En effet cela ressemble également à un bug d'injection.
Ceci dit, sauf erreur de ma part (je ne suis pas motoriste), le frein moteur résulte bien plus de « l'inversion » du cycle thermodynamique du moteur plutôt que d'effets d'inertie ou de frottement.
En fonctionnement normal le moteur de voiture reçoit du carburant qui, par combustion, réchauffe le fluide calorifique (air), provoquant son expansion et poussant sur les pistons. En mode frein moteur, l'alimentation en carburant est coupée, l'air n'est pas réchauffé, mais le piston est forcé à se mouvoir par l'inertie du véhicule. Le fluide calorifique subi donc une décompression (plus ou moins importante en fonction de la course des cylindres et de l'étanchéité des soupapes) qui consomme de l'énergie. D'où le freinage.
J'ai remarqué le même genre de comportement sur mon véhicule. Pour éviter de déclencher le problème il me faut appuyer plus fort sur l'accélérateur que je ne le ferais normalement. Mon interprétation du phénomène est que le « starter » automatique décide que le moteur à besoin de tourner plus vite si je me repose trop sur le régime de « point mort » du moteur. Les voitures modernes semblent excessivement encline à privilégier les conduites sportives. On aurait pu préférer laisser le choix du type de conduite aux conducteurs. Mais apparemment c'était encore trop de liberté.
Surtout, il faudrait avoir les reins solides pour se lancer dans un tel projet : considérant que le coût total de possession, pour être pertinent, devrait être évalué sur du moyen long terme, soit au bas mot quinze ans afin d'obtenir des statistiques raisonnables quant à la fiabilité, je me demande quel commercial serait assez fou pour se lancer dans une telle aventure sans y être contraint ?
Personnellement mes sentiments étaient assez ambiguë sur le sujet pour la raison suivante : d'un côté tous les problèmes de cloisonnement de marché, de sécurité par l'obscurité, de monopole, de restriction des libertés, d'augmentation excessive des coûts ; et de l'autre des promesses mirifiques d'économie de carburant grâce aux merveilles de l'électronique et des ordinateurs de bords. Et comme il faut bien se résoudre à le constater, les états (le notre en tout cas) ont perdu toute capacité à imposer des normes pour le bien des citoyens, je voyais la non ouverture de l'électronique embarquée et de ses logiciels comme un mal nécessaire.
Peut-être devrais-je avoir honte d'avoir pondéré l'écologie au-dessus de la liberté. En tous cas j'en reviens quelque peu ayant changé récemment de voiture. Les deux modèles sont physiquement assez comparable : moteurs de 1 l, essence, moins de neuf quintaux sur la balance, etc. L'ancien était supposé avoir une consommation mixte de 7 l aux 100 km. Le tout sans électronique embarquée. Le nouveau, à la pointe de la technologie et sans doute de la fermeture, est censé atteindre 4,2 l dans les mêmes conditions (cycle ECE-15). Sans croire qu'il serait possible des faire décroître ma consommation de 28/70 ème, je m'attendais tout de même à un léger mieux. En fait, le nouveau véhicule semble un peu plus gourmand que son prédécesseur (constatations faites sur la base des relevés kilométriques et des factures de carburant) !
Conclusion : si mon cœur balançait quand, sur la base de tests officiels, il semblait y avoir un avantage écologique lié à l'électronique, j'ai de plus en plus l'impression que ces gadgets ne sont effectivement destinés qu'à la création de monopoles pour le plus grand mal des clients.
Mais physiquement réaliste. À terme — et à moins qu'un bot ne réalise l'exploit de s'affranchir du second principe de la thermodynamique — Wikipedia devrait finir dans un merveilleux chaos.
Je me permettais juste de préciser votre propos pour éviter ce qui me semblait pouvoir être un quiproquo potentiel … pas plus. Aurais-je laissé entendre que je vous contredisais ?
Mes avis (non infirmés par votre lien) que le sens premier de « arm » en anglais, qu'il s'agisse de singulier comme de pluriel est bien celui de bras. Si j'en crois le dictionnaire cité, le sens « armes » n'est admis que lors de l'emploi au pluriel ; et non pas le seul sens de ce mot au pluriel. Si je ne m'abuse « arms » au sens de « weapons » pourrait n'être qu'une sorte de reliquat de la colonisation de la grande Bretagne par notre bon prince Guillaume…
D'aucuns peuvent certes regretter qu'actuellement l'anglais soit la langue international par excellence. Mais la question du choix se pose-t-elle vraiment ? Qui a jamais entendu dire que des problématiques de cette envergure se soient jamais réglée sur la base de réflexions ou de raisonnement. En la matière n'est-on pas plutôt nécessairement amené à subir une réalité plutôt qu'à la choisir ? Je serais fort curieux d'apprendre qu'un jour des gouvernements (ou autre puissances) aient le pouvoir de sélectionner et d'imposer l'usage d'une langue internationale sur des critères autres que ceux qui semblent avoir toujours prévalu en la matière : la constatation d'un état de fait résultant des décisions individuelles de la myriade d'acteurs participants aux échanges.
