Oh que si. Mais comme il est bien connu que les anglais son des gens tordus, ils ne font rien comme nous les français ; nous qui sommes l'exemple qui brille au firmament de l'humanité. Donc pour ceux qui n'auraient jamais étudié Shakespeare en V.O. (ou tout autre source dans un anglais raisonnablement suranné), on peut préciser que naguère existait un pronom utilisé à la seconde personne du singulier distinct de celui employé pour le sujet à la seconde personne du pluriel. Mais à force de vouvoiement, il a fini par s'évanouir totalement des usages.
il y a n acteurs & auteurs & réalisateurs & et cætera et n² ayant droits qui, ayant l'assurance d'être l'épicentre de la création mondiale, ne peuvent qu'être les principales victimes des reproductions illégales « d'œuvres de l'esprit » perpétrées par les vils internautes & photographes & écrivains en herbe & chercheurs & médecins & et cætera. Et cela force nécessairement un gouvernement responsable à des mesures d'exceptions ! À la différence de la Suisse dont toutes les forces vives s'emploient exclusivement au blanchiment d'argent …
Pour openBSD, rien à redire par rapport à ce qui précède. En revanche, si vous avez des widows en souffrance, n'hésitez plus installez netfilter et toute la liberté qui vient avec.
Très juste ; et merci à tous ceux qui nous apportent des arguments pour convaincre nos députés ; en particulier l'exemple donné par goom me semble très bon, à la fois simple et explicite.
Heureusement qu'il existe des gens à qui les brevets profitent ; et évidemment ce ne sont pas uniquement des espèces de gros banquiers/juristes/… passant leur journées à se prélasser au milieu de leur harem. S'il en était ainsi il n'y aurait plus aucun gogo pour rêver que les brevets peuvent être d'une quelconque utilité générale.
Dans la réalité les choses sont certainement un peu plus équilibré que dans les phantasmes ou que ne le laissent parfois transparaître des discours comme le mien. Néanmoins, il me semble quasi certains que les brevets sont globalement une nuisance. Ce n'est qu'un avis personnel, certes. Mais je l'étaye de trois manière :
D'un côté je ne marche absolument pas dans le discours naïf des défenseurs de brevets qui nous bassinent de leurs petits inventeurs quasi utopiques. Il me semble que des études réelles, aussi bien historiques qu'économiques, seraient bien plus convaincantes.
À l'opposé, prendre le moindre recul par rapport au système permet de se poser la bonne question : comment un système de capitalisation/amplification/garanti des avantages acquis pourrait-il pousser à l'innovation ? En effet qu'y a-t-il de moins motivant pour le travail en général que la garantie d'une rente et le confort douillet de voir les appareils d'états se mettre à votre service ?
Quand par ailleurs toutes les études sérieuses semblent unanimement montrer — o surprise — qu'accorder ce genre d'avantage (brevet) a TOUJOURS eu un effet essentiellement sclérosant sur l'économie… Et quand je dis toujours, il me semble que je pèse presque mes mots. Ainsi, que l'on s'intéresse aux prouesses économiques de dragons asiatiques, à l'émergence de cités industrieuses, ou encore aux grands essors industrieux locaux ; il me semble que l'on trouve le plus souvent à l'origine soit un relâchement des avantages coutumiers accordés aux potentats, soit une inadaptation de ces avantages à un contexte économique nouveau, inadaptation les rendant momentanément impropre à oblitérer le progrès.
En résumé, s'il est certain que les brevets puissent également être employés conformément à leur objectif prétendu, et si j'admet effectivement qu'ils puissent parfois motiver tel ou tel effort de recherche anecdotique, je demeure convaincu qu'ils sont un outil fondamentalement néfaste et contre productif en matière d'innovation.
« Dans un tel contexte, seule une mobilisation citoyenne importante peut encore empêcher le brevet unitaire de finir en projet mort‐né, au détriment de l’innovation européenne. »
Depuis quand les brevets favorisent-ils l'innovation ? Depuis quand les investissements en frais juridiques font-ils avancer la recherche ?
Cette phrase est-elle une erreur de rédaction ? Même si le texte sur le brevet unitaire européen se trouvait amendé de manière très efficace pour protéger l'Europe et le monde des gueguerre sur les brevets logiciels, il me semble qu'il resterait encore à prouver qu'un dispositif de brevets unifié sur toute l'Europe puisse favoriser l'innovation.
