonkey. Les développeurs essayent de respecter les grandes lignes de l'interface du client eMule sous Windows.
aMule est écrit en wxWidgets et est compatible avec de nombreux systèmes d'exploitation dont GNU/Linux, FreeBSD, MacOS X, et même Windows.
aMule est un client du réseau eDonkey. Les développeurs essayent de respecter les grandes lignes de l'interface du client eMule sous Windows.
aMule est écrit en wxWidgets et est compatible avec de nombreux systèmes d'exploitation dont GNU/Linux, FreeBSD, MacOS X, et même Windows.
SPIP 1.8 est sorti
C'est ce 1er avril 2005 qu'est sortie la version 1.8 du célèbre moteur de gestion de contenu libre, plus d'un an après la version 1.7 (janvier 2004).
L'objectif de SPIP reste toujours le même : proposer un moyen simple de créer un site web, tout en restant souple et très fonctionnel.
Parmi les principales nouveautés, on retrouve :
- un espace d'administration complètement refondu, sur le plan graphique et ergonomique,
- la prévisualisation d'un article avec les squelettes publics
- la gestion de l'historique des modifications dans un article
- un nouveau gestionnaire de documents attachés à un article ou une rubrique
- l'ajout de fonctionnalités intéressantes en mode client-serveur, par exemple un correcteur orthographique et un générateur LaTeX. Des serveurs d'analyse orthographique et de rendu LaTeX sont fournis par la communauté.
Mais aussi beaucoup de modifications qui seront moins évidentes pour l'utilisateur, comme par exemple le nouveau compilateur de squelettes qui gagne beaucoup en souplesse, des traductions mises à jour, et une meilleure conformité W3C.
La procédure de mise à jour est très simple, et fonctionne bien manifestement.
Un énorme bravo à toute l'équipe de développement de SPIP, qui nous apporte un outil très puissant, très souple mais aussi très simple d'utilisation.
L'objectif de SPIP reste toujours le même : proposer un moyen simple de créer un site web, tout en restant souple et très fonctionnel.
Parmi les principales nouveautés, on retrouve :
- un espace d'administration complètement refondu, sur le plan graphique et ergonomique,
- la prévisualisation d'un article avec les squelettes publics
- la gestion de l'historique des modifications dans un article
- un nouveau gestionnaire de documents attachés à un article ou une rubrique
- l'ajout de fonctionnalités intéressantes en mode client-serveur, par exemple un correcteur orthographique et un générateur LaTeX. Des serveurs d'analyse orthographique et de rendu LaTeX sont fournis par la communauté.
Mais aussi beaucoup de modifications qui seront moins évidentes pour l'utilisateur, comme par exemple le nouveau compilateur de squelettes qui gagne beaucoup en souplesse, des traductions mises à jour, et une meilleure conformité W3C.
La procédure de mise à jour est très simple, et fonctionne bien manifestement.
Un énorme bravo à toute l'équipe de développement de SPIP, qui nous apporte un outil très puissant, très souple mais aussi très simple d'utilisation.
talweg, solution de portail captif
Si vous souhaitez partager un accès internet, la principale difficulté réside dans l'authentification. C'est d'autant plus vrai dans le cadre des réseaux sans-fils support ouvert à toutes les indiscrétions. Il existe des solutions liées à la technologie WiFi. Ces solutions, bien que fiables pour les plus récentes, peuvent être délicates à mettre en place. En effet, l'hétérogénéité du matériel dont disposent les clients ne permet pas toujours le déploiement des dernières technologies. De plus le nombre potentiel d'utilisateurs peut être très élevé, ce qui interdit les manipulations sur les clients faute de quoi le besoin en support pourrait devenir considérable.
Pour remédier à ce problème sont apparus les portails captifs. Avec ce type de système un utilisateur qui se connecte au réseau pour la première fois est dirigé (capté) vers une page d'authentification. Une fois authentifié le système autorise l'accès au réseau. Parmi ces logiciels on peut citer NoCat, chiliSpot et monoWall.
L'inconvénient de ces solutions est qu'elles autorisent l'accès en fonction de critères (adresse IP, adresse MAC) qui sont facilement imitables. Alors on peut imaginer qu'une personne mal intentionnée puisse usurper l'identité d'un utilisateur du réseau. Fort de ce constat, une nouvelle solution de portail captif a été développé à l'université de Metz : talweg.
