bubar🦥 a écrit 6904 commentaires

  • [^] # Re: FDG

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal 0,76% de moyenne nationale pour le parti pirate, déception . Évalué à 2. Dernière modification le 11 juin 2012 à 08:38.

    Les programmes ne sont pas incompatibles

    Non mais ils ne semblent pas similaires. Et puis même s'il apparaîssait que le vote en faveur du PP est un vote issu essentiellement de gens de gauche, en csp++, urbain, etc (soit dans le cas le plus stéréotypé), il y aurait quant même de vrais divergences, non pas au niveau du programme -ni à celui de l'éventualité de siéger ensemble- mais au niveau de l'électorat : pas sûr que des orthodoxes du pc au sein du fdg voient d'un bon oeil un affichage libertarien. Dans le journal il y a la phrase suivante :

    Le Parti Pirate devrait accepter son orientation de gauche libertarienne.

    Je pense aussi que oui (en laissant de coté tt idées personnelles) il y a un sillon à creuser, et ces législatives devraient être vu comme un tour de chauffe. Les élections importantes, pour un parti émergeant, étant les municipales. Bien que cela soit moins important en France, les municipales restent les élections reines pour créer des dynamiques locales sur un socle de programme nationalement partagé (dans le cadre du PP, au delà du fr_fr).

    Il y a un bien une voie possible, si elle est assumée (le «ni droite ni gauche» est une erreur : ici c'est typiquement être classé à droite, le PP serait bien le premier parti de centre-gauche à afficher une … non-affiche). Pour en revenir sur les différences avec le FdG, sujet du commentaire plus haut, il est possible que le PP accepte d'étudier des propositions comme : «libéralisation du notariat et fin de son monopole» … c'est beaucoup moins sûr pour le fdg…

  • [^] # Re: Solution qui fait tout.

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Linuxfr+ldap ? Une solution de gestion de communauté efficace ?. Évalué à 4.

    Citadel peut être ? Les moins graphiques peuvent aussi y accéder par BBS.

  • # ...

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Linuxfr+ldap ? Une solution de gestion de communauté efficace ?. Évalué à 4. Dernière modification le 08 juin 2012 à 09:14.

    Là cela ressemble à un bon on fait quoi avec tout ça en lieu et place d'un bon on a besoin de quoi pour faire. J'ajouterai que ça, cela vient ensuite. De votre programme peut découler le mode d'organisation. Il me semble qu'il faut toujours revenir au programme (aux «valeurs») aussi pour construire l'organisation, la communication interne, afin d'éviter une boulette (du moins, ce qui pourrait apparaître comme une boulette vue de dehors). Seul un «pirate» peut répondre à cette question, mais en regardant votre programme on peut dégager quelques pistes.

    Préserver le droit à l’anonymat et au « pseudonymat »
    Empêcher le traçage abusif
    Renoncer au fichage des citoyens honnêtes
    Transparence de la vie politique

    Bref, mieux vaut ne pas se précipiter, et laisser le bazar faire pour le moment.
    Car si au final vous vous retrouvez en position d'avoir un «dictateur bienveillant» qui impose des solutions parceque «c'est les maïlleureuh», vous allez commencer en faisant l'inverse de ce que vous pronez.

    J'dirais que l'essentiel aujourd'hui, c'est de mettre à disposition immédiatement après les élections cela :

    Clarifier les notes de frais des élus
    Publier nos revenus et dépenses liées à notre mandat

    Et la plateforme qui réponde à cela :

    Tenir nos électeurs informés de nos votes et de notre travail parlementaire

    Sur le national et pour le local.

