Arthur Accroc a écrit 2067 commentaires

  • # Comment ?

    Posté par  . En réponse au journal profils itinérants, version Linux. Évalué à 3.

    J'ai utilisé un simple script bash, appelé depuis le gestionnaire lightdm. Le script utilise la variable $USER qui lui est passée, est synchronise le dossier de l'utilisateur avec un serveur rsync (debian)

    À la réflexion, il manque un détail pour comprendre ta solution : quand fais-tu la synchronisation ?

    Si tu la fais dans les deux sens à l’ouverture de session, -u évite d’écraser des fichiers plus récents, mais tu ne peux pas faire de --delete, donc tous les fichiers effacés reviennent.

    Si tu la fais dans le sens serveur → station de travail à l’ouverture de session et station de travail → serveur à la fermeture de session, il y a un cas qui va être problématique : le plantage de X ou la coupure de courant. À l’ouverture de session qui suivra, la synchro sera faite depuis le serveur alors qu’elle n’a pas été faite dans l’autre sens. Si tu utilises l’option --delete, ça veut dire que les nouveaux fichiers seront effacés. Si tu ne l’utilises pas, ça veut dire que les fichiers effacés reviendront tout le temps.

    Par ailleurs, -u dépend pour fonctionner correctement d’une date correcte sur les machines. NTP fortement conseillé !

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: Fedora

    Posté par  . En réponse au journal Chronique des dinosaures rétrogrades. Évalué à 2.

    Quelle différence par rapport à utiliser l'installateur ?

    Il ne demande pas d’investir du temps pour le maîtriser.
    Je ne l’utilise même pas une fois par version de la distribution : je mets à jour mon système type.

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  • [^] # Fedora

    Posté par  . En réponse au journal Chronique des dinosaures rétrogrades. Évalué à 2.

    Si tu fait des trucs comme "installer des tas de machines", il y Kickstart, tout comme dans la doc de RHEL.

    Je n’aime pas trop miser sur des outils spécifiques : je peux être amené à changer de distribution et par ailleurs, on n’est jamais sûr qu’ils ne disparaissent pas brusquement.

    Et puis, le dialogue que tu cherches existe encore, il est passé à firstboot, la 2nd partie de l'installeur

    Je me suis dit « Hein ??? QUELLE seconde partie ??? ». Je sais bien qu’il y en avait une, mais quand j’ai testé une Fedora 20, je n’en ai pas eu.
    J’ai refait le test (sur une machine virtuelle) ; pas mieux.
    J’ai vérifié les dépôts, il n’y a plus de paquet firstboot sur la Fedora 20 (il existait encore sur la 19).

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  • [^] # Il y a desktop et desktop.

    Posté par  . En réponse au journal Chronique des dinosaures rétrogrades. Évalué à 2.

    J’ai un plutôt l’impression qu’actuellement, Ubuntu et Fedora visent surtout les portables. Je ne dis pas que c’est aberrant, après tout, ça se vend plus que les machines de bureau.

    Par ailleurs, il y a desktop et desktop. La configuration n’est pas la même sur une machine du boulot avec tout centralisé sur le serveur que sur une machine perso autonome.

    Imagine une Fedora d’avant la 18 (neuneuïsation de l’installeur).
    L’installeur te donnait la possibilité de configurer directement la base d’utilisateurs sur LDAP ou NIS (avec éventuellement authentification sur Kerberos) avec pour LDAP récupération du certificat et d’un point de vue général tout bien configuré : pam, nsswitch.conf, ldap.conf ou yp.conf… et autofs qui marche directement.

    Des trucs que j’avais passé pas mal de temps à configurer correctement lors du passage à LDAP en 2002 (il faut dire qu’à l’époque, les distributions ne prévoyaient pas encore trop ça, et les docs n’indiquaient pas les bons attributs LDAP, il avait fallu que je trace les accès au serveur pour savoir quoi y mettre), que même mon collègue incompétent (actuellement en reconversion professionnelle après un éclair de lucidité) pouvait ainsi configurer correctement en peu de temps.