Cette solution est basée sur des mécanismes de sécurité éprouvés, notamment le protocole SSL employé sur internet pour les paiements bancaires. Les transmissions entre le client et la passerelle sont chiffrées. L'identité d'un utilisateur ne peut être usurpée.
Ce logiciel en licence GPL est disponible dans sa première version et tout retour sera apprécié.
bon test !
Pour remédier à ce problème sont apparus les portails captifs. Avec ce type de système un utilisateur qui se connecte au réseau pour la première fois est dirigé (capté) vers une page d'authentification. Une fois authentifié le système autorise l'accès au réseau. Parmi ces logiciels on peut citer NoCat, chiliSpot et monoWall.
L'inconvénient de ces solutions est qu'elles autorisent l'accès en fonction de critères (adresse IP, adresse MAC) qui sont facilement imitables. Alors on peut imaginer qu'une personne mal intentionnée puisse usurper l'identité d'un utilisateur du réseau. Fort de ce constat, une nouvelle solution de portail captif a été développé à l'université de Metz : talweg.
Cette solution est basée sur des mécanismes de sécurité éprouvés, notamment le protocole SSL employé sur internet pour les paiements bancaires. Les transmissions entre le client et la passerelle sont chiffrées. L'identité d'un utilisateur ne peut être usurpée.
Ce logiciel en licence GPL est disponible dans sa première version et tout retour sera apprécié.
bon test !
Article sur Firefox dans la presse australienne
Le journal australien The Age publie aujourd'hui un long article intitulé «Firefox explorers». En partant de l'expérience d'un chef d'entreprise dans le domaine du vin qui a migré ses 100 ordinateurs sous Firefox, l'article expose les différents avantages du navigateur libre.
L'avantage du coût n'est pas l'argument principal développé dans l'article, celui-ci met plutôt l'accent sur le respect des standards et l'indépendance vis-à-vis d'un fournisseur. Les problèmes d'Internet Explorer dans ce domaine et dans le domaine de la sécurité sont évoqués.
L'article met également en avant le système Bugzilla, utilisé dans le processus de développement de Firefox, comme gage de qualité du logiciel. La fin de l'article est de nouveau consacrée aux standards, avec une définition plus générale et des exemples de standards ouverts : Every software program, computer and peripheral device (such as a printer, MP3 player or digital camera) relies on standards to work, guaranteeing they "speak the same language".
Pour finir, on retiendra de cet excellent article les éloges du chef d'entreprise au sujet de Firefox : "Firefox has the best pedigree, with an active engineering community, wide community support and long history".
NdM: Le premier lien demande une inscription pour la lecture de l'article.
L'avantage du coût n'est pas l'argument principal développé dans l'article, celui-ci met plutôt l'accent sur le respect des standards et l'indépendance vis-à-vis d'un fournisseur. Les problèmes d'Internet Explorer dans ce domaine et dans le domaine de la sécurité sont évoqués.
L'article met également en avant le système Bugzilla, utilisé dans le processus de développement de Firefox, comme gage de qualité du logiciel. La fin de l'article est de nouveau consacrée aux standards, avec une définition plus générale et des exemples de standards ouverts : Every software program, computer and peripheral device (such as a printer, MP3 player or digital camera) relies on standards to work, guaranteeing they "speak the same language".
Pour finir, on retiendra de cet excellent article les éloges du chef d'entreprise au sujet de Firefox : "Firefox has the best pedigree, with an active engineering community, wide community support and long history".
NdM: Le premier lien demande une inscription pour la lecture de l'article.
De l'intérêt de respecter les standards du web... en video
Dans la série « un bon schéma vaut mieux qu'un long discours... » voici en video, un des intérêts de respecter les standards du web: l'accessibilité.
Ces trois vidéos permettent une prise de conscience des situations réelles (à ne pas manquer: l'effet tunnel). Elles proposent aussi au webdesigner quelques conseils pour améliorer l'accessibilité.
