Pour prévenir certaines objections : oui, aux États-Unis je peux imprimer moi-même ma carte, mais ça coûterait presque plus cher, et pour une qualité largement inférieure à celle d'une carte imprimée par des professionnels.
Une carte imprimée chez soi :
- ça déteint quand on la mouille ;
- ça fond quand on la mouille trop ;
- ça ne mesure pas plus de 210 × 297 mm ;
- ça résiste mal aux pliures.
D'un point de vue pratique, je trouve quand même ça mieux qu'aux États-Unis. Là-bas, l'USGS met certes ses cartes à disposition sous licence libre (je crois). Mais avec ça, ils ont presque arrêté l'impression des cartes papier. En France, on trouve des cartes topographiques IGN dans plein de librairies, aux États-Unis c'est très difficile.
Et considères tu normal, qu'un organisme public, à qui donc tu donnes déjà ta dîme, ne te permette pas d'utiliser librement la base de données qu'il a pu financer grâce à ton argent.
Non. Mais j'apprécie quand même leurs cartes papier.
En achetant leurs cartes, tu ne fais que conforter leur monopole sur ces données.
Je n'achète pas les cartes pour leurs données. Si je veux les consulter, j'ai déjà le GéoPortail. J'achète des cartes papier, personne d'autre n'en fournit de telles, donc je n'ai pas le choix.
Jamais dit le contraire. C'est juste la citation selon laquelle on pourrait abandonner les cartes papier qui m'a fait réagir. Ne vous y trompez pas, j'utilise OpenStreetMap, je trouve ça pratique et j'y contribue un petit peu.
Je n'avais pas pensé à cette solution. Ça dépend des goûts et des besoins : voiture, vélo, marche à pied, randonnée, en ville, à la montagne… Mais remplacer ça par des téléphones portables, franchement…
Parmi ces deux personnages, trouvez le vrai geek. Trouvez également celui qui passera pour geek.
1. Il utilise l'outil le plus adapté à ses besoins : livre en papier, long texte imprimé, carte dépliante en papier, serveur personnel de courrier.
2. Il utilise l'outil le plus électronique, à la mode : livre électronique, long texte sur écran d'ordinateur, carte sur téléphone portable, Google Mail.
"A terme, grâce à la combinaison de la géolocalisation et des contributions humaines, précise Thierry Joliveau, on pourra se localiser à partir de l'écran de son téléphone portable et se passer de la carte. Cet objet abstrait et complexe redeviendra un outil pour maniaques", ajoute le géographe.
J'espère que je ne suis pas le seul à penser qu'un téléphone ne remplace pas du tout une bonne carte dépliante. Avec un écran de dix centimètres – et même avec un écran de cinquante centimètres d'ailleurs –, je n'ai aucune vision d'ensemble. Impossible de préparer moi-même ma route. Je dois donc me fier à un calculateur d'itinéraire, ce qui est plus que moyen pour un cycliste. Avec un géolocalisateur plus un calculateur d'itinéraire, je me retrouve assisté, ce qui est le meilleur moyen pour que j'arrive à destination sans rien retenir du chemin.
Avec un vraie carte, j'ai une vue d'ensemble sur vingt kilomètre et le détail à 10 mètres en même temps. Je peux préparer mon itinéraire et me situer moi-même. Je peux arriver à destination en conservant une représentation du chemin dans ma mémoire.
Bref, je trouve que les outils qui facilitent l'utilisation de cartes sur écran (zoom, géolocalisation) ne sont que des palliatifs aux défauts de cette utilisation (écran non pliable de moins d'un mètre de côté), et apportent des effets secondaires gênants. OpenStreetMap est bien pratique, mais ce n'est pas demain que je cesserait d'être client de l'IGN.
Non, le brevet ne couvre pas une idée, mais une solution technique. Si quelqu'un trouve une meilleure solution au même problème, il n'est pas soumis à ton brevet.
Quant au droit d'auteur, il couvre les œuvres de l'esprit, sans dépôt nécessaire.