Et peut-être qu'après tout, cela n'est pas plus mal ? Sommes-toutes, même si les arguments des uns et des autres peuvent paraître parfaitement pertinents, si l'intelligence collective opte pour tel ou tel solution différente de celle préférée par les savants peut-être a-t-elle des raisons fort valide et bien supérieures parce que conditionnées par l'expérience ? Ceci étant dit sans toutefois exclure définitivement qu'il puisse être pertinent et utile de travailler à améliorer la solution proposée par la sélection naturelle.
Bon ben milles excuses alors. Il m'avait d'abord semblé qu'un discours aussi hyperbolique (le mien) avait un caractère outrageusement ironique, certes implicite, mais évident. Puis voyant que le sens de mon propos ne semblait pas forcément transparaître de manière fulgurante pour tout les chalands et autres mollusques bivalves chevronnés, je me suis permis une note explicite ; de crainte de quelque méprise pouvant choquer les âmes sensibles.
Visiblement, même en le précisant en toute lettre, il y a encore des gens pour qui le côté ironique de mes commentaires précédant ne transparaît pas comme une évidence. Alors M. Zebra3, veuillez agréer mes excuses les plus plates. Je réitère : mon propos se voulait ironique ; une manière de signifier un sens différent, voire contraire, de ce qui pourrait être lu au premier degré.
Un exemple pour éclairer plus avant le quiproquo apparent. Il ne me semble pas que M. Assange soit un illuminé nocif. Bien au contraire je me sens une forte sympathie, et j'adhère sciemment à ce que je connais de son combat pour la révélation de secrets variés — comme devrait le faire tout républicain qui se respecte, à mon avis. Dois-je reprendre chacun de mes propos pour les rédiger au premier degré ? Ou bien cet exemple est-il suffisamment clair ? Ou suis-je encore dans l'incompréhension la plus total de ce que mes commentaire peuvent avoir de choquant ?
Quoique je puisse supposer que je vous lise mal et que j’interprète la tonalité de votre réponse d'une manière erronée, je me permet de préciser (ocazou) que nombre de mes phrases qui précèdent auraient — dans mon esprit — aisément supporté l'emploi de points d'ironie ; nonobstant que la grande réforme de l'orthographe ait laissé ce diacritique original au rang des fantaisies d'auteur. Quoiqu'il en soit, je vous accorde bien volontiers qu'il est plus que salutaire d'ânonner explicitement des principes comme ceux que vous défendez ci-avant. Au cas où un décideur pressé venait à extraire un morceau de ces discussions …
Peut-être faudrait-il tout de même éviter que trop de gens soient au courant de ce qu'est réellement un document informatique en publiant ce genre de nouvelles ? Grâce à l'incompétence de quelques hauts fonctionnaires ici ou là, ce sont des informations parfois précieuses qui peuvent être révélées à qui de droit.
Évidemment en 2011 de sinistres râleurs pourraient s'offusquer qu'il soit possible d'occuper un emploi^W^W^Wêtre titulaire d'une charge requérant supposément d'extraordinaires qualifications et ignorer ce que même des gamins connaissent sur le monde actuel[*]. Mais les premiers ne sont-ils pas qu'un ramassis de rabats-joie insignifiants ?
Avec un tel titre n'a-t-on pas l'impression d'une alternative entre Charybde et Scylla ? Heureusement que le texte précise :
« Technopol soutient toutes les alternatives à la répression […] »
malencontreusement tempéré par :
« […] et les nouveaux mode des financement de la création. »
qui semble annoncer un parti pris pour l'ingérence des puissants dans les esprits.
Ne pourrait-on pas simplement laisser la culture se libérer des appareils d'états ? Ne faut-il pas être naïfs pour croire que la culture mourrait si ses modes de financement actuels disparaissait ? N'y a-t-il donc pas un peu partout des musées qui témoignent des développements culturels de civilisations fort différentes de la notre ?
Il me semble que de tous temps l'objectif réel des financiers de la culture, et clairement dévoilée dans des expressions comme « [vendre à] coca-cola du temps de cerveau disponible» ou « PANEMETCIRCENSES ». Et sans prétendre être un expert ou même quelqu'un de cultivé et d'informé, mon impression tenace est que tous ces systèmes centralisés et massifs de financement de la culture/divertissement sont franchement pervers.
D'aucuns affirmeront que sans eux le patrimoine de l'humanité se verrait assurément amputé de l'ineffable Transformers XIX, ou de l'inouï star academy XXIV, ou encore du divin un homme et son chien. Certes ! Mais qui sait à quoi nous aurions eu droit à la place ?
Pour ne pas paraître trop extrémiste, je précise que : D'une part ce qui me chagrine c'est que nécessairement le financement centralisés favorisent les grands au dépends des petits, les détournements au dépend de l'efficacité ; par exemple on paye un supplément (symbolique) pour avoir le droit de faire nos photos ou d'enregistrer nos œuvres afin de le donner à de grosses sociétés. Et d'autre part la culture me semble devoir reposer essentiellement sur ce qui se trouve dans la tête des vivants ; ainsi pour moi l'activité sensée de l'état en matière de culture devrait plus être dans la libération/diffusion des œuvres (bibliothèques, …) et la formation du quidam (conservatoires, …) que dans la sélection artistique (« vous en reprendriez bien encore un peu …).
connaissant tes opinions -> connaissant ton discours
Non ?