    Le reste viendra ensuite, une fois le PP posé en tant qu'acteur cohérent. En n'oubliant pas que certains objectifs, valeurs, éliminent naturellement des outils et des manières de faire. (une mailing list par exemple semble plus en accord qu'un forum)

    retenir et concentrer l'info sans être débordé par les discussions

    Avec des deadlines. Pas seulement "on se donne 8 jours pour arrêter une ligne sur ce point", mais aussi "arrêter ce point demande de passer par ces étapes, deadline à chaque". Cela permet d'avancer de manière sûre. Sans totalement fermer la porte, d'une part, certains personnes ayant besoin de lire les avis de tout le monde avant d'affiner le sien. Et d'autre part sans stigmatiser ceux ne suivant pas le rythme, le but étant le participatif, ici, ceux décrochant d'un sujet doivent tjs pouvoir accrocher sur un autre. Il me semble que sur ce point là, l'émergence de votre programme est déjà en soi une réussite.

    c'est un peu le binz

    Je crois qu'il faut l'accepter. Non comme mode de fonctionnement bien sûr, mais comme chaudron à idées et volontés. Se passer de cela reviendrait à renier une part des valeurs sur la démocratie participative. Tout le monde ne marchant pas au même rythme, il y aura toujours une petite part de binz. La difficulté étant que ce binz reste productif et ne devienne pas sclérosant. Pour cela les deadlines sont l'outil principal. Et, surtout, la distinction entre discussions informelles et celles de travail! La première pouvant se faire par forhum, mais la seconde par couple ML/dcvs, tandisque que la com' se fera par des canaux "à sens unique".

    hacker la politique

    hackons! Bon vote à toutes & tous.

    En résumé :
    0/ Fonctionner sur un mode décentralisé ne suffit pas, il faut aussi que le fonctionnement soit transverse. Là seuls certains outils répondent à ça.
    1/ Distinguer les discussions de travail des discussions informelles et philosophiques, savoir que les deux sont indispensables.
    2/ La com' externe sur canaux à sens unique (tout en laissant accessible le 1/)
    3/ Une fois ce tri fait (entre travail, philo et com') alors se dégagera des outils, par élimination au moins, pour chaque besoin. Le +important en filigranne dans ton journal étant le manque de distinction entre "travail" et "philo", qui ne doivent pas être imperméables, mais doivent avoir des rythmes différents! (à mon avis, pour le "travail", des deadlines précises pour arrêter des décisions, fonctionnant sur les outils décrit par misc plus haut, sont idéals)

    Enfin, pour ce qui est des "ouhain il faut s'authentifier de manière unique et centralisé pour tout les outils" perso j'appelle ça du parasitage. Désolé… Aujourd'hui, si on ne comprends pas qu'il s'agit d'une émergence d'une part, et qu'on ne sait pas faire "cliq retenir le mot de passe dans firefox" d'autre part je me demande ce qu'on viens foutre au PP.

    mes deux cents.

  • [^] # Re: Les fameux intérêts manquants...

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal L'argent dette. Évalué à 4. Dernière modification le 07 juin 2012 à 11:53.

    Tu n'emplois pas les bon temps pour la conjugaison de tes verbes.

    création monétaire est "gratuite"

    je ne dis pas cela, et n'aborde même pas ce sujet.

    Si une banque prête 1000€ et que cette somme n'est pas remboursée, ses comptes sont à -1000€

    Oui, si tu conjugues bien (…)

    Si ta banque a été créée avec un capital de 10000€ par ses actionnaires, elle ne vaut plus que 9000€

    Tu délires complètement, en confondant entreprise et banque.

    sur l'argent qui n'existe pas encore

    Voilà. Maintenant qu'on est ok sur ce point (sans formuler de critiques à l'égard de ce système), tu rends toi même caduque les propos que tu a tenu juste avant. Ouf.

    la crise des dettes

    Tu arrives sur une vision paranoïque, en te faisant toi même le serpent se mordant la queue. L'emprunt est unique : il n'y a pas d'actes de création monétaire par un état, ou très faiblement, identique à la création monétaire par une banque. C'est même pour cela, et éviter les dérives qui ont marquées l'histoire allemande, que ça s'est décidé.

