Reste à savoir ce qu’il peut ressortir de ton discours. Pas grand chose on dirait. Au moins tu ne peux pas être déçu faut croire. Ou alors tu mets la barre tellement haut que tu peux pas l’atteindre, manière sure de ne pas l’atteindre. Le résultat est identique.
Ça fait des décennies que les climatologues prédisent des catastrophes. Personne ou presque n'a réagi. Aujourd'hui on commence à subir ces catastrophes
suivi de
La peur devrait être basée sur les faits, froids, présentés sans fioriture et sans hyperboles.
Les scientifiques ont prédits des catastrophes de manière froide, sans fioriture et sans hyperboles, autrement dit. Aujourd’hui les présentateurs météo disent parfois (souvent) quand un phénomène qui survient lié au changement climatique que … c’est lié au changement climatique. On m’a dit que c’était anxiogène.
Ça dépend de ce que tu entends par "eux", les formes de vies actuelles sont toutes adaptées à leurs conditions de vie … actuelles.
"Eux", c’est les descendants de certains individus ou espèces d’aujourd’hui qui seront adaptées au condition de vie de demain. Rien qui n’existe aujourd’hui et certainement pas les "eux" d’aujourd’hui. Pour autant qu’on sache des humains survivront probablement …
Équilibre entre les attentes des anxieux et l’anxiété des gens en capacité de prise de décision aussi, et peut être même surtout ! Quand Pouyanné décide qu’il a pas vraiment peur, et qu’il va signer pour extraire plus de pétrole, c’est pas flippant pour lui.
Qui est touché par la peur est peut-être une question … Si Macron a plus peur d’une révolte de gilets jaunes à cause du prix des carburants que des conséquences du réchauffement, parce qu’il n’a rien à leur dire que "démerdez vous avec ça" … Ce qui est flippant c’est qu’on sent que les actes ne sont pas à la hauteur des enjeux.
Alors non, la question c’est surtout "combien de degrés", pour quel effort d’adaptation et le mitigation associé. Ce n’est pas un combat binaire qui serait perdu d’avance.
Pour une définition très large de "nature", on peut l’assimiler à "l’univers", et effectivement, notre pouvoir à détruire l’univers n’est pas attesté ! Après bon, un univers sans vie pour le contempler est-il comme l’arbre dans la foret qui tombe mais ne fait pas de bruit parce que personne n’est là pour l’entendre ?
J'ai peur, les ami·e·s, et c'est pas faute d'avoir fait ce qui était en mon pouvoir.
est abordé dans l’article. C’est un peu un cliffhanger pour l’instant d’ailleurs, mais il suggère que … avoir confiance en l’action politique pour les choses "plus grande que soi" est de nature à réduire l’anxiété en actionnant l’espoir.
Sur « …mais ça ne suffira pas. » c’est une évidence, étant donné que ce n’est potentiellement qu’un levier pour actionner autre chose. Si l’autre chose était actionné définitivement il n’y aurait plus de question.
La conclusion c’est plutôt "on veut des logiciels qui marcheront encore dans 100 ans" en reconnaissant que c’est une niche et que c’est pas vraiment viable d’imaginer que des nouveaux logiciels seront encore codés dans ce langage dans 100 ans.
Parce qu’évidemment faire des choix conservateur déjà en 2020 et se limiter dans les fonctionnalité ça risque d’être un peu archaïque en 2120.
Ou à moins que nos cher sénateurs plutôt bien à droite dans l'ensemble ne franchissent un cran dans la droiture, c'est dans l'air du temps et puis bah … Autant suivre le vainqueur.
Voir comment le parti républicain s'est couché devant Trump aux USA.
L’époque change évidemment, il ne s’agit pas de dire que ce genre d’obstacle ne peut être surmonté ! Mais il faut combien de décennies pour arriver à ce résultat ?
À noter que parmi les professions juridiques réglementées, la profession d’avocat est la seule dans ce cas.