« Ce que tu donnes comme définition, c'est : compresse, mais avec des pertes pas trop gênantes. C'est le cas de n'importe quel format efficace utilisé sans excès. Pour cela, WebM fera mieux que JPEG. »
Absolument pas ; toujours mes lacunes en expression écrite…
De toutes façons, quel que soit le nombre de bits par canal (bpc) géré par gimp ou d'autres logiciels, tant qu'ils ne sont nourris qu'au jpeg 8 bpc, cela ne fait quasiment aucune différence (réelle flottante). D'où d'ailleurs l'éventuel intérêt pour des formats compressés avec pertes mais un peu plus riches en bpc.
Polyvalent : peu s'utiliser pour décrire une entité ayant potentiellement plusieurs emplois sensiblement différents. D'après ATILF : « […] qui touche plusieurs domaines […] Qui peut être utilisé à différents usages, de différentes manières […] Qui possède plusieurs aptitudes ou capacités, qui peut remplir plusieurs fonctions […] »
Précisément le sens que je donnais à ce mot. Personnellement j'utilise des jpeg pour faire de la photographie, de la retouche d'image, du stockage d'images, de la publication d'images sur le web, etc… Il me semble donc que polyvalent fait un excellent attribut aux côtés de jpeg.
Latitude de retouches : OK, là j'utilise cette expression pour décrire quelque chose de très particulier que je n'ai pas forcément explicité suffisamment. Selon moi, l'une des principales limites de la retouche d'images enregistrées en jpeg vient de ce que modifier les courbes de couleurs provoque immédiatement une dégradation sensible de la qualité de l'image. le phénomène peut être quantifié empiriquement en observant la formation de trous dans les histogrammes indiquant les densités absolues de pixels de chaque niveau. Selon moi disposer d'une « bonne latitude de retouche » consisterait en ce que la formation des dits trous ne se traduise pas (pour des modifications minimes) par des effets perceptibles par l'œil humain sur l'image. Avec le jpeg c'est le cas car le nombre de bit par canal est extrêmement optimisé afin de réduire la taille de fichiers.
« Euuuuh… C'est du français ça ? »
Je n'ai quasiment jamais eu la moyenne dans cette matière là. Ça se lit tant que ça ?
Certes mais une grande qualité pour un format est d'être polyvalent. C'est une sorte de qualité récursive : le jpeg était très polyvalent ; il est devenu très répandu, ça polyvalence s'en est trouvée accrue ; il n'en est que plus indispensable.
À mon goût le seul défaut sensible du jpeg c'est de ne permettre que des latitudes de retouches restreintes. Pourtant nombreux sont ceux qui, nonobstant cette carence, l'utilisent tout de même pour leurs travaux photo pré-publication. Ainsi, il me semble très classique de prendre des photo en les enregistrant en jpeg, les travailler, puis éventuellement les publier sur le web. Le jpeg servant là de bout en bout avec différentes options pour l'adapter à l'usage.
Il me semble que permettre une amélioration sensible dans une méthode de travail aussi courante que celle décrite ci-avant serait pour webP un argument de poids favorisant son adoption. Alors que webP promet/permet déjà un florilège de ce qui se fait de mieux en matière de gestion des dessins comme des photographies, y aurait-il quelque raison technique qui préviendrait l'addition d'un mécanisme qui le rendrait indispensable pour tous les photographes amateurs ? Je veux dire, outre le fait que de toute évidence google n'a d'intérêt directe que pour le résultat final disponible sur le net.
L'une des propriétés que j'attends d'un « format d'image ultime » serait la suivante : la possibilité d'enregistrer des images compressées relativement efficacement avec perte mais en conservant un peu plus d'informations colorimétrique que ne peut en percevoir l'œil humain.
Formulé ainsi, cela paraît quelque peu ridicule, mais nombre d'appareils photographiques produisent régulièrement des images avec des expositions modérément justes. Pour pouvoir y palier, il est nécessaire d'enregistrer des matrices brutes compressées sans aucune perte et contenant bien plus d'informations que nécessaire. Avec un format type jpeg mais autorisant un petit « eV » de plus dans les claires comme dans les obscures et 2 eV dans les tons médians, la plupart des images pas trop à l'ouest pourraient être sauvées. Et le tout au prix d'une augmentation de seulement 50% environ de la taille des fichiers au lieu des fois 3 à 6 des images « raw ».
Donc mes questions : est-ce que ce genre de chose existe ? Est-ce disponible dans webP ? Est-ce prévu dans webP ?
Si ce n'est pas le cas et comme noël approche : « Cher monsieur google ; j'ai été bien sage cette année, je me suis peu acharné à pourrir la vie de mes collègues, j'ai souvent évité de lancer des trolls sur linuxfr. Alors puisque tu me lis, s'il te plaît introduit cette fonctionnalité dans ton format d'image, puis fais le adopté par les fabricant d'appareils photographiques. Merci. »
Pour une imprimante ricoh, j'ai récemment rencontré des problèmes du même ordre sans être similaires (avec toute les nouvelles distributions (fedora 15, ubuntu 11.10, …) l'imprimante refusait de fonctionner. En comparant les ppd installés par ces distributions et d'autres plus anciens (gentoo vieille de 2 ans, scientific linux) de subtiles différences sont apparues).