    Avec Ubuntu, il n’y a pas ça (avec les versions récentes de Fedora non plus…). Je ne peux pas être sûr que je n’aie pas raté un outil génial pour le faire après l’installation, mais autofs n’est même pas prévu pour démarrer après le réseau. Je t’invites à vérifier toi-même /etc/init/autofs.conf.
    Compare par exemple avec /etc/init/ypbind.conf (paquet nis), qui lui est bien prévu pour démarrer après le réseau (enfin ce n’est pas clair que ça marche si le réseau est configuré avec NetworkManager ou en DHCP, cela dit).
    Tu pourras au passage constater que démarrer un service après le réseau est moins trivial qu’avec une init System V ou systemd…

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  • [^] # Intermezzo…

    Posté par  . En réponse au journal profils itinérants, version Linux. Évalué à 2.

    Contrairement à Coda, Intermezzo fonctionnait avec les systèmes de fichiers (disque) existants.
    Malheureusement ses développeurs ont été embauchés pour développer Lustre et Intermezzo est tombé à l’eau.

    Ce type de projet doit exister, non?

    En espace utilisateur, il y a les outils de synchronisation courants, mais pas automatisés, du coup.
    Par exemple, Unison peut fonctionner sur une liaison ssh (à condition d’utiliser le port ssh standard).
    rsync, si on modifie indépendamment un fichier des deux côtés, ça va être problématique.
    csync est peut-être à voir.

    Cela dit, ces outils imposent une copie complète du répertoire, ce qui n’est pas envisageable dans un environnement où les utilisateurs se connectent indifféremment sur n’importe quelle machine d’un parc.
    Pour autant que je sache, ce n’est (était) pas le cas de Coda ou Intermezzo (correctement paramétrés).

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  • [^] # Re: l'interet par rapport à NFS ?

    Posté par  . En réponse au journal profils itinérants, version Linux. Évalué à 2.

    Je ne dis pas que le projet est réellement actif, mais Coda est toujours disponible sur Fedora, par exemple.

    Intermezzo est mort et enterré, malheureusement.

    C’est quand même dingue que des systèmes de fichiers réseau qui répondent bien mieux aux besoins actuels que NFS ou CIFS ne soient pas plus soutenus et utilisés…

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  • [^] # Re: l'interet par rapport à NFS ?

    Posté par  . En réponse au journal profils itinérants, version Linux. Évalué à 5.

    Finalement, lorsqu'on a une centaine d'utilisateurs, l'espace disque sur une station est infini comparé à la bande passante d'une réseau, même en 1G.

    cachefilesd, un cache en lecture en complément à NFS, permet de limiter l’usage de la bande passante et d’améliorer la réactivité.
    Il est déjà empaqueté pour certaines distributions.

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  • [^] # Re: l'interet par rapport à NFS ?

    Posté par  . En réponse au journal profils itinérants, version Linux. Évalué à 2.

    Et pour les portables le soir chez soit ?

    Coda ?

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  • [^] # Re: If it works, don't fix it.

    Posté par  . En réponse au journal Chronique des dinosaures rétrogrades. Évalué à 8.

    Et donc la rapidité de systemd est juste une preuve que toutes les features sont implémentées correctement.

    Vu comme ça, quand je me prends un blocage d’un quart d’heure ou plus à l’arrêt de la machine (montages NFS avec autofs, unités systemd non modifiées), ça doit bien prouver qu’il y a des trucs pas correctement implémentés…

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  • [^] # Re: Lennux Is Not UniX

    Posté par  . En réponse au journal Chronique des dinosaures rétrogrades. Évalué à 7.

    Ceci dit, mon coloc semble aussi se plaindre d'autofs qui segfault et se vautre.

    Du coup, ça ne marche pas trop…

    Donc j'aurais tendance plus à dire que c'est un souci spécifique à autofs.

    Oui, mais lié à systemd.
    Avec systemd, autofs se retrouve dans un CGroup spécifique alors qu’il est sensé monter des répertoires pour des utilisateurs qui sont dans un autre ; c’est ça qui fait foirer. Les versions récentes de systemd intègrent un contournement spécifique (peut-être était-il déjà dans les versions précédentes sauf qu’il plantait).