Cette tribune est en réaction à un projet de loi porté par le sénat. Quelle cause le sénat sert-il en l’occurrence ? On serait bien en peine de l’objectiver.
Si tu veux te voiler la face, les travaux de psycholinguistiques tendent à montrer, en l'occurrence, que dans un tel cas tu dois lutter :) Le point médian dans l'étude du lien d'il y a quelque jour tend a rappeler l'existence des deux genres et rend plus crédible le fait qu'une femme exerce le poste. Donc tu dois lutter a l'inverse cette fois pour effacer la femme, consciemment. L'oralisation concerne le cas très particulier de la lecture publique, pas si fréquent finalement.
Sauf évidemment ceux qui ont une regex qui effacent tout, mais la méthode s'étend aussi aux formes comme "(\1)s (et|ou) (\1)es".
Suffit de prendre ça pour une abbreviation. On a généralement pas trop de difficulté à lire "m." "monsieur" (qu'il ne faut pas trop essayer de lire en syllabique d'ailleurs, question oralisation), je vois pas trop pourquoi ce serait bien plus compliqué de lire "les étudiant.es" comme "les étudiants et étudiantes". Ça peut s'apprendre, comme le reste, on a des règles plus compliquées. Qu'il est difficile de toucher.
C'est un peu manquer le message des données qui tendent à montrer que mentionner deux genres tend à "neutraliser" les représentation mieux que le genre neutre.
Et quand on parle de projection des personnes, dans l'orientation pro par exemple, c'est peut être important, en tout cas j'ai tendance à ne pas spécialement comprendre les crispations.
Il est évident que ce n'est pas le seul facteur et que le contexte culturel joue beaucoup. Mais justement … Ici on est dans un contexte où les avancées des droits des femmes et leur place dans la société est un sujet depuis plus d'un siècle. On raconte quoi aux gamines qui vont se lancer dans le monde des adultes ? Que des changements sont possibles, qu'elles sont légitimes à se lancer si elles s'imaginent en avocates ou alors on parle uniquement d'avocats et ptete qu'elles devront dans ce cas passer la première réticence qui fait qu'"avocats" étant genré de fait au masculin c'est plus difficile d'imaginer une femme ?
Parler culture sans évoquer le contexte culturel … Est-ce pertinent ? Il est évident qu'un unique facteur n'est probablement pas la clé de tout. La preuve c'est qu'on parle encore de la place des femmes après tout ce temps dans une démocratie.
Bof, l’infirmation de l’hypothèse ne semble pas concerner le genre, mais principalement d’autres choses comme les couleurs. L’article comporte une section sur le genre [[Hypothèse_de_Sapir-Whorf#Cas_du_genre]] qui ne fait que reprendre le type d’études qui sont citées dans ce lien.
Donc tu n’en tirera rien de plus que ce qu’on dit ici, tu ne peux pas t’appuyer sur la généralité pour parler du particulier, puisque le type d’expérience qu’on ferait pour tester l’hypothèse dans le cas du genre est précisément … les expés dont on parle ici.
Un mouvement de va-et-vient normal pouvant entraîner un mouvement de balancier à l’intérieur des bourses susceptible d’entraîner un contact lors du va-et-vient susnommé ?
[^] # Re: Peut-être…
Posté par thoasm . En réponse au lien Faut-il faire peur pour sauver la planète ?. Évalué à 4.
Reste à savoir ce qu’il peut ressortir de ton discours. Pas grand chose on dirait. Au moins tu ne peux pas être déçu faut croire. Ou alors tu mets la barre tellement haut que tu peux pas l’atteindre, manière sure de ne pas l’atteindre. Le résultat est identique.
[^] # Re: Peut-être…
Posté par thoasm . En réponse au lien Faut-il faire peur pour sauver la planète ?. Évalué à 4.
On voit un peu un mélange des excuses 2 et 5 de ce lien dans tes réponses.
