Cela montre la réalité du mouvement: il y a plus de locuteurs en Europe, mais une vrai présence dans le monde entier.
Si je ne dis pas de bêtise cette langue a été inventée par un européen (un polonais) et utilise l’alphabet latin. Ne devrait-elle pas créer et utiliser son propre alphabet si elle vise à être réellement universelle ?
L’espéranto possède-t-elle des idéogrammes ?
A-t-elle des prononciations différentes selon la langue maternelle du locuteur ou y a-t-il une prononciation officielle ?
Pour les sites hébergés, nos CGU interdisent les sites commerciaux, donc ce n'est normalement pas notre public. Mais on ne fait pas de contrôle a priori donc il se peut qu'il y en ait…
Et dans le cas contraire, pourquoi ne pas au moins diffuser l’enregistrement « brut », avant l’application des effets ? Encore une fois, si sa méthode habituelle de composition implique qu’il dispose de cette piste (s’il enregistre directement avec les effets au lieu de les appliquer a posteriori
Les effets du pédalier sont appliqués avant que le signal soit enregistré…
Il n’y a tout simplement pas d’enregistrement brut (ie : sans les effets).
je ne vois pas ce qui justifierait de ne pas publier les sources…
Clairement, la logistique nécessaire, n’en déplaise à Zenitram.
Si j’ai écrit mes paroles sur du papier, je dois le scanner, utiliser un logiciel OCR ou bien saisir ces paroles dans un éditeur (c’est pas le travail d’un musicien…) ? Une soundfont de qualité ça peut prendre quelques GB, pour un seul instrument… À l’inverse, le code source d’un programme c’est du texte brut, là il n’y a clairement pas cette « excuse »…
Bref, pour moi un fichier audio librement diffusable peut prétendre à la qualification « musique libre », c’est mon avis personnel…
Maintenant c’est sûr qu’on appréciera l’effort du musicien qui publie tout le matériel sous-jacent, mais ça ne devrait pas être une obligation.
Est-ce qu’il faut que le guitariste rende public son montage de pédales d’effet avec l’intégralité des positions des potentiomètres à chaque moment du morceau pour que ce soit libre ?
Pour un logiciel la limite est claire : code source (+ éventuellement compilateur utilisé) disponible oui/non. Pour de l’audio ce n’est pas aussi trivial…
Un parolier qui aurait l’habitude de travailler avec un éditeur de texte serait de facto plus à même de « faire de la musique libre » que celui qui utilise une feuille et un stylo ?
Pourquoi veux-tu lancer la version Windows de Thunderbird sous Linux ? Il y a une version Linux de Thunderbird que tu peux installer simplement à l’aide du gestionnaire de packages.
En attendant, on se retrouve sans source alors que dans 99% des cas (et bizarrement, le 1% restant excuse les 99%) l'auteur les as bien au chaud sur son disque dur
D’une le 1 vs. 99 tu le sors de ton chapeau. De deux là n’est pas le problème. Je commence à radoter. Une œuvre musicale peut avoir des sources, un logiciel a forcément un code source. (même s’il est écrit en assembleur ou en BrainFuck)
Donc si je te suis bien, les sources d’une œuvre musicale devraient être diffusées si elles existent pour que l’œuvre soit libre, c’est bien ça ? Est-ce que tu penses vraiment que ce serait viable sur le plan juridique ?
Note : bizarre quand même, on est passé à "si j'ai x fichier sur mon disque" à "nan mais je ne les ais pas" quand il faut expliquer pourquoi on ne veut pas les diffuser… Qui est de mauvaise foi?
Non. Dès mon premier commentaire j’avais envisagé ce cas :
Si j’enregistre une chanson seul à la guitare, avec un seul micro, je distribue un WAV en « libre diffusion/modification », autrement dit il n’y a pas d’autre matériel que ce fichier, c’est de la musique libre ou pas ?
Le musicien (ou tout autre "artiste"), cette personne sacrée hors de toute critique.
