C'est quoi l'intérêt pratique de la chose ? Il n'est pas infiniment plus simple de lire la DRAM en fonctionnement ? (quitte a ecrire un driver noyau pour faire cela)
Car dans ton cas de Camion+benne+arrimage, j'ai du mal à croire que Camion+benne se comporte toujours exactement comme un camion, comme une benne et comme l'arrimage.
J'ai plus l'impression que c'est juste 3 inclusions.
Il y a toujours une bonne âme pour rappeler cela à chaque appel.
Mais il me semble que c'est une légende urbaine bien pratique pour les sociétés en question.
Cela me rappelle un commentaire d'économiste qui s'étonnait du peu de recours au boycotte en France par rapport au US ("ou l'on vote avec son porte-monnaie"), c'était sur BFM, pas vraiment un repère de bisounours bolchévique.
Un mini monopole permet de minimiser la prise de risque.
Le problème se pose avec le projet open-graphics. 2/3 personnes y vont aller de leur poche pour faire fondre les première prototypes. L'investissement est sérieux.
Une fois le truc debugué, si n'importe quel chinois peut arrivé et réutiliser leur design, ils sont morts.
Le problème des brevets est qu'ils sont pensé pour couvrire une invention, sous-entendu un produit (carte à puce, four à micro onde, molécule pharmaceutique...).
Aujourd'hui, un produit est couvert par des dizaines de brevets, et chaque année d'autres brevets s'ajoutent. La technologie ne peut jamais tomber dans le patrimoine publique. Pour les logiciels s'est encore pire, car des milliers de brevets peuvent être concerné.
Les brevets paraissent franchement absurdes en logiciel. Mais il existe d'autres domaines tout aussi miné : l'électronique, par exemple. Des tas de choses triviales sont brevetés.
Déjà si les brevet sur "l'information pure" (découverte du génome, logiciel, processus industriel, business plan) ne peuvent exister, c'est déjà pas mal. La définition allemande avec les forces de la nature devrait être la référence.
Art. L. 331-34. - {actuel L. 331-7} Tout éditeur de logiciel, tout fabricant de système technique et tout
exploitant de service peut, en cas de refus d'accès aux informations essentielles à l'interopérabilité,
demander à la Haute autorité de garantir l'interopérabilité des systèmes et des services existants, dans le
respect des droits des parties, et d'obtenir du titulaire des droits sur la mesure technique les informations
essentielles à cette interopérabilité. A compter de sa saisine, la Haute Autorité dispose d'un délai de deux
mois pour rendre sa décision.
On entend par informations essentielles à l'interopérabilité la documentation technique et les interfaces de
programmation nécessaires pour permettre à un dispositif technique d'accéder, y compris dans un standard
ouvert au sens de l'article 4 de la loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l'économie
numérique, à une ?uvre ou à un objet protégé par une mesure technique et aux informations sous forme
électronique jointes, dans le respect des conditions d'utilisation de l'?uvre ou de l'objet protégé qui ont été
définies à l'origine.
Le titulaire des droits sur la mesure technique ne peut imposer au bénéficiaire de renoncer à la publication
du code source et de la documentation technique de son logiciel indépendant et interopérant que s'il apporte
la preuve que celle-ci aurait pour effet de porter gravement atteinte à la sécurité et à l'efficacité de ladite
mesure technique.
J'avais faillis croire que l'on parlait sérieusement d'interopérabilité...
1° L'envoi au titulaire de l'accès d'un courrier électronique constatant le manquement à l'obligation prévue à
l'article L. 336-3, lui enjoignant de respecter cette obligation et l'avertissant des sanctions encourues en cas
de renouvellement du manquement ;
2º En cas de renouvellement du manquement dans un délai de six mois à compter de la réception, pour la
seconde fois, de l'avertissement prévu au 1°, la suspension de l'accès au service pour une durée d'un mois ;
3° En cas de renouvellement du manquement dans un délai de six mois à compter de la notification de la
suspension prévue au 2º, la résiliation du contrat d'accès au service. Cette résiliation est assortie de
l'impossibilité, pour l'abonné, de souscrire un nouveau contrat pendant une durée d'un an à compter de sa
notification.
La suspension de l'accès ne donne pas lieu à la suspension du versement de son prix au fournisseur du
service. Les frais de résiliation sont supportés par le titulaire de l'accès.
Art.
C'est de la bonne !
- d'abord une lettre
- puis suspension d'un mois
- puis suspension de un an !
Tu veux faire un héritage en "diamant", c'est l'horreur à gérer.
En gros, tu dois jouer sur les espaces de nom des méthodes pour savoir quel branche tu empruntes lors d'un appel de fonction.
D.qqch si qqch existe dans B et C, il faut dire au compilo lequel tu veux utiliser.
Il y a des docs plus précises sur internet sur ce point.
Par contre, d'un point de vue conception de soft, c'est une pure horreur. Tu ferais mieux de rester dans le cas de classe virtuelle qui représentent des "interfaces" comme en Java.
C'est pas le but du tout de la proposition de Lessig.
Pour lui 98% de la production est abandonné (faillite de l'exploitant, etc...) en quelques dizaines d'années. Le fait de payer oblige à se poser la question sur l'interet de garder l'œuvre protégé si elle n'est pas exploité.
Le problème concerne les oeuvres "déterré" à grand frais (restauration,...) et une fois que tout le boulot est fait, les ayant droits se pointent pour récupérer les gains voire pour se faire dédommager ! C'est ce risque qu'il faut lever.
Une oeuvre encore exploitée n'est pas en péril de disparaitre.
les termes propriété intellectuelle, remplacer ces mots par monopole de reproduction.
Le 1) pourquoi pas. Mais cela ne s'applique qu'au droit d'auteur.
2) L'argument de créativité... Impossible de juger de cela. Le seul point à clarifier, concerne les brevets pour éviter les brevets logiciels et sur le vivant. J'aime bien la définition allemande qui parle d'action sur les forces de la nature et exclue donc tout traitement d'information directement.
Limiter la durée du droit d'auteur à : 50 ans après la publication de l'œuvre ou jusqu'à la mort de l'auteur (le plus long des deux)
3) 50 ans pourquoi pas. Je préfaire la proposition de Lessig qui voulait faire payer un euro symbolique par oeuvre et par an. Si le paiement s'arrète au bout de 5 ou 10 ans, l'oeuvre tombe dans le domaine publique. Cela permet à Disney de continuer d'exploiter Mickey et d'éviter que le reste disparaisse.
Le 6) rejoind le 3). Il me semble qu'il y a déjà une obligation de dépôt de livre à la bibliothèque national.
Le 8) serait plus simplement dis en considérant l'interopérabilité comme un droit supérieur au reste et notamment supérieur au cassage de DRM qui n'ont jamais empêcher le piratage mais permètent le contrôle du marché. Les drm sont en train de mourir d'eux même. Mais cela n'enlève en rien le besoin de pousser l'interopérabilité dans un but d'ouverture des marchés.
9) un auteur peut retirer une oeuvre mais à condition de réparer tout préjudice...
Globalement, je n'aime pas trop le texte. Le droit d'auteur n'est pas la propriété intellectuel. Celle-ci inclue aussi le droit des marques et les brevets.
Par contre, l'idée de faire des contre-proposions est la bienvenue.
" Le Cépamafaute était l'une des cinq techniques essentielles de l'instructeur, qui se pratiquait d'ordinaire par messagerie électronique, par mémos .RTF (Range tes fesses). Cette technique, banalisée par Sun-Tse depuis le Vème siècle, était à la base même de la pratique bureaucratique, fondement de l'E-Empire.[...] Le .RTF, de par sa portée universelle, était une arme redoutable pour cet exercice, tant il est vrai qu'un bon Cépamafaute exige une qualité de présentation que ne saurait offrir un bon texte brut," - http://tnemeth.free.fr/fmbl/linuxsf/8.html
Tu oublis un détail que n'aurais jamais eu le Franc : l'effet de masse.
L'euro nous proteges de beaucoup de choses comme la hausse du prix des matieres premieres. Sans lui, l'inflation serait plus forte et les taux d'interret aussi. Vu la balance du commerce extérieur, on aurait du dévaluer le franc comme au début des années 80. Le pétrole serait a 2e (12F) depuis longtemps. L'alimentation serait encore plus chére. Et je ne parle pas de tout ce qui est importe (électronique grand publique par exemple)
Le seul défaut est justement de retarder encore les changements nécessaires concernant l'équilibre du budget.
Tous les soft populaires en BSD qui ont interressé les boites proprio ont connu des forks dans tous les sens incompatibles entre eux (X11, spice, ...).
C'est un choix de société. Dire que les brevets ne durent que 20ans...
Comme tu le dis, il existe des comptes dans le domaine publique. Par contre, il n'existe pas de film ou de musique. Bref, rien en multimédia. Si il faut attendre 90 ans pour faire une restauration, qui peut seulement croire que cela sera possible ?
Un bouquin, une toile peut vivre 90 ans, pas un support électronique !
Si tu considères que j'ai besoin de cours d'OS, toi, c'est de portables que tu as besoin ! (les trucs à faire de l'os, c'est les sommes de contrôle pour les drm ?)
Le cpu est le plus gros consomateur d'énergie et de loin. Un LCD, c'est en gros 10W, un disque dure 3.5", c'est 15W (donc pas un truc de portable !).
Certe, il reste la carte graphique super sollicité sur un traitement de texte...
Sachant qu'un cpu intel passe de 2 à 30W entre le moment ou il ne fait rien du tout et la pleine charge, je pense que tu dois gagner autour du quart d'heure d'autonomie en plus (surtout avec la vérification orthographique !).
L'hydrazine n'est pas un carburant puisqu'il n'a pas besoin de comburant pour brûler (un peu rare dans l'espace...). Donc, vu sa dangerosité explosive au sol, je pense que si le réservoire se prend un missile, il sautera avec le reste.
Pour que Disney puisse encore tirer de l'argent de Mickey, la loi fait disparaitre 98% du reste des oeuvres. Qui veut prendre le risque de restaurer des enregistrements et de les diffuser sachant que les ayant droits peuvent réparation ?
Combien d'œuvres ne prennent pas la poussière au bout de 50 ans par rapport à ce qui est produit ?
Le risque est de faire disparaitre tout ce qui n'est pas "commercial" car les risques juridiques sont trop important.
[^] # Re: l'interret ?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Comment voler facilement des données chiffrées. Évalué à 3.
"La première sécurité est la liberté"
# l'interret ?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Comment voler facilement des données chiffrées. Évalué à 2.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: héritage multiple en diamant
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au message Autour de l'héritage multiple et des méthodes virtuelles.. Évalué à 2.
Car dans ton cas de Camion+benne+arrimage, j'ai du mal à croire que Camion+benne se comporte toujours exactement comme un camion, comme une benne et comme l'arrimage.
J'ai plus l'impression que c'est juste 3 inclusions.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: "ton" serveur?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Un service mail fiable et non-commercial ?. Évalué à 7.
Si tu veut aller dans ce genre de gestion de système de mail, tu devrais te rapprocher de apinc et leur proposer machine et assistance technique.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Legalité ...
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Appel au boycott de la société Trend Micro par la FSF. Évalué à 10.
Mais il me semble que c'est une légende urbaine bien pratique pour les sociétés en question.
Cela me rappelle un commentaire d'économiste qui s'étonnait du peu de recours au boycotte en France par rapport au US ("ou l'on vote avec son porte-monnaie"), c'était sur BFM, pas vraiment un repère de bisounours bolchévique.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Ca, personnellement ça ne m'inquiète qu'à moitié.
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Ce qui nous pend au nez.. Évalué à 3.
L'intérêt est de te rendre responsable si tu laisses ton wifi ouvert sans log...
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: propositions molles
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Dix propositions pour un droit d'auteur équitable. Évalué à 2.
Le problème se pose avec le projet open-graphics. 2/3 personnes y vont aller de leur poche pour faire fondre les première prototypes. L'investissement est sérieux.
Une fois le truc debugué, si n'importe quel chinois peut arrivé et réutiliser leur design, ils sont morts.
Le problème des brevets est qu'ils sont pensé pour couvrire une invention, sous-entendu un produit (carte à puce, four à micro onde, molécule pharmaceutique...).
Aujourd'hui, un produit est couvert par des dizaines de brevets, et chaque année d'autres brevets s'ajoutent. La technologie ne peut jamais tomber dans le patrimoine publique. Pour les logiciels s'est encore pire, car des milliers de brevets peuvent être concerné.
Les brevets paraissent franchement absurdes en logiciel. Mais il existe d'autres domaines tout aussi miné : l'électronique, par exemple. Des tas de choses triviales sont brevetés.
Déjà si les brevet sur "l'information pure" (découverte du génome, logiciel, processus industriel, business plan) ne peuvent exister, c'est déjà pas mal. La définition allemande avec les forces de la nature devrait être la référence.
"La première sécurité est la liberté"
# interopérabilité ? Nan je plaisantais.
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Ce qui nous pend au nez.. Évalué à 9.
exploitant de service peut, en cas de refus d'accès aux informations essentielles à l'interopérabilité,
demander à la Haute autorité de garantir l'interopérabilité des systèmes et des services existants, dans le
respect des droits des parties, et d'obtenir du titulaire des droits sur la mesure technique les informations
essentielles à cette interopérabilité. A compter de sa saisine, la Haute Autorité dispose d'un délai de deux
mois pour rendre sa décision.
On entend par informations essentielles à l'interopérabilité la documentation technique et les interfaces de
programmation nécessaires pour permettre à un dispositif technique d'accéder, y compris dans un standard
ouvert au sens de l'article 4 de la loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l'économie
numérique, à une ?uvre ou à un objet protégé par une mesure technique et aux informations sous forme
électronique jointes, dans le respect des conditions d'utilisation de l'?uvre ou de l'objet protégé qui ont été
définies à l'origine.
Le titulaire des droits sur la mesure technique ne peut imposer au bénéficiaire de renoncer à la publication
du code source et de la documentation technique de son logiciel indépendant et interopérant que s'il apporte
la preuve que celle-ci aurait pour effet de porter gravement atteinte à la sécurité et à l'efficacité de ladite
mesure technique.
J'avais faillis croire que l'on parlait sérieusement d'interopérabilité...
"La première sécurité est la liberté"
# "Riposte graduée: fort à très fort... !"
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Ce qui nous pend au nez.. Évalué à 4.
l'article L. 336-3, lui enjoignant de respecter cette obligation et l'avertissant des sanctions encourues en cas
de renouvellement du manquement ;
2º En cas de renouvellement du manquement dans un délai de six mois à compter de la réception, pour la
seconde fois, de l'avertissement prévu au 1°, la suspension de l'accès au service pour une durée d'un mois ;
3° En cas de renouvellement du manquement dans un délai de six mois à compter de la notification de la
suspension prévue au 2º, la résiliation du contrat d'accès au service. Cette résiliation est assortie de
l'impossibilité, pour l'abonné, de souscrire un nouveau contrat pendant une durée d'un an à compter de sa
notification.
La suspension de l'accès ne donne pas lieu à la suspension du versement de son prix au fournisseur du
service. Les frais de résiliation sont supportés par le titulaire de l'accès.
Art.
C'est de la bonne !
- d'abord une lettre
- puis suspension d'un mois
- puis suspension de un an !
Mais on continue de payer l'abonnement...
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: héritage multiple en diamant
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au message Autour de l'héritage multiple et des méthodes virtuelles.. Évalué à 2.
C'est la seul utilisation "propre" que j'ai vu de l'héritage multiple. Le problème des diamants devient énorme
"La première sécurité est la liberté"
# jeu video
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au message comment devenir programmeur ? Et quelles études ?. Évalué à 3.
Par contre, il faut aussi une fibre artistique, c'est en gros programmation + game design + graphisme,....
J'imagine aussi qu'il faut être très bon, il y a peu de places par an, et beaucoup de demande.
"La première sécurité est la liberté"
# héritage multiple en diamant
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au message Autour de l'héritage multiple et des méthodes virtuelles.. Évalué à 3.
En gros, tu dois jouer sur les espaces de nom des méthodes pour savoir quel branche tu empruntes lors d'un appel de fonction.
D.qqch si qqch existe dans B et C, il faut dire au compilo lequel tu veux utiliser.
Il y a des docs plus précises sur internet sur ce point.
Par contre, d'un point de vue conception de soft, c'est une pure horreur. Tu ferais mieux de rester dans le cas de classe virtuelle qui représentent des "interfaces" comme en Java.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Le droits d'auteur et le droit des brevets confondus ?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Dix propositions pour un droit d'auteur équitable. Évalué à 5.
Pour lui 98% de la production est abandonné (faillite de l'exploitant, etc...) en quelques dizaines d'années. Le fait de payer oblige à se poser la question sur l'interet de garder l'œuvre protégé si elle n'est pas exploité.
Le problème concerne les oeuvres "déterré" à grand frais (restauration,...) et une fois que tout le boulot est fait, les ayant droits se pointent pour récupérer les gains voire pour se faire dédommager ! C'est ce risque qu'il faut lever.
Une oeuvre encore exploitée n'est pas en péril de disparaitre.
"La première sécurité est la liberté"
# Le droits d'auteur et le droit des brevets confondus ?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Dix propositions pour un droit d'auteur équitable. Évalué à 3.
Le 1) pourquoi pas. Mais cela ne s'applique qu'au droit d'auteur.
2) L'argument de créativité... Impossible de juger de cela. Le seul point à clarifier, concerne les brevets pour éviter les brevets logiciels et sur le vivant. J'aime bien la définition allemande qui parle d'action sur les forces de la nature et exclue donc tout traitement d'information directement.