    Si ton colloc passe à une version de systemd (donc à la verstion de Mageia qui la contient, vu que changer de version de systemd n’est pas forcément trivial) égale ou supérieure à 195, le problème devrait disparaître (… sauf s’il a un autre problème).

    Tu as utilisé l'implémentation dans systemd ?

    Ce gadget ne joue pas dans la même cour qu’autofs : il ne permet pas d’utiliser une table d’automontage située sur un serveur (LDAP ou NIS).
    C’est le souci avec les services qui gravitent autour de systemd : ils se multiplient mais ne font qu’une partie du boulot des services qu’ils sont sensés remplacer (à l’exception peut-être de journald).

    À court ou moyen terme, on devrait avoir un stockage centralisé (suffisant) pour tous nos utilisateurs, donc je devrais pouvoir me passer de la table d’automontage et utiliser pam_mount. Pas sûr que le démontage et donc l’arrêt du système fonctionneront mieux pour autant…

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  • [^] # Re: Lennux Is Not UniX

    Posté par  . En réponse au journal Chronique des dinosaures rétrogrades. Évalué à 4.

    Mais c'est quand même une drôle d'idée d'utiliser Fedora si on ne veut pas beaucoup bidouiller.

    Quelle distribution suggères-tu ?

    J’ai des utilisateurs qui veulent des versions récentes d’un tas de trucs, ça élimine CentOS et Debian stable.
    Par rapport à des distributions plus confidentielles, Fedora et Ubuntu ont l’avantage que beaucoup de choses sont déjà empaquetées pour elles. Ça fait gagner pas mal de temps.

    D’autres utilisateurs (ou quelquefois les mêmes) veulent continuer à utiliser des logiciels commerciaux dont on n’a que de vieilles versions (faute d’avoir payé la maintenance), du coup le fait que Fedora fournisse un certain nombre de bibliothèques de compatibilité (contrairement à Ubuntu) est un avantage.

    Jusqu’à la version 14, Fedora était bien adaptée à un fonctionnement en machine cliente, contrairement à Ubuntu (depuis qu’elle n’a plus le même système d’init que Debian).
    Avant systemd, contourner les éventuels bugs de la Fedora était moins lourd que de transformer Ubuntu en système client fonctionnel.

    Alors maintenant, je changerais bien, mais comme toutes les distributions qui disposent d’un large choix de paquets sont déjà dans le Borg ou sur la voie de l’assimilation…

    Si je comprends bien la doc, il faut mettre NFS dans After et dans Require pour qu'il attende complètement qu'il soit démarré/arrêté.

    Ça, c’est la théorie. Dans la pratique, j’ai pour l’arrêt des traces comme quoi le démontage des partitions NFS est bien lancé avant l’arrêt du réseau, sauf qu’il n’est pas fini quand l’arrêt du réseau est lancé.

    Si j'ai bien compris ta situation, sans systemd, tu te traînerais des processus qui ne se terminent pas à la fermeture de la session.

    L’un fait partie de systemd. L’autre de Gnome, mais si on lui laissait un poil de temps avant de tout remballer, il se terminerait probablement normalement. D’ailleurs si je ferme la session sans lancer l’arrêt, il disparaît.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • # Lennux Is Not UniX

    Posté par  . En réponse au journal Chronique des dinosaures rétrogrades. Évalué à 10.

    J’ai la joie d’administrer des postes en réseau avec des Fedora (donc systemd) en poste client (j’ai des utilisateurs qui veulent des versions récentes d’un certain nombre de trucs) et des services Unix classiques : NFS, autofs…

    Bon, j’ai dû laisser tomber pour la Fedora 17, la version de systemd qui était dessus plantait complètement autofs. Et là, je n’en étais pas à résoudre le problème moi-même comme à l’époque des scripts bash, alors que les développeurs de Fedora eux-mêmes n’ont pas réussi avant la sortie de la 18 (en rétroportant une correction ; mêmes eux n’ont pas les compétences pour le corriger eux-mêmes).

    La Fedora 19 marchait correctement au début (peut-être après ajout d’une dépendance sur un des services systemd, mais ça restait raisonnable).

