Ysabeau 🧶 a écrit 7449 commentaires

C'est tellement sympa sur l'animal totem de Linux et ça change des liens un peu déprimants. Pour ce qui est des cailloux pour séduire ces dames, on ne saurait trop vous rappeler, amis linuxiens, que les diamants sont les meilleurs amis d'une femme (vidéo).

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Tu te doutes bien que si j'ai réagi c'est que j'ai des éléments venant d'autres sources. Et que tout ceci est loin d'être clair…

Non je ne m'en doute pas puisque tu ne daignes pas sourcer ton propos et que tu préfères attaquer l'auteur (qui poste à visage découvert) comme d'habitude.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Espérons que quelqu'un va u penser :-) en effet.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Quelqu'un d'un peu curieux serait allé lire l'article et aurait cliqué par exemple sur Support LibreOffice pour l’état Français (partie 1) où l'auteur explique que :

la version publiée actuellement (LibreOffice 7.6.7.2.M5) est affectée par deux CVE : CVE-2024-12425 et CVE-2024-12426.

Et indique en début d'article :

Cela fait plusieurs mois que l’État français a changé de prestataire pour faire ses versions MIMO. Les versions MIMO précédemment packagées par l’éditeur de logiciel libre Collabora en collaboration avec Arawa sont maintenant produites par l’ESN Linagora. Je tiens tout de même à préciser que le point de vue développé ici ne représente pas celui des entreprises cités ni celui de The Document Foundation, uniquement le mien. Je n’ai par ailleurs aucun intérêt dans les entreprises citées.

Avant de faire un procès d'intention.

Maintenant si on veut d'autres points de vue, on prend son clavier, ses doigts et on va les chercher.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Oups, j'ai rajouté l'info dans le titre. J'ignorais complètement le bidule wifi.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Du point de vue grammatical, tu as raison

C’est faux, en fait. Le neutre n’existe pas en français, le masculin peut seulement être considéré comme un masculin générique ce qui n’est pas la même chose. Et, n’importe comment, en latin, le neutre ne s’adressait pas aux personnes, sauf aux esclaves (qui n’étaient pas les personnes les mieux considérées et étaient de fait « chosifiées »).

Quelques références :

• Pourquoi n’existe-t-il pas de genre neutre en français ?
• Masculin, féminin: et le neutre? Le statut du genre neutre en français contemporain et les propositions de « neutralisation » de la langue
• Femme, j'écris ton nom… : guide d'aide à la féminisation des noms de métiers, titres, grades et fonctions
• Sexe et genre en français
• Le français n’est pas en « péril » face à l’extension du féminin
• Communiqué de presse : « Le masculin fait le neutre… » ou pas.

Je reconnais que ces références ont quelques défauts, le principal étant d'être le fait de linguistes.

Pour le reste de ton propos par contre, tu as raison 🙂 évidemment.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Tu es en retard d'un prétexte, le dernier à la mode c'est la lutte contre le narcotrafic jusqu'à la prochaine mode.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Les messages restent sur l'instance d'origine. En revanche, il y a effectivement des posteurs (et des posteuses) compulsifs et des gens qui utilisent le microbloging en lieu et place d'un site ou d'un blog.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

J'ai dû changer d'instance parce que Zaclys va couper Mastodon.

Quant au processus de migration, désolée, mais il est simplissime, une fois expliqué. Tu peux me dire comment tu migres d'une instance Facebook ou X à ? Ah ben tu peux pas. Et le fédiverse est vraiment accessible au grand public, je le vois tous les jours.

Maintenant si, par comportement sectaire, tu parles du rejet des discours d'extrême-droite, personnellement, ça ne me gêne pas car ce discours est devenu omniprésent. Avoir des espaces un peu respirables, ça fait du bien.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

J'ai seulement invoqué la facilité d'accès et la gratuité monétaire. Rien de plus. Personnellement j'ai supprimé mon compte Facebook. Mais il faut tenir compte d'une certaine réalité.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Mais avoir un compte Facebook est facile et sans contrepartie monétaire.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Les endives au jambon et à la sauce blanche c'est la pire manière de faire les endives. Mais je crois qu'on s'égare.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

C'est parce que tu ne les cuis pas comme il faut, tes endives, service.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Et je le comprends pleinement !