Que ceux qui ne sont pas encore convaincus de l'utilité, voire de la nécessité, de veiller à l'accessibilité des sites Internet aillent jeter un oeil sur les vidéos rassemblées sur cette page (quant à ceux qui sont déjà convaincus... qu'ils y aillent aussi ;-) )
Ces trois vidéos permettent une prise de conscience des situations réelles (à ne pas manquer: l'effet tunnel). Elles proposent aussi au webdesigner quelques conseils pour améliorer l'accessibilité.
Que ceux qui ne sont pas encore convaincus de l'utilité, voire de la nécessité, de veiller à l'accessibilité des sites Internet aillent jeter un oeil sur les vidéos rassemblées sur cette page (quant à ceux qui sont déjà convaincus... qu'ils y aillent aussi ;-) )
Install-party à Rouen le 26 mars...
Le 26 mars prochain aura lieu une install party dans la région rouennaise.
Cet évènement se fera en partenariat avec Rotomalug, Wifi76 et l'INSA de Rouen. Il se déroulera à l'INSA de Rouen, au Madrillet, à Saint-Étienne-du-Rouvray, métro Technopôle, de 10h à 18h.
L'entrée et installation est gratuite.
- Possibilité de repartir avec des CD d'installation moyennant un somme modique de quelques euros ou de graver sur place si vous apportez des CD vierges (sous réserve de l'affluence).
Au programme :
- Installation de Linux sur votre matériel ;
- Installation de Linux sur notre matériel (merci l'INSA) ;
- Découverte de Linux et des logiciels qui fonctionnent sous ce système, par la démonstration ou par des manipulations, sur place (des machines sont à votre disposition) ;
- Réponses à vos questions sur GNU/Linux et les logiciels libres ;
- Présentation des réseaux sans-fil WIFI par WIFI76 ;
- Découverte de FreeBSD.
Les conférences:
- Présentation de l'association et des logiciels libres, Cyrille Mortreux (RotomaLUG), 11h00
- Mandrakelinux, Grégory Letoquart (Mandrakesoft)
- OpenOffice.org
Venez nombreux, aussi bien pour vous faire installer Linux, que pour aider à l'installation, écouter les conférences ou simplement en apprendre un peu plus sur Linux !
Cet évènement se fera en partenariat avec Rotomalug, Wifi76 et l'INSA de Rouen. Il se déroulera à l'INSA de Rouen, au Madrillet, à Saint-Étienne-du-Rouvray, métro Technopôle, de 10h à 18h.
L'entrée et installation est gratuite.
- Possibilité de repartir avec des CD d'installation moyennant un somme modique de quelques euros ou de graver sur place si vous apportez des CD vierges (sous réserve de l'affluence).
Au programme :
- Installation de Linux sur votre matériel ;
- Installation de Linux sur notre matériel (merci l'INSA) ;
- Découverte de Linux et des logiciels qui fonctionnent sous ce système, par la démonstration ou par des manipulations, sur place (des machines sont à votre disposition) ;
- Réponses à vos questions sur GNU/Linux et les logiciels libres ;
- Présentation des réseaux sans-fil WIFI par WIFI76 ;
- Découverte de FreeBSD.
Les conférences:
- Présentation de l'association et des logiciels libres, Cyrille Mortreux (RotomaLUG), 11h00
- Mandrakelinux, Grégory Letoquart (Mandrakesoft)
- OpenOffice.org
Venez nombreux, aussi bien pour vous faire installer Linux, que pour aider à l'installation, écouter les conférences ou simplement en apprendre un peu plus sur Linux !
La SPEDIDAM veut vos sous...
Après son lobbying pour instaurer une taxe sur les CD vierges, la Spedidam essaye de peser pour taxer l'usage d'internet.
Adhérent de la Spedidam (Société de Perception et de Distribution des Droits des Artistes-Interprètes de la Musique et de la Danse), j'ai eu la surprise de recevoir ce matin un appel à signer une pétition pour " l'instauration d'une rémunération perçue auprès des fournisseurs d'accès, au bénéfice des artistes interprètes, en contrepartie de laquelle les échanges de fichiers entre internautes pourront être librement réalisés " (sic)
Préparez vous à payer 10 euros de plus par mois pour votre connexion haut débit!