Limiter la durée du droit d'auteur à : 50 ans après la publication de l'œuvre ou jusqu'à la mort de l'auteur (le plus long des deux)
3) 50 ans pourquoi pas. Je préfaire la proposition de Lessig qui voulait faire payer un euro symbolique par oeuvre et par an. Si le paiement s'arrète au bout de 5 ou 10 ans, l'oeuvre tombe dans le domaine publique. Cela permet à Disney de continuer d'exploiter Mickey et d'éviter que le reste disparaisse.
Le 6) rejoind le 3). Il me semble qu'il y a déjà une obligation de dépôt de livre à la bibliothèque national.
Le 8) serait plus simplement dis en considérant l'interopérabilité comme un droit supérieur au reste et notamment supérieur au cassage de DRM qui n'ont jamais empêcher le piratage mais permètent le contrôle du marché. Les drm sont en train de mourir d'eux même. Mais cela n'enlève en rien le besoin de pousser l'interopérabilité dans un but d'ouverture des marchés.
9) un auteur peut retirer une oeuvre mais à condition de réparer tout préjudice...
Globalement, je n'aime pas trop le texte. Le droit d'auteur n'est pas la propriété intellectuel. Celle-ci inclue aussi le droit des marques et les brevets.
Par contre, l'idée de faire des contre-proposions est la bienvenue.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Il y a une suite...
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche De Microsoft et de sa stratégie de partenariat à l'école. Évalué à 4.
Encore un qui a gagne sa journée...
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Marre !
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal USA-UE : même combat. Évalué à 3.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Troll...
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal USA-UE : même combat. Évalué à 2.
Tu oublis d'ou vient le portugal, l'ireland voir l'espagne ou meme l'italie !
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Souveraineté ?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal USA-UE : même combat. Évalué à 2.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Marre !
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal USA-UE : même combat. Évalué à 4.
Tu oublis un détail que n'aurais jamais eu le Franc : l'effet de masse.
L'euro nous proteges de beaucoup de choses comme la hausse du prix des matieres premieres. Sans lui, l'inflation serait plus forte et les taux d'interret aussi. Vu la balance du commerce extérieur, on aurait du dévaluer le franc comme au début des années 80. Le pétrole serait a 2e (12F) depuis longtemps. L'alimentation serait encore plus chére. Et je ne parle pas de tout ce qui est importe (électronique grand publique par exemple)
Le seul défaut est justement de retarder encore les changements nécessaires concernant l'équilibre du budget.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Marre !
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal USA-UE : même combat. Évalué à 2.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Les mauvaises décisions
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche LLVM 2.2 : Un concurrent pour GCC ?. Évalué à 6.
Tous les soft populaires en BSD qui ont interressé les boites proprio ont connu des forks dans tous les sens incompatibles entre eux (X11, spice, ...).
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Pourquoi désormais je m'en fou.
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Et hop, bientôt le Sonny Bono Act à la française !. Évalué à 2.
Comme tu le dis, il existe des comptes dans le domaine publique. Par contre, il n'existe pas de film ou de musique. Bref, rien en multimédia. Si il faut attendre 90 ans pour faire une restauration, qui peut seulement croire que cela sera possible ?
Un bouquin, une toile peut vivre 90 ans, pas un support électronique !
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Pas mal celle-là
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Ratification ISO d'OOXML sous la loupe de l'Europe. Évalué à 2.
Le cpu est le plus gros consomateur d'énergie et de loin. Un LCD, c'est en gros 10W, un disque dure 3.5", c'est 15W (donc pas un truc de portable !).
Ici, tu vois des expériences avec des conso en idle avec des portables avec écran externe:
http://forum.hardware.fr/hfr/OrdinateursPortables/Transporta(...)
Certe, il reste la carte graphique super sollicité sur un traitement de texte...
Sachant qu'un cpu intel passe de 2 à 30W entre le moment ou il ne fait rien du tout et la pleine charge, je pense que tu dois gagner autour du quart d'heure d'autonomie en plus (surtout avec la vérification orthographique !).
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Quid du produit toxique ?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Shoot the satellite !. Évalué à 3.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Pourquoi désormais je m'en fou.
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Et hop, bientôt le Sonny Bono Act à la française !. Évalué à 10.
Pour que Disney puisse encore tirer de l'argent de Mickey, la loi fait disparaitre 98% du reste des oeuvres. Qui veut prendre le risque de restaurer des enregistrements et de les diffuser sachant que les ayant droits peuvent réparation ?
Combien d'œuvres ne prennent pas la poussière au bout de 50 ans par rapport à ce qui est produit ?
Le risque est de faire disparaitre tout ce qui n'est pas "commercial" car les risques juridiques sont trop important.
"La première sécurité est la liberté"