    l'assainissement risque d'être un peu douloureux…

    Tu conçois donc comme acquis le fait qu'une mauvaise gestion bancaire ayant entraînée des accords de prêts trop importants aux demandeurs soit payés par un transfert de titres ?
    La solvabilité d'une banque est apprécié sur le minimal de fonds propres, en général définis à 8%, bémoler par les derniers traités, voir le commentaire de Zenitram au sujet de Bâle III. Le "en général" est un gros oupss cependant, puisqu'il faut distinguer le marché interbancaire, du marché financier, et prendre en compte la régulation imposé par les taux directeurs. Néanmoins tout ceci influt à la marge, et ne modifie pas le principe fondateur de la création monétaire par le système bancaire : il le dirige mais ne le modifie pas. La solvabilité bancaire a une tout autre définition que la solvabilité d'une entreprise.
    Une banque renonçant à 50% d'une dette ne perds rien d'autre, réellement, qu'une possiblité de richesse nouvelle. Ce qu'elle perds, par contre, c'est sa crédibilité : n'ayant pas sû estimer correctement ce risque. Et c'est là que je ne rejoins pas le discours global du reportage faisant des banquiers des super-vilains.

  • [^] # Re: Les fameux intérêts manquants...

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal L'argent dette. Évalué à 9. Dernière modification le 07 juin 2012 à 09:44.

    Non, tout le monde ne sort pas perdant lors d'un défaut de paiement.
    Imagine que tu prêtes 1000€, et que le droit t'autorises à avoir seulement 100€ en poche pour pouvoir en prêter 1000€. Celui a qui tu prêtes achète un ordinateur à 1000€. Il y a un bien produit passé d'une main du producteur (ou du vendeur) à celle d'un propriétaire. Et un acte de création monétaire, à l'instant T, qui correspond à une valeur réelle pour celui qui emprunte, lissé sur le calendrier d'emprunt. Mais celui a qui tu prêtes ne te rembourse pas. Qu'a tu perdu exactement ? Rien, en fait, aujourd'hui. Tu as perdu simplement la possibilité d'une richesse supplémentaire à la fin du remboursement. Par contre celui qui ne rembourse pas vera son bien saisi et sa dette non-annulée (en france). En échange d'une incertitude sur la planification à cause de cette situation, tu obtiens un bien, à valeur dévaluée, et une gestion d'épuration, à étalement plus important.
    Voilà, l'emprunt, dans la plupart des cas, c'est le iPot de la monnaie.

    moinssez moi …

  • [^] # Re: Vive le format vidéo

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal L'argent dette. Évalué à 8. Dernière modification le 07 juin 2012 à 09:08.

    La vidéo est tout à fait crédible, oui. Les explications sur la page wikipedia sont claires : la première version de la vidéo a été vivement critiqué à cause d'approximations diverses sur plusieurs points. Mais pas sur la description des mécanismes principaux. Ce sont ces critiques qui ont permi la réalisation d'une seconde vidéo, qui est une version révisée.

    Cette seconde version ne sera plus soumise à critiques sur des imprécisions. Les critiques de la seconde version restant dans le domaine de la méthode de présentations, et non plus sur les faits. Et ces critiques restent particulièrement intéressantes. Mais placer l'ensemble des points critiquables dans un même sac pour dire que ces vidéos ne sont pas crédibles c'est utiliser un procédé similaire à ceux des conspi : n'importe quoi pour faire feu.

    La seconde vidéo est donc critiquée non plus sur les mécanismes décrits mais sur la méthode de description, le choix «rédactionnel» de présenter des élements factuels. Et ce journal illustre assez bien la réalité des effets de cette méthode, donnant un exemple de ce que ce documentaire peut amener à penser. De croire qu'il y a une «volonté de contrôle» ou bien, en moindre, que ce fonctionnement est un disfonctionnement volontaire.

    Exemple : «le vrai argent est limité»
    Le vrai argent tel qu'employé ici et dans le documentaire n'existe pas en tant que tel. Point. L'argent est un tiers dans l'échange, c'est tout. (tout comme la justice, si certains aiment ça) De la régulation de cette valeur entre deux biens échangés va découler une compensation de cette régulation par la mise à disposition des biens au delà de cet échange, le marché. Bon. Le documentaire utilise ici une définition de l'argent qui va varié selon selon le contexte d'explication et sans en faire la précision. Il y a là quelque chose de regrettable.
    Autre exemple : «qui détient le pouvoir ? Les banquiers ou l'état ?» Le pouvoir financier est détenu majoritairement par les banques, depuis ~40 ans, par accord avec les politiques. Bon. De la possibilité, réelle, d'une concentration des titres de propriétés, on en viens à une analyse sur le pouvoir global. Là encore on constate un glissement, pour être complet il aurtait fallu que le documentaire apporte le même niveau de précisions aux mécanismes empêchant cela : laisser en suspens à ce moment là fait tendre le spectateur vers une vision incomplète.