Adhérent de la Spedidam (Société de Perception et de Distribution des Droits des Artistes-Interprètes de la Musique et de la Danse), j'ai eu la surprise de recevoir ce matin un appel à signer une pétition pour " l'instauration d'une rémunération perçue auprès des fournisseurs d'accès, au bénéfice des artistes interprètes, en contrepartie de laquelle les échanges de fichiers entre internautes pourront être librement réalisés " (sic)
Préparez vous à payer 10 euros de plus par mois pour votre connexion haut débit!
Wikipédia pourrait être hébergé en partie chez Google
Google souhaite apparemment collaborer avec le projet Wikipédia en faisant don de bande passante et de serveurs au projet.
Malgré la mise en place récente de serveurs en France, le projet Wikipédia semble éprouver des difficultés à tenir le nombre de plus en plus grand d'utilisateurs et de contributeurs.
Jimmy Wales, le fondateur de Wikipédia, a rencontré Sergei Brin et Larry Page, de Google. Ils ont proposé le don d'un certain nombre de serveurs « dual Zeon » et une bande passante illimitée.
Bien que le sponsoring de Google puisse se révéler pertinent pour aider Wikipédia, on ne peut s'empêcher de se demander si il n'y a pas de risques à ce que le savoir de Wikipédia soit hébergé par une société telle que Google.
Malgré la mise en place récente de serveurs en France, le projet Wikipédia semble éprouver des difficultés à tenir le nombre de plus en plus grand d'utilisateurs et de contributeurs.
Jimmy Wales, le fondateur de Wikipédia, a rencontré Sergei Brin et Larry Page, de Google. Ils ont proposé le don d'un certain nombre de serveurs « dual Zeon » et une bande passante illimitée.
Bien que le sponsoring de Google puisse se révéler pertinent pour aider Wikipédia, on ne peut s'empêcher de se demander si il n'y a pas de risques à ce que le savoir de Wikipédia soit hébergé par une société telle que Google.
PERSEE, portail de diffusion de revues scientifiques en SHS
PERSEE est un portail Internet donnant accès à l’intégralité de collections rétrospectives de revues françaises en sciences humaines et sociales.
Lancée en 2004, cette initiative publique est conduite par le Ministère de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche en étroite collaboration avec les chercheurs et les éditeurs avec pour objectif commun de préserver et de valoriser le patrimoine scientifique.
Les collections imprimées des revues sont numérisées et elles sont diffusées en ligne dans le respect du droit des auteurs.
L’accès au texte intégral est libre et gratuit pour tout internaute.
Ci-dessous, l'annonce officielle de l'ouverture du portail réalisé par Aliacom et l'université Lumière Lyon 2.
Lancée en 2004, cette initiative publique est conduite par le Ministère de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche en étroite collaboration avec les chercheurs et les éditeurs avec pour objectif commun de préserver et de valoriser le patrimoine scientifique.
Les collections imprimées des revues sont numérisées et elles sont diffusées en ligne dans le respect du droit des auteurs.
L’accès au texte intégral est libre et gratuit pour tout internaute.
Ci-dessous, l'annonce officielle de l'ouverture du portail réalisé par Aliacom et l'université Lumière Lyon 2.
Ça bouge du côté de Wikipédia ! Des serveurs en France !
Wikipédia, l'encyclopédie universelle multilingue, libre et gratuite, poursuit son fort développement en croissance continue. La version francophone vient de passer la barre des 80 000 articles, alors que la version germanophone approche les 200 000 articles.
Pour soutenir la charge toujours plus importante, l'infrastructure se développe maintenant à l'international. Pour la première fois depuis la création de Wikipédia, des serveurs ont été installés hors des États-Unis. Aujourd'hui, les bénéficiaires de ces serveurs sont les utilisateurs français, belges, luxembourgeois, suisses et britanniques, qui y effectuent plusieurs millions de requêtes par jour.
Un nouveau projet vient d'être lancé récemment, faisant suite à un intense débat au sein de la communauté : Wikinews, un site collaboratif d'informations quotidiennes.
Les services Wikipédia sont fournis par le logiciel Mediawiki, dont la dernière version offre notamment une génération automatique de galeries d'images, et un choix de la langue de l'interface, allant de l'afrikaans au chinois traditionnel, supportant ainsi plus de soixante langues différentes.
À bientôt sur Wikipédia !