De la pensée à sa forme exprimée, puis de la forme perçue à l'idée que l'on se fait de l'originale, la distance n'est-elle pas souvent longue ? À mon avis elle est en tout cas suffisante pour qu'il soit souvent nécessaire de s'abstenir des commentaires discourtois et peu constructifs. Un « moi c'est exactement l'inverse » n'aurait-il pas été infiniment plus pertinent sans cette introduction ?
Est-ce que coreutils et autres programmes de Gnu ne seraient pas uniquement une argument employé pour défendre l'utilisation de la terminologie GNU/Linux. Alors que l'objectif derrière la promotion de cette dénomination serait bien politique : faire connaître la philosophie du logiciel libre ?
Bien entendu on peut concevoir que RMS ai les chevilles et la tête enflées et qu'il souhaite voir son bébé mentionné à tout va. Quoique. Mais ne pourrait-on pas aussi imaginer que bien plus qu'imposer un nom et un usage, ce qui est visé par les gens qui prétendent qu'il convient de parler de GNU/Linux, c'est l'accroissement de notoriété du mouvement du logiciel libre et de ses philosophies ? Objectif qui devient accessibles par cette stratégie grâce aux contributions de chacun : partisans comme adversaire.
Ainsi, une personne outragée par la suggestion d'employer le terme GNU/Linux — et percevant celle-ci comme une sujétion — pourrait, par exemple, lancer une discussion sur le sujet dans un endroit fréquenté du cyberespace. Là, de nombreux chalands auraient l'occasion de discuter du sujet. Et qui sait peut-être ce non-évènement pourrait-il être l'occasion pour quelques quidams d'en apprendre plus quant à l'importance des libertés des utilisateurs de logiciels.[*]
[*] Toute ressemblance avec des faits ou des personnages réels serait purement fortuite. Cette exemple n'étant qu'une pure fiction (réutilisable et adaptable par qui le souhaite grâce à la gauche d'auteur).
Vous : « Je respecte énormément son travail et les avancées qu'il a apporté. »
monsieur G. : « Ce ne sont pas les outils en eux-mêmes qui comptent, ni leur efficacité intrinsèque, c'est la philosophie sous-jacente qui est importante[…] Et ça c'est l'oeuvre de Stallman […] »
Vous : « Je n'avais pas vu le volet à priori philosophique »
Du coup, soit votre réponse paraît incohérente, soit il eu probablement fallu écrire quelque chose comme « Désormais je respecte énormément son travail et les avancées qu'il a apportées. » Puisqu'apparemment vous n'aviez pas compris en quoi consistait l'œuvre de RMS au moment de la rédaction de votre journal. Et par ailleurs, même ainsi et à la lecture de votre dernier paragraphe cela paraît une posture purement rhétorique ? Je me trompe ?
Vous n'êtes pas le seul à mal supporter le caractère ombrageux de RMS. Même des gens qui ne l'ont jamais rencontré, et sans avoir échangé avec lui le moindre propos arrivent apparemment à le prendre en grippe. Néanmoins, ses détracteurs se donnent souvent la peine de critiques plus profondes en commençant déjà par avoir une bonne appréhension des positions du personnage. Une phrase comme
« Cette considération est très technique, elle s'attache à défendre le logiciel, mais pas l'utilisateur. Le défendre contre quoi ? Contre la possibilité de penser différemment, d'utiliser Linux à des fins que lui […] »
ne semble même pas du niveau d'un troll ; encore moins d'un critique. Peut-être avez-vous été gravement froissé par l'attitude de quelqu'un. Mais avant de régler des comptes sur le web, il est souvent de bon ton de relire plusieurs fois son propos ; afin de laisser le temps à la tension de retomber. Une version moderne du tourner sept fois sa langue dans sa bouche en quelque sorte.
Ici, vous ne l'ignorez sans doute pas, vous risquez de rencontrer de nombreuses personnes à qui les libertés Gnu paraissent dignes d'être défendues. En tous cas, bienvenue dans le monde de la politique où même les campagnes de communication pour les meilleures idées peuvent vous attirer des inimitiés tenaces.
Est-il juridiquement correct d'utiliser le terme licence pour décrire l'usage fait par un auteur de son propre travail ? Il me semblait que ce mot s'employait plutôt pour décrire des droits accordés à autrui par les ayant-droits ?
En l'occurrence c'était le niveau rocks. Le 3 ? De toutes façons il me semble qu'il n'est pas nécessairement pertinent d'augmenter encore le niveau de difficulté. Cela rendrait le jeu peu accessible. Et comme rapidement le joueur n'a plus aucune action possible, et même bien avant cela arrive l'instant où il ne reste plus aucun choix stratégique à réaliser, le mieux serait peut-être d'arrêter la partie après un certain nombre de rounds ? À moins d'enrichir les possibilités côté joueur ?
digression :
Il me semblait qu'il était possible d'envoyer un message privé à un autre utilisateur sur l'ancienne version de linuxfr ? Mais je suis incapable de retrouver cette possibilité !
Finalement j'avais tort : en prenant la version git du jour d'hui — qui rend les choses sensiblement plus compliquée — après 150 tours tous strictement identiques l'algorithme a fini par se débloquer au 208ème. Les logs indiquent tout de même zéro survivant de l'étape 46 à la 191ème. Peut-être est-ce en partie ce qui explique que l'algorithme ai eu tant de mal a trouver une solution ?