    En bref, ce documentaire est un très outil pédagogique, qu'il serait regrettable de dé-considérer, car il pose de manière claire les principes fondateurs du droit bancaire, et de la création monétaire moderne. Mais en ne montrant pas tout, d'abord les failles du système précédent (avant ~70) puis en amenant une reflexion sur ce que pourrait être un service public bancaire, il constitue clairement un parti-pris engagé.

    Ce qui n'est pas un mal en soi, et qui n'enlève aucune qualité à la présentation des faits. Pas plus que le matraquage télévisuel sur la «dette» et la «peur», tout les jours, à des gens n'ayant aucune notion de création monétaire.

    Mes deux cents.

  • [^] # Re: Complément

    Posté par  (Mastodon) . En réponse à la dépêche UEFI en question. Évalué à 1. Dernière modification le 06 juin 2012 à 15:43.

    Tu ne te trompes pas, si on reste dans le cadre de l'usage «michue», car sur plateforme Intel in sera possible de fournir peut être ses propres clefs de signatures (ou de désactiver le SecureBoot, mais cela serait dommage vu qu'il s'agit d'un bel outil, s'il est bien utilisé) La question ne se posant alors que pour une «installation par défaut» sans devoir rien faire d'autre que placer une galette. Peut être que d'ici là les installeurs seront mis à jour pour demander une telle clef, personnelle. Ce qui, même dans ce cas, demandera des manipulations rendant quelques peu caduques les efforts pour simplifier l'installation d'un Linux.
    Corrigez moi si je me trompe aussi ;-)

    ps : j'en profite pour signaler que cette dépêche est totalement incomplète, elle ne devait pas être publier en l'état : il s'agissait d'une introduction proposée, afin d'être augmenter. L'objectif était de faire moins trolliphère et plus factuel que mon précédent journal. (j'attendais donc voir si d'autres personnes y participaient, surtout ceux nous ayant fait des journaux et dépêches détaillées sur le sujet). Hier matin, en voyant «en modération» au moment de la reprendre [ajoutez des précisions et traductions, corrigez des imprécisions) me suis «chouette, ça a pris», mais … surprise au moment de lire la publication. Il y a eu un malentendu ce week end, sa non-évolution menant à une publication.

  • # Complément

    Posté par  (Mastodon) . En réponse à la dépêche UEFI en question. Évalué à 2.

    Position plus officielle, de Redhat : «"Microsoft will provide keys for Windows, Red Hat will provide keys for Red Hat Enterprise Linux and Fedora, (…)»

  • [^] # Re: "le plus abouti actuellement est sans contexte Windows 8"

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal De la convergence des interfaces, le revers de la médaille. Évalué à 4.

    je préférerais de loin une synergie entre mes appareils: faciliter le partage d'infos, faire tourner des docs facilement entre eux, etc.

    Pareil.

  • [^] # Re: Titre du journal

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Samsung rejoint la Fondation Linux. Évalué à 4.

    merci de la correction

  • [^] # Re: Libération du code du Galaxy S3

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Samsung rejoint la Fondation Linux. Évalué à 3.

    Et peut être que ce site spécifique ne contiendra plus les développements noyaux, ceux ci se retrouvant en amont, bientôt ? :-) (ou devenant un simple mirroir pour une visibilité aisée des implications ?)

  • [^] # Re: Mate

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Gnome 3 est un échec total selon Torvalds. Évalué à 2.

    +1 d'autant plus que Linus ne cause pas de tout cela, mais simplement de l'usage qu'il attends du desktop "primaire" au dessus de son noyau… dont il connait les usagers principaux et sur lesquels il ne se voile pas la face en «potentialité de déploiement éventuel sur tablette et/ou pc». Bref ce qu'il le rebute en tant qu'utilisateur, et visiblement en laissant de côté ce qu'il sait être des besoins spcéifiques!
    Exemple : Mme michu se sert du terminal tout le temps tout les jours, c'est bien connu, c'est pourquoi le vt de gnome a le même comportement que n'importe quelle autre app : il faut faire click droit pour en ouvrir un second. elle est forte, Mme michu.