Pour soutenir la charge toujours plus importante, l'infrastructure se développe maintenant à l'international. Pour la première fois depuis la création de Wikipédia, des serveurs ont été installés hors des États-Unis. Aujourd'hui, les bénéficiaires de ces serveurs sont les utilisateurs français, belges, luxembourgeois, suisses et britanniques, qui y effectuent plusieurs millions de requêtes par jour.
Un nouveau projet vient d'être lancé récemment, faisant suite à un intense débat au sein de la communauté : Wikinews, un site collaboratif d'informations quotidiennes.
Les services Wikipédia sont fournis par le logiciel Mediawiki, dont la dernière version offre notamment une génération automatique de galeries d'images, et un choix de la langue de l'interface, allant de l'afrikaans au chinois traditionnel, supportant ainsi plus de soixante langues différentes.
À bientôt sur Wikipédia !
Google contre la pollution des sites web
La pollution des espaces publics des sites web, notamment les commentaires des blogs et les pages des wikis, s'est fortement accrue en 2004. Le but des pollueurs est d'améliorer le classement de leurs sites douteux en créant des liens vers ceux-ci, et en profitant ainsi de la popularité du site qu'ils polluent.
Des méthodes ont été mises au point par les communautés concernées, allant du fastidieux nettoyage des commentaires et pages concernés à des listes noires partagées, afin de bloquer le phénomène à sa source. Un combat sans fin toutefois, tant que les pollueurs ont suffisamment à y gagner, c'est à dire un bon classement dans les moteurs de recherche.
L'annonce de Google, mardi dernier, va peut-être mettre fin à ce problème. En effet, Google permet maintenant aux gestionnaires de sites web d'indiquer que certains liens doivent être ignorés dans le calcul du PageRank, qui est à l'origine de toute cette pollution. MSN Search et Yahoo! Search ainsi qu'une dizaine d'auteurs de moteurs de blog ont annoncé soutenir et participer à cette initiative.
Des méthodes ont été mises au point par les communautés concernées, allant du fastidieux nettoyage des commentaires et pages concernés à des listes noires partagées, afin de bloquer le phénomène à sa source. Un combat sans fin toutefois, tant que les pollueurs ont suffisamment à y gagner, c'est à dire un bon classement dans les moteurs de recherche.
L'annonce de Google, mardi dernier, va peut-être mettre fin à ce problème. En effet, Google permet maintenant aux gestionnaires de sites web d'indiquer que certains liens doivent être ignorés dans le calcul du PageRank, qui est à l'origine de toute cette pollution. MSN Search et Yahoo! Search ainsi qu'une dizaine d'auteurs de moteurs de blog ont annoncé soutenir et participer à cette initiative.
Sylpheed et Sylpheed-Claws arrivent en version 1.0.0.
À quelques jours d'intervalle, Sylpheed et Sylpheed-Claws sortent officiellement du beta-test. La version 1 de Sylpheed est arrivée, fort à propos, le 24 décembre dernier, suivie aujourd'hui de Sylpheed-Claws.
Ces deux logiciels, dont le deuxième est dérivé du premier, sont des clients mail conçus pour être rapides et efficaces. Tandis que le focus de Sylpheed est plus axé sur l'intuitivité et la simplicité d'utilisation, celui de Sylpheed-Claws est plus la puissance et la modularité - parfois au détriment de l'intuitivité.
Sylpheed existe depuis début 2000, et Sylpheed-Claws est né en Avril 2001, initialement pour servir d' "incubateur" à de nouvelles fonctionnalités de Sylpheed.
Ces deux logiciels, dont le deuxième est dérivé du premier, sont des clients mail conçus pour être rapides et efficaces. Tandis que le focus de Sylpheed est plus axé sur l'intuitivité et la simplicité d'utilisation, celui de Sylpheed-Claws est plus la puissance et la modularité - parfois au détriment de l'intuitivité.
Sylpheed existe depuis début 2000, et Sylpheed-Claws est né en Avril 2001, initialement pour servir d' "incubateur" à de nouvelles fonctionnalités de Sylpheed.
