Je viens de tester, et j'ai le comportement attendu : le script lancé avant modification m'affiche le message de la version lancé, et non celui de la version postérieure au lancement. Fait avec GNU bash, version 4.4.23(1).
Juste pour faire remarquer à quel point les Allemands sont des gens — je ne trouve pas le mot — sérieux, pratique, compétents, de qualité, pragmatique, n'ayant pas l'orgueil mal placé (???) [*]. En tout cas pour les féliciter et se féliciter de la chose suivante : dans le rapport publié, seule la toute première partie est en Allemand. Tout le reste est accessible pour le lecteur anglophone soucieux de se gausser des responsables informatiques laissant travailler leurs collègues sous widows 10 standard.
[*] Il ne viendra à l'esprit de personne d'établir un parallèle avec les manuscrits de thèses d'universités Françaises qu'il convient toujours de rédiger en Français.
Assez d'accord avec vous. J'ajouterais le raisonnement suivant.
Il y a quand même un côté pratique à disposer d'heures en accord avec le le soleil. Tout simplement parce que dans la langue perdurent quelques liens — même ténus — avec la nature ; ne citons que midi et minuit.
Couper le lien avec le soleil et l'étymologie me semble assez grave à ce titre. Pas en soit un bouleversement, mais comme un (petit) pas de plus vers la novlangue et l'humain totalement déraciné et manipulable.
Par ailleurs n'y a-t-il pas un simple biais cognitif qui pousse naturellement son monde (sauf les patrons de stations de sports alpins) à choisir l'heure d'été ? Poser la question « quelle saison préférez-vous ?l'été ou l'hiver ? » Ne permet-il pas de le révéler ?
S'il ne fallait choisir qu'une seule heure, à mon sens il ne serait pas stupide de la choisir en accord avec nos voisins, en particuliers ceux du nord et du sud même si ceux de l'ouest ont plus d'importance économique ; et le plus proche possible des heures solaires. Quitte à aller jusqu'au sacrifice ultime : décaler le sacro-saint journal de 20h ! Et même divers menus efforts comme changer deux ou trois habitudes sur les horaires de la journée.
À force de décalage par rapport au soleil, on finit par chercher midi à quatorze heure. Ce n'est d'ailleurs plus une image incongrue, et un jour ça pourrait devenir midi à quinze ou seize heure pour que l'expression reprenne du sens.
Dans l'article : N₁ est proportionnel à 1/16, et N₂ proportionnel à 1/10,66… soit 2/3 x 16. Ce qui nous donne f proportionnel à 16 et 2f proportionnel à 32, la note attendue et entendue. Avec la même constante dans tous les cas.
Oups. Ce n'était pas du tout intentionnel. J'avais crû comprendre que ce que vous appeliez acouphène était la note à 440 Hz attendue. Visiblement il n'en est rien. À mon avis les petits animaux ont dû trouver ces sons particulièrement désagréable. Mais pour autant que je le sache on reste dans des gammes de fréquences sans aucun risque. Pas de soucis pour leur santé à long terme. Pas plus qu'après avoir écouté un sifflet à ultrason.
C'est une piste intéressante. Effectivement d'après wikipedia, une quinte supérieure pure serait composée de deux notes ayant un rapport de 1,5 en fréquence. Ça donne par exemple un La₃ et un Mi₃ (660 Hz). Donc en jouant les deux, on devrait peut-être pouvoir entendre un La₂ (ou un La₁) en plus des précédents. Sous toutes réserves bien entendu : ce n'est pas ce que dit l'article, et je n'y connais rien en musique.
Si la différence entre les sinusoïdes de fréquences N₁ et N₂ est faible on entend des battements ; c'est-à-dire une modulation de basse fréquence f=(N₁-N₂)/2 d'une sinusoïde de haute fréquence (N₁+N₂)/2.
Si f est petit, la modulation est audible. Mais que se passe-t-il si f entre dans le domaine audio ? Il est évident qu'on ne peut plus percevoir des battements (trop rapide). Je me demande donc si ça produit un signal perceptible ? Et par ailleurs si oui, lequel ? Celui à la fréquence f de la modulation, ou celui à la fréquence 2f des battements.
Possible qu'Audacity puisse fusionner directement les deux sons. Ça serait intéressant également de savoir ce que ça donne ; pour discriminer dans l’interprétation entre « il n'y avait rien à entendre de particulier » et « les conditions expérimentales n'ont pas permis d'entendre quelque chose.
Une autre variante possible de l'expérience pourrait être d'utiliser un ultrason pour la haute fréquence (par exemple 16000 et 16440 Hz). Ça éviterait que le signal recherché soit couvert dominé par celui à haute fréquence. Mais encore faudrait-il que le logiciel et le matériel supporte de tels fréquences.
C'est bien le problème de notre société. Tant que le respect d'autrui et le bien commun restent des valeurs en disgrâce comparées au profit le ROI sera effectivement roi.
Oui à peu près autant autant que les règlements intérieurs des telcos qui vendent les données ou que les incantations d'un shaman. Tant qu'on ne se donne pas les moyens de faire appliquer un règlement, les chances qu'il soit contourné sont plutôt élevées.
Heureusement que suivant les préceptes évident pour tout marchés public, l'état a choisi une solution libre que les acteurs de terrain pourront améliorer rapidement avec le temps ? ou pas du tout ? :-(
Pouvez-vous nous en dire plus sur ce scandale ? Mon ami omniscient a un un peu de mal à trouver l'information avec les mots-clefs « scandale, e-lyco, Nantes ».
L'ordi ayant l'air décemment puissant, une solution pourrait être :
Éradiquer totalement le windos piraté et le remplacer par une distribution sympathique.
Évaluer la qualité du support par win des différents logiciels dont vous avez besoin.
En cas de support défaillant, installer de quoi faire un peu de virtualisation (xen, virt-manager…), et y installer une machine virtuelle widows. Sachant que vous pouvez trouver de telles machines directement offertes par mirosoft. Donc légalement et en respectant la « propriété intellectuelle » des uns et des autres. Avec de surcroît l'avantage de probablement installer un peu moins de mouchards et autres logiciels malveillants qu'avec des versions piratées de logiciels.
Un article qui me plaît parce qu'établissant le lien entre deux grandes plaies de ce temps. Celui intitulé : « Des effets des outils sur nos pratiques : pourquoi les médecins détestent-ils leurs ordinateurs ? »
L'article montre bien comment les logiciels privateurs se combinent avec une administration paresseuse pour annihiler les progrès potentiellement apportés par l'informatique. Ici dans le domaine médical.
Un peu comme toutes ces couches de sécurité critique sur lesquelles sont apparues des failles béantes ouvertes depuis des temps quasi-immémoriaux (en terme d'informatique bien entendu :-).
Que le code ait été sérieusement audité est assurément utile voire indispensable. Mais qui peut une seconde penser que ce soit une garantie ? S'il est facile d'introduire par erreur une faille qui résiste aux regards scrutateurs les plus suspicieux, ne peut-on pas imaginer — sans sombrer dans la psychose — que des experts de hauts niveaux soient en mesure d'en introduire de manière encore plus pernicieuse ?
Par ailleurs l'article ne cesse de rappeler cette évidence qui est assurément une faille béante : SELinux est si compliqué à configurer que nombre d'administrateurs y renoncent. Probablement y en a-t-il qui renoncent également à vérifier attentivement l'ensemble des règles par défaut, et l’interaction des nouvelles avec les anciennes. Ne serait-ce pas un vecteur tout indiqué pour l'introduction de brèches dans cette belle muraille ?
« Notons au passage une critique entièrement infondée […] »
À mon sens ce serait le seul passage qui pèche d'un article par ailleurs très didactique. Le jour où des services de renseignement officiellement et officieusement d'intérêts divergents avec ceux des USA (par exemple ceux de l'Iran, de Russie, de Chine…) recommanderont aussi SELinux, on devrait pouvoir admettre que le code a été audité de manière très sérieuse sans plus s'inquiéter de la chose. En attendant, la genèse à la NSA de ce code reste pour moi une objection quant à sa sécurité ; du moins pour quiconque craint la NSA.