Toute technique permettant de dépasser le niveau 50 est à considérer comme un bug :P
Alors j'en ai trouvé un de très sérieux. Dans tous mes essais, soit je ne dépasse pas les niveau 10 à 15, soit plus aucun ennemi n'arrive à franchir mes défenses et ceci indéfiniment. En général, les chiffres qui s'affichent sur la droite sont toujours les mêmes. L'algorithme semblant hésité entre deux solutions sensiblement équivalentes de mon point de vue. Sa se termine avec le terrain rempli de tours et une coupure de courant, un bug de l'interface ou un arrêt manuel du programme. Il faudrait peut-être envisager de limiter le niveau qui peut être atteint ?
Un des problèmes que j'ai rencontré est la dépendance (apparente ?) du jeu à la fréquence du processeur. Cela semblait quasiment injouable quand je laissais les cœurs sur "ondemand". En forçant un cœur à 3 GHz, le jeu a soudain gagné grandement en jouabilité. Je me demande si l'issu d'un round dépend ou non de la capacité de calcul ou d'affichage de la machine ?
Enfin, une dernière remarque : si j'ai pris beaucoup de plaisir à jouer, il me semble que le problème que l'algorithme tente d'optimiser et les solutions qu'il choisi ne sont pas assez claire pour le joueur. Peut-être faudrait-il ralentir le rythme pour laisser plus de temps d'observation, donner plus d'informations au joueur, etc. De la sorte cela permettrait de jouer vraiment avec l'algorithme pour essayer de le piéger. Tel que, si je n'avais pas lu la nouvelle j'aurais seulement eu l'impression d'affronter des vagues d'adversaires aléatoires de plus en plus puissants …
de quelqu'un qui n'a pas joué :
Est-ce que l'emploi d'un IA utilisant un algorithme génétique pose les mêmes problèmes que l'évolution réelle ? C'est-à-dire optimisation du comportement pour une situation, au dépend de la polyvalence ? Au risque qu'un joueur malin choisisse volontairement de changer radicalement de comportement pour balayer des adversaires trop spécialisé. Un peu comme ce qui se produit quand on introduit des rats dans une île peuplée uniquement d'oiseaux ?
Ils me semble que dans le cas des contrefaçons dangereuses — genre faux médicament — il n'est pas utile indispensable d'invoquer les infractions à la propriété intellectuelle pour intenter des poursuites. Par exemple, l'empoisonnement, ou la mise en danger d'autrui paraissent des motifs plus légitimes.
Le non-achat de produit de divertissement nuit gravement à une certaine économie. Il est donc naturel que ce délit soit strictement réprimé. À l'opposée les actes de cruautés envers les animaux ont un bilan plus mitigé. D'un coté l'animal ne consommera plus sa pâtée (nuisance) mais de l'autre il nécessitera peut-être des soins considérables (positif, un peu comme le fait de briser des vitres, de brûler des voitures, des plastiquer des villas …).
Les citoyens un peu conscients des graves enjeux économiques liés aux crises ininterrompues depuis la fin des années soixante réclament unanimement des peines plus sévères à l'encontre des flibustiers qui canonnent l'économie culturelles par le manque de dynamisme de leur consommation. Allons même plus loin, condamnons même les gens qui n'achètent pas suffisamment de supports d'œuvres soumises au droit d'auteur. Et dans un même élan, instaurons une (ou des) gabelle(s) pour que chacun contribue à la création mensuellement.
[^] # Re: bypasser les sécuriter et réecrire son propre firmware ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Doit-on hacker les voitures ?. Évalué à 2.
En effet cela ressemble également à un bug d'injection.
Ceci dit, sauf erreur de ma part (je ne suis pas motoriste), le frein moteur résulte bien plus de « l'inversion » du cycle thermodynamique du moteur plutôt que d'effets d'inertie ou de frottement.
En fonctionnement normal le moteur de voiture reçoit du carburant qui, par combustion, réchauffe le fluide calorifique (air), provoquant son expansion et poussant sur les pistons. En mode frein moteur, l'alimentation en carburant est coupée, l'air n'est pas réchauffé, mais le piston est forcé à se mouvoir par l'inertie du véhicule. Le fluide calorifique subi donc une décompression (plus ou moins importante en fonction de la course des cylindres et de l'étanchéité des soupapes) qui consomme de l'énergie. D'où le freinage.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: 4L ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Doit-on hacker les voitures ?. Évalué à 0.
Je crains que les progrès des moteurs (essence en tous cas) ces trente dernières années ne soient pas à la hauteur de ce que veulent bien laisser croire les tests standardisés. Pour plus de détails, conférez ce petit témoignage : https://linuxfr.org/users/vincent14/journaux/doit-on-hacker-les-voitures#comment-1280596
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: bypasser les sécuriter et réecrire son propre firmware ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Doit-on hacker les voitures ?. Évalué à 3.
J'ai remarqué le même genre de comportement sur mon véhicule. Pour éviter de déclencher le problème il me faut appuyer plus fort sur l'accélérateur que je ne le ferais normalement. Mon interprétation du phénomène est que le « starter » automatique décide que le moteur à besoin de tourner plus vite si je me repose trop sur le régime de « point mort » du moteur. Les voitures modernes semblent excessivement encline à privilégier les conduites sportives. On aurait pu préférer laisser le choix du type de conduite aux conducteurs. Mais apparemment c'était encore trop de liberté.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Open source
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Doit-on hacker les voitures ?. Évalué à 3.