[^] # Re: ça dépend comment
Posté par thoasm . En réponse au lien Faut-il faire peur pour sauver la planète ?. Évalué à 3.
suivi de
Les scientifiques ont prédits des catastrophes de manière froide, sans fioriture et sans hyperboles, autrement dit. Aujourd’hui les présentateurs météo disent parfois (souvent) quand un phénomène qui survient lié au changement climatique que … c’est lié au changement climatique. On m’a dit que c’était anxiogène.
[^] # Re: Peut-être…
Posté par thoasm . En réponse au lien Faut-il faire peur pour sauver la planète ?. Évalué à 8. Dernière modification le 15 novembre 2023 à 16:08.
Niveau de climatoscepticisme : "Oops", agrémenté de "non mais de toute façon si on fait des trucs ça change rien".
Juste un discours d’inaction parmi d’autres.
[^] # Re: Planète planète
Posté par thoasm . En réponse au lien Faut-il faire peur pour sauver la planète ?. Évalué à 3.
Ça dépend de ce que tu entends par "eux", les formes de vies actuelles sont toutes adaptées à leurs conditions de vie … actuelles.
"Eux", c’est les descendants de certains individus ou espèces d’aujourd’hui qui seront adaptées au condition de vie de demain. Rien qui n’existe aujourd’hui et certainement pas les "eux" d’aujourd’hui. Pour autant qu’on sache des humains survivront probablement …
[^] # Re: Planète planète
Posté par thoasm . En réponse au lien Faut-il faire peur pour sauver la planète ?. Évalué à 2.
Ah bah c’était déjà une punchline de Claude Allègre, il s’y connaissait en terme de diversion !
[^] # Re: La question est mal posée.
Posté par thoasm . En réponse au lien Faut-il faire peur pour sauver la planète ?. Évalué à 2. Dernière modification le 15 novembre 2023 à 14:01.
Équilibre entre les attentes des anxieux et l’anxiété des gens en capacité de prise de décision aussi, et peut être même surtout ! Quand Pouyanné décide qu’il a pas vraiment peur, et qu’il va signer pour extraire plus de pétrole, c’est pas flippant pour lui.
Qui est touché par la peur est peut-être une question … Si Macron a plus peur d’une révolte de gilets jaunes à cause du prix des carburants que des conséquences du réchauffement, parce qu’il n’a rien à leur dire que "démerdez vous avec ça" … Ce qui est flippant c’est qu’on sent que les actes ne sont pas à la hauteur des enjeux.
[^] # Re: Peut-être…
Posté par thoasm . En réponse au lien Faut-il faire peur pour sauver la planète ?. Évalué à 3.
Alors non, la question c’est surtout "combien de degrés", pour quel effort d’adaptation et le mitigation associé. Ce n’est pas un combat binaire qui serait perdu d’avance.
[^] # Re: Planète planète
Posté par thoasm . En réponse au lien Faut-il faire peur pour sauver la planète ?. Évalué à 2. Dernière modification le 15 novembre 2023 à 12:14.
Bof, on en fait beaucoup avec les cafards parce qu’ils sont, au moins certaines espèces, assez résistants aux radiations https://www.curieux.live/2019/05/03/data-science-vs-fake-les-cafards-seraient-les-seuls-a-survivre-en-cas-de-guerre-nucleaire/
Après quand on prend du recul c’est plutôt nous qui exterminons les insectes par espèces entières : https://www.nationalgeographic.fr/environment/extinction-de-masse-les-insectes-disparaissent-a-une-vitesse-alarmante
[^] # Re: Planète planète
Posté par thoasm . En réponse au lien Faut-il faire peur pour sauver la planète ?. Évalué à 3.
Pour une définition très large de "nature", on peut l’assimiler à "l’univers", et effectivement, notre pouvoir à détruire l’univers n’est pas attesté ! Après bon, un univers sans vie pour le contempler est-il comme l’arbre dans la foret qui tombe mais ne fait pas de bruit parce que personne n’est là pour l’entendre ?
[^] # Re: Peut-être…
Posté par thoasm . En réponse au lien Faut-il faire peur pour sauver la planète ?. Évalué à 3.