    J’ai fait une mise à jour (à la suite de la faille sur OpenSSL) et là, c’est le drame, l’arrêt qui se remet à merder complètement s’il est lancé directement depuis une session utilisateur : blocages de l’ordre du quart d’heure ou plus, dus en particulier aux partages NFS qui sont démontés après l’arrêt du réseau et systemd qui les attend… longtemps.

    Alors, j’ai configuré logind pour qu’il tue les processus de l’utilisateur à la fermeture de session (sinon, il traînait des processus qui bloquaient le montage, en particulier un de Gnome et un de… systemd).

    J’ai ajouté un pseudo-service intermédiaire démontant (lors de l’arrêt) les partitions NFS et définissant surtout des dépendances avec autofs d’un côté et le réseau de l’autre pour s’assurer de l’ordre.

    J’ai aussi ajouté une temporisation de quelques secondes à l’arrêt du service autofs.

    Alors, ça marche moyennement (entre 30 s à 1 minute pour l’arrêt, pas mieux que le démarrage), mais ça remerde bien plus si je retire n’importe laquelle de mes modifs.

    À voir les traces, systemd essaye de faire un arrêt très rapide… en lançant les arrêts des services dans l’ordre des dépendances, mais pour certains (notamment autofs et les démontages NFS) en parallèle, sans attendre que l’arrêt du service soit fini pour commencer l’arrêt de celui dont il dépend. C’est quand même génial !
    Sur un système client typique avec répertoires sur NFS, c’est la catastrophe.

    Même Slackware avec son arrêt sauvage type BSD à l’ancienne s’en sortirait mieux.
    Pour l’arrêt, il envoie un Ctrl-C aux processus, puis les tue salement après quelques secondes s’ils ne se sont pas terminés, mais avant tout cela… il démonte les partitions NFS !

    Le seul argument que j’aie à la décharge de systemd, c’est qu’après avoir configuré une Ubuntu 12.04 de la même manière, je sais qu’Upstart en est à un stade encore pire : il lance autofs avant le réseau, donc même le démarrage rate (l’intérêt d’autofs, c’est d’aller chercher la table de montage sur le serveur avec LDAP ou NIS). Pour que ça marche, il faut rajouter les dépendances soi-même, sauf que c’est moins pratique à configurer qu’avec systemd et mal documenté…

    Alors évidemment, systemd, ça marche sur un ordinateur portable, donc autonome. Des systèmes grand public (dans le mauvais sens du terme) comme Ubuntu et Windows aussi.
    Et pour démarrer aussi vite que systemd sur un portable, pas besoin de quelque chose d’aussi compliqué. Sur une Arch avant systemd, je lançais dbus et un autre service puis quasiment tous les autres en parallèle sans aucun problème et le démarrage était aussi rapide.

    Partant d’un a priori positif sur systemd du point de vue de la conception avant que Fedora ne l’utilise vraiment, mon avis devient de plus en plus négatif (ça se voit au fil des posts).
    Mais le temps que je perds dessus se cumule et son fonctionnement ne s’améliore pas réellement (par rapport à la Fedora 17, si, mais la version qui était dessus était bien pire que les précédentes).

    En tant qu’administrateur système, Systemd est la plus grosse plaie que j’aie eu récemment.
    Et que fait un système avec systemd qui me manquerait sans ? Rien !

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Pas forcément le BIOS qui est bogué…

    Posté par  . En réponse au journal Secureboot pas si secure. Évalué à 1.

    C'est surtout un problème de BIOS boguée qui ne sait pas enregistrer correctement un mot de passe basique de 8 caractères qui sont tous dans la table ASCII, sans accents ni caractères spéciaux, sans se foirer magistralement.

    Le seul cas de ce genre que j’ai constaté, était dû à un collègue qui n’avait pas pigé que rentrer des chiffres avec la ligne des chiffres ou avec le pavé numérique, ce n’est pas forcément la même chose… surtout quand on ne sait pas réellement dans quelle disposition on est.
    En l’occurrence, problème d’interface chaise-clavier…

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  • [^] # Re: Thunar

    Posté par  . En réponse au journal Gnome, l'outbreak après l'outreach?. Évalué à 2.