Bluefish 1.0 & NVU 0.7
Le petit poisson est devenu grand et Bluefish 1.0 est maintenant disponible. Il s'agit un éditeur de code pour les webmasters expérimentés et les programmeurs (une quinzaine de langages sont pris en compte). Cette nouvelle version apporte notamment une documentation plus importante (HTML, CSS, PHP et Python) et une meilleure intégration avec les bureaux GNOME et KDE.
Coté Mozilla, NVU 0.7 est annoncé. Il est basé sur le code source de Firefox 1.0 et dispose désormais d'un gestionnaire de thèmes et d'extensions (cf. Mozillazine et French Mozilla pour plus de détails).
NdM Nvu est un éditeur HTML graphique issu de la suite Mozilla.
Coté Mozilla, NVU 0.7 est annoncé. Il est basé sur le code source de Firefox 1.0 et dispose désormais d'un gestionnaire de thèmes et d'extensions (cf. Mozillazine et French Mozilla pour plus de détails).
NdM Nvu est un éditeur HTML graphique issu de la suite Mozilla.
Gestion de mouvements de jeunesse en ligne
ScoutWebPortail, un portail de gestion de mouvements de jeunesse vient d'être publié en version 1.0 sous licence GPL. Utilisé avec succès depuis 3 ans dans notre unité, il se base sur PHP/MySQL.
Il propose entre autre :
- Gestion des cotisations
- Gestion des sizaines et patrouilles
- Gestion des anciens
Et bien plus encore.
Il propose entre autre :
- Gestion des cotisations
- Gestion des sizaines et patrouilles
- Gestion des anciens
Et bien plus encore.
Un site web public avec un haut niveau d'accessibilité
Le site de la communauté d'agglomération du Grand Chalon vient d'être labellisé Or par AccessiWeb (cellule Accessibilité du Web de l'association Braillenet).
C’est la première fois qu’un site Web public et non spécialisé dans le handicap obtient un label supérieur au niveau Bronze.
L'obtention de ce label Français équivaut à la validation du niveau 3 du document de référence sur l'accessibilité des contenus du W3C (la WCAG 1.0).
Le tout construit et alimenté sur la base d'un HTML strict (valide) et habillé par du CSS Accessible.
Félicitation donc à la communauté d'agglomération du Grand Chalon pour cette grande première nationale :-) .
C’est la première fois qu’un site Web public et non spécialisé dans le handicap obtient un label supérieur au niveau Bronze.
L'obtention de ce label Français équivaut à la validation du niveau 3 du document de référence sur l'accessibilité des contenus du W3C (la WCAG 1.0).
Le tout construit et alimenté sur la base d'un HTML strict (valide) et habillé par du CSS Accessible.
Félicitation donc à la communauté d'agglomération du Grand Chalon pour cette grande première nationale :-) .
Sortie de MyNews 1.0
MyNews est un programme qui examine certains sites web pour rechercher de nouvelles dépêches.
Les dépêches sont stockées en base de données.
Les utilisateurs de MyNews peuvent s'abonner à ces sites pour recevoir un mail quand de nouvelles dépêches ont été rajoutées.
MyNews est écrit en Perl sous licence GNU GPL. Le projet est initié et soutenu par la société NeoSystem.
Les dépêches sont stockées en base de données.
Les utilisateurs de MyNews peuvent s'abonner à ces sites pour recevoir un mail quand de nouvelles dépêches ont été rajoutées.
MyNews est écrit en Perl sous licence GNU GPL. Le projet est initié et soutenu par la société NeoSystem.
Accessibilité du Web, pourquoi et comment l'améliorer ?
La population des internautes est extrêmement variée. Comment répondre à la diversité des besoins qui en résulte ? Open-S publie un guide pour proposer des solutions et améliorer l'accessibilité des sites Web. Le guide "Accessibilité : pourquoi et comment l'améliorer" est un document pédagogique destiné à faciliter l'accès à la notion d'accessibilité du Web.
Les lecteurs disposent ainsi d'un recueil de conseils susceptibles de leur faciliter le développement de sites Internet accessibles, en conformité avec les recommandations du W3C.
NdM : quelle est la licence de ce document ?
Les lecteurs disposent ainsi d'un recueil de conseils susceptibles de leur faciliter le développement de sites Internet accessibles, en conformité avec les recommandations du W3C.
NdM : quelle est la licence de ce document ?