  • [^] # Re: Linus est un devin ?

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Gnome 3 est un échec total selon Torvalds. Évalué à 10.

    Ce qui est dommage c'est qu'il ne ré-essaye pas Kde, mais il y a des utilisateurs qui ne reviennent jamais.

  • [^] # Re: Linus est un devin ?

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Gnome 3 est un échec total selon Torvalds. Évalué à 10. Dernière modification le 05 juin 2012 à 22:19.

    Et s'il ne s"exprimait qu'en tant qu'homme libre, bien que conscient de sa position, mais bémoler par ses coups de gueules légendaires et sa manière franche de causer ? Et si, au final, ce n'était que nous qui l'écoutions d'une certaine manière ?
    Et si, entre ce qu'il a sur son desktop et ce à quoi il aspire, c'était tellement différent qu'il vienne à espérer un chrome-os rapidement stable, finalement, et malgré sa culture ?

  • [^] # Re: PulseAudio sous Mac OS X

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Transférer du son en réseau avec Pulseaudio, VLC, et un clavier bépo. Évalué à 2.

    Merci pour ce journal qui vient d'égayer mon après-café en ce dimanche quelque peu pluvieux! parec | nc c'est magnifique :-)

  • [^] # Re: Pourquoi Linux ne décolle pas

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au sondage Qu'utilisez vous pour l'installation de vos logiciels tiers ?. Évalué à 2.

    ++
    J'ai envie de troller que c'est un problème de marketting.
    Et l'option prends peut être plus de sens encore au moment ou apple et microsoft vont se mettrese mettent à faire des «markets pour isv». Que l'on pinaille sur les styles et les bonnes pratiques, par distro, de faire un spec, ne change rien en fait, non plus ; pas plus que de savoir s'il ne faut pas lacher du lest sur des biblio ou autre question du même accabit. Ce sont probalement des questions intéressantes, mais ce n'est pas le même sujet exactement. D'une manière plus globale, le packaging lui même peut ne pas bouger.
    Gnu a des années d'avance sur microsoft et apple dans ce domaine, et au moment où ces deux là peinent à réaliser leur système, il n'est pas fou de se dire que c'est possible de reprendre de l'avance. Et redonner des choix à l'utilisateur est certainement une méthode sympathique et intéressante, surtout qu'à côté c'est plutôt le mouvement inverse.
    Rpm et dpkg possèdent déjà tout les atouts pour ça, et encore je ne connais pas 50% de l'usage réel de rpm, très probablement…

    Est il si fou de poser des questions, optionnelles, à l'utilisateur, sur au moins les chemins des dossiers tiers ? Est il fou d'imaginer qu'un clickodrome puisse proposer de chrooter ? Est il fou de penser qu'il serait possible avec une gui d'utiliser libvirt-sandbox en choix d'installation ? Il me semble que non, ce sont des opérations que la plupart d'entre nous font sans difficultés et qui relève de la simple gestion de son ordinateur personnel, de simples aides. Et pourtant certains utilisateurs seraient sur le cul de voir ça en gui.

    À la fois le packaging classique, sans qu'il bouge d'un poil, et des gui donnant des choix intéressants voir impressive aux utilisateurs.

    Mes deux cents, avec trois exemples alacon.

  • [^] # Re: Pourquoi Linux ne décolle pas

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au sondage Qu'utilisez vous pour l'installation de vos logiciels tiers ?. Évalué à 1. Dernière modification le 01 juin 2012 à 23:28.

    à propos d'arrêter d'être aveugle, on peut aussi regarder le contexte, et voir s'il n'y a pas du sens à utiliser un système comme autopackage, ou tout autre du même type, parfois , non ?

    par exemple le packaging rpm, tel qu'il est réalisé par les distros, ,e laisse aucun choix à l'utilisateur. Rien, nada, nib. Cela a bien été tenté mais le relais assuré par les gui n'ont pas suivis. Elles ne suivent même pas pour la gestion des rpmnew. La situation est différente chez Debian où au contraire le packaging pose souvent des questions à l'utilisateur, et lui laisse de nombreux choix. Ne connaissant pas assez Debian, je ne sais pas si du côté des gui ça suit, ou pas.