Surtout, il faudrait avoir les reins solides pour se lancer dans un tel projet : considérant que le coût total de possession, pour être pertinent, devrait être évalué sur du moyen long terme, soit au bas mot quinze ans afin d'obtenir des statistiques raisonnables quant à la fiabilité, je me demande quel commercial serait assez fou pour se lancer dans une telle aventure sans y être contraint ?
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: bonne fausse mauvaise idée
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Doit-on hacker les voitures ?. Évalué à 8.
Personnellement mes sentiments étaient assez ambiguë sur le sujet pour la raison suivante : d'un côté tous les problèmes de cloisonnement de marché, de sécurité par l'obscurité, de monopole, de restriction des libertés, d'augmentation excessive des coûts ; et de l'autre des promesses mirifiques d'économie de carburant grâce aux merveilles de l'électronique et des ordinateurs de bords. Et comme il faut bien se résoudre à le constater, les états (le notre en tout cas) ont perdu toute capacité à imposer des normes pour le bien des citoyens, je voyais la non ouverture de l'électronique embarquée et de ses logiciels comme un mal nécessaire.
Peut-être devrais-je avoir honte d'avoir pondéré l'écologie au-dessus de la liberté. En tous cas j'en reviens quelque peu ayant changé récemment de voiture. Les deux modèles sont physiquement assez comparable : moteurs de 1 l, essence, moins de neuf quintaux sur la balance, etc. L'ancien était supposé avoir une consommation mixte de 7 l aux 100 km. Le tout sans électronique embarquée. Le nouveau, à la pointe de la technologie et sans doute de la fermeture, est censé atteindre 4,2 l dans les mêmes conditions (cycle ECE-15). Sans croire qu'il serait possible des faire décroître ma consommation de 28/70 ème, je m'attendais tout de même à un léger mieux. En fait, le nouveau véhicule semble un peu plus gourmand que son prédécesseur (constatations faites sur la base des relevés kilométriques et des factures de carburant) !
Conclusion : si mon cœur balançait quand, sur la base de tests officiels, il semblait y avoir un avantage écologique lié à l'électronique, j'ai de plus en plus l'impression que ces gadgets ne sont effectivement destinés qu'à la création de monopoles pour le plus grand mal des clients.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Faux positif
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal wikipedia: même les bots sont des Zélotes et ne veulent pas de vos contributions. Évalué à 1.
Oui, j'oubliais de préciser ce pré-supposé fondamental : pour mon commentaire précédant l'univers est considéré comme un système clos.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Faux positif
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal wikipedia: même les bots sont des Zélotes et ne veulent pas de vos contributions. Évalué à 4.
Mais physiquement réaliste. À terme — et à moins qu'un bot ne réalise l'exploit de s'affranchir du second principe de la thermodynamique — Wikipedia devrait finir dans un merveilleux chaos.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Dans disarmament, il n'y a pas weapon !
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Est‐il démocratique, adapté et rentable que l’anglais soit la langue internationale ?. Évalué à 2.
Je me permettais juste de préciser votre propos pour éviter ce qui me semblait pouvoir être un quiproquo potentiel … pas plus. Aurais-je laissé entendre que je vous contredisais ?
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Dans disarmament, il n'y a pas weapon !
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Est‐il démocratique, adapté et rentable que l’anglais soit la langue internationale ?. Évalué à 2.
Mes avis (non infirmés par votre lien) que le sens premier de « arm » en anglais, qu'il s'agisse de singulier comme de pluriel est bien celui de bras. Si j'en crois le dictionnaire cité, le sens « armes » n'est admis que lors de l'emploi au pluriel ; et non pas le seul sens de ce mot au pluriel. Si je ne m'abuse « arms » au sens de « weapons » pourrait n'être qu'une sorte de reliquat de la colonisation de la grande Bretagne par notre bon prince Guillaume…
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
# La question du choix
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Est‐il démocratique, adapté et rentable que l’anglais soit la langue internationale ?. Évalué à 7.
D'aucuns peuvent certes regretter qu'actuellement l'anglais soit la langue international par excellence. Mais la question du choix se pose-t-elle vraiment ? Qui a jamais entendu dire que des problématiques de cette envergure se soient jamais réglée sur la base de réflexions ou de raisonnement. En la matière n'est-on pas plutôt nécessairement amené à subir une réalité plutôt qu'à la choisir ? Je serais fort curieux d'apprendre qu'un jour des gouvernements (ou autre puissances) aient le pouvoir de sélectionner et d'imposer l'usage d'une langue internationale sur des critères autres que ceux qui semblent avoir toujours prévalu en la matière : la constatation d'un état de fait résultant des décisions individuelles de la myriade d'acteurs participants aux échanges.