Si tu ne l’as pas lu,
est abordé dans l’article. C’est un peu un cliffhanger pour l’instant d’ailleurs, mais il suggère que … avoir confiance en l’action politique pour les choses "plus grande que soi" est de nature à réduire l’anxiété en actionnant l’espoir.
Sur « …mais ça ne suffira pas. » c’est une évidence, étant donné que ce n’est potentiellement qu’un levier pour actionner autre chose. Si l’autre chose était actionné définitivement il n’y aurait plus de question.
[^] # Re: Planète planète
Posté par thoasm . En réponse au lien Faut-il faire peur pour sauver la planète ?. Évalué à 3.
C’est juste une façon de parler, et de toute façon pas du tout le cœur de l’article.
[^] # Re: Godwin
Posté par thoasm . En réponse au lien Hare : un langage pour les 100 ans à venir. Évalué à 9.
La conclusion c’est plutôt "on veut des logiciels qui marcheront encore dans 100 ans" en reconnaissant que c’est une niche et que c’est pas vraiment viable d’imaginer que des nouveaux logiciels seront encore codés dans ce langage dans 100 ans.
Parce qu’évidemment faire des choix conservateur déjà en 2020 et se limiter dans les fonctionnalité ça risque d’être un peu archaïque en 2120.
[^] # Re: Tribune de 130 féministes en réponse à Emmanuel Macron
Posté par thoasm . En réponse au lien «En français, le masculin fait l’homme, le dominant, il ne “fait pas le neutre”» (article partiel). Évalué à 7.
Ou à moins que nos cher sénateurs plutôt bien à droite dans l'ensemble ne franchissent un cran dans la droiture, c'est dans l'air du temps et puis bah … Autant suivre le vainqueur.
Voir comment le parti républicain s'est couché devant Trump aux USA.
[^] # Re: on dirait que ça ne joue pas
Posté par thoasm . En réponse au lien «En français, le masculin fait l’homme, le dominant, il ne “fait pas le neutre”» (article partiel). Évalué à 4.
L’époque change évidemment, il ne s’agit pas de dire que ce genre d’obstacle ne peut être surmonté ! Mais il faut combien de décennies pour arriver à ce résultat ?
[^] # Re: Tribune de 130 féministes en réponse à Emmanuel Macron
Posté par thoasm . En réponse au lien «En français, le masculin fait l’homme, le dominant, il ne “fait pas le neutre”» (article partiel). Évalué à 2.
Cette tribune est en réaction à un projet de loi porté par le sénat. Quelle cause le sénat sert-il en l’occurrence ? On serait bien en peine de l’objectiver.
[^] # Re: avis partial
Posté par thoasm . En réponse au lien «En français, le masculin fait l’homme, le dominant, il ne “fait pas le neutre”» (article partiel). Évalué à 5.
Si tu veux te voiler la face, les travaux de psycholinguistiques tendent à montrer, en l'occurrence, que dans un tel cas tu dois lutter :) Le point médian dans l'étude du lien d'il y a quelque jour tend a rappeler l'existence des deux genres et rend plus crédible le fait qu'une femme exerce le poste. Donc tu dois lutter a l'inverse cette fois pour effacer la femme, consciemment. L'oralisation concerne le cas très particulier de la lecture publique, pas si fréquent finalement.
Sauf évidemment ceux qui ont une regex qui effacent tout, mais la méthode s'étend aussi aux formes comme "(\1)s (et|ou) (\1)es".
[^] # Re: avis partial
Posté par thoasm . En réponse au lien «En français, le masculin fait l’homme, le dominant, il ne “fait pas le neutre”» (article partiel). Évalué à 5.
Suffit de prendre ça pour une abbreviation. On a généralement pas trop de difficulté à lire "m." "monsieur" (qu'il ne faut pas trop essayer de lire en syllabique d'ailleurs, question oralisation), je vois pas trop pourquoi ce serait bien plus compliqué de lire "les étudiant.es" comme "les étudiants et étudiantes". Ça peut s'apprendre, comme le reste, on a des règles plus compliquées. Qu'il est difficile de toucher.
