Ysabeau 🧶 a écrit 7491 commentaires

Ah mais là, on est bien d'accord.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

La principale tâche des enseignants, en dehors des heures de cours c'est la préparation des cours et la correction des devoirs. Ça ne nécessite aucune connexion que je sache.

Que les notifications arrivent à tout moment ne signifie pas que le personnel enseignant soit corvéable et taillable à merci. L'ambitus d'une journée scolaire est suffisamment ample pour que cela suffise.

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Bosser, à temps choisi (si on peut dire), en dehors des heures ouvrables n'est pas la même chose que d'exiger des enseignants qu'ils doivent se connecter à tout moment aux applications professionnelles. C'est le point que je soulignais. Et ce n'est pas du tout la même chose. Dans le second cas ça rajoute un stress supplémentaire inutile.

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Non, c'est un avocat ! C'est plutôt un genre de figure de style.

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J'ai, évidemment, fait des bêtises, mais tout baigne et tout est propre ! Hourra !

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Et ça peut éviter les réponses trop rapides et parfois maladroites.

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Non, tu ne te trompes pas, en effet, parce que ça fait moins que deux et que le pluriel commence à partir de deux. C'est une réponse très sérieuse, je précise.

Pour compléter (ça n'a rien à voir, mais quand même ça peut servir), plusieurs c'est à partir de trois.

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Et encore moins en période de repos : week-ends, vacances, soirées et nuits. D'ailleurs les élèves ni les parents n'ont à avoir le numéro de téléphone personnel des enseignants et d'une et de deux, comme tu le soulignes, il y a suffisamment de temps dans une journée pour se connecter aux applis professionnelles.

Edit : et j'ai bossé dans l'enseignement avant tout ça. La salle des profs c'est super efficace en effet pour échanger avec les collègues.

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Pourquoi à tout moment ? Qu'est-ce qui justifierait qu'un enseignant ou une enseignante doive accéder à tout moment, donc y compris en dehors des heures ouvrables à des applis professionnelles ?

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Réussite aux examens et au permis de conduire, retour de l'être aimé aussi ? Mais je confonds peut-être avec autre chose.

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Les tarifs de traduction prévoient l'utilisation (moins cher payé) ou pas d'outils automatiques.

Oui ça fait gagner du temps sur certains types de texte, et à condition d'avoir des traducteurs et des traductrices bons et des vraies relectures. Déjà sans traduction automatique, tu as des traductions qui sont pourries : quasiment du mot à mot ou avec des contresens, etc.

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Et j'ai fini par mettre le doigt sur ce qui me titillait l'arrière crâne : le fameux JeffBezOS !

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Merci.

Je viens de signaler ça sur le forum MLO. Si une modification du wiki s'impose, elle sera faite j'imagine.

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Perso j'utilise Wikipédia ou mes propres textes.

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Sur le coup je me suis demandée s'il y avait réellement eu un système d'exploitation BedOS :-)

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Ça vient du nom des fondateurs. Un certain nombre de noms de familles, en France et, quasiment partout ailleurs, sont des noms de métiers.

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Travailler avec du vrai texte permet d'éviter certaines incongruités d'affichages, ce qui n'est pas le cas du faux texte. Cela permet aussi de mieux peaufiner la mise en forme.

Le faux texte est probablement plus utile pour le papier car le contenu doit occuper des contenants figés, ce n'est pas le cas des sites web. Bref, laisser tomber les vieilles habitudes de PAO et travailler enfin de façon ben moderne quoi.

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Personnellement je me serais aussi attendue à une synthèse de la proposition de loi avec des citations des extraits problématiques étant donné que l'April suit le projet depuis le mois mai 2023, j'imagine que cette synthèse doit exister.

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Ben justement ! S'il devient nécessaire de se procurer quelque chose, ici un logiciel pour contrer la loi et garder une petite portion de liberté c'est que ça cloche gravement et qu'il est trop tard.

L'idée, est de ne pas en arriver à cette extrémité, et donc de ne pas laisser faire.

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Ah oui je me suis emmêlée les pinceaux dans les images. Bref.

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Les États-uniens n'ont aucun problème à imposer leur loi au monde entier, ils en ont toujours à accepter que les lois des autres États peuvent les concerner et qu'on puisse faire pareil qu'eux sur ce sujet. 🙂

J'avais vu ça quand l'UE a imposé une TVA sur les ventes de patrons de tricot sous forme électronique (bon la loi est plus générale, mais c'était le sujet en l'occurrence) et, évidemment, quand le RGPD est devenu obligatoire.

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Tu as coupé juste avant la partie intéressante, où justement je soulignais qu'il fallait plutôt que les gens apprennent à récupérer leurs libertés (pouvoir compiler une version de firefox sans censure, ou savoir qu'il était nécessaire de s'en procurer une), plutôt que de rester passif fasse aux exactions du gouvernement.

Ce n'est pas en bidouillant un logiciel, à condition qu'on en soit capable, ce que je ne suis pas, qu'on récupère notre liberté. Ce projet de loi est une pierre de plus dans le cercueil de nos libertés : liberté de communiquer, de manifester, etc.

Ce n'est pas en allant dans l'illégalité, car il sera illégal d'avoir ce type de logiciel, qu'on récupère notre liberté. Si on en arrive là, c'est qu'il est un peu tard.

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Ici des infos

https://www.deblan.io/post/653/signez-la-petition-pour-empecher-la-france-d-obliger-les-navigateurs-tels-que-firefox-de-mozilla-a-censurer-des-sites-web

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C'est mieux que 2024-02, merci. En prime ça fait "numéro de version normal" si tu vois ce que je veux dire, alors que 2024.02 pourrait être trop déconcertant.

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Alors on va me dire, si c'était si bien avant, pourquoi les utilisateurs n'utilisent pas encore leur vieux pentium 233mhz d'il y a 25ans. La vérité est que beaucoup le feraient si les mises à jour logiciels n'avaient pas rendu leur machine de plus en plus lente. La plupart des gens remplacent leur PC parce qu'ils y ressentent une lenteur qu'il n'avait pas au début, pas parce qu'ils ont besoin de fonctionnalité supplémentaires.

Ou parce que le logiciel n'est tout simplement plus maintenu/développé pour leur type de machine. Ce qui est rageant quand tu en as une qui fonctionne tout à bien, tu peux supporter un peu de lenteur (mais pas trop).

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