    Il me semble qu'il s'agit là d'un contexte intéressant pour utiliser un système ala autopackage : permettre à l'utilisateur de décider des choix primaires concernant ce logiciel. Ce n'est pas ce que l'on retient en premier, préférant parler de la qualité du packaging lui même, de la maintenance de l'outil, de l'intégration dans la distribution et des problèmes de mises à jour. Tout ceci existe aussi avec autopackage ou autre, de manière et à des variations différentes.

    Ce qui n'empêche pas de pouvoir trouver bien sympa d'avoir le choix à l'installation que audio-projet ne créait pas un dossier à la racine du home, à l'identique pour Eclipse, ou bien pour Kdenlive, la liste risque d'être longue… L'intégration se pose aussi, et il est possible que cela soit intéressant de laisser l'utilisateur choisir de placer ce type de dossier de travail en se servant de l'arbo xdg, par exemple, en deux clicks dans un selecteur/navigateur de fichiers/dossiers.

    Des avantages, il y en a d'autres, mais qui ne prennent leur sens que si telle ou telle solution était adoptée par plus de projets.

  • # et la joliz nimage

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Ta Fedora sera signée par Microsoft. Évalué à 7. Dernière modification le 01 juin 2012 à 00:32.

    tout droit sortie d'un esprit malade trouvant bien de confondre le f et le i afin de former un espèce de a parceque tu comprends 4 lettres ne rentrent pas
    résumant bien le côté bancal dès la conception :

    uefi logo

  • [^] # Re: Projet de classification des interprétations de musique classique

    Posté par  (Mastodon) . En réponse à la dépêche Les Variations Goldberg dans le domaine public. Évalué à 2.

    La base est sous quel format ? permet tu à d'autres services de l'utiliser ?

    wow ! :)

  • [^] # Re: Projet declassification des interprétationsde musique classique

    Posté par  (Mastodon) . En réponse à la dépêche Les Variations Goldberg dans le domaine public. Évalué à 2. Dernière modification le 31 mai 2012 à 21:53.

    pas besoin, Gnome-mplayer le fait tout seul sans ton accord

  • [^] # Re: l'arrachage

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Simuler la perte du lien ethernet (débranchement de câble). Évalué à 4.

    Simple : on peint une grand croix rouge pour leur signaler «pas là, non, pas là!»

  • [^] # Re: Bon taf ! + en savoir plus...

    Posté par  (Mastodon) . En réponse à la dépêche La magie est de nouveau là : Mageia 2 est disponible. Évalué à 10. Dernière modification le 29 mai 2012 à 10:31.

    J'ajoute à l'ironie (à laquelle j'adhère) du commentaire de coid deux éléments :

    1/ les outils graphiques : ils sont vieux et l'argument aussi du coup, mais cela reste d'actualité : ils apportent une facilité pour quelques éléments qu'on peut attendre d'un ordinateur personnel : se faire un partage nfs/cifs en qq clicks, configurer des éléments de "sécurité" éclatés dans le système mais tous utiles, et de manière simple, aussi partager une connection en qq clics, etc … Ce dernier exemple est flagrant : l'utilitaire a 10 ans et fait toujours mieux que ce que propose NetworkManager depuis peu … (il propose, par clic-suivant, de choisir entre un partage simple, un partage avec proxy … bref encore aujourd'hui c'est un petit luxe)

    2/ l'organisation de la distribution fait qu'elle reste la plus simple pour s'installer un base-system minimal sur lequel viendra se greffer autre chose. Quelqu'un ne connaissant pas Debian ni Fedora ni Mageia n'aura avec Mageia rien à faire de particulier pour que cela fonctionne du premier coup : un simple urpmi base-system-minimal --no-suggests et "là voilà". Pour des gens connaissant toutes les grandes distro cela ne change pas grand chose, mais pour des gens souhaitant s'installer un media-center, ou une distro pour un robot, ou encore une petite distro pour un petit ordi, perso je continuerai objectivement de conseiller Mageia. C'est facile et rapide d'avoir juste ce qu'on veux et pas un install-world )

    mes deux cents, vous pouvez moinsser sur mon intervention ici, hein ;-)

  • [^] # Re: en résumé

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Crise grecque ? Crise européenne !. Évalué à 2.