Des adresses en xn-machin-trucbidule pour faire passer de l'Unicode, ça ressemble plus à un hack immonde qu'à une solution digne de ce nom. Envoyer directement de l'UTF-8 dans les requêtes DNS, ça coûtait trop cher ?
Dommage que ce soit pour iPhone, ou plutôt que le système de l'iPhone soit ce qu'il est. On ne peut pas installer librement un logiciel modifié, donc un logiciel pour cette plate-forme, avec l'intersection des licences d'origine, de l'AppStore et du système du téléphone lui-même, ne peut pas être libre.
C'était non seulement simple, mais également intuitif. Tu veux mettre des documents sur un CD ? Tu l'ouvres, et tu déposes dedans. Tu veux mettre des documents sur une clef USB ? Pareil.
On nous présente 7 nouveautés, donc :
- Ubuntu Software Center, une réinvention de ce que GNOME fait déjà, avec en plus des points d'entrées pour des horreurs à la iPhone ;
- Ubuntu One, des services d'informatique démissionnaire.
J'espère sincèrement que ce n'est pas ça, le futur de l'informatique. Enfin, après tout, que les gens l'utilisent si ça les amuse, moi je préfère rester libre.
Vous sauriez pourquoi tous les éditeurs de solutions de virtualisation proposent ou imposent leurs formats bizarres pour les périphériques bloc virtuels ? VDI, VMDK, QCOW, ça a quoi comme intérêt par rapport :
- à des images brutes sur fichier creux en local ;
- à des images brutes bzippées pour les transferts ?
Ce que ça a de moins bien, ça on le sait :
- ces formats sont incompatibles entre eux ;
- on ne peut pas les monter soi-même.
[^] # Re: Se passer des cartes papier
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse au journal OpenStreetMap dans le Monde. Évalué à 2.
Une carte imprimée chez soi :
- ça déteint quand on la mouille ;
- ça fond quand on la mouille trop ;
- ça ne mesure pas plus de 210 × 297 mm ;
- ça résiste mal aux pliures.
[^] # Re: Se passer des cartes papier
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse au journal OpenStreetMap dans le Monde. Évalué à 2.
[^] # Re: Se passer des cartes papier
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse au journal OpenStreetMap dans le Monde. Évalué à 2.
Non. Mais j'apprécie quand même leurs cartes papier.
En achetant leurs cartes, tu ne fais que conforter leur monopole sur ces données.
Je n'achète pas les cartes pour leurs données. Si je veux les consulter, j'ai déjà le GéoPortail. J'achète des cartes papier, personne d'autre n'en fournit de telles, donc je n'ai pas le choix.
[^] # Re: Se passer des cartes papier
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse au journal OpenStreetMap dans le Monde. Évalué à 3.
Jamais dit le contraire. C'est juste la citation selon laquelle on pourrait abandonner les cartes papier qui m'a fait réagir. Ne vous y trompez pas, j'utilise OpenStreetMap, je trouve ça pratique et j'y contribue un petit peu.
[^] # Re: Se passer des cartes papier
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse au journal OpenStreetMap dans le Monde. Évalué à 2.
[^] # Re: Se passer des cartes papier
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse au journal OpenStreetMap dans le Monde. Évalué à 6.
1. Il utilise l'outil le plus adapté à ses besoins : livre en papier, long texte imprimé, carte dépliante en papier, serveur personnel de courrier.
2. Il utilise l'outil le plus électronique, à la mode : livre électronique, long texte sur écran d'ordinateur, carte sur téléphone portable, Google Mail.
# Se passer des cartes papier
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse au journal OpenStreetMap dans le Monde. Évalué à 7.
J'espère que je ne suis pas le seul à penser qu'un téléphone ne remplace pas du tout une bonne carte dépliante. Avec un écran de dix centimètres – et même avec un écran de cinquante centimètres d'ailleurs –, je n'ai aucune vision d'ensemble. Impossible de préparer moi-même ma route. Je dois donc me fier à un calculateur d'itinéraire, ce qui est plus que moyen pour un cycliste. Avec un géolocalisateur plus un calculateur d'itinéraire, je me retrouve assisté, ce qui est le meilleur moyen pour que j'arrive à destination sans rien retenir du chemin.