Quoiqu'il en soit, la solution a consisté à récupérer le ppd fonctionnel et à installer celui-ci sur les nouvelles distro. Avec une ancienne distribution où l'imprimante est configurée, il suffit de recopier le fichier dans /etc/cups/ppd. Et hop …
Permettez-moi de prendre le contre pieds le plus absolu de ce que je comprends de votre discours.
D'une part les enseignants des universités françaises sont essentiellement des fonctionnaires — paresseux, payés à ne rien faire, sans esprit d'entreprise ou d'initiative — ils coûtent donc autant à l'état qu'ils aient ou pas des élèves. Tout juste peut-on espérer qu'ils soient plus productifs en leurs médiocres recherches si la déchéance de leurs établissement d'affectation abouti à une réduction de leur service effectif. Il y a donc relativement peu d'économie à réaliser en fermant nos portes aux étudiants étrangers. Le fonctionnaire-enseignant est ainsi fait que sa mentalité d'assisté le pousse à chercher le maintien coûte que coûte de ses enseignements, quitte à les faire devant de classes réduites à peau de chagrin ; alors bien souvent rajouter quelques dizaines d'élèves n'augmente pas le nombre d'heure de cours effectués.
D'autre part, il me semble important de bien considérer les différentes manières d'exploser le budget de l'état — objectif qui tient lieu d'impératif absolu à tous les gouvernements depuis ~40 ans que les emprunts d'états permettent d'enrichir des banquiers privés au lieu d'aboutir à une réévaluation de la monnaie peu profitable aux classes dirigeantes. Donc on a le choix entre — sans recherche d'exhaustivité — payer des joujou à faire boumboum sur les niakwé aux militaires ; construire des prisons qui risqueraient à terme de faire une concurrence déloyale aux organismes de HLM ; financer des producteurs de divertissement de masse ; ou former des gens.
À y bien réfléchir, cette dernière alternative n'est pas si mauvaise, au moins par comparaisons avec celles qui précèdent. Même si la France refuse délibérément de profiter du fruit de son instrument de diffusion du savoir, au moins d'autres, moins engoncés dans un conservatisme de mauvaise aloi en bénéficient. Et au final, cela n'est certainement perdu ni pour l'humanité, ni pour le rayonnement de la France.
Il me semble qu'il ne faut guère s'attendre à mieux de la part d'une nation moribonde. Mais à quelque chose malheur est (peut-être) bon. Ces tracasseries offrent l'opportunité de trouver un asile plus prometteur. Non ? Potentiellement l'occasion d'épanouissement de son talent ; à opposer au risque de se trouver emportée dans les convulsions de l'agonie française.
« Suite aux billets très intéressant sur le top 500 et au dernier billet sur la machine Fujitsu qui atteint des scores inégalés (à l'heure actuelle), la nasa [1] vient de s'acheter une belle machine avec comme objectif les 10 Petaflops. »
Où l'on apprend que les administrateurs de la nasa épluchent linuxfr !
Tout à fait. Ma remarque sur la thermo visait simplement à souligner que sur la majorité des moteurs, l'effet de « frein moteur » n'est lié ni au frottements, ni à la masse ou au poids du moteur.
À propos de détails quelqu'un a-t-il des indications sur les performances de ces processeurs ?
Il y a quelques années, même les gens qui comme moi n'ont pas accès à des architectures exotiques pouvaient se faire une idée des performances grâce à la base des données de SPEC et surtout à l'excellent wrapper que proposait un site nommé aceshardware.com.
Malheureusement le site a fermé et je n'ai jamais retrouvé l'équivalent de leurs outils qui permettait de comparer facilement — quoique sommairement — les architectures des processeurs sur le marché.
Juste au cas où vous sauriez : pourquoi les installations HPC du CEA n'utilisent pas de « scientific linux » ? C'est pourtant très proche de tout ce que vous citez dans votre journal ; et c'est surtout censé être orienté calcules. Soit un peu ce que vous semblez faire ; qui plus est, c'est co-développé par le CERN, soit une autre institution scientifique majeure financée (partiellement) par la France. En gros, apparemment que des bonnes raisons de collaborer avec ces gens. D'où ma question.
[ma vie]Me considérant un peu comme les deux (évangéliste et évangélique)[/ma vie] j'avais un peu la même idée que E. Bersac sur les définitions de ces mots ; idée largement en contradiction avec les définitions de l'auteur du journal. Au cas où, et pris d'un léger doute — sans doute suite à l'exposition aux ondes électroniques du commentaire précédant (très bon jeu de mot au passage) — je me suis donné la peine de vérifier dans un excellent dictionnaire que toutes les moules connaissent.
Un évangéliste est d'abord l'auteur d'un évangile ; par extension c'est également un récitant de l'évangile ; puis, toujours plus capilotracté, le mot désigne également ceux qui annoncent l'évangile.
Le terme évangélique est plus délicat car il s'agit apparemment uniquement d'un adjectif et non d'un nom. Nonobstant, le nom étant fort couramment employé, aussi bien par les medias que par les sectateurs évangéliques ou leurs détracteurs, il n'est pas téméraires de risquer une définition basée sur le troisième sens de l'adjectif d'après atilf. Un évangélique serait donc l'adepte d'une secte chrétienne mettant au premier plan les textes appelés évangiles. Pour la petite histoire, on pourrait signaler qu'il existe en Europe deux principaux courants évangéliques tout deux originaires de la doctrine luthérienne. Le premier ayant été réimporté des États-Unis d'Amérique essentiellement au cours du XXème siècle et le second étant resté ancré sur le vieux continents (et correspondant en une certaine manière à la description, donc trop restreinte, que fait le journal du sens du nom évangélique).
Et chez moi « autre » signifie aucun périphérique de sortie analogique pour le son, et partant pas de lecteur audio. Comme quoi il faut de tout pour faire un monde … Peut-être même des utilisateurs d'itunes :-)
Oui, entre les SDI de VW et les DCI du losange, un véritable progrès a été accompli. Il s'agit de l'invention et de la généralisation de l'injection « common rail ». Cela change considérablement la thermodynamique de ces moteurs diesels. Et il paraît raisonnable d'en attendre un vrai progrès en matière de consommation de carburant.
En revanche, je ne connais rien comme cela en matière de moteur essence. Moteurs qui équipent essentiellement les petites citadines, soit précisément le segment de véhicule que les primes « écologiques » incites à acheter pour remplacer de vieux (10 ans !) tacots réputés horriblement plus polluants.
Et comme par ailleurs il est très difficile de trouver des données sérieuses sur la consommation réelle des voitures, il ne me semblait pas impertinent d'en discuter entre mollusques de bonne compagnie au sein d'un bouchot. Généralement, les seules informations disponibles sont celles provenant de journalistes automobiles, catégorie de population quelque peu particulière puisque affichant souvent ouvertement le mépris le plus prononcé pour toute les règles « d'eco-conduite ». Du coup, les opinions et expérience que peuvent relater les chalands de linuxfr me semble pouvoir être bien plus intéressante que les autres sources dont j'ai connaissance.
Peut-être pas envie, mais surtout pas nécessairement les possibilités, ni matériels (temps), ni intellectuelles. D'où l'importance cruciale d'une gestion efficace des pratiques des industries afin qu'elles contribuent réellement au progrès plutôt que de se tourner vers des mécanismes plus rentables à court terme au détriment de tous.
[^] # Re: -elle
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal De l'utilisation contemporaine des titres honorifiques.. Évalué à 4.
Oh que si. Mais comme il est bien connu que les anglais son des gens tordus, ils ne font rien comme nous les français ; nous qui sommes l'exemple qui brille au firmament de l'humanité. Donc pour ceux qui n'auraient jamais étudié Shakespeare en V.O. (ou tout autre source dans un anglais raisonnablement suranné), on peut préciser que naguère existait un pronom utilisé à la seconde personne du singulier distinct de celui employé pour le sujet à la seconde personne du pluriel. Mais à force de vouvoiement, il a fini par s'évanouir totalement des usages.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
# En France …
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal TÉLÉCHARGEMENTs. Évalué à 3. Dernière modification le 30 novembre 2011 à 13:42.
il y a n acteurs & auteurs & réalisateurs & et cætera et n² ayant droits qui, ayant l'assurance d'être l'épicentre de la création mondiale, ne peuvent qu'être les principales victimes des reproductions illégales « d'œuvres de l'esprit » perpétrées par les vils internautes & photographes & écrivains en herbe & chercheurs & médecins & et cætera. Et cela force nécessairement un gouvernement responsable à des mesures d'exceptions ! À la différence de la Suisse dont toutes les forces vives s'emploient exclusivement au blanchiment d'argent …
désolé ---> []
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[^] # Re: Pour ceux qui ne suivent pas
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Nouveau document sur la sécurisation des pare-feu Netfilter. Évalué à 4.
Pour openBSD, rien à redire par rapport à ce qui précède. En revanche, si vous avez des widows en souffrance, n'hésitez plus installez netfilter et toute la liberté qui vient avec.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Du brevet à l'innovation
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Mobilisation sur les brevets logiciels et le brevet unitaire. Évalué à 3.
Très juste ; et merci à tous ceux qui nous apportent des arguments pour convaincre nos députés ; en particulier l'exemple donné par goom me semble très bon, à la fois simple et explicite.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Du brevet à l'innovation
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Mobilisation sur les brevets logiciels et le brevet unitaire. Évalué à 3.
Heureusement qu'il existe des gens à qui les brevets profitent ; et évidemment ce ne sont pas uniquement des espèces de gros banquiers/juristes/… passant leur journées à se prélasser au milieu de leur harem. S'il en était ainsi il n'y aurait plus aucun gogo pour rêver que les brevets peuvent être d'une quelconque utilité générale.
Dans la réalité les choses sont certainement un peu plus équilibré que dans les phantasmes ou que ne le laissent parfois transparaître des discours comme le mien. Néanmoins, il me semble quasi certains que les brevets sont globalement une nuisance. Ce n'est qu'un avis personnel, certes. Mais je l'étaye de trois manière :
D'un côté je ne marche absolument pas dans le discours naïf des défenseurs de brevets qui nous bassinent de leurs petits inventeurs quasi utopiques. Il me semble que des études réelles, aussi bien historiques qu'économiques, seraient bien plus convaincantes.
À l'opposé, prendre le moindre recul par rapport au système permet de se poser la bonne question : comment un système de capitalisation/amplification/garanti des avantages acquis pourrait-il pousser à l'innovation ? En effet qu'y a-t-il de moins motivant pour le travail en général que la garantie d'une rente et le confort douillet de voir les appareils d'états se mettre à votre service ?
Quand par ailleurs toutes les études sérieuses semblent unanimement montrer — o surprise — qu'accorder ce genre d'avantage (brevet) a TOUJOURS eu un effet essentiellement sclérosant sur l'économie… Et quand je dis toujours, il me semble que je pèse presque mes mots. Ainsi, que l'on s'intéresse aux prouesses économiques de dragons asiatiques, à l'émergence de cités industrieuses, ou encore aux grands essors industrieux locaux ; il me semble que l'on trouve le plus souvent à l'origine soit un relâchement des avantages coutumiers accordés aux potentats, soit une inadaptation de ces avantages à un contexte économique nouveau, inadaptation les rendant momentanément impropre à oblitérer le progrès.
En résumé, s'il est certain que les brevets puissent également être employés conformément à leur objectif prétendu, et si j'admet effectivement qu'ils puissent parfois motiver tel ou tel effort de recherche anecdotique, je demeure convaincu qu'ils sont un outil fondamentalement néfaste et contre productif en matière d'innovation.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
# Du brevet à l'innovation
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Mobilisation sur les brevets logiciels et le brevet unitaire. Évalué à 10.
Depuis quand les brevets favorisent-ils l'innovation ? Depuis quand les investissements en frais juridiques font-ils avancer la recherche ?
Cette phrase est-elle une erreur de rédaction ? Même si le texte sur le brevet unitaire européen se trouvait amendé de manière très efficace pour protéger l'Europe et le monde des gueguerre sur les brevets logiciels, il me semble qu'il resterait encore à prouver qu'un dispositif de brevets unifié sur toute l'Europe puisse favoriser l'innovation.
Tient, puisque le sujets est aux dérives des systèmes de propriétés intellectuelles, je me permet de dévier quelque peu en mentionnant le vote cet après-midi d'une « compensation équitable » pour les semenciers visant à les dédommager du préjudice que constitue la capacité des plantes à produire des graines fertiles. Surtout ne voyez là dedans aucun lien avec d'autres formes de compensation équitable. D'avance toutes mes félicitations à notre représentation nationale pour l'ensemble de son œuvre et son efficacité dans la mise en œuvre de politiques dynamisant (ou dynamitant ?) l'activité ses quarante dernières années.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Format d'image ultime
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal WebP, le format d'images ultime. Évalué à 1.
Absolument pas ; toujours mes lacunes en expression écrite…
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Format d'image ultime
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal WebP, le format d'images ultime. Évalué à 3.
De toutes façons, quel que soit le nombre de bits par canal (bpc) géré par gimp ou d'autres logiciels, tant qu'ils ne sont nourris qu'au jpeg 8 bpc, cela ne fait quasiment aucune différence (
réelleflottante). D'où d'ailleurs l'éventuel intérêt pour des formats compressés avec pertes mais un peu plus riches en bpc.« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Format d'image ultime
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal WebP, le format d'images ultime. Évalué à 2.
Polyvalent : peu s'utiliser pour décrire une entité ayant potentiellement plusieurs emplois sensiblement différents. D'après ATILF : « […] qui touche plusieurs domaines […] Qui peut être utilisé à différents usages, de différentes manières […] Qui possède plusieurs aptitudes ou capacités, qui peut remplir plusieurs fonctions […] »
Précisément le sens que je donnais à ce mot. Personnellement j'utilise des jpeg pour faire de la photographie, de la retouche d'image, du stockage d'images, de la publication d'images sur le web, etc… Il me semble donc que polyvalent fait un excellent attribut aux côtés de jpeg.
Latitude de retouches : OK, là j'utilise cette expression pour décrire quelque chose de très particulier que je n'ai pas forcément explicité suffisamment. Selon moi, l'une des principales limites de la retouche d'images enregistrées en jpeg vient de ce que modifier les courbes de couleurs provoque immédiatement une dégradation sensible de la qualité de l'image. le phénomène peut être quantifié empiriquement en observant la formation de trous dans les histogrammes indiquant les densités absolues de pixels de chaque niveau. Selon moi disposer d'une « bonne latitude de retouche » consisterait en ce que la formation des dits trous ne se traduise pas (pour des modifications minimes) par des effets perceptibles par l'œil humain sur l'image. Avec le jpeg c'est le cas car le nombre de bit par canal est extrêmement optimisé afin de réduire la taille de fichiers.
Je n'ai quasiment jamais eu la moyenne dans cette matière là. Ça se lit tant que ça ?
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Format d'image ultime
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal WebP, le format d'images ultime. Évalué à 2.
Certes mais une grande qualité pour un format est d'être polyvalent. C'est une sorte de qualité récursive : le jpeg était très polyvalent ; il est devenu très répandu, ça polyvalence s'en est trouvée accrue ; il n'en est que plus indispensable.
À mon goût le seul défaut sensible du jpeg c'est de ne permettre que des latitudes de retouches restreintes. Pourtant nombreux sont ceux qui, nonobstant cette carence, l'utilisent tout de même pour leurs travaux photo pré-publication. Ainsi, il me semble très classique de prendre des photo en les enregistrant en jpeg, les travailler, puis éventuellement les publier sur le web. Le jpeg servant là de bout en bout avec différentes options pour l'adapter à l'usage.
Il me semble que permettre une amélioration sensible dans une méthode de travail aussi courante que celle décrite ci-avant serait pour webP un argument de poids favorisant son adoption. Alors que webP promet/permet déjà un florilège de ce qui se fait de mieux en matière de gestion des dessins comme des photographies, y aurait-il quelque raison technique qui préviendrait l'addition d'un mécanisme qui le rendrait indispensable pour tous les photographes amateurs ? Je veux dire, outre le fait que de toute évidence google n'a d'intérêt directe que pour le résultat final disponible sur le net.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
# Format d'image ultime
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal WebP, le format d'images ultime. Évalué à 10.
L'une des propriétés que j'attends d'un « format d'image ultime » serait la suivante : la possibilité d'enregistrer des images compressées relativement efficacement avec perte mais en conservant un peu plus d'informations colorimétrique que ne peut en percevoir l'œil humain.
Formulé ainsi, cela paraît quelque peu ridicule, mais nombre d'appareils photographiques produisent régulièrement des images avec des expositions modérément justes. Pour pouvoir y palier, il est nécessaire d'enregistrer des matrices brutes compressées sans aucune perte et contenant bien plus d'informations que nécessaire. Avec un format type jpeg mais autorisant un petit « eV » de plus dans les claires comme dans les obscures et 2 eV dans les tons médians, la plupart des images pas trop à l'ouest pourraient être sauvées. Et le tout au prix d'une augmentation de seulement 50% environ de la taille des fichiers au lieu des fois 3 à 6 des images « raw ».
Donc mes questions : est-ce que ce genre de chose existe ? Est-ce disponible dans webP ? Est-ce prévu dans webP ?
Si ce n'est pas le cas et comme noël approche : « Cher monsieur google ; j'ai été bien sage cette année, je me suis peu acharné à pourrir la vie de mes collègues, j'ai souvent évité de lancer des trolls sur linuxfr. Alors puisque tu me lis, s'il te plaît introduit cette fonctionnalité dans ton format d'image, puis fais le adopté par les fabricant d'appareils photographiques. Merci. »
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
# copier l'ancien ppd
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message Mise à jour Hplip. Évalué à 4.