    Présenté comme tu l'a fait on dirait que tu utilise nautilus pour faire des montages réseau.

    Non, ça n’est pas pour moi.
    Ça m’arrive juste de devoir conseiller une solution de montage simple à un utilisateur lambda. Et si j’ai trouvé tout de suite « Fichier/Se connecter à un serveur… » sur Nautilus, le « Aller/Aller à… » (en fin de menu) de Thunar m’avait échappé.

    Si tu fais surtout de la cli /etc/fstab est ton ami (avec sshfs et autres).

    Je sais, mais entre ma connexion ADSL et mon boulot, ssh a tendance à se bloquer en condition de forte sollicitation. Je préfère en rester à scp et rsync pour savoir quand ça rate… Par ailleurs, je n’en ai pas un besoin fréquent, les quelques fichiers dont je peux avoir besoin aux deux endroits étant sur mon Dropbox perso (une clé USB chiffrée dans ma poche).

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  • [^] # Thunar

    Posté par  . En réponse au journal Gnome, l'outbreak après l'outreach?. Évalué à 2.

    Tu as raison.

    Pour ceux qui comme moi ne l’auraient pas vu, c’est dans le menu « Aller », « Aller à… », et là, on peut monter à peu près ce qu’on veut avec un URL approprié (ftp://, ssh://…).

    J’admets que je n’avais pas cherché, mais je travaille surtout en ligne de commande, donc je n’en ai pas vraiment l’usage…

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Pourquoi pas MATE ?

    Posté par  . En réponse au journal Gnome, l'outbreak après l'outreach?. Évalué à 3.

    J'ai donc prévu de me lancer prochainement à la recherche d'autre chose. Je me rend compte que ça fait très longtemps que je ne suis pas sorti de l'univers gnome, car le 2 était parfait pour moi (c'est a dire simple et efficace).

    Alors pourquoi pas MATE, puisque après tout, c’est une reprise de Gnome 2 ?

    Pour ma part, je suis parti sur Xfce avant la sortie de MATE, et après un peu de configuration (je n’aime pas le gros dock en bas, mais Xfce est heureusement très configurable), il me convient très bien. Il est même fluide sur un vieux portable sur lequel j’utilisais LXDE, donc je suis passé en tout Xfce.
    Il manque peut-être quelques bricoles dans les applications incluses (comme la possibilité de monter un répertoire distant depuis Thunar, le gestionnaire de fichiers), mais Xfce s’ accommode bien des applications de Gnome et encore mieux de celles de MATE (elles supportent les thèmes Gtk 2 comme lui).

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • # IPoT ?

    Posté par  . En réponse au journal Gnome, l'outbreak après l'outreach?. Évalué à 1.

    Je t'écris pour te signaler que ton environnement de bureau préféré est en danger.

    C’est triste, mais ça fait trois ans qu’il est mort.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Il y en a qui comprennent bien le cloud (mais ils ne sont pas tout-à-fait dans le monde du libre).

    Posté par  . En réponse au journal Canonical abandonne Ubuntu One. Évalué à 6.

    C’est bien vu, mais il oublie quand même un aspect assez important.

    Le cloud, c'est "Je viens d'avoir un téléphone flambant neuf et il a automatiquement mes pseudos et mots de passe prêts à s'auto-compléter".

    … et la NSA aussi.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: De plus en plus complexe, le système d'init...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Spéciale Lennart Poettering : nouvelles versions de systemd et PulseAudio. Évalué à 2.

    4.Grâce aux control groups, quand on arrête un service, on est sûr et certain qu'il va s'arrêter. ;-)

    Je dirais plutôt assez sûr et pas depuis longtemps.
    J’ai lancé l’arrêt d’une Fedora 17 un soir, le lendemain elle était toujours bloquée en cours d’arrêt…

    Je ne dis pas que la conception de systemd est mauvaise ou que ce ne sera pas un très bon système de démarrage des services un jour (j’espère que ce sera le cas, vu qu’il est maintenant difficilement évitable), mais il manque encore de maturité.