Et peut-être qu'après tout, cela n'est pas plus mal ? Sommes-toutes, même si les arguments des uns et des autres peuvent paraître parfaitement pertinents, si l'intelligence collective opte pour tel ou tel solution différente de celle préférée par les savants peut-être a-t-elle des raisons fort valide et bien supérieures parce que conditionnées par l'expérience ? Ceci étant dit sans toutefois exclure définitivement qu'il puisse être pertinent et utile de travailler à améliorer la solution proposée par la sélection naturelle.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Évitez de l'ébruiter
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Rapport PDF de l’Hadopi, ou comment (ne pas) masquer une adresse IP. Évalué à 3.
Bon ben milles excuses alors. Il m'avait d'abord semblé qu'un discours aussi hyperbolique (le mien) avait un caractère outrageusement ironique, certes implicite, mais évident. Puis voyant que le sens de mon propos ne semblait pas forcément transparaître de manière fulgurante pour tout les chalands et autres mollusques bivalves chevronnés, je me suis permis une note explicite ; de crainte de quelque méprise pouvant choquer les âmes sensibles.
Visiblement, même en le précisant en toute lettre, il y a encore des gens pour qui le côté ironique de mes commentaires précédant ne transparaît pas comme une évidence. Alors M. Zebra3, veuillez agréer mes excuses les plus plates. Je réitère : mon propos se voulait ironique ; une manière de signifier un sens différent, voire contraire, de ce qui pourrait être lu au premier degré.
Un exemple pour éclairer plus avant le quiproquo apparent. Il ne me semble pas que M. Assange soit un illuminé nocif. Bien au contraire je me sens une forte sympathie, et j'adhère sciemment à ce que je connais de son combat pour la révélation de secrets variés — comme devrait le faire tout républicain qui se respecte, à mon avis. Dois-je reprendre chacun de mes propos pour les rédiger au premier degré ? Ou bien cet exemple est-il suffisamment clair ? Ou suis-je encore dans l'incompréhension la plus total de ce que mes commentaire peuvent avoir de choquant ?
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Évitez de l'ébruiter
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Rapport PDF de l’Hadopi, ou comment (ne pas) masquer une adresse IP. Évalué à -3.
Sur la citation de Julian Assange : un tel discours n'a rien d'étonnant de la part d'un énergumène semi mystique de cet acabit. C'est typique et apparemment cela ne date pas d'hier. Par exemple, un autre personnage historique, que d'aucuns classeraient dans la même catégorie que J. A., avait l'air porteur d'une opinion tout aussi élevée des petites omissions de vérités, cachotteries, et autres entorses discrètes au droit et à la justice.
Quoique je puisse supposer que je vous lise mal et que j’interprète la tonalité de votre réponse d'une manière erronée, je me permet de préciser (ocazou) que nombre de mes phrases qui précèdent auraient — dans mon esprit — aisément supporté l'emploi de points d'ironie ; nonobstant que la grande réforme de l'orthographe ait laissé ce diacritique original au rang des fantaisies d'auteur. Quoiqu'il en soit, je vous accorde bien volontiers qu'il est plus que salutaire d'ânonner explicitement des principes comme ceux que vous défendez ci-avant. Au cas où un décideur pressé venait à extraire un morceau de ces discussions …
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
# Évitez de l'ébruiter
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Rapport PDF de l’Hadopi, ou comment (ne pas) masquer une adresse IP. Évalué à 6.
Peut-être faudrait-il tout de même éviter que trop de gens soient au courant de ce qu'est réellement un document informatique en publiant ce genre de nouvelles ? Grâce à l'incompétence de quelques hauts fonctionnaires ici ou là, ce sont des informations parfois précieuses qui peuvent être révélées à qui de droit.
Évidemment en 2011 de sinistres râleurs pourraient s'offusquer qu'il soit possible d'occuper un emploi^W^W^Wêtre titulaire d'une charge requérant supposément d'extraordinaires qualifications et ignorer ce que même des gamins connaissent sur le monde actuel[*]. Mais les premiers ne sont-ils pas qu'un ramassis de rabats-joie insignifiants ?
[*] une url prise au hasard sur google parmi les relais d'agence de presse : http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/hacker-ouvert/20110808.OBS8273/cyfi-hackeuse-de-genie-de-10-ans.html
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
# Affligeant
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Conférence Hadopi Versus Licence Globale : quels enjeux ?. Évalué à 10.
Avec un tel titre n'a-t-on pas l'impression d'une alternative entre Charybde et Scylla ? Heureusement que le texte précise :
malencontreusement tempéré par :
qui semble annoncer un parti pris pour l'ingérence des puissants dans les esprits.
Ne pourrait-on pas simplement laisser la culture se libérer des appareils d'états ? Ne faut-il pas être naïfs pour croire que la culture mourrait si ses modes de financement actuels disparaissait ? N'y a-t-il donc pas un peu partout des musées qui témoignent des développements culturels de civilisations fort différentes de la notre ?
Il me semble que de tous temps l'objectif réel des financiers de la culture, et clairement dévoilée dans des expressions comme « [vendre à] coca-cola du temps de cerveau disponible» ou « PANEMETCIRCENSES ». Et sans prétendre être un expert ou même quelqu'un de cultivé et d'informé, mon impression tenace est que tous ces systèmes centralisés et massifs de financement de la culture/divertissement sont franchement pervers.
D'aucuns affirmeront que sans eux le patrimoine de l'humanité se verrait assurément amputé de l'ineffable Transformers XIX, ou de l'inouï star academy XXIV, ou encore du divin un homme et son chien. Certes ! Mais qui sait à quoi nous aurions eu droit à la place ?