Désolé, peut-être que je connais et que je n'accepte pas les personnes sacrées "parce que tu comprends, je fais de l'art".
T’es vraiment incroyable…
RMS a définit formellement ce qu’était un logiciel libre. Dans cette définition, que l’on connaît tous ici, il y a notamment la phrase « l’accès au code source est une condition nécessaire ». Nous sommes en train d’essayer de définir ce qu’est la musique libre, or tu sembles croire que la définition qui s’applique au logiciel peut être transposée telle qu’elle à la création musicale.
Non. Pour le simple fait que la notion de « code source » est bien plus floue dans le domaine de l’art.
Alors continue de penser que c’est une vision « d’artiste qui se la pète », qui se croit sacré, hors de toute critique, si tu veux. Pour ma part je te trouve ridiculement simplificateur du problème qui nous intéresse, à savoir, comment distinguer la musique libre de la musique non-libre.
Enfin, jusqu'à ce qu'on nous demande de libérer de "l'art" et la le libre c'est chiant, on ne sait pas pourquoi mais les arguments pour du libre disparaissent comme par magie.
Non pas comme par magie. Même si tu répètes encore que du code peut être considéré comme de l’art, ce avec quoi je suis d’accord, ce n’est pas la même chose. On peut inclure le code informatique dans l’art mais certainement pas l’inverse. Le code informatique en sus d’être un outil peut être considéré comme une forme d’art. C’est tout.
ton excuse du temps marche pour le code
Le code je dois l’écrire sur un support numérique pour créer un programme. Les paroles d’une chanson je peux les écrire sur un support numérique mais ce n’est en aucun cas une obligation, elle peuvent être dans ma tête ou griffonées sur un bout de PQ…
Ca reste dans tous les cas étrangement garder pour soit des choses pour ne pas perdre 1 heures à préparer son commit et laisser la machine tourner une nuit toute seule comme une grande si c'est gros…
Donc OK, pour toi un artiste qui veut prétendre faire de l’art libre doit connaître le fonctionnement d’une forge logicielle…
Bref, désolé de ne pas être convaincu
Bref, désolé de trouver que tu fais soit preuve de mauvaise foi soit d’une complète ignorance du travail d’un musicien.
Ca me gonfle ce "je devrais". on a l'impression que pour vous le libre est une contrainte (on doit, on doit, que ce verbe…)
Heureusement que j’ai employé le conditionnel (j’avais commencé à écrire au présent) sinon tu aurais explosé !
Perso, les seules réponses possibles qui viennent sont une idée de faire banker un jour (on ne sait jamais, garder un truc peut être bankable un jour) ou un égo démesuré, pas très positif et loin de la liberté donnée à celui qui recoit, alors je suis preneur de réponse possible différente.
Une autre réponse c’est qu’on souhaite utiliser son temps à faire de la musique, pas à déposer des fichiers sur GitHub… Note qu’il ne s’agit pas de fichiers textes comme un code source, en MAO c’est vite très gros, alors je ne te raconte même pas pour une œuvre vidéo…
Et surtout, posez vous la question de savoir pourquoi vous refusez votre propre réponse quand il s'agit d'une autre forme d'art (par exemple du C).
La beauté artistique d’une réalisation en C ne s’apprécie-t-elle pas à la lecture de son code source justement ?
Je ne pense pas que l’on puisse faire l’analogie avec le logiciel pour déterminer ce qu’est de la musique libre.
Pour moi, si la musique est librement diffusable, modifiable et commercialisable elle est libre même si on a que le produit fini (le fichier audio final).
Certes il peut y avoir un « code source » (fichier tracker, MIDI, partition, paroles, pistes séparées, etc…) mais pas toujours !
Si j’enregistre une chanson seul à la guitare, avec un seul micro, je distribue un WAV en « libre diffusion/modification », autrement dit il n’y a pas d’autre matériel que ce fichier, c’est de la musique libre ou pas ?
Si au contraire je travaille avec 36 fichiers MIDI et 3 fichiers Ardour, je devrais fournir ces fichiers sinon elle n’est pas libre ?
Un programme a forcément un code source, une œuvre musicale non. Idem pour une œuvre graphique.
Allons plus loin, pour une sculpture libre il faudrait que le sculpteur fournisse la liste des outils utilisés, la composition chimique de la matière utilisée et une description de toutes les étapes de réalisation ? Et pourquoi pas aussi un fichier pour imprimante 3D… ça n’a pas de sens.
Une raison de plus (s'il en fallait) pour ne pas l'utiliser
Je l’utilise pour rester en contact avec certaines personnes.
Je dirais qu’il faut surtout partir du principe que tout ce qu’on y met est public, quelque soit les paramètres de « confidentialité » (sic).
D’ailleurs, si je ne m’abuse, les conditions d’utilisation de Facebook à propos du contenu posté c’est : « On fait ce qu’on veut avec votre contenu. » (traduction libre). C’est à priori contraire au droit européen mais si on est honnête intellectuellement, en utilisant ce service, US, on devrait respecter ce contrat…
Ça me semble difficile de dire si ce programme a dégagé de Debian parce que les responsables sont coincés du fion ou bien parce qu’objectivement c’est un comble d’inutilité…
Àmha Debian serait un peu ridicule de se vanter d’avoir le plus grand nombre de packages disponibles si elle atteint ce nombre avec ce genre de programme…
Posté par Marotte ⛧ .
En réponse au journal Prince: bronsonisé :(.
Évalué à 10.
Dernière modification le 23 avril 2016 à 10:27.
Bronsorisé ça veut dire bronsonisé.
Ce glissement dans la graphie est dû au faible et toujours en baisse niveau de maîtrise du français.
On assistait (pour les plus vieux d’entre-nous) au même phénomène du moyen-âge au 17e siècle dans l’écriture des actes officiels (mariage, naissance, etc…). Ce qui fait qu’aujourd’hui nous sommes en présence de patronymes homophones tels que Durand, Durant, Duren, Duran, etc… bien qu’à la base ils soient tous issus de "du rang", nom de famille donné à ceux qui étaient soldats… Ce n’est qu’un exemple parmi d’autres.
Demain je vous donnerai la recette de la choucroute à la confiture de poire.
Par contre du coup je me suis renseigné un peu sur Crystal Ball et ça ne parle que d’un album unreleased en 1986 et un triple album sorti (sous forme de bonnes vieilles galettes) en 1998. Tu aurais un lien pour étayer ton propos ?
le digital ça se pirate/rapporte moins d'argent, il a changer d'opinion sur internet…
Le digital (je préfère le terme numérique) ça date pas d’Internet. Un bon vieux CD ça se copiait bien aussi. Les cassettes aussi d’ailleurs mais ce n’était pas du numérique. Bon, certes, Internet a rendu le partage encore plus simple.
Posté par Marotte ⛧ .
En réponse au journal You are legion.
Évalué à 3.
Dernière modification le 22 avril 2016 à 18:17.
Je m’étais demandé si effectivement ce n’était pas juste une erreur de formulation… je suis content que tu le confirmes :)
Comme quoi l’orthographe c’est important : « qu’il précède » c’est l’opposé de « qui le précède », les deux ayant la même prononciation pour peu qu’on articule pas, c’est peut-être cela qui explique ton bug au cerveau…
[^] # Re: Offre payante?
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Olympe a besoin d’un coup de main. Évalué à 3.
Selon la forme juridique du client ?
Donc un site d’asso ou un particulier pourrait vendre ou afficher de la pub mais pas une entreprise commerciale ?
[^] # Re: Prouve-le
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Linux sur le bureau : combien de régressions ?. Évalué à 0.
Ça doit juste vouloir dire que je ne suis pas le seul à le trouver inutile… et que la la qualité doit primer sur la quantité.