Avec un vraie carte, j'ai une vue d'ensemble sur vingt kilomètre et le détail à 10 mètres en même temps. Je peux préparer mon itinéraire et me situer moi-même. Je peux arriver à destination en conservant une représentation du chemin dans ma mémoire.
Bref, je trouve que les outils qui facilitent l'utilisation de cartes sur écran (zoom, géolocalisation) ne sont que des palliatifs aux défauts de cette utilisation (écran non pliable de moins d'un mètre de côté), et apportent des effets secondaires gênants. OpenStreetMap est bien pratique, mais ce n'est pas demain que je cesserait d'être client de l'IGN.
[^] # Re: En plus il est déjà disponible
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse au journal A l'attention de ceux qui ne se souviennent plus qu'il y a un internet autour de linuxfr.... Évalué à 5.
[^] # Re: Messagerie
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de presse de l'April pour la semaine 44. Évalué à 2.
[^] # Re: Thinkpad T-series
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse au journal Du matériel générique et compatible partout ?. Évalué à 3.
[^] # Re: Ce n'est pas le problème !
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse au journal Concours de hackage de machines à vote électronique. Évalué à 1.
Basé sur des signatures, tu dis ? Super, un système de vote basé sur le non-anonymat…
[^] # Re: N'importe quoi
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse au journal L'internationalisation des adresses internet. Évalué à 2.
Trop pas, pourquoi ça ?
[^] # Re: C'est interdit, la pub comparative ?
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse à la dépêche Nespresso attaque Chacun son café. Évalué à 7.
Quant au droit d'auteur, il couvre les œuvres de l'esprit, sans dépôt nécessaire.
# IDN, c'est moche
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse au journal L'internationalisation des adresses internet. Évalué à 8.
# Dommage que ça ne puisse pas être libre
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse au journal Portage de Qt sur iPhone. Évalué à 10.
[^] # Re: Chantons les louanges des pilotes propriétaires
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse à la dépêche Intel ne maintient plus le pilote Linux Poulsbo depuis un an et demi. Évalué à 3.
[^] # Re: ça leur rend pas service cela ?
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse au journal Concours de hackage de machines à vote électronique. Évalué à 2.
Le coût humain, je vois : le dépouillement. Le coût financier, je ne vois pas, ça coûte moins cher que des ordinateurs de vote, non ?
[^] # Re: Formats…
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse au journal Des installations out of the (Virtual)Box. Évalué à 1.
Sinon, c'est quoi une partition dynamique ?
[^] # Re: Youpi ?
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sortie d'Ubuntu 9.10 : Karmic Koala. Évalué à 3.
[^] # Re: GDM
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sortie d'Ubuntu 9.10 : Karmic Koala. Évalué à 3.
[^] # Re: Youpi ?
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sortie d'Ubuntu 9.10 : Karmic Koala. Évalué à 1.
# Youpi ?
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sortie d'Ubuntu 9.10 : Karmic Koala. Évalué à 7.
- Ubuntu Software Center, une réinvention de ce que GNOME fait déjà, avec en plus des points d'entrées pour des horreurs à la iPhone ;
- Ubuntu One, des services d'informatique démissionnaire.
J'espère sincèrement que ce n'est pas ça, le futur de l'informatique. Enfin, après tout, que les gens l'utilisent si ça les amuse, moi je préfère rester libre.
# Et les non-embarqués ?
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse au journal Petit tour d'horizon des OS qui m'entourent. Évalué à 2.
[^] # Re: Formats…
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse au journal Des installations out of the (Virtual)Box. Évalué à 2.
# Formats…
Posté par 🚲 Tanguy Ortolo (site web personnel) . En réponse au journal Des installations out of the (Virtual)Box. Évalué à 4.
- à des images brutes sur fichier creux en local ;
- à des images brutes bzippées pour les transferts ?
Ce que ça a de moins bien, ça on le sait :
- ces formats sont incompatibles entre eux ;
- on ne peut pas les monter soi-même.