[^] # Re: on dirait que ça ne joue pas
Posté par thoasm . En réponse au lien «En français, le masculin fait l’homme, le dominant, il ne “fait pas le neutre”» (article partiel). Évalué à 5.
C'est un peu manquer le message des données qui tendent à montrer que mentionner deux genres tend à "neutraliser" les représentation mieux que le genre neutre.
Et quand on parle de projection des personnes, dans l'orientation pro par exemple, c'est peut être important, en tout cas j'ai tendance à ne pas spécialement comprendre les crispations.
Il est évident que ce n'est pas le seul facteur et que le contexte culturel joue beaucoup. Mais justement … Ici on est dans un contexte où les avancées des droits des femmes et leur place dans la société est un sujet depuis plus d'un siècle. On raconte quoi aux gamines qui vont se lancer dans le monde des adultes ? Que des changements sont possibles, qu'elles sont légitimes à se lancer si elles s'imaginent en avocates ou alors on parle uniquement d'avocats et ptete qu'elles devront dans ce cas passer la première réticence qui fait qu'"avocats" étant genré de fait au masculin c'est plus difficile d'imaginer une femme ?
Parler culture sans évoquer le contexte culturel … Est-ce pertinent ? Il est évident qu'un unique facteur n'est probablement pas la clé de tout. La preuve c'est qu'on parle encore de la place des femmes après tout ce temps dans une démocratie.
[^] # Re: Même problème pour les roux.
Posté par thoasm . En réponse au lien Quand Midjourney n'arrive pas à représenter un médecin noir soignant des enfants blancs. Évalué à 6.
Ce lien évoque la question des biais algorithmique avec l’exemple (vers 29:50) d’une personne arrêtée à cause d’un biais de reconnaissance faciale.
# Aussi commenté sur Mastodon
Posté par thoasm . En réponse au lien Pourquoi sommes-nous tellement accros à Google Maps et Waze ?. Évalué à 3.
https://piaille.fr/@ploum@mamot.fr/111346333286519828 (je rajoute un lien au lien)
[^] # Re: ça mérite une dépêche !
Posté par thoasm . En réponse au journal Édition française du livre Ada & Zangemann. Évalué à 6.
Faudrait la "upper" comme on disait parfois pour la remettre en Une ?
[^] # Re: Ce n'est pas un biais linguistique, c'est un biais sémantique.
Posté par thoasm . En réponse au lien Langage inclusif, pour le cerveau le neutre n'est pas neutre. Évalué à 3.
Bof, l’infirmation de l’hypothèse ne semble pas concerner le genre, mais principalement d’autres choses comme les couleurs. L’article comporte une section sur le genre [[Hypothèse_de_Sapir-Whorf#Cas_du_genre]] qui ne fait que reprendre le type d’études qui sont citées dans ce lien.
Donc tu n’en tirera rien de plus que ce qu’on dit ici, tu ne peux pas t’appuyer sur la généralité pour parler du particulier, puisque le type d’expérience qu’on ferait pour tester l’hypothèse dans le cas du genre est précisément … les expés dont on parle ici.
[^] # Re: Ce n'est pas un biais linguistique, c'est un biais sémantique.
Posté par thoasm . En réponse au lien Langage inclusif, pour le cerveau le neutre n'est pas neutre. Évalué à 3.
Un mouvement de va-et-vient normal pouvant entraîner un mouvement de balancier à l’intérieur des bourses susceptible d’entraîner un contact lors du va-et-vient susnommé ?
[^] # Re: Ce n'est pas un biais linguistique, c'est un biais sémantique.
Posté par thoasm . En réponse au lien Langage inclusif, pour le cerveau le neutre n'est pas neutre. Évalué à 3.
C’est plutôt supposé évoquer la masturbation, à la base, une variante de "je m’en branle", quoi.