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Pourquoi ?

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Précise : pour cet éditeur. Ce n'est pas un ou une internaute lambda. C'est quelqu'un qui utilise Meta pour sa com' professionnelle.

C'est pas évident : Facebook c'est facile d'accès, c'est gratuit (on ne verse pas d'argent) et "tout le monde y est". Les solutions : informer, former, aider, orienter les gens vers des solutions diversifiées. Rappeler l'existence d'outils comme les listes de diffusion, rappeler que mettre tous ses œufs dans le même panier n'est pas une bonne idée, etc.

Mais, si tu es une petite asso de quartier informelle que tu veux réunir les gens sur un projet genre (exemple réel) : l'entretien des bâtiments (ascenseurs, parties communes, etc.), Facebook restait ce qu'il y a de plus simple.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Ce genre de situation est effectivement très déplorable et triste. Et cela illustre bien le fait qu'il ne faut en aucune manière faire une totale confiance à ce genre de réseaux sociaux.

Dans les commentaires de l'article, il y a une librairie lyonnaise qui a le même problème.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Un peu comme si on laisse des gangs dans les rues agresser les gens en leur expliquant vous n'avez qu'à apprendre un sport de combat ou faire appel à une société de sécurité…

Ben c’est bien ce qui s’est passé, se passe encore pour les femmes : « si vous ne voulez pas être agressées, habillez-vous comme ceci ou cela, ne sortez pas seule le soir, ne soyez pas jolie, ne soyez pas jeune, ne soyez pas polie avec les hommes, ne sortez pas sans un homme pour vous protéger, etc. »

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Ça pourrait être pire, iel pourrait être d’origine béarnaise (le Béarn, ses bérets, ses premiers ministres centristes…).

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Apparemment, la personne de la BnF qui a posé la question va soumettre un ticket à son organisme.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Mais non, ça n'est pas un bricolage, c'est LA solution, la manière dont l'administration gère cette situation.

Fallait préciser le contexte. Et cela revient à indiquer une fausse identité. Ce qui est assez ennuyeux donc absolument pas une bonne solution satisfaisante.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Il y a une nuance entre avoir un prénom qui peut être aussi un nom de famille et un prénom et un nom de famille identiques. Vu le nombre de règles à la noix qui peuvent exister dans les systèmes informatiques, comme imposer un prénom ou un nom d'épouse, je ne vois pas pourquoi quelqu'un n'y aurait pas pensé.

Et mettre deux fois la même info pour une personne qui n'a qu'un nom et pas de prénom, c'est indiquer une fausse identité.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Imagine, Alexandre LAURENT et Laurent ALEXANDRE invités à la même sauterie.

Et les petits problèmes qu'a peut-être eu Roger ROGER (et qu'aurait pu avoir un certain Antoine s'il avait le nom de sa mère, ANTOINE donc).

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Une solution peut exister plutôt. Si ça a été configuré pour que le champs nom soit différent du champ prénom, c'est fichu.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Si tu veux pouvoir poursuivre en justice un malotru européen, tu peux tenter le coup. Mais si c'est un ado Philippin qui passe par un proxy aux Malouines, tu as autant de recours légaux que si tu portes plainte contre une météorite pour homicide involontaire.

Alors, si ça n’a pas changé (et je doute que ça ait changé d’ailleurs), le principe qui s’applique est celui où l’infraction est constatée. C’est pour ça que le RGPD s’applique aux sites américains par exemple et que certains sites américains ne sont pas accessibles en Europe pour ne pas avoir à se plier aux règles du RGPD. C’est aussi pour ça que les sites qui proposent des EPUB dans le domaine public ont souvent un script qui permet de bloquer (ou quel que soit le terme adéquat) les téléchargements d’internautes pour lesquels les œuvres ne sont pas encore dans le domaine public. Les recours légaux existent. Après…

De fait, ton ado philippin peut être poursuivi en justice. De fait aussi, héberger son site web ailleurs qu’en France par exemple, ne fait pas que tu peux y mettre du contenu illicite selon la loi française en toute impunité.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.