Pour ne pas paraître trop extrémiste, je précise que : D'une part ce qui me chagrine c'est que nécessairement le financement centralisés favorisent les grands au dépends des petits, les détournements au dépend de l'efficacité ; par exemple on paye un supplément (symbolique) pour avoir le droit de faire nos photos ou d'enregistrer nos œuvres afin de le donner à de grosses sociétés. Et d'autre part la culture me semble devoir reposer essentiellement sur ce qui se trouve dans la tête des vivants ; ainsi pour moi l'activité sensée de l'état en matière de culture devrait plus être dans la libération/diffusion des œuvres (bibliothèques, …) et la formation du quidam (conservatoires, …) que dans la sélection artistique (« vous en reprendriez bien encore un peu …).
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[^] # Re: GNU
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Un Linux vaut-il mieux qu'un GNU/Linux ?. Évalué à 2.
Non ?
De la pensée à sa forme exprimée, puis de la forme perçue à l'idée que l'on se fait de l'originale, la distance n'est-elle pas souvent longue ? À mon avis elle est en tout cas suffisante pour qu'il soit souvent nécessaire de s'abstenir des commentaires discourtois et peu constructifs. Un « moi c'est exactement l'inverse » n'aurait-il pas été infiniment plus pertinent sans cette introduction ?
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[^] # Re: GNU
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Un Linux vaut-il mieux qu'un GNU/Linux ?. Évalué à 8.
Est-ce que coreutils et autres programmes de Gnu ne seraient pas uniquement une argument employé pour défendre l'utilisation de la terminologie GNU/Linux. Alors que l'objectif derrière la promotion de cette dénomination serait bien politique : faire connaître la philosophie du logiciel libre ?
Bien entendu on peut concevoir que RMS ai les chevilles et la tête enflées et qu'il souhaite voir son bébé mentionné à tout va. Quoique. Mais ne pourrait-on pas aussi imaginer que bien plus qu'imposer un nom et un usage, ce qui est visé par les gens qui prétendent qu'il convient de parler de GNU/Linux, c'est l'accroissement de notoriété du mouvement du logiciel libre et de ses philosophies ? Objectif qui devient accessibles par cette stratégie grâce aux contributions de chacun : partisans comme adversaire.
Ainsi, une personne outragée par la suggestion d'employer le terme GNU/Linux — et percevant celle-ci comme une sujétion — pourrait, par exemple, lancer une discussion sur le sujet dans un endroit fréquenté du cyberespace. Là, de nombreux chalands auraient l'occasion de discuter du sujet. Et qui sait peut-être ce non-évènement pourrait-il être l'occasion pour quelques quidams d'en apprendre plus quant à l'importance des libertés des utilisateurs de logiciels.[*]
[*] Toute ressemblance avec des faits ou des personnages réels serait purement fortuite. Cette exemple n'étant qu'une pure fiction (réutilisable et adaptable par qui le souhaite grâce à la gauche d'auteur).
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[^] # Re: GNU
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Un Linux vaut-il mieux qu'un GNU/Linux ?. Évalué à 10.
Du coup, soit votre réponse paraît incohérente, soit il eu probablement fallu écrire quelque chose comme « Désormais je respecte énormément son travail et les avancées qu'il a apportées. » Puisqu'apparemment vous n'aviez pas compris en quoi consistait l'œuvre de RMS au moment de la rédaction de votre journal. Et par ailleurs, même ainsi et à la lecture de votre dernier paragraphe cela paraît une posture purement rhétorique ? Je me trompe ?
Vous n'êtes pas le seul à mal supporter le caractère ombrageux de RMS. Même des gens qui ne l'ont jamais rencontré, et sans avoir échangé avec lui le moindre propos arrivent apparemment à le prendre en grippe. Néanmoins, ses détracteurs se donnent souvent la peine de critiques plus profondes en commençant déjà par avoir une bonne appréhension des positions du personnage. Une phrase comme
ne semble même pas du niveau d'un troll ; encore moins d'un critique. Peut-être avez-vous été gravement froissé par l'attitude de quelqu'un. Mais avant de régler des comptes sur le web, il est souvent de bon ton de relire plusieurs fois son propos ; afin de laisser le temps à la tension de retomber. Une version moderne du tourner sept fois sa langue dans sa bouche en quelque sorte.
Ici, vous ne l'ignorez sans doute pas, vous risquez de rencontrer de nombreuses personnes à qui les libertés Gnu paraissent dignes d'être défendues. En tous cas, bienvenue dans le monde de la politique où même les campagnes de communication pour les meilleures idées peuvent vous attirer des inimitiés tenaces.
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[^] # Re: CC mais pas libre
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message 2012: option "Informatique et sciences du numérique" en terminale S. Évalué à 3.
Est-il juridiquement correct d'utiliser le terme licence pour décrire l'usage fait par un auteur de son propre travail ? Il me semblait que ce mot s'employait plutôt pour décrire des droits accordés à autrui par les ayant-droits ?
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[^] # Re: Test (spoil)
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche GeneticInvasion : des algorithmes évolutionnaires pour un meilleur jeu. Évalué à 2.