# Bonjour
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal dometo.net: un forum francophone de l'Espéranto. Évalué à 3.
Si je ne dis pas de bêtise cette langue a été inventée par un européen (un polonais) et utilise l’alphabet latin. Ne devrait-elle pas créer et utiliser son propre alphabet si elle vise à être réellement universelle ?
L’espéranto possède-t-elle des idéogrammes ?
A-t-elle des prononciations différentes selon la langue maternelle du locuteur ou y a-t-il une prononciation officielle ?
[^] # Re: Offre payante?
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Olympe a besoin d’un coup de main. Évalué à 4.
Pourquoi pas faire deux types d’offres :
?
[^] # Re: Mes deux centimes
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Musique libre, ça vous chante?. Évalué à 3.
Les effets du pédalier sont appliqués avant que le signal soit enregistré…
Il n’y a tout simplement pas d’enregistrement brut (ie : sans les effets).
[^] # Re: Mes deux centimes
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Musique libre, ça vous chante?. Évalué à 2. Dernière modification le 25 avril 2016 à 22:37.
Clairement, la logistique nécessaire, n’en déplaise à Zenitram.
Si j’ai écrit mes paroles sur du papier, je dois le scanner, utiliser un logiciel OCR ou bien saisir ces paroles dans un éditeur (c’est pas le travail d’un musicien…) ? Une soundfont de qualité ça peut prendre quelques GB, pour un seul instrument… À l’inverse, le code source d’un programme c’est du texte brut, là il n’y a clairement pas cette « excuse »…
Bref, pour moi un fichier audio librement diffusable peut prétendre à la qualification « musique libre », c’est mon avis personnel…
Maintenant c’est sûr qu’on appréciera l’effort du musicien qui publie tout le matériel sous-jacent, mais ça ne devrait pas être une obligation.
Est-ce qu’il faut que le guitariste rende public son montage de pédales d’effet avec l’intégralité des positions des potentiomètres à chaque moment du morceau pour que ce soit libre ?
Pour un logiciel la limite est claire : code source (+ éventuellement compilateur utilisé) disponible oui/non. Pour de l’audio ce n’est pas aussi trivial…
Un parolier qui aurait l’habitude de travailler avec un éditeur de texte serait de facto plus à même de « faire de la musique libre » que celui qui utilise une feuille et un stylo ?
# Why?
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au message Problème pour faire marcher un exe sur Linux Mint. Évalué à 6.
Pourquoi veux-tu lancer la version Windows de Thunderbird sous Linux ? Il y a une version Linux de Thunderbird que tu peux installer simplement à l’aide du gestionnaire de packages.
[^] # Re: Mes deux centimes
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Musique libre, ça vous chante?. Évalué à 4.
D’une le 1 vs. 99 tu le sors de ton chapeau. De deux là n’est pas le problème. Je commence à radoter. Une œuvre musicale peut avoir des sources, un logiciel a forcément un code source. (même s’il est écrit en assembleur ou en BrainFuck)
Donc si je te suis bien, les sources d’une œuvre musicale devraient être diffusées si elles existent pour que l’œuvre soit libre, c’est bien ça ? Est-ce que tu penses vraiment que ce serait viable sur le plan juridique ?
[^] # Re: Mes deux centimes
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Musique libre, ça vous chante?. Évalué à 6.
Non. Dès mon premier commentaire j’avais envisagé ce cas :
Tu n’as bien sûr pas répondu à cette question.
[^] # Re: Mes deux centimes
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Musique libre, ça vous chante?. Évalué à 5. Dernière modification le 25 avril 2016 à 18:04.
T’es vraiment incroyable…
RMS a définit formellement ce qu’était un logiciel libre. Dans cette définition, que l’on connaît tous ici, il y a notamment la phrase « l’accès au code source est une condition nécessaire ». Nous sommes en train d’essayer de définir ce qu’est la musique libre, or tu sembles croire que la définition qui s’applique au logiciel peut être transposée telle qu’elle à la création musicale.
