Son discours c'est concentré, sur la bêtise d'avoir 28 règles de droit d'auteur différent en Europe.
C'est l'argument principal des anti-Reda : cela fait parti de l'exception culturelle et cela protège des géants GAFA.
Avoir une règle commune facilite le business autour des droits d'auteur, c'est une évidence. Cela faciliterait la vie de Google, mais aussi de n'importe quel société qui démarre. Or qui a le plus de moyen pour gérer 28 législations ? Google ou une start up ?
Elle donne (…)