    « L’Europe à plus à perdre que la Grèce de la sortie de l’Euro donc l’Europe arrêtera d’imposer à la Grèce les décisions de la troïka si la Grèce met des poings sur la table »

    On partage la même analyse, mais pas pour les mêmes faits possible.

  • [^] # Re: Marre

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Crise grecque ? Crise européenne !. Évalué à 2. Dernière modification le 26 mai 2012 à 15:47.

    on va reprendre tout depuis le début

    (…)

    l’extrême-droite libérale (au sens économique) du père est une exception dans l’Histoire
    la fille revient au final à une extrême-droite plus classique

    Pas du tout. Effectivement, il faut tout reprendre depuis le début. À moins que tu donnes une définition mondiale à «L'Histoire», là ça tiens à peu près debout. Ou à moins que tu confondes discours et faits, là encore ça tient à peu près debout, mais ce dernier point ne semble pas être le cas, vue ton insistance (que je partage) sur cette distinction entre volonté affichée, discours, et politique menée. L'extrême droite française a historiquement plus d'attaches (idéologique ET de liens) avec l'extrême droite d'Europe du sud (Italie, Espagne, Portugal), qu'avec la culture «pan-caucasienne» dont est issue un bon paquet de mouvements d'Europe Centrale et de Russie. L'extrême droite Française découvre totalement cela, c'est récent, et ce n'est pas, mais alors pas du tout, sa culture initiale. Cette nouvelle manière d'appréhender l'Etat, servant un objectif très différent de l'objectif historique ici, est un cache-misère et un alibi intellectuel, couvert intellectuellement par Soral et confrères (qui, lui même, découvre tout cela très tardivement, l'idiot. D'un autre côté on peut lui reconnaitre que sa pensée s'est construite d'elle même visiblement, en l'absence de cette culture) Et manipulé par la «vague bleu-marine» pour se donner, effectivement, un habit social. Mais l'extrême droite française n'est PAS cela. Et ne l'a JAMAIS été.

    En fait, il est quasi-impossible de désigner «l’extrême-droite française» comme entité unique tant les mouvements de pensées sont différents et parfois contradictoires. C'est une caractéristique de différenciation de l’extrême gauche et de l’extrême droite : la première est constituée de groupes ayant le même but principal (du moins, un objectif global assez proche) mais des différences de moyens à mettre en oeuvre pour atteindre ce but commun, tandis que la seconde est constituée de groupes partageant des idées sur les moyens mais ayant des buts différents, très différents.

    Depuis la Falange, et peut être avant, la tendance dominante de l'extrême droite française reste le libéralisme. Teintée d'anti-sémitisme. Les quelques modifications apportées par «la vague bleu-marine» ne sont qu'une façade, se rendant compte que la "culture d'europe centrale" est plus présentable car plus égalitaire. À ce rythme là, ils vont essayer de nous vendre la social-démocratie-nationale des pays nordiques comme référence (…) mouarf …

    Bon, voilà, il existe un paquetas de sites bien documentés sur la question, et c'était finalement un point de détail dans l'introduction de ton commentaire. Mais un «détail de l'Histoire» …

  • [^] # Re: en résumé

    Posté par  (Mastodon) . En réponse au journal Crise grecque ? Crise européenne !. Évalué à 0. Dernière modification le 26 mai 2012 à 14:25.

    En quoi une armée forte serait anti-démocratique ?
    En quoi un gouvernement s'appuyant sur une armée forte ne serait pas le garant d'une démocratie ?
    Nous ne sommes pas chez les bisounours, mais dans la vraie vie : les démocraties se sont construites comment ? Qu'arriveraient ils à nos démocraties si leurs armées décidaient de ne plus jouer le jeu de la démocratie ?
    Il n'y a aucun rapport entre démocratie et armée. La seconde est l'outil du régime, quel qu'il soit.