Non. Pour le simple fait que la notion de « code source » est bien plus floue dans le domaine de l’art.
Alors continue de penser que c’est une vision « d’artiste qui se la pète », qui se croit sacré, hors de toute critique, si tu veux. Pour ma part je te trouve ridiculement simplificateur du problème qui nous intéresse, à savoir, comment distinguer la musique libre de la musique non-libre.
[^] # Re: Mes deux centimes
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Musique libre, ça vous chante?. Évalué à 2.
Non pas comme par magie. Même si tu répètes encore que du code peut être considéré comme de l’art, ce avec quoi je suis d’accord, ce n’est pas la même chose. On peut inclure le code informatique dans l’art mais certainement pas l’inverse. Le code informatique en sus d’être un outil peut être considéré comme une forme d’art. C’est tout.
Le code je dois l’écrire sur un support numérique pour créer un programme. Les paroles d’une chanson je peux les écrire sur un support numérique mais ce n’est en aucun cas une obligation, elle peuvent être dans ma tête ou griffonées sur un bout de PQ…
Donc OK, pour toi un artiste qui veut prétendre faire de l’art libre doit connaître le fonctionnement d’une forge logicielle…
Bref, désolé de trouver que tu fais soit preuve de mauvaise foi soit d’une complète ignorance du travail d’un musicien.
[^] # Re: Mes deux centimes
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Musique libre, ça vous chante?. Évalué à 2.
Heureusement que j’ai employé le conditionnel (j’avais commencé à écrire au présent) sinon tu aurais explosé !
Une autre réponse c’est qu’on souhaite utiliser son temps à faire de la musique, pas à déposer des fichiers sur GitHub… Note qu’il ne s’agit pas de fichiers textes comme un code source, en MAO c’est vite très gros, alors je ne te raconte même pas pour une œuvre vidéo…
La beauté artistique d’une réalisation en C ne s’apprécie-t-elle pas à la lecture de son code source justement ?
# Mes deux centimes
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Musique libre, ça vous chante?. Évalué à 1. Dernière modification le 24 avril 2016 à 23:45.
Je ne pense pas que l’on puisse faire l’analogie avec le logiciel pour déterminer ce qu’est de la musique libre.
Pour moi, si la musique est librement diffusable, modifiable et commercialisable elle est libre même si on a que le produit fini (le fichier audio final).
Certes il peut y avoir un « code source » (fichier tracker, MIDI, partition, paroles, pistes séparées, etc…) mais pas toujours !
Si j’enregistre une chanson seul à la guitare, avec un seul micro, je distribue un WAV en « libre diffusion/modification », autrement dit il n’y a pas d’autre matériel que ce fichier, c’est de la musique libre ou pas ?
Si au contraire je travaille avec 36 fichiers MIDI et 3 fichiers Ardour, je devrais fournir ces fichiers sinon elle n’est pas libre ?
Un programme a forcément un code source, une œuvre musicale non. Idem pour une œuvre graphique.
Allons plus loin, pour une sculpture libre il faudrait que le sculpteur fournisse la liste des outils utilisés, la composition chimique de la matière utilisée et une description de toutes les étapes de réalisation ? Et pourquoi pas aussi un fichier pour imprimante 3D… ça n’a pas de sens.
[^] # Re: De la qualification correcte du problème
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal miniurl ki pu. Évalué à 2.
« livre de visages » plutôt non ?
Je l’utilise pour rester en contact avec certaines personnes.
Je dirais qu’il faut surtout partir du principe que tout ce qu’on y met est public, quelque soit les paramètres de « confidentialité » (sic).
D’ailleurs, si je ne m’abuse, les conditions d’utilisation de Facebook à propos du contenu posté c’est : « On fait ce qu’on veut avec votre contenu. » (traduction libre). C’est à priori contraire au droit européen mais si on est honnête intellectuellement, en utilisant ce service, US, on devrait respecter ce contrat…
[^] # Re: Titre bien choisi.