En l'occurrence c'était le niveau rocks. Le 3 ? De toutes façons il me semble qu'il n'est pas nécessairement pertinent d'augmenter encore le niveau de difficulté. Cela rendrait le jeu peu accessible. Et comme rapidement le joueur n'a plus aucune action possible, et même bien avant cela arrive l'instant où il ne reste plus aucun choix stratégique à réaliser, le mieux serait peut-être d'arrêter la partie après un certain nombre de rounds ? À moins d'enrichir les possibilités côté joueur ?
digression :
Il me semblait qu'il était possible d'envoyer un message privé à un autre utilisateur sur l'ancienne version de linuxfr ? Mais je suis incapable de retrouver cette possibilité !
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[^] # Re: Test (spoil)
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche GeneticInvasion : des algorithmes évolutionnaires pour un meilleur jeu. Évalué à 2.
Finalement j'avais tort : en prenant la version git du jour d'hui — qui rend les choses sensiblement plus compliquée — après 150 tours tous strictement identiques l'algorithme a fini par se débloquer au 208ème. Les logs indiquent tout de même zéro survivant de l'étape 46 à la 191ème. Peut-être est-ce en partie ce qui explique que l'algorithme ai eu tant de mal a trouver une solution ?
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[^] # Re: Test (spoil)
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche GeneticInvasion : des algorithmes évolutionnaires pour un meilleur jeu. Évalué à 2.
J'ai pris la version d'hier avec git …
Mon processeur est un phenom X4, avec une puce graphique intégrée.
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[^] # Re: Test (spoil)
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche GeneticInvasion : des algorithmes évolutionnaires pour un meilleur jeu. Évalué à 4.
Alors j'en ai trouvé un de très sérieux. Dans tous mes essais, soit je ne dépasse pas les niveau 10 à 15, soit plus aucun ennemi n'arrive à franchir mes défenses et ceci indéfiniment. En général, les chiffres qui s'affichent sur la droite sont toujours les mêmes. L'algorithme semblant hésité entre deux solutions sensiblement équivalentes de mon point de vue. Sa se termine avec le terrain rempli de tours et une coupure de courant, un bug de l'interface ou un arrêt manuel du programme. Il faudrait peut-être envisager de limiter le niveau qui peut être atteint ?
Un des problèmes que j'ai rencontré est la dépendance (apparente ?) du jeu à la fréquence du processeur. Cela semblait quasiment injouable quand je laissais les cœurs sur "ondemand". En forçant un cœur à 3 GHz, le jeu a soudain gagné grandement en jouabilité. Je me demande si l'issu d'un round dépend ou non de la capacité de calcul ou d'affichage de la machine ?
Enfin, une dernière remarque : si j'ai pris beaucoup de plaisir à jouer, il me semble que le problème que l'algorithme tente d'optimiser et les solutions qu'il choisi ne sont pas assez claire pour le joueur. Peut-être faudrait-il ralentir le rythme pour laisser plus de temps d'observation, donner plus d'informations au joueur, etc. De la sorte cela permettrait de jouer vraiment avec l'algorithme pour essayer de le piéger. Tel que, si je n'avais pas lu la nouvelle j'aurais seulement eu l'impression d'affronter des vagues d'adversaires aléatoires de plus en plus puissants …
En tous cas joli travail. Bravo.
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# Question naïve
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche GeneticInvasion : des algorithmes évolutionnaires pour un meilleur jeu. Évalué à 4.
de quelqu'un qui n'a pas joué :
Est-ce que l'emploi d'un IA utilisant un algorithme génétique pose les mêmes problèmes que l'évolution réelle ? C'est-à-dire optimisation du comportement pour une situation, au dépend de la polyvalence ? Au risque qu'un joueur malin choisisse volontairement de changer radicalement de comportement pour balayer des adversaires trop spécialisé. Un peu comme ce qui se produit quand on introduit des rats dans une île peuplée uniquement d'oiseaux ?
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[^] # Re: Interessant
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Répression et peines de prison. Évalué à 9.
Ils me semble que dans le cas des contrefaçons dangereuses — genre faux médicament — il n'est pas utile indispensable d'invoquer les infractions à la propriété intellectuelle pour intenter des poursuites. Par exemple, l'empoisonnement, ou la mise en danger d'autrui paraissent des motifs plus légitimes.
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# Mais c'est très naturel
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Répression et peines de prison. Évalué à 10.
Le non-achat de produit de divertissement nuit gravement à une certaine économie. Il est donc naturel que ce délit soit strictement réprimé. À l'opposée les actes de cruautés envers les animaux ont un bilan plus mitigé. D'un coté l'animal ne consommera plus sa pâtée (nuisance) mais de l'autre il nécessitera peut-être des soins considérables (positif, un peu comme le fait de briser des vitres, de brûler des voitures, des plastiquer des villas …).
Les citoyens un peu conscients des graves enjeux économiques liés aux crises ininterrompues depuis la fin des années soixante réclament unanimement des peines plus sévères à l'encontre des flibustiers qui canonnent l'économie culturelles par le manque de dynamisme de leur consommation. Allons même plus loin, condamnons même les gens qui n'achètent pas suffisamment de supports d'œuvres soumises au droit d'auteur. Et dans un même élan, instaurons une (ou des) gabelle(s) pour que chacun contribue à la création mensuellement.
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