En ce qui me concerne avoir la garantie que seule la NSA dispose d'une porte ouverte sur mes serveurs ferait de moi un (petit) admin heureux.
Sur le fond, bien d'accord, mais sur la formulation un petit détail me chagrine.
Le fascisme 2.0 décrit n'est justement pas du fascisme. Si au cours du XXème siècle de grandes puissances financières ont réussi à détourner la résistance des peuples à leur encontre en la transformant en haines des étrangers, des juifs, des homo-sexuels, des handicapés… La dictature douce à la Huxley n'a rien d'un fascisme dans la mesure où elle ne part pas du peuple. Est-il nécessaire de rappeler que le fascisme se base sur la constatation qu'un peuple uni — comparé à un fagot (=fascia en Italien) de brindilles — peut résister aux forces de ceux qui l'oppriment ?
Ce que votre commentaire appel fascisme 2.0 ne paraît-il pas au précisément le contraire de ça ? C'est-à-dire un arrangement social[*] lénifiant permettant d'éviter toute forme de fascisme : le peuple est tellement amolli qu'on devrait pouvoir aller jusqu'à l'éliminer totalement — via crise climatique par exemple — sans trop de difficultés ?
[*] Mon dictionnaire de français (Atilf) ne connaît pas encore le terme sociétale. D'après l'atlas sémantique du CNRS, ce terme est d'abord apparu en Anglais comme synonyme de social -> societal. Le processus est assez évident dans cette langue dans la mesure où la première estimation du niveau culturel est à l'aune de la longueur moyenne des mots employés. Un syllabe de plus, c'est toujours ça de pris.
En Français actuel l'effet est précisément le contraire. Ce sont par exemple les emplois du mot juste ou d'emprunts rares au Grec, au Latin… qui serviront de marqueur primitif d'un niveau socio-culturel (pardon devrais-je dire sociéto-culturel ?) élevé ; assister à une soutenance de thèse dans une matière littéraire est très édifiant sur ce point. En revanche les emprunts à l'Anglais sont considérés comme des barbarismes indésirables ; probablement parce que soupçonnés de provenir de la domination Hollywoodienne. En particulier pour remplacer un mot préexistant en Français par un parfait synonyme.
Avant la télé, il y a surtout la troisième guerre mondiale[+] qui a beaucoup contribué de deux manières :
Des écoles de combats efficaces existent plus ou moins dans toutes les nations ayant des armés. C'est un peu une nécessité. Lors de la dernière guerre mondiale, les Japonais ont beaucoup impressionnés leurs adversaires (Américain, Australiens, Gibis…) par leur aptitude au combat corps à corps. D'où un intérêt certain de la part des hiérarchies militaires de ces pays, puis de leurs alliés, puis d'un peu partout. Il faut croire que les écoles d'arts martiaux japonaises, avaient atteint une efficacité supérieure à celle de leurs adversaires. Peut-être pour des raisons techniques ? mais peut-être seulement pour des raisons culturelles (plus grande pratique des arts-martiaux dans la société) ? Qui sait ? Quoiqu'il en soit, l'intérêt était là.
De surcroît, après la capitulation, les Américains occupant le Japon y ont aussi proscrit toutes les écoles d'arts-martiaux[**] — ceci justement suite aux quelques déboires essuyés par les GIs opposés aux faces de citrons. Une population massivement formée d'enseignants, se retrouvait sans travail dans un pays en ruine, avec des offres d'emplois un peu partout dans le monde. La diaspora ne s'est pas fait attendre. Un peu comme en 70. Avec les mêmes effets, mais cette fois pour une pratique sportive plutôt que religieuse.
[+] Beaucoup oubliant la guerre de sept ans disent seconde guerre mondiale.
[**] À l'exception de celle d'Aïkido me semble-t-il.
Beaucoup d'articles tout à fait digne d'intérêt et qui méritent d'être largement diffusés. En particulier, selon moi
Celui sur la complicité du gouvernement avec les grandes firmes — qui fait pour moi écho à une autre actualité du même acabit, l'installation de nouveaux compteurs électriques pour le plus grand bénéfice d'une entreprise devenue privée, et ayant un monopole d'état.
Celui relatif à la directive copyright et qui souligne le même genre de problématique où les gouvernants finissent par se montrer incapable d'entendre l'intérêt public à force de prêter l'oreille à quelques grands lobbies.
Et enfin celui sur la généralisation de la collecte d'informations.
« Comment permettre la plus large production, diffusion et accès au savoir dans toutes ces formes ? »
Selon moi — et en toute humilité également — il faut aller jusqu'à interroger ces principes-là. En particulier, souhaites-t-on vraiment maximiser la production de contenus ? Est-ce réellement une nécessité ? Et quels contenus ? Doit-on privilégier la qualité qui résulte du système concentrationnaire que l'on connaît ? Ou bien serait-il plus pertinent de redonner ses lettres de noblesses à une culture populaire. NB : le choix de la formulation rend volontairement explicite mes propres biais de réflexion.
En gros les opposants à la censure généralisée et automatisée (qui plus est au main des ayants droits) craignent qu'énormément de contenu soit indûment censuré. Et pas seulement des vidéos de chatons mais aussi des articles plus politique. Certains craignaient pour l'avenir. Mais finalement l'exemple ci-avant montre que ces craintes sont plutôt justifiées et ce dès aujourd'hui.
Sur ce je suis bien d'accord avec Arnaudus sur cette nécessité : le droit doit s'appliquer. La question est comment. Parfois, force et de constater que des privilèges qui avaient été accordés pour des raisons tout à fait valides, ne sont plus compatibles avec la technologie, voire plus forcément nécessaire. On peut tenter de les maintenir au forceps (Dadvsi, Hadopi, DMCA… et encore actuellement ces fameux articles en question ici) ; avec l'efficacité et les effets de bords que l'on connaît. Mais ne serait-il pas plus raisonnable de reposer proprement l'équation pour y intégrer deux siècles d'évolutions ?
C'est une excellente approche d'un point de vue libriste : ça permet de distribuer le produit fini pour ceux qui le souhaitent, tout en y accolant la source pour les rares occasions où elle servira.
Le même problème se pose par exemple avec LaTeX : quand j'envoie mes énoncés à mes collègues je leur transmet le pdf qui est destiné à être lu. Mais s'ils veulent réutiliser, ou corriger ce serait plutôt la source qui leur conviendrait.
Voir ce journal m'a poussé à dégainer une recherche, et un outil très efficace existe en LaTeX pour la même fonctionnalité : embedfile, qu'on peut employer ainsi :
\documentclass{article}\usepackage{embedfile}%Ajouter manuellement chaque fichier à inclure...\embedfile{TD2.tex}\begin{document}\end{document}
# Pas chez moi
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message impossible de modifier un exécutable lorsqu'il est en exécution . Évalué à 2.
Je viens de tester, et j'ai le comportement attendu : le script lancé avant modification m'affiche le message de la version lancé, et non celui de la version postérieure au lancement. Fait avec GNU bash, version 4.4.23(1).
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# Langue
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au lien Windows 10 vous surveille de 534 façons. Évalué à -4.
Juste pour faire remarquer à quel point les Allemands sont des gens — je ne trouve pas le mot — sérieux, pratique, compétents, de qualité, pragmatique, n'ayant pas l'orgueil mal placé (???) [*]. En tout cas pour les féliciter et se féliciter de la chose suivante : dans le rapport publié, seule la toute première partie est en Allemand. Tout le reste est accessible pour le lecteur anglophone soucieux de se gausser des responsables informatiques laissant travailler leurs collègues sous widows 10 standard.
[*] Il ne viendra à l'esprit de personne d'établir un parallèle avec les manuscrits de thèses d'universités Françaises qu'il convient toujours de rédiger en Français.
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[^] # Re: Les voisins ça compte
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal [HS] Etes-vous pour rester à l'heure d'été ou à l'heure d'hiver ?. Évalué à 3.
Assez d'accord avec vous. J'ajouterais le raisonnement suivant.
Il y a quand même un côté pratique à disposer d'heures en accord avec le le soleil. Tout simplement parce que dans la langue perdurent quelques liens — même ténus — avec la nature ; ne citons que midi et minuit.
Couper le lien avec le soleil et l'étymologie me semble assez grave à ce titre. Pas en soit un bouleversement, mais comme un (petit) pas de plus vers la novlangue et l'humain totalement déraciné et manipulable.
Par ailleurs n'y a-t-il pas un simple biais cognitif qui pousse naturellement son monde (sauf les patrons de stations de sports alpins) à choisir l'heure d'été ? Poser la question « quelle saison préférez-vous ?l'été ou l'hiver ? » Ne permet-il pas de le révéler ?
S'il ne fallait choisir qu'une seule heure, à mon sens il ne serait pas stupide de la choisir en accord avec nos voisins, en particuliers ceux du nord et du sud même si ceux de l'ouest ont plus d'importance économique ; et le plus proche possible des heures solaires. Quitte à aller jusqu'au sacrifice ultime : décaler le sacro-saint journal de 20h ! Et même divers menus efforts comme changer deux ou trois habitudes sur les horaires de la journée.
À force de décalage par rapport au soleil, on finit par chercher midi à quatorze heure. Ce n'est d'ailleurs plus une image incongrue, et un jour ça pourrait devenir midi à quinze ou seize heure pour que l'expression reprenne du sens.
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[^] # Re: Orgues à tuyaux
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message Expérience d’interférences. Évalué à 2.
Pardon, celle à la fréquence 2f !
Dans l'article : N₁ est proportionnel à 1/16, et N₂ proportionnel à 1/10,66… soit 2/3 x 16. Ce qui nous donne f proportionnel à 16 et 2f proportionnel à 32, la note attendue et entendue. Avec la même constante dans tous les cas.
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[^] # Re: l'amplitude ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message Expérience d’interférences. Évalué à 2.
Oups. Ce n'était pas du tout intentionnel. J'avais crû comprendre que ce que vous appeliez acouphène était la note à 440 Hz attendue. Visiblement il n'en est rien. À mon avis les petits animaux ont dû trouver ces sons particulièrement désagréable. Mais pour autant que je le sache on reste dans des gammes de fréquences sans aucun risque. Pas de soucis pour leur santé à long terme. Pas plus qu'après avoir écouté un sifflet à ultrason.
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[^] # Re: Orgues à tuyaux
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message Expérience d’interférences. Évalué à 2.
Effectivement le phénomène a l'air possible à produire et utiliser avec les orgues. En tout cas les données chiffrées de la page répondent à mes deux questions : c'est bien la note à la fréquence f et pas 2f qui est générée et audible. Dommage que ça n'ait pas l'air de fonctionner avec un PC.
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[^] # Re: Orgues à tuyaux
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message Expérience d’interférences. Évalué à 2.
C'est une piste intéressante. Effectivement d'après wikipedia, une quinte supérieure pure serait composée de deux notes ayant un rapport de 1,5 en fréquence. Ça donne par exemple un La₃ et un Mi₃ (660 Hz). Donc en jouant les deux, on devrait peut-être pouvoir entendre un La₂ (ou un La₁) en plus des précédents. Sous toutes réserves bien entendu : ce n'est pas ce que dit l'article, et je n'y connais rien en musique.
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[^] # Re: l'amplitude ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message Expérience d’interférences. Évalué à 2.
C'est justement l'acouphène qui m'intéresse.
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[^] # Re: Battement
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message Expérience d’interférences. Évalué à 2.
Si la différence entre les sinusoïdes de fréquences N₁ et N₂ est faible on entend des battements ; c'est-à-dire une modulation de basse fréquence f=(N₁-N₂)/2 d'une sinusoïde de haute fréquence (N₁+N₂)/2.
Si f est petit, la modulation est audible. Mais que se passe-t-il si f entre dans le domaine audio ? Il est évident qu'on ne peut plus percevoir des battements (trop rapide). Je me demande donc si ça produit un signal perceptible ? Et par ailleurs si oui, lequel ? Celui à la fréquence f de la modulation, ou celui à la fréquence 2f des battements.
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[^] # Re: Audacity
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message Expérience d’interférences. Évalué à 2.
Possible qu'Audacity puisse fusionner directement les deux sons. Ça serait intéressant également de savoir ce que ça donne ; pour discriminer dans l’interprétation entre « il n'y avait rien à entendre de particulier » et « les conditions expérimentales n'ont pas permis d'entendre quelque chose.
Une autre variante possible de l'expérience pourrait être d'utiliser un ultrason pour la haute fréquence (par exemple 16000 et 16440 Hz). Ça éviterait que le signal recherché soit couvert dominé par celui à haute fréquence. Mais encore faudrait-il que le logiciel et le matériel supporte de tels fréquences.
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[^] # Re: nvidia
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Le dégonflage des mythes Wayland... dégonflés sur Reddit. Évalué à 4.
C'est bien le problème de notre société. Tant que le respect d'autrui et le bien commun restent des valeurs en disgrâce comparées au profit le ROI sera effectivement roi.
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[^] # Re: Avant même les GAFAM
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au lien Marché noir de la vente de données de localisation aux États-Unis.. Évalué à 2. Dernière modification le 12 février 2019 à 11:55.
Oui à peu près autant autant que les règlements intérieurs des telcos qui vendent les données ou que les incantations d'un shaman. Tant qu'on ne se donne pas les moyens de faire appliquer un règlement, les chances qu'il soit contourné sont plutôt élevées.
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[^] # Re: Quel pouvoir à l'état ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Urgent : appel à mobilisation de l’April pour une priorité au logiciel libre dans l’éducation !. Évalué à 2.
Heureusement que suivant les préceptes évident pour tout marchés public, l'état a choisi une solution libre que les acteurs de terrain pourront améliorer rapidement avec le temps ? ou pas du tout ? :-(
Ça me rappel l'article sur l'informatique à l’hôpital (Américain) de la revue de presse de l'April. Et le nombre d'exemples similaire paraît incalculable. Et quand une loi visant à éviter ces désastres coûteux et inutiles est proposée, les fameux et auto-proclamés pragmatiques nous serines que nous serions doctrinaires à vouloir voir l'état et les collectivités privilégier les logiciels et formats libres. Que dire ???
Affligeant. Je retourne faire l'anachorète dans ma caverne, temple d'un fanatisme d'un autre age.
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[^] # Re: Quel pouvoir à l'état ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Urgent : appel à mobilisation de l’April pour une priorité au logiciel libre dans l’éducation !. Évalué à 3.
Pouvez-vous nous en dire plus sur ce scandale ? Mon ami omniscient a un un peu de mal à trouver l'information avec les mots-clefs « scandale, e-lyco, Nantes ».
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# Machine virtuelle
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message Linux sous Windows (non fonctionnel). Évalué à 5.
L'ordi ayant l'air décemment puissant, une solution pourrait être :
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# Les deux plaies
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de presse de l’April pour la semaine 5 de l’année 2019. Évalué à 7.
Un article qui me plaît parce qu'établissant le lien entre deux grandes plaies de ce temps. Celui intitulé : « Des effets des outils sur nos pratiques : pourquoi les médecins détestent-ils leurs ordinateurs ? »
L'article montre bien comment les logiciels privateurs se combinent avec une administration paresseuse pour annihiler les progrès potentiellement apportés par l'informatique. Ici dans le domaine médical.
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[^] # Re: Point problématique 3
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au lien SELinux expliqué aux administrateurs frileux. Évalué à 5.
Un peu comme toutes ces couches de sécurité critique sur lesquelles sont apparues des failles béantes ouvertes depuis des temps quasi-immémoriaux (en terme d'informatique bien entendu :-).
Que le code ait été sérieusement audité est assurément utile voire indispensable. Mais qui peut une seconde penser que ce soit une garantie ? S'il est facile d'introduire par erreur une faille qui résiste aux regards scrutateurs les plus suspicieux, ne peut-on pas imaginer — sans sombrer dans la psychose — que des experts de hauts niveaux soient en mesure d'en introduire de manière encore plus pernicieuse ?
Par ailleurs l'article ne cesse de rappeler cette évidence qui est assurément une faille béante : SELinux est si compliqué à configurer que nombre d'administrateurs y renoncent. Probablement y en a-t-il qui renoncent également à vérifier attentivement l'ensemble des règles par défaut, et l’interaction des nouvelles avec les anciennes. Ne serait-ce pas un vecteur tout indiqué pour l'introduction de brèches dans cette belle muraille ?
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
# Point problématique 3
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au lien SELinux expliqué aux administrateurs frileux. Évalué à 4.
À mon sens ce serait le seul passage qui pèche d'un article par ailleurs très didactique. Le jour où des services de renseignement officiellement et officieusement d'intérêts divergents avec ceux des USA (par exemple ceux de l'Iran, de Russie, de Chine…) recommanderont aussi SELinux, on devrait pouvoir admettre que le code a été audité de manière très sérieuse sans plus s'inquiéter de la chose. En attendant, la genèse à la NSA de ce code reste pour moi une objection quant à sa sécurité ; du moins pour quiconque craint la NSA.
En ce qui me concerne avoir la garantie que seule la NSA dispose d'une porte ouverte sur mes serveurs ferait de moi un (petit) admin heureux.
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[^] # Re: Fascisme 1.0 et Fascisme 2.0
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal La France n'est pas une dictature mais. Évalué à 6. Dernière modification le 01 février 2019 à 08:11.
Sur le fond, bien d'accord, mais sur la formulation un petit détail me chagrine.
Le fascisme 2.0 décrit n'est justement pas du fascisme. Si au cours du XXème siècle de grandes puissances financières ont réussi à détourner la résistance des peuples à leur encontre en la transformant en haines des étrangers, des juifs, des homo-sexuels, des handicapés… La dictature douce à la Huxley n'a rien d'un fascisme dans la mesure où elle ne part pas du peuple. Est-il nécessaire de rappeler que le fascisme se base sur la constatation qu'un peuple uni — comparé à un fagot (=fascia en Italien) de brindilles — peut résister aux forces de ceux qui l'oppriment ?
Ce que votre commentaire appel fascisme 2.0 ne paraît-il pas au précisément le contraire de ça ? C'est-à-dire un arrangement social[*] lénifiant permettant d'éviter toute forme de fascisme : le peuple est tellement amolli qu'on devrait pouvoir aller jusqu'à l'éliminer totalement — via crise climatique par exemple — sans trop de difficultés ?
[*] Mon dictionnaire de français (Atilf) ne connaît pas encore le terme sociétale. D'après l'atlas sémantique du CNRS, ce terme est d'abord apparu en Anglais comme synonyme de social -> societal. Le processus est assez évident dans cette langue dans la mesure où la première estimation du niveau culturel est à l'aune de la longueur moyenne des mots employés. Un syllabe de plus, c'est toujours ça de pris.
En Français actuel l'effet est précisément le contraire. Ce sont par exemple les emplois du mot juste ou d'emprunts rares au Grec, au Latin… qui serviront de marqueur primitif d'un niveau socio-culturel (pardon devrais-je dire sociéto-culturel ?) élevé ; assister à une soutenance de thèse dans une matière littéraire est très édifiant sur ce point. En revanche les emprunts à l'Anglais sont considérés comme des barbarismes indésirables ; probablement parce que soupçonnés de provenir de la domination Hollywoodienne. En particulier pour remplacer un mot préexistant en Français par un parfait synonyme.
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[^] # Re: Les plus populaires
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Les arts martiaux. Évalué à 0.
Avant la télé, il y a surtout la troisième guerre mondiale[+] qui a beaucoup contribué de deux manières :
Des écoles de combats efficaces existent plus ou moins dans toutes les nations ayant des armés. C'est un peu une nécessité. Lors de la dernière guerre mondiale, les Japonais ont beaucoup impressionnés leurs adversaires (Américain, Australiens, Gibis…) par leur aptitude au combat corps à corps. D'où un intérêt certain de la part des hiérarchies militaires de ces pays, puis de leurs alliés, puis d'un peu partout. Il faut croire que les écoles d'arts martiaux japonaises, avaient atteint une efficacité supérieure à celle de leurs adversaires. Peut-être pour des raisons techniques ? mais peut-être seulement pour des raisons culturelles (plus grande pratique des arts-martiaux dans la société) ? Qui sait ? Quoiqu'il en soit, l'intérêt était là.
De surcroît, après la capitulation, les Américains occupant le Japon y ont aussi proscrit toutes les écoles d'arts-martiaux[**] — ceci justement suite aux quelques déboires essuyés par les GIs opposés aux faces de citrons. Une population massivement formée d'enseignants, se retrouvait sans travail dans un pays en ruine, avec des offres d'emplois un peu partout dans le monde. La diaspora ne s'est pas fait attendre. Un peu comme en 70. Avec les mêmes effets, mais cette fois pour une pratique sportive plutôt que religieuse.
[+] Beaucoup oubliant la guerre de sept ans disent seconde guerre mondiale.
[**] À l'exception de celle d'Aïkido me semble-t-il.
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# Un grand cru
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de presse de l’April pour la semaine 3 de l’année 2019. Évalué à 2.
Beaucoup d'articles tout à fait digne d'intérêt et qui méritent d'être largement diffusés. En particulier, selon moi
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[^] # Re: Débats contradictoires
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Directive droit d’auteur : bientôt la dernière ligne droite pour enterrer un texte liberticide. Évalué à 4.
Selon moi — et en toute humilité également — il faut aller jusqu'à interroger ces principes-là. En particulier, souhaites-t-on vraiment maximiser la production de contenus ? Est-ce réellement une nécessité ? Et quels contenus ? Doit-on privilégier la qualité qui résulte du système concentrationnaire que l'on connaît ? Ou bien serait-il plus pertinent de redonner ses lettres de noblesses à une culture populaire. NB : le choix de la formulation rend volontairement explicite mes propres biais de réflexion.
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[^] # Re: Débats contradictoires
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Directive droit d’auteur : bientôt la dernière ligne droite pour enterrer un texte liberticide. Évalué à 5.
Un exemple illustre bien le problème de cet article tel qu'il est rédigé : c'est celui de la censure exercée à l'encontre de l'article sur la censure de J.Reda. Intéressante mise en abyme.
En gros les opposants à la censure généralisée et automatisée (qui plus est au main des ayants droits) craignent qu'énormément de contenu soit indûment censuré. Et pas seulement des vidéos de chatons mais aussi des articles plus politique. Certains craignaient pour l'avenir. Mais finalement l'exemple ci-avant montre que ces craintes sont plutôt justifiées et ce dès aujourd'hui.
Sur ce je suis bien d'accord avec Arnaudus sur cette nécessité : le droit doit s'appliquer. La question est comment. Parfois, force et de constater que des privilèges qui avaient été accordés pour des raisons tout à fait valides, ne sont plus compatibles avec la technologie, voire plus forcément nécessaire. On peut tenter de les maintenir au forceps (Dadvsi, Hadopi, DMCA… et encore actuellement ces fameux articles en question ici) ; avec l'efficacité et les effets de bords que l'on connaît. Mais ne serait-il pas plus raisonnable de reposer proprement l'équation pour y intégrer deux siècles d'évolutions ?
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[^] # Re: 21 janvier
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Directive droit d’auteur : bientôt la dernière ligne droite pour enterrer un texte liberticide. Évalué à 5.
Quelques détails en anglais sur ce qui se passe mal par J. Reda, députée au parlement européen.
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# LaTeX
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Hackathon Factur-X le 24-25 janvier 2019 à Paris. Évalué à 3.
C'est une excellente approche d'un point de vue libriste : ça permet de distribuer le produit fini pour ceux qui le souhaitent, tout en y accolant la source pour les rares occasions où elle servira.
Le même problème se pose par exemple avec LaTeX : quand j'envoie mes énoncés à mes collègues je leur transmet le pdf qui est destiné à être lu. Mais s'ils veulent réutiliser, ou corriger ce serait plutôt la source qui leur conviendrait.
Voir ce journal m'a poussé à dégainer une recherche, et un outil très efficace existe en LaTeX pour la même fonctionnalité :
embedfile, qu'on peut employer ainsi :
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