Le site w3blacklist renaît de ses cendres
Le site W3Blacklist est désormais ouvert, après une interruption de près d'un an. Le site original (créé par Cédric Malherbe), dont l'adresse était w3blacklist.tuxfamily.org a été complètement réécrit. La base de données a été intégralement reprise et sera progressivement mise à jour.
Pour mémoire, ce site a pour but de faire respecter les standards du W3C pour l'écriture de sites. Il dénonce tout site (commercial ou gouvernemental) qui discrimine les visiteurs en interdisant l'accès (totalement ou partiellement) selon le navigateur ou le système utilisé.
Il y a des envois réguliers de courriels aux webmestres concernés, pour que le site soit modifié et rendu conforme aux standards. Des modèles de lettres sont fournis pour vos propres courriels.
NdM : la page « Validité des sites web » de Lol Zimmerli traite un plus large éventail de sites, via les validateurs HTML et CSS du W3C. Le site w3blacklist comporte plutôt des vérifications manuelles.
Pour mémoire, ce site a pour but de faire respecter les standards du W3C pour l'écriture de sites. Il dénonce tout site (commercial ou gouvernemental) qui discrimine les visiteurs en interdisant l'accès (totalement ou partiellement) selon le navigateur ou le système utilisé.
Il y a des envois réguliers de courriels aux webmestres concernés, pour que le site soit modifié et rendu conforme aux standards. Des modèles de lettres sont fournis pour vos propres courriels.
NdM : la page « Validité des sites web » de Lol Zimmerli traite un plus large éventail de sites, via les validateurs HTML et CSS du W3C. Le site w3blacklist comporte plutôt des vérifications manuelles.
Sendmail X : vers une réécriture majeure
Sendmail (actuellement en version 8.13.1) est un programme libre de transfert de mail (Mail Transfert Agent ou MTA)*.
Le projet Sendmail a été lancé en 1979 par Eric Allman. Il a longtemps constitué le serveur SMTP de référence du monde du libre et continue à être extrêmement répandu. Pourtant plusieurs problèmes demeurent :
- C'est l'archétype du logiciel gros et complexe ;
- Il a connu de nombreuses failles de sécurité critiques ;
- Son fichier de configuration est difficilement compréhensible ;
- Ses performances ne sont pas optimales.
Pour remédier à ces faiblesses, une réécriture majeure est prévue - au point que l'on peut se demander si il est opportun de conserver le nom du programme.
L'idée générale est de fragmenter au maximum le programme (qui est actuellement assez monolithique) pour se diriger vers une architecture légère et modulaire regroupant plusieurs processus coopérants. Le fichier de configuration utilisera une syntaxe proche du C.
Le projet Sendmail a été lancé en 1979 par Eric Allman. Il a longtemps constitué le serveur SMTP de référence du monde du libre et continue à être extrêmement répandu. Pourtant plusieurs problèmes demeurent :
- C'est l'archétype du logiciel gros et complexe ;
- Il a connu de nombreuses failles de sécurité critiques ;
- Son fichier de configuration est difficilement compréhensible ;
- Ses performances ne sont pas optimales.
Pour remédier à ces faiblesses, une réécriture majeure est prévue - au point que l'on peut se demander si il est opportun de conserver le nom du programme.
L'idée générale est de fragmenter au maximum le programme (qui est actuellement assez monolithique) pour se diriger vers une architecture légère et modulaire regroupant plusieurs processus coopérants. Le fichier de configuration utilisera une syntaxe proche du C.
Les 10 ans du W3C !
C'est en octobre 1994 que le World Wide Web Consortium (W3C) a été créé par Tim Berners-Lee au MIT, avec la collaboration du CERN, de la DARPA et de la Commission européenne, et rejoint ensuite en avril 1995 par l'INRIA (remplacé depuis c'est l'ERCIM)
Donc 10 ans "pour mener le Web à son plein potentiel en développant des protocoles communs pour promouvoir son évolution et assurer son interopérabilité".
Pour marquer ces 10 ans, le W3C organise le 1er décembre à Boston une journée de célébration, avec 7 sessions et de nombreux intervenants (dont Tim Berners-Lee, directeur du W3C ; Michel Cosnard de l'INRIA ; Charles Vest, directeur du MIT ; Tim O'Reilly, président des éditions O'Reilly).