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  • [^] # Digression

    Posté par  . En réponse au journal Les Halles, un tableau naturaliste. Évalué à 2.

    Je préfère un massage doux pendant 20 minutes que son concentré pendant un millième de seconde.

    Ça me fais penser à PulseAudio la dernière fois que je l’ai utilisé sur une machine un peu juste en mémoire…

    Quand ça swappait un peu trop, PulseAudio était parfois bloqué. Quand il reprenait la main, il aurait pu laisser tomber la portion du son correspondante (bon choix si le son était synchronisé à une vidéo), reprendre où il en était (bon choix dans tous les autres cas), mais la solution de Lennart était de jouer le son de la période manquante en compressé. Absolument horrible !

    C’était sur une Fedora 11 (je précise pour ceux qui pensent que PulseAudio fonctionnait mal sur leur distribution, mais bien sur Fedora ; en réalité, il fonctionnait mal sur Fedora aussi, mais ils sont tenaces). Je ne sais pas du tout si le traitement de ce problème s’est amélioré, j’ai changé de machine (et j’ai beaucoup plus de mémoire).

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  • [^] # Re: Domaine public

    Posté par  . En réponse au journal Les Halles, un tableau naturaliste. Évalué à 3.

    Le flash des appareils photos, qui est une lumière puissante, abîme les couleurs de l'œuvre que ce soit une peinture, une photo ou tout autre support où la couleur est importante.

    Je ne sais pas si c’est toujours le cas, mais à une époque, il y a des bâtiments historiques ou la photo n’était pas interdite, mais le flash si.
    Je ne sais pas s’ils étaient tellement susceptibles d’être dégradés par les flashs (il pouvait y avoir des tableaux dans certaines salles), mais il faut reconnaître que s’il y a un coup de flash toutes les trois secondes pendant la visite, c’est juste pénible

    Tu noteras que dans un musée de nombreuses pièces sont sous verre et autres dispositifs pour empêcher sa dégradation au cours du temps (enfin la limiter).

    Et si tu les photographies au flash, tu auras une belle photo d’un gros coup de flash en reflet sur le verre (ça ne garantit pas que personne ne le fasse)…

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  • [^] # Re: cours ou amputation

    Posté par  . En réponse à la dépêche Spéciale Lennart Poettering : nouvelles versions de systemd et PulseAudio. Évalué à 4.

    Je sais que systemd ne remplace pas iptables mais acceptera t'il mon pseudo-script ou devrais je apprendre un langage spécial pour que cela fonctionne.

    Qu’appelles-tu un « pseudo-script » ? En quoi est-il « pseudo » ???

    Si ton script crée des tables statiques, tu le lances comme tu fais le habituellement, tu sauvegardes les tables résultantes avec iptables-save et tu actives le service iptables de systemd au démarrage du système avec systemctl enable iptables.service ; il chargera les tables telles qu’elles ont été sauvegardées à l’étape précédente.

    Sinon, il faut que tu crées un service systemd qui lance ton script.

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  • [^] # Re: Moche

    Posté par  . En réponse au journal Sortie de MATE 1.8. Évalué à 3.

    Ce n’est plus le fond avec les rayures verticales noires et bleu sale qu’arborait Gnome 3.0 (au moins sur la Fedora) ?

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  • [^] # Re: Moche

    Posté par  . En réponse au journal Sortie de MATE 1.8. Évalué à 1.

    J’ai l’impression qu’il y a eu un effort de fait… pour faire aussi repoussant que Gnome 3, notamment pour le fond d’écran (je n’ai essayé que le 3.0, je ne sais pas si ça a changé depuis).
    La mode, c’est terrible !

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  • # Charge ?

    Posté par  . En réponse au journal L'astuce du jour pour les décaÿdeurs pressés. Évalué à 5.

    pour vérifier que ta machine est bien relié au nain terne net, tu n'auras plus qu’à saisir :

    ping to

    plutôt qu’une bien plus laborieuse url alternative, tel x.org, en tant que paramètre.

    C’est sûr que c’est pratique. Il n’y a plus qu’à espérer pour eux qu’ils ont prévu la charge…

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone