Pour prendre de telles mesures, il faut un gouvernement, un vrai. Un qui s'interroge un minimum sur son rôle, ses objectifs, les évolutions de la technique et de la société, un qui soit capable de remettre en question les institutions aussi brillantes et utiles qu'elles aient pu être. Pas un qui soit engoncé dans les calculs électoraux et le culte des triomphes du passé : « si je fais ceci, je perd des voix ; cela vexera untel ; et cela encore tel autre. Et puis la production de cette immense usine à gaz grinçante et obsolète est encore très compétitive au regard de ce qui se fait ailleurs ; de surcroît, pour y apporter la moindre modification efficaces il faudrait en maîtriser trop d'aspects … Alors vite le changement, mais en ne modifiant rien. »
Finalement, la crise aura peut-être du bon : Quand elle aura achevé de jeter à bas notre système social et ses délices, elle permettra vraisemblablement à la France et à d'autre pays similaires de repartir de l'avant dans l'ère moderne. Tant que la statut du commandeur est là, n'est-il pas naturel de continuer à la faire reluire. Mais dès qu'elle sera jetée à bas … il sera enfin temps de se réinventer.
Pour une fois qu'on peut apporter une réponse claire et définitive à une question compliquée : oui…
Un oui qui peut se justifier de multiples manière ; mais concentrons nous sur deux axes. D'abord en se rappelant cette expérience ou des cobayes (humain) doivent répondre à des questions qu'ils ne comprennent pas, au milieu d'un public complice faisant un choix globalement concerté. Dans 70% des cas, le cobaye imite la masse. Conclusion, face à des choix cornéliens dont nous ne percevons que modérément les tenants et aboutissants, beaucoup imitent les choix raisonnables effectués par les autres. Donc les candidats présentés comme attirant des voix les attirent effectivement ; et pas nécessairement à cause de leurs solutions convaincantes.
Autre pan de réponse : il est notoirement connu que les élites imposent (sans nécessaire haine ou violence) leurs représentations symboliques aux masses (cf. P. Bourdieu). Et visiblement cela garde de l'effet. C'est du moins ce dont semblent témoigner les vastes mouvements d'emballement de l'engouement dont témoigne épisodiquement les sondages. Ainsi quand tel candidat est présenté comme vainqueur potentiel, sa côte ne cesse de grimper ; puis sitôt oublié le voici qui dégringole.
Il me semble que le seul fait que nous gardions très majoritairement au moins un œil ou une oreille, même distraitement, tourné en direction de quelques grands médias centralisés suffit à mettre en cohérence nos opinions (à défaut heureusement de les accorder totalement). Tout simplement parce qu'il ne s'agit bien souvent que d'opinion. Il en est peu qui soit vraiment assuré de savoir où se situe leur intérêt ; peut-être simplement parce que nos démocraties sont trop vastes et que nous nous retrouvons majoritairement, nécessairement, en périphérie lointaine du pouvoir et même des parties politiques.
J'en conclus que oui, même à une époque que d'aucuns appellent l'ère web 2.0, l'opinion publique reste globalement structurée par les élites via quelques grands médias.
En participant de manière pertinente. D'après l'article d'aide :
L'influence de différentes actions sur le karma :
Karma par défaut : 20
Note « pertinent » : +1
Note « inutile » : -1
Dépêche publiée : +50 (pour l'auteur)
Le karma augmente donc lorsque l'on reçoit des notes « pertinent » (quelque soit le type de contenu ou le commentaire noté) ou que l'on publie des dépêches.
On ne saurait trop recommander de commencer par une observation attentive avant toute participation active ; s'en abstenir fait encourir le risque de lourdes déconvenues.
NB: Dans votre situation, il ne serait pas déshonorant de repartir d'un bon pied avec un nouveau compte.
Dans cette section — et alentours — de la présentation de linuxfr vous devriez trouver toutes les informations qui vous intéressent. En cliquant sur votre identifiant dans la colonne de gauche vous arriverez sur votre « page personnelle », dans la colonne de gauche de laquelle vous trouverez votre note de « karma » ou, selon votre terminologie, votre « note d'utilisateur ». Actuellement vous êtes probablement aux alentours de -200. C'est ce chiffre qui influence la notation par défaut des contenus que vous envoyez.
C'est qu'il me paraîtrait inconvenant que vous ressortiez de cette petite aventure avec l'impression d'un sentiment de rejet personnel ; comme si nous — les participants de ce site — nous résumions à un groupuscule misogyne, xénophobe ou que sais-je encore.
Vous avez certes commis d'entrée un impair. Et la réaction très vive s'est naturellement emballée. Pour autant, n'allez pas imaginer que vous n'êtes pas bienvenue ; bien au contraire. Avec quelques efforts pour mieux appréhender les mœurs autochtones, vous constaterez vraisemblablement que vous pouvez largement rentabiliser votre participation.
Et quoi qu'il en soit, merci de pardonner les réactions épidermiques que vos messages ont essuyés. Si de l'extérieur elles vous semblent agressives, de l’intérieur elles paraissent presque modérées ; en particulier, eut égard à l'aspect effroyablement contre productif (pour vous) de vos messages. Encore une fois, beaucoup plus de familiarité avec ce site vous est indispensable pour y communiquer efficacement.
À la fois, même si la pub à mauvaise presse ces temps-ci (désolé pour le jeu de mots), un forum n'est-il pas un lieu approprié pour l'expression de chacun ? Même d'entreprises, ou pir de commerciaux ? Évidemment, beaucoup apprécient que ce forum de linuxfr soit rarement employé pour de tels usage. Mais au moins à la décharge du posteur, le thème général du site est respecté. C'est déjà ça non ?
Comme je suis bon prince, je ne vous demanderais pas xxx dh pour ce cours. Lorsque l'on souhaite mettre un lien hypertexte dans un commentaire ou autre publication sur linuxfr.org, il suffit d'employer la syntaxe suivante :
[texte du lien](url)
Plus généralement pour un lien hypertexte en HTML, il suffit de faire :
<a href="url">texte du lien</a>
Ces choses vous semblez les connaître. Mais vous paraissez ignorer que pour une intégration correcte des hyperliens à votre message, il est indispensable de remplacer non seulement « l'url » mais également la partie « texte du lien » … Pour des exemple je vous renvoi aux liens placés en introduction de cette réponse.
N'est-il pas curieux de trouver ainsi des offres de formation en informatique faites par quelqu'un qui apparemment ne maîtrise pas assez l'outil pour intégrer correctement des liens à son texte. Ces « Texte du lien » donne une idée bien peu flatteuse de la qualité potentielle des offres.
Comme quoi, paradoxalement, les journalistes publiant les sondages n'ont pas (vraiment) tort de ne pas donner l'incertitude de leurs chiffres : quand ils le font, leur manque de maîtrise des statistiques pré-déforme souvent tout pour un lectorat qui n'a plus guère de chance de lire des informations justes.
Dans l'article cité, la marge d'erreur n'est vraisemblablement pas de 3,2%, pas plus qu'il ne s'agit d'une marge d'erreur maximale. Cela voudrait dire par exemple que le sondage donnerait au CDH un score de 12,7±0,4% avec une certitude absolue. Le deuxième élément de la proposition étant farfelue, j'aurais tendance à croire que l'on estime plutôt ce résultat à 12,7±3,2 % avec une probabilité de 95%. Mais comment tirer au clair ces choses quand elles sont relatées par des gens qui ne les comprennent que vaguement ?
S'ils connaissent « l'erreur » de leurs estimations, ce ne sont pas des sondeurs mais des voyants. En revanche, ils devraient donner l'incertitude et le niveau de fiabilité choisi pour l'estimer. Un peu comme le fait l'article de wikipedia cité plus haut qui précise que l'erreur — d'origine statistique — potentiel d'un sondage effectué sur un échantillon de 1000 personnes est (sous) estimée à environ 3,2 points en choisissant un degré de confiance de 95% (2σ), soit ±4,8 points avec un intervalle de confiance de 99,7% (3σ) de confiance.
Mais même ces chiffres sont peu significatifs puisque, entre autre, tout cela repose sur des hypothèses non vérifiées et non vérifiables étant donné qu'il n'est pas possible de choisir un réel échantillon représentatif pour effectuer un sondage.
Ce n'est pas uniquement un problème de coût qui aboutit à des perversions de la démocratie — dont les faiblesses des systèmes indirectes et (peu) représentatifs. En effet la démocratie pour de grands groupes humains pose des problèmes théoriques bien plus ardus ; difficultés qui étaient déjà perçu à l'époque des lumières. Ainsi, par exemple J.-J. Rousseau ne concevait-il les institutions démocratiques que pour de petites communautés.
Par ailleurs, la confiscation de pouvoir par une élite semblent bien moins résultés des avanies des systèmes de vote que des mécanismes sociaux du comportement humain ; c'est du moins l'un des éléments marquants à retenir de l'œuvre de P. bourdieu, l'un des plus éminents sociologue que la francophonie (et le monde) ait produit.
Reste le problème de bien comprendre de quoi l'on parle en matière de fichiers temporaires de compilation. Ainsi, le plus souvent, les .o — par exemple — ne seront pas considérés comme des fichiers temporaires. Du coup les solutions à base de TMPDIR ou de -pipe n'épargnerons que modérément un SSD.
Du coup, j'utilise un tmpfs pour mes compilations ; avec gentoo, cela se fait très simplement pour les ebuild. Si je devais faire une compilation manuelle (et que je veuille réellement le faire en répertoire temporaire), j'utiliserais des commandes dans ce genre:
cd /tmp
make -f /vers/mon/projet/makefile
ou bien
/vers/mon/projet/configure
cd /tmp
make
Considérant que la plupart des makefiles et scripts configure sont suffisamment bien faits pour être utilisables depuis un répertoire distant de celui d'origine.
Personnellement, en 2007, ce document m'a permis de faire un choix parfaitement serein pour l'élection présidentielle malgré l'incroyable matraquage médiatique et la ferveur poujadiste entourant le candidat populiste. À la fois le fond hallucinant de légèreté et la désinvolture formelle face à un sujet d'une telle importance m'avait définitivement convaincu.
Il y a plusieurs avantages à l'alternatif. D'une part la facilité avec laquelle on réalise des transformateurs efficaces pour le courant alternatif et d'autre part, la dangerosité (lié au fait que les charges se déplacent réellement dans le cas continu). Sauf erreur de ma part, ce dernier facteur n'a guère évolué au cours du siècle passé. En pratique une installation continue en 12 V est réputée avoir un niveau de dangerosité à peu près équivalent à une installation en alternatif à 220 V.
L'AC est donc essentiellement plus sûr. Et l'utilisation de courants continu pour les transferts à longue distance coûte extrêmement cher en précautions.
« J'ai été assez intrigué quand tu parles de courant continu pour le transport d'énergie sur longue distance. »
Il faut déjà un niveau raisonnablement approfondie en électromagnétisme pour bien comprendre les problématiques du transfert de fortes puissances par électricité. Comme l'indique l'un des liens de vroum, l'un des principaux problèmes liés à l'utilisation de l'alternatif est effectivement les déphasage dans le réseau résultant entre autre des longueurs de cables. En fait sur de grandes longueurs (ou à haute fréquence) la dernière partie de l'équation de Maxwell-Ampère finit par devenir non négligeable et le courant alternatif perd beaucoup des belles propriétés auxquelles nous sommes habitués.
Nonobstant, la problématique du transport d'énergie sur de très longues distances est liée à la centralisation extrême d'un réseau sans stockage et avec des sources concentrées. Des hypothèses aux antipodes de la dissémination des sources — résultant de l'exploitation des énergies éoliennes et solaires — combiné avec la disponibilité de condensateurs parfaits.
Voici déjà quelques années (ô si peu) des observateurs attentifs de la nature avaient découvert les ondes, ces objets ont la propriété de permettre le transfert d'énergie sans nécessiter de transfert de matière. Ce sont leurs propriétés qui ont permis le développement d'un réseau électrique efficace à faible coût. À cet égard, votre scenario a donc des allures post-apocalyptique : l'humanité y aurait perdu les notions élémentaires de la physique ; un effet du lavage de cerveau permanent résultant de la sur-disponibilité du contenu médiatique peut-être ?
Bonjour, j'imagine que le lien avec les logiciels libres et linux est si évident — dès que l'on parle de valorisation des logiciels — qu'il ne paraissait pas forcément opportun de le souligner dans cette annonce. Néanmoins, étant assez obtus, je serais assez intéressé à obtenir quelques précisions complémentaires sur ce thème. Est-ce possible ?
En l'occurrence ce scénario tient la route. C'est même précisément ce que raconte le texte de Don Pettit. Il écrit que l'étiquette était bien détachée de sa position initiale ; simplement elle avait été laissée à traîner là au lieu d'être dûment recyclée. « Une grave faille dans les processus qualité [de la gestion des déchets] de la NASA » assurément.
« It was just a tag with no cover or fixture […] »
« Je considère que le problème posé par les brevets logiciels doit être exposé pour limiter l'influence des lobbies qui poussent dans le sens d'une validation de ces brevets en Europe. »
Mais, comme Debian est un projet international, ne se doit-il pas de respecter les brevets déjà déposés ? Hors, le doute, la crainte, et l'incertitude face aux brevets ne sont-ils pas des concepts dont les implémentations pratiques les plus courantes sont déjà brevetées, un peu partout à la surface du globe par de grandes firmes, au titre des méthodes commerciales innovantes ? Du coup, la seule mention du soupçon d'un doute n'est-elle pas déjà une infraction des plus répréhensibles ?
Plus sérieusement, j'imagine que des juristes savent employer tout élément de conversation publique pour pervertir la justice. Aussi, exprimer sur internet une crainte vis-à-vis de la possibilité d'un brevet, c'est potentiellement planter le pieux pour son propre pâle. En la matière la juris prudence s'impose si j'ose dire.
À la fois, n'est-il pas assez sains et censé d'interroger les limites du droit d'auteur et des licences ? Ce n'est pas nécessairement parce que google les écrits que ses conditions d'utilisation sont légales. Par ailleurs, n'est-il pas malvenue de la part d'une société fondant nombre de ses services sur une conception peu restrictive du « fair use » d'imposer à d'autres les limites dont-elle s'affranchit fréquemment ?
En tous cas, ce sujet cela me rappel cette excellente campagne publicitaire caricaturale où l'on voyait des gens prenant le pouvoir sur d'autre par le biais de licences abusives. Si quelqu'un à le lien …
Sur beaucoup de projets de librairies, le changement du numéro majeur est celui qui dénote une mutation des interfaces. En ce renseignant un peu sur les librairies, il doit être raisonnablement possible d'éviter de préciser le second numéro en évitant à la fois des recherches historiques extensives et quelques exclusions inutiles. Quelques essais sur une distribution aux librairies bien « stabilisées » voire une peu anciennes comme CentOS ou Debian stable pourrait également être envisagés.
Ensuite, comme suggéré par Neox et à condition de se réserver d'anciennes versions des librairies pour tests, l'évolution fera son œuvre et la majorité des utilisateurs potentiel se retrouvera compatible par défaut.
[^] # Re: Homérique
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Le vers est dans le fruit. Évalué à 7.
Bof, le ver n'a pas 12 pieds ; pas même un seul alors … question ποιεῖν, il faudra repasser.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Tient un gouvernement …
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal De l'éducation avec le numérique. Évalué à 3.
Et bien d'autres choses encore. Pour reprendre les thèmes abordés ou sous-jacents des journaux récents sur dlfp :
le système éducatif,
les droits d'auteurs,
la propriété intellectuelle,
les medias,
le système bancaire,
la police et l'état,
la (5ème) république …
Beaucoup de petite et de grandes choses sans lesquelles nos petites vies seraient bien bouleversées.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
# Tient un gouvernement …
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal De l'éducation avec le numérique. Évalué à 1.
Pour prendre de telles mesures, il faut un gouvernement, un vrai. Un qui s'interroge un minimum sur son rôle, ses objectifs, les évolutions de la technique et de la société, un qui soit capable de remettre en question les institutions aussi brillantes et utiles qu'elles aient pu être. Pas un qui soit engoncé dans les calculs électoraux et le culte des triomphes du passé : « si je fais ceci, je perd des voix ; cela vexera untel ; et cela encore tel autre. Et puis la production de cette immense usine à gaz grinçante et obsolète est encore très compétitive au regard de ce qui se fait ailleurs ; de surcroît, pour y apporter la moindre modification efficaces il faudrait en maîtriser trop d'aspects … Alors vite le changement, mais en ne modifiant rien. »
Finalement, la crise aura peut-être du bon : Quand elle aura achevé de jeter à bas notre système social et ses délices, elle permettra vraisemblablement à la France et à d'autre pays similaires de repartir de l'avant dans l'ère moderne. Tant que la statut du commandeur est là, n'est-il pas naturel de continuer à la faire reluire. Mais dès qu'elle sera jetée à bas … il sera enfin temps de se réinventer.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: On ne parle pas assez de X dans les médias !
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Les médias, la France et l'élection : sommes-nous un pays anti-progressiste ?. Évalué à 8.
Pour une fois qu'on peut apporter une réponse claire et définitive à une question compliquée : oui…
Un oui qui peut se justifier de multiples manière ; mais concentrons nous sur deux axes. D'abord en se rappelant cette expérience ou des cobayes (humain) doivent répondre à des questions qu'ils ne comprennent pas, au milieu d'un public complice faisant un choix globalement concerté. Dans 70% des cas, le cobaye imite la masse. Conclusion, face à des choix cornéliens dont nous ne percevons que modérément les tenants et aboutissants, beaucoup imitent les choix raisonnables effectués par les autres. Donc les candidats présentés comme attirant des voix les attirent effectivement ; et pas nécessairement à cause de leurs solutions convaincantes.
Autre pan de réponse : il est notoirement connu que les élites imposent (sans nécessaire haine ou violence) leurs représentations symboliques aux masses (cf. P. Bourdieu). Et visiblement cela garde de l'effet. C'est du moins ce dont semblent témoigner les vastes mouvements d'emballement de l'engouement dont témoigne épisodiquement les sondages. Ainsi quand tel candidat est présenté comme vainqueur potentiel, sa côte ne cesse de grimper ; puis sitôt oublié le voici qui dégringole.
Il me semble que le seul fait que nous gardions très majoritairement au moins un œil ou une oreille, même distraitement, tourné en direction de quelques grands médias centralisés suffit à mettre en cohérence nos opinions (à défaut heureusement de les accorder totalement). Tout simplement parce qu'il ne s'agit bien souvent que d'opinion. Il en est peu qui soit vraiment assuré de savoir où se situe leur intérêt ; peut-être simplement parce que nos démocraties sont trop vastes et que nous nous retrouvons majoritairement, nécessairement, en périphérie lointaine du pouvoir et même des parties politiques.
J'en conclus que oui, même à une époque que d'aucuns appellent l'ère web 2.0, l'opinion publique reste globalement structurée par les élites via quelques grands médias.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Comment est calculé la note de l'utilisateur?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message Formations d'Administration Red Hat Linux 6 (RHEL 6). Évalué à 2.
En participant de manière pertinente. D'après l'article d'aide :
On ne saurait trop recommander de commencer par une observation attentive avant toute participation active ; s'en abstenir fait encourir le risque de lourdes déconvenues.
NB: Dans votre situation, il ne serait pas déshonorant de repartir d'un bon pied avec un nouveau compte.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Comment est calculé la note de l'utilisateur?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message Formations d'Administration Red Hat Linux 6 (RHEL 6). Évalué à 2.
Dans cette section — et alentours — de la présentation de linuxfr vous devriez trouver toutes les informations qui vous intéressent. En cliquant sur votre identifiant dans la colonne de gauche vous arriverez sur votre « page personnelle », dans la colonne de gauche de laquelle vous trouverez votre note de « karma » ou, selon votre terminologie, votre « note d'utilisateur ». Actuellement vous êtes probablement aux alentours de -200. C'est ce chiffre qui influence la notation par défaut des contenus que vous envoyez.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Amusant
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message Formations d'Administration Red Hat Linux 6 (RHEL 6). Évalué à 2.
C'est qu'il me paraîtrait inconvenant que vous ressortiez de cette petite aventure avec l'impression d'un sentiment de rejet personnel ; comme si nous — les participants de ce site — nous résumions à un groupuscule misogyne, xénophobe ou que sais-je encore.
Vous avez certes commis d'entrée un impair. Et la réaction très vive s'est naturellement emballée. Pour autant, n'allez pas imaginer que vous n'êtes pas bienvenue ; bien au contraire. Avec quelques efforts pour mieux appréhender les mœurs autochtones, vous constaterez vraisemblablement que vous pouvez largement rentabiliser votre participation.
Et quoi qu'il en soit, merci de pardonner les réactions épidermiques que vos messages ont essuyés. Si de l'extérieur elles vous semblent agressives, de l’intérieur elles paraissent presque modérées ; en particulier, eut égard à l'aspect effroyablement contre productif (pour vous) de vos messages. Encore une fois, beaucoup plus de familiarité avec ce site vous est indispensable pour y communiquer efficacement.
Au plaisir.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Amusant
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message Formations d'Administration Red Hat Linux 6 (RHEL 6). Évalué à 2.
À la fois, même si la pub à mauvaise presse ces temps-ci (désolé pour le jeu de mots), un forum n'est-il pas un lieu approprié pour l'expression de chacun ? Même d'entreprises, ou pir de commerciaux ? Évidemment, beaucoup apprécient que ce forum de linuxfr soit rarement employé pour de tels usage. Mais au moins à la décharge du posteur, le thème général du site est respecté. C'est déjà ça non ?
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Amusant
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message Formations d'Administration Red Hat Linux 6 (RHEL 6). Évalué à 2.
Comme je suis bon prince, je ne vous demanderais pas xxx dh pour ce cours. Lorsque l'on souhaite mettre un lien hypertexte dans un commentaire ou autre publication sur linuxfr.org, il suffit d'employer la syntaxe suivante :
[texte du lien](url)
Plus généralement pour un lien hypertexte en HTML, il suffit de faire :
<a href="url">texte du lien</a>
Ces choses vous semblez les connaître. Mais vous paraissez ignorer que pour une intégration correcte des hyperliens à votre message, il est indispensable de remplacer non seulement « l'url » mais également la partie « texte du lien » … Pour des exemple je vous renvoi aux liens placés en introduction de cette réponse.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
# Amusant
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message Formations d'Administration Red Hat Linux 6 (RHEL 6). Évalué à 3.
N'est-il pas curieux de trouver ainsi des offres de formation en informatique faites par quelqu'un qui apparemment ne maîtrise pas assez l'outil pour intégrer correctement des liens à son texte. Ces « Texte du lien » donne une idée bien peu flatteuse de la qualité potentielle des offres.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Je ne sais pas si c’est plausible, mais…
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Mélenchon à 14% d'intentions de vote.... Évalué à 2.
Précisément. Je soupçonne fort le(s) rapporteur(s) du sondage (en général) de confondre les deux.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Je ne sais pas si c’est plausible, mais…
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Mélenchon à 14% d'intentions de vote.... Évalué à 3.
Comme quoi, paradoxalement, les journalistes publiant les sondages n'ont pas (vraiment) tort de ne pas donner l'incertitude de leurs chiffres : quand ils le font, leur manque de maîtrise des statistiques pré-déforme souvent tout pour un lectorat qui n'a plus guère de chance de lire des informations justes.
Dans l'article cité, la marge d'erreur n'est vraisemblablement pas de 3,2%, pas plus qu'il ne s'agit d'une marge d'erreur maximale. Cela voudrait dire par exemple que le sondage donnerait au CDH un score de 12,7±0,4% avec une certitude absolue. Le deuxième élément de la proposition étant farfelue, j'aurais tendance à croire que l'on estime plutôt ce résultat à 12,7±3,2 % avec une probabilité de 95%. Mais comment tirer au clair ces choses quand elles sont relatées par des gens qui ne les comprennent que vaguement ?
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Je ne sais pas si c’est plausible, mais…
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Mélenchon à 14% d'intentions de vote.... Évalué à 4.
S'ils connaissent « l'erreur » de leurs estimations, ce ne sont pas des sondeurs mais des voyants. En revanche, ils devraient donner l'incertitude et le niveau de fiabilité choisi pour l'estimer. Un peu comme le fait l'article de wikipedia cité plus haut qui précise que l'erreur — d'origine statistique — potentiel d'un sondage effectué sur un échantillon de 1000 personnes est (sous) estimée à environ 3,2 points en choisissant un degré de confiance de 95% (2σ), soit ±4,8 points avec un intervalle de confiance de 99,7% (3σ) de confiance.
Mais même ces chiffres sont peu significatifs puisque, entre autre, tout cela repose sur des hypothèses non vérifiées et non vérifiables étant donné qu'il n'est pas possible de choisir un réel échantillon représentatif pour effectuer un sondage.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Karma
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Rédaction coopérative et karma. Évalué à 2.
Et la légion d'honneur, à votre avis, à quoi ça sert ?
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Impossibilité mathématique
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Fuite d'un rapport de la CNIL sur les élections prud'homales par Internet en 2008. Évalué à 6.
Ce n'est pas uniquement un problème de coût qui aboutit à des perversions de la démocratie — dont les faiblesses des systèmes indirectes et (peu) représentatifs. En effet la démocratie pour de grands groupes humains pose des problèmes théoriques bien plus ardus ; difficultés qui étaient déjà perçu à l'époque des lumières. Ainsi, par exemple J.-J. Rousseau ne concevait-il les institutions démocratiques que pour de petites communautés.
Par ailleurs, la confiscation de pouvoir par une élite semblent bien moins résultés des avanies des systèmes de vote que des mécanismes sociaux du comportement humain ; c'est du moins l'un des éléments marquants à retenir de l'œuvre de P. bourdieu, l'un des plus éminents sociologue que la francophonie (et le monde) ait produit.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: man gcc propose quelques options
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message compilation dans un tmpfs. Évalué à 5. Dernière modification le 18 mars 2012 à 13:41.
Reste le problème de bien comprendre de quoi l'on parle en matière de fichiers temporaires de compilation. Ainsi, le plus souvent, les .o — par exemple — ne seront pas considérés comme des fichiers temporaires. Du coup les solutions à base de TMPDIR ou de -pipe n'épargnerons que modérément un SSD.
Du coup, j'utilise un tmpfs pour mes compilations ; avec gentoo, cela se fait très simplement pour les ebuild. Si je devais faire une compilation manuelle (et que je veuille réellement le faire en répertoire temporaire), j'utiliserais des commandes dans ce genre:
cd /tmp
make -f /vers/mon/projet/makefile
ou bien
/vers/mon/projet/configure
cd /tmp
make
Considérant que la plupart des makefiles et scripts configure sont suffisamment bien faits pour être utilisables depuis un répertoire distant de celui d'origine.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: C'est ça le monde du libre ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Projet numérique du Front de Gauche. Évalué à 3.
Personnellement, en 2007, ce document m'a permis de faire un choix parfaitement serein pour l'élection présidentielle malgré l'incroyable matraquage médiatique et la ferveur poujadiste entourant le candidat populiste. À la fois le fond hallucinant de légèreté et la désinvolture formelle face à un sujet d'une telle importance m'avait définitivement convaincu.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Courant continu
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Courte nouvelle sur les réseaux électriques du futur . Évalué à 2.
Il y a plusieurs avantages à l'alternatif. D'une part la facilité avec laquelle on réalise des transformateurs efficaces pour le courant alternatif et d'autre part, la dangerosité (lié au fait que les charges se déplacent réellement dans le cas continu). Sauf erreur de ma part, ce dernier facteur n'a guère évolué au cours du siècle passé. En pratique une installation continue en 12 V est réputée avoir un niveau de dangerosité à peu près équivalent à une installation en alternatif à 220 V.
L'AC est donc essentiellement plus sûr. Et l'utilisation de courants continu pour les transferts à longue distance coûte extrêmement cher en précautions.
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[^] # Re: Courant continu
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Courte nouvelle sur les réseaux électriques du futur . Évalué à 2.
Il faut déjà un niveau raisonnablement approfondie en électromagnétisme pour bien comprendre les problématiques du transfert de fortes puissances par électricité. Comme l'indique l'un des liens de vroum, l'un des principaux problèmes liés à l'utilisation de l'alternatif est effectivement les déphasage dans le réseau résultant entre autre des longueurs de cables. En fait sur de grandes longueurs (ou à haute fréquence) la dernière partie de l'équation de Maxwell-Ampère finit par devenir non négligeable et le courant alternatif perd beaucoup des belles propriétés auxquelles nous sommes habitués.
Nonobstant, la problématique du transport d'énergie sur de très longues distances est liée à la centralisation extrême d'un réseau sans stockage et avec des sources concentrées. Des hypothèses aux antipodes de la dissémination des sources — résultant de l'exploitation des énergies éoliennes et solaires — combiné avec la disponibilité de condensateurs parfaits.
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# ondes, abeilles et nuages
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Courte nouvelle sur les réseaux électriques du futur . Évalué à 6.
Voici déjà quelques années (ô si peu) des observateurs attentifs de la nature avaient découvert les ondes, ces objets ont la propriété de permettre le transfert d'énergie sans nécessiter de transfert de matière. Ce sont leurs propriétés qui ont permis le développement d'un réseau électrique efficace à faible coût. À cet égard, votre scenario a donc des allures post-apocalyptique : l'humanité y aurait perdu les notions élémentaires de la physique ; un effet du lavage de cerveau permanent résultant de la sur-disponibilité du contenu médiatique peut-être ?
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# Et le libre ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Valorisation de logiciels produits dans les laboratoires et PLUME à Caen. Évalué à 1.
Bonjour, j'imagine que le lien avec les logiciels libres et linux est si évident — dès que l'on parle de valorisation des logiciels — qu'il ne paraissait pas forcément opportun de le souligner dans cette annonce. Néanmoins, étant assez obtus, je serais assez intéressé à obtenir quelques précisions complémentaires sur ce thème. Est-ce possible ?
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[^] # Re: en fait d'apres le resumé, ca doit etre un test, je ne vois rien d'autre
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal La NASA censure ses failles de sécurité. Évalué à 4.
En l'occurrence ce scénario tient la route. C'est même précisément ce que raconte le texte de Don Pettit. Il écrit que l'étiquette était bien détachée de sa position initiale ; simplement elle avait été laissée à traîner là au lieu d'être dûment recyclée. « Une grave faille dans les processus qualité [de la gestion des déchets] de la NASA » assurément.
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[^] # Re: Non, Debian n'invite pas à publier les échanges relatifs aux brevets !
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de presse de l'April pour la semaine 8 de l'année 2012. Évalué à 2.
Mais, comme Debian est un projet international, ne se doit-il pas de respecter les brevets déjà déposés ? Hors, le doute, la crainte, et l'incertitude face aux brevets ne sont-ils pas des concepts dont les implémentations pratiques les plus courantes sont déjà brevetées, un peu partout à la surface du globe par de grandes firmes, au titre des méthodes commerciales innovantes ? Du coup, la seule mention du soupçon d'un doute n'est-elle pas déjà une infraction des plus répréhensibles ?
Plus sérieusement, j'imagine que des juristes savent employer tout élément de conversation publique pour pervertir la justice. Aussi, exprimer sur internet une crainte vis-à-vis de la possibilité d'un brevet, c'est potentiellement planter le pieux pour son propre pâle. En la matière la juris prudence s'impose si j'ose dire.
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[^] # Re: Mouais...
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Google m'a tuer !. Évalué à 10.
À la fois, n'est-il pas assez sains et censé d'interroger les limites du droit d'auteur et des licences ? Ce n'est pas nécessairement parce que google les écrits que ses conditions d'utilisation sont légales. Par ailleurs, n'est-il pas malvenue de la part d'une société fondant nombre de ses services sur une conception peu restrictive du « fair use » d'imposer à d'autres les limites dont-elle s'affranchit fréquemment ?
En tous cas, ce sujet cela me rappel cette excellente campagne publicitaire caricaturale où l'on voyait des gens prenant le pouvoir sur d'autre par le biais de licences abusives. Si quelqu'un à le lien …
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[^] # Re: faire simple pour demarrer
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message Versions minimales requises pour bibliothèques dans les dépendances. Évalué à 3.
Sur beaucoup de projets de librairies, le changement du numéro majeur est celui qui dénote une mutation des interfaces. En ce renseignant un peu sur les librairies, il doit être raisonnablement possible d'éviter de préciser le second numéro en évitant à la fois des recherches historiques extensives et quelques exclusions inutiles. Quelques essais sur une distribution aux librairies bien « stabilisées » voire une peu anciennes comme CentOS ou Debian stable pourrait également être envisagés.
Ensuite, comme suggéré par Neox et à condition de se réserver d'anciennes versions des librairies pour tests, l'évolution fera son œuvre et la majorité des utilisateurs potentiel se retrouvera compatible par défaut.
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