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Parce qu'on en a gros !. Évalué à 2.
Tiens c’est marrant, pas de mention de Prévert ici
Pourtant je suis d’accord, on peut qualifier beaucoup de ses poèmes de prose.
[^] # Re: Hm
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Prince: bronsonisé :(. Évalué à 3.
Oui c’est sûr…
Note que pour les cassettes certains magnéto permettaient de le faire à vitesse rapide. De mémoire la qualité en prenait un coup quand même…
# C’est pas faux
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Parce qu'on en a gros !. Évalué à 10. Dernière modification le 23 avril 2016 à 14:37.
L’important ce sont les valeurs.
[^] # Re: Ortografe
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au message programme n'apparait pas dans le menu. Évalué à 2.
Dans le champ de saisi ce doit être le navigateur, par contre sur la pré-visualisation je pense que c’est bien le site…
# Hello
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au message programme n'apparait pas dans le menu. Évalué à 2. Dernière modification le 23 avril 2016 à 14:32.
Il y a la section Suivi pour ce genre de demande.
Par ailleurs « apparaître » s’écrit avec un accent circonflexe sur le i
[^] # Re: Prouve-le
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Linux sur le bureau : combien de régressions ?. Évalué à 3. Dernière modification le 23 avril 2016 à 13:11.
Ça me semble difficile de dire si ce programme a dégagé de Debian parce que les responsables sont coincés du fion ou bien parce qu’objectivement c’est un comble d’inutilité…
Àmha Debian serait un peu ridicule de se vanter d’avoir le plus grand nombre de packages disponibles si elle atteint ce nombre avec ce genre de programme…
[^] # Re: kes ... tion
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Prince: bronsonisé :(. Évalué à 2.
Intéressant. J’aurais dû prendre Dupont comme exemple :)
[^] # Re: kes ... tion
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Prince: bronsonisé :(. Évalué à 10. Dernière modification le 23 avril 2016 à 10:27.
Bronsorisé ça veut dire bronsonisé.
Ce glissement dans la graphie est dû au faible et toujours en baisse niveau de maîtrise du français.
On assistait (pour les plus vieux d’entre-nous) au même phénomène du moyen-âge au 17e siècle dans l’écriture des actes officiels (mariage, naissance, etc…). Ce qui fait qu’aujourd’hui nous sommes en présence de patronymes homophones tels que Durand, Durant, Duren, Duran, etc… bien qu’à la base ils soient tous issus de "du rang", nom de famille donné à ceux qui étaient soldats… Ce n’est qu’un exemple parmi d’autres.
Demain je vous donnerai la recette de la choucroute à la confiture de poire.
[^] # Re: Hm
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Prince: bronsonisé :(. Évalué à 1.
Oui mais j’aime bien capillotracter ;)
Par contre du coup je me suis renseigné un peu sur Crystal Ball et ça ne parle que d’un album unreleased en 1986 et un triple album sorti (sous forme de bonnes vieilles galettes) en 1998. Tu aurais un lien pour étayer ton propos ?
[^] # Re: Hm
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Prince: bronsonisé :(. Évalué à 3.
Le digital (je préfère le terme numérique) ça date pas d’Internet. Un bon vieux CD ça se copiait bien aussi. Les cassettes aussi d’ailleurs mais ce n’était pas du numérique. Bon, certes, Internet a rendu le partage encore plus simple.
[^] # Re: Ouane pourquoi pas, mais ça se contredit dès Tou !
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal You are legion. Évalué à 3. Dernière modification le 22 avril 2016 à 18:17.
Je m’étais demandé si effectivement ce n’était pas juste une erreur de formulation… je suis content que tu le confirmes :)
Comme quoi l’orthographe c’est important : « qu’il précède » c’est l’opposé de « qui le précède », les deux ayant la même prononciation pour peu qu’on articule pas, c’est peut-être cela qui explique ton bug au cerveau…