Salut,
Pour une imprimante ricoh, j'ai récemment rencontré des problèmes du même ordre sans être similaires (avec toute les nouvelles distributions (fedora 15, ubuntu 11.10, …) l'imprimante refusait de fonctionner. En comparant les ppd installés par ces distributions et d'autres plus anciens (gentoo vieille de 2 ans, scientific linux) de subtiles différences sont apparues).
Quoiqu'il en soit, la solution a consisté à récupérer le ppd fonctionnel et à installer celui-ci sur les nouvelles distro. Avec une ancienne distribution où l'imprimante est configurée, il suffit de recopier le fichier dans /etc/cups/ppd. Et hop …
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Pays en déclin
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Quand la directive Guéant commence à me les briser menues.... Évalué à -3.
Certainement, mais n'y voyez pas une trollerie ; plutôt la tactique du contre feu — à la Cyrano (acte I, scène 4, tirade du nez).
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Pays en déclin
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Quand la directive Guéant commence à me les briser menues.... Évalué à -6.
Permettez-moi de prendre le contre pieds le plus absolu de ce que je comprends de votre discours.
D'une part les enseignants des universités françaises sont essentiellement des fonctionnaires — paresseux, payés à ne rien faire, sans esprit d'entreprise ou d'initiative — ils coûtent donc autant à l'état qu'ils aient ou pas des élèves. Tout juste peut-on espérer qu'ils soient plus productifs en leurs médiocres recherches si la déchéance de leurs établissement d'affectation abouti à une réduction de leur service effectif. Il y a donc relativement peu d'économie à réaliser en fermant nos portes aux étudiants étrangers. Le fonctionnaire-enseignant est ainsi fait que sa mentalité d'assisté le pousse à chercher le maintien coûte que coûte de ses enseignements, quitte à les faire devant de classes réduites à peau de chagrin ; alors bien souvent rajouter quelques dizaines d'élèves n'augmente pas le nombre d'heure de cours effectués.
D'autre part, il me semble important de bien considérer les différentes manières d'exploser le budget de l'état — objectif qui tient lieu d'impératif absolu à tous les gouvernements depuis ~40 ans que les emprunts d'états permettent d'enrichir des banquiers privés au lieu d'aboutir à une réévaluation de la monnaie peu profitable aux classes dirigeantes. Donc on a le choix entre — sans recherche d'exhaustivité — payer des joujou à faire boumboum sur les niakwé aux militaires ; construire des prisons qui risqueraient à terme de faire une concurrence déloyale aux organismes de HLM ; financer des producteurs de divertissement de masse ; ou former des gens.
À y bien réfléchir, cette dernière alternative n'est pas si mauvaise, au moins par comparaisons avec celles qui précèdent. Même si la France refuse délibérément de profiter du fruit de son instrument de diffusion du savoir, au moins d'autres, moins engoncés dans un conservatisme de mauvaise aloi en bénéficient. Et au final, cela n'est certainement perdu ni pour l'humanité, ni pour le rayonnement de la France.
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# Pays en déclin
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Quand la directive Guéant commence à me les briser menues.... Évalué à 1.
Il me semble qu'il ne faut guère s'attendre à mieux de la part d'une nation moribonde. Mais à quelque chose malheur est (peut-être) bon. Ces tracasseries offrent l'opportunité de trouver un asile plus prometteur. Non ? Potentiellement l'occasion d'épanouissement de son talent ; à opposer au risque de se trouver emportée dans les convulsions de l'agonie française.
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# Linuxfr : mieux que /.
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal La course à la machine puissante continue !. Évalué à 10.
Où l'on apprend que les administrateurs de la nasa épluchent linuxfr !
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[^] # Re: bypasser les sécuriter et réecrire son propre firmware ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Doit-on hacker les voitures ?. Évalué à 2.
Tout à fait. Ma remarque sur la thermo visait simplement à souligner que sur la majorité des moteurs, l'effet de « frein moteur » n'est lié ni au frottements, ni à la masse ou au poids du moteur.
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[^] # détails : performance des cpu
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Fujitsu atteint la première place du top500. Évalué à 3.
À propos de détails quelqu'un a-t-il des indications sur les performances de ces processeurs ?
Il y a quelques années, même les gens qui comme moi n'ont pas accès à des architectures exotiques pouvaient se faire une idée des performances grâce à la base des données de SPEC et surtout à l'excellent wrapper que proposait un site nommé aceshardware.com.
Malheureusement le site a fermé et je n'ai jamais retrouvé l'équivalent de leurs outils qui permettait de comparer facilement — quoique sommairement — les architectures des processeurs sur le marché.
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[^] # Re: Choix des distributions / quid de SL ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Des stages systèmes Linux !. Évalué à 2.
Par exemple RHEL, fedora, et CentOS …
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# Choix des distributions / quid de SL ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Des stages systèmes Linux !. Évalué à 2.
Juste au cas où vous sauriez : pourquoi les installations HPC du CEA n'utilisent pas de « scientific linux » ? C'est pourtant très proche de tout ce que vous citez dans votre journal ; et c'est surtout censé être orienté calcules. Soit un peu ce que vous semblez faire ; qui plus est, c'est co-développé par le CERN, soit une autre institution scientifique majeure financée (partiellement) par la France. En gros, apparemment que des bonnes raisons de collaborer avec ces gens. D'où ma question.
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[^] # Re: Comparaisons
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Tunisie : Le figaro utilise le même fonds rhétorique que Gaddhafi ou l'AKP. Évalué à 4.
[ma vie]Me considérant un peu comme les deux (évangéliste et évangélique)[/ma vie] j'avais un peu la même idée que E. Bersac sur les définitions de ces mots ; idée largement en contradiction avec les définitions de l'auteur du journal. Au cas où, et pris d'un léger doute — sans doute suite à l'exposition aux ondes électroniques du commentaire précédant (très bon jeu de mot au passage) — je me suis donné la peine de vérifier dans un excellent dictionnaire que toutes les moules connaissent.
Un évangéliste est d'abord l'auteur d'un évangile ; par extension c'est également un récitant de l'évangile ; puis, toujours plus capilotracté, le mot désigne également ceux qui annoncent l'évangile.
Le terme évangélique est plus délicat car il s'agit apparemment uniquement d'un adjectif et non d'un nom. Nonobstant, le nom étant fort couramment employé, aussi bien par les medias que par les sectateurs évangéliques ou leurs détracteurs, il n'est pas téméraires de risquer une définition basée sur le troisième sens de l'adjectif d'après atilf. Un évangélique serait donc l'adepte d'une secte chrétienne mettant au premier plan les textes appelés évangiles. Pour la petite histoire, on pourrait signaler qu'il existe en Europe deux principaux courants évangéliques tout deux originaires de la doctrine luthérienne. Le premier ayant été réimporté des États-Unis d'Amérique essentiellement au cours du XXème siècle et le second étant resté ancré sur le vieux continents (et correspondant en une certaine manière à la description, donc trop restreinte, que fait le journal du sens du nom évangélique).
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[^] # Re: Hop, hop, hop !
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Un an de projet libre : bilan. Évalué à 5.
Un journal sur un site internet, n'est ce pas précisément un blog (web log) ? Du coup, le « ce blog » ne m'a pas choqué plus que cela.
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[^] # Re: oups...
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au sondage Quel est votre lecteur audio ?. Évalué à 2.
Et chez moi « autre » signifie aucun périphérique de sortie analogique pour le son, et partant pas de lecteur audio. Comme quoi il faut de tout pour faire un monde … Peut-être même des utilisateurs d'itunes :-)
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[^] # Re: bonne fausse mauvaise idée
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Doit-on hacker les voitures ?. Évalué à 5.
Oui, entre les SDI de VW et les DCI du losange, un véritable progrès a été accompli. Il s'agit de l'invention et de la généralisation de l'injection « common rail ». Cela change considérablement la thermodynamique de ces moteurs diesels. Et il paraît raisonnable d'en attendre un vrai progrès en matière de consommation de carburant.
En revanche, je ne connais rien comme cela en matière de moteur essence. Moteurs qui équipent essentiellement les petites citadines, soit précisément le segment de véhicule que les primes « écologiques » incites à acheter pour remplacer de vieux (10 ans !) tacots réputés horriblement plus polluants.
Et comme par ailleurs il est très difficile de trouver des données sérieuses sur la consommation réelle des voitures, il ne me semblait pas impertinent d'en discuter entre mollusques de bonne compagnie au sein d'un bouchot. Généralement, les seules informations disponibles sont celles provenant de journalistes automobiles, catégorie de population quelque peu particulière puisque affichant souvent ouvertement le mépris le plus prononcé pour toute les règles « d'eco-conduite ». Du coup, les opinions et expérience que peuvent relater les chalands de linuxfr me semble pouvoir être bien plus intéressante que les autres sources dont j'ai connaissance.
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[^] # Re: Open source
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Doit-on hacker les voitures ?. Évalué à 2.
Peut-être pas envie, mais surtout pas nécessairement les possibilités, ni matériels (temps), ni intellectuelles. D'où l'importance cruciale d'une gestion efficace des pratiques des industries afin qu'elles contribuent réellement au progrès plutôt que de se tourner vers des mécanismes plus rentables à court terme au détriment de tous.
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