Donc 10 ans "pour mener le Web à son plein potentiel en développant des protocoles communs pour promouvoir son évolution et assurer son interopérabilité".
Pour marquer ces 10 ans, le W3C organise le 1er décembre à Boston une journée de célébration, avec 7 sessions et de nombreux intervenants (dont Tim Berners-Lee, directeur du W3C ; Michel Cosnard de l'INRIA ; Charles Vest, directeur du MIT ; Tim O'Reilly, président des éditions O'Reilly).
S5 : système de présentation utilisant les standards Web
Eric Meyer, l'un des meilleurs spécialistes des CSS et des standards Web (voir par exemple son site CSS-edge consacré aux CSS), a travaillé ces derniers temps sur un système de présentation basé sur les standards web (XHTML, CSS et javascript) : S5 (pour "simple standards-based slide show system", « 5 » est en exposant).
S5 1.0 sortira bientôt, et le "candidat final" est convaincant :
- il fonctionne avec tous les navigateurs
- les transparents se redimensionnent à la volée
- une présentation complète est contenue dans une page xhtml (regardez par exemple le code source de l'exemple : simple, clair)
- le style est contenu dans les CSS et est donc modifiable facilement
- boutons "suivant" et "précédent", mais aussi un menu permettant d'aller directement au transparent désiré (pour faire apparaître ce menu, déplacez la souris en bas à droite du transparent en dessous des flèches de navigation)
On ne peut pas vraiment parler de logiciel de présentation car le logiciel est le navigateur web. Ce système (le javascript, les CSS) est disponible sous la licence Creative Commons Attribution-ShareAlike 2.0 (cf. la FAQ).
S5 1.0 sortira bientôt, et le "candidat final" est convaincant :
- il fonctionne avec tous les navigateurs
- les transparents se redimensionnent à la volée
- une présentation complète est contenue dans une page xhtml (regardez par exemple le code source de l'exemple : simple, clair)
- le style est contenu dans les CSS et est donc modifiable facilement
- boutons "suivant" et "précédent", mais aussi un menu permettant d'aller directement au transparent désiré (pour faire apparaître ce menu, déplacez la souris en bas à droite du transparent en dessous des flèches de navigation)
On ne peut pas vraiment parler de logiciel de présentation car le logiciel est le navigateur web. Ce système (le javascript, les CSS) est disponible sous la licence Creative Commons Attribution-ShareAlike 2.0 (cf. la FAQ).
Articles sur Firefox dans la presse
Un article sur LeMonde.fr présentant la « guerre » entre Internet Explorer et Firefox vient d'être publié.
Il présente le navigateur comme un bastion de sécurité face à IE, critiquant ce dernier sur ses dernières failles de sécurité (NdM : et en évoquant les recommandations d'organismes de sécurité allemand, américain et français concernant le navigateur propriétaire).
L'histoire des navigateurs est également racontée, appuyant sur le monopole Microsoft, et l'histoire de Mozilla/Netscape (il y a quelques erreurs tout de même...)
En bref, un petit article sympathique sur les LL !
NdM : merci à tous ceux qui ont proposé cette dépêche. Le quotidien gratuit 20 minutes avait aussi publié le 4 octobre un article d'une demi-page sur « Firefox l'autre navigateur du Web » avec pour sous-titre « La communauté du logiciel libre propose une alternative performante à Internet Explorer. »
Il présente le navigateur comme un bastion de sécurité face à IE, critiquant ce dernier sur ses dernières failles de sécurité (NdM : et en évoquant les recommandations d'organismes de sécurité allemand, américain et français concernant le navigateur propriétaire).
L'histoire des navigateurs est également racontée, appuyant sur le monopole Microsoft, et l'histoire de Mozilla/Netscape (il y a quelques erreurs tout de même...)
En bref, un petit article sympathique sur les LL !
NdM : merci à tous ceux qui ont proposé cette dépêche. Le quotidien gratuit 20 minutes avait aussi publié le 4 octobre un article d'une demi-page sur « Firefox l'autre navigateur du Web » avec pour sous-titre « La communauté du logiciel libre propose une alternative performante à Internet Explorer. »