Ysabeau 🧶 a écrit 7491 commentaires

Oui mais les drogues licites rapportent beaucoup d'argent (dont un paquet est défiscalisé par les grand pontes du lobby de l'alcool qui font un peu la pluie et le beau temps à l'Élysée).

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Faut voir les choses en face, le gars est super endetté !

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Tu verras bien !

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Médine s'en est expliqué dans les médias. Il semble qu'il est simplement pas très malin et pas très cultivé, mais pas antisémite.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

J'ai lu, ça ne me rassure pas pour autant.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Services numériques publics : l’État place le design au centre de sa stratégie pour optimiser l’expérience des Français sur les sites internet et applications mobiles

C'est assez jargonnant et je me demande ce que ça veut bien vouloir dire concrètement. Je crains le pire.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Pour la tenue d'un stand, du temps de Yann Le Pollotec, mais j'imagine encore maintenant, on avait des accès gratuits. Mais c'était lié au fait que l'espace numérique libre était financé par un financement participatif. Et je connais des gens qui tenaient à payer leur entrée bien que tenant un stand.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Les premières personnes qui vont souffrir d'une famine sont celles qui, maintenant, ne gâchent pas la nourriture. Celles qui, en France, commencent à se priver de repas.

Toi, tu ne pourras plus gâcher de la nourriture, mais les personnes qui ont de petits revenus ne pourront plus s'alimenter.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Purée, j'ai oublié d'envoyer la page sur le serveur.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Objectif inatteignable quand on voit les conséquences des sécheresses. Revoir des famines en Europe est tout à fait possible.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Qu'il faille cumuler des emplois pour subsister, non, pas dans le cadre des USA. Que seuls certains pays aient les moyens de "produire" des prix Nobel, non plus et encore moins dans un monde où la pauvreté s'accroît à mesure que la richesse d'une petite poignée de gens s'agrandit.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Merci pour l'info, notamment l'adresse du site eaysbnf.fr. Laquelle interface simplifiée n'est pas accessible via l'espace personnel (ou alors je n'ai rien compris au système et je ne clique pas où il faut).

Précision : le compte BnF coûte 24 € par an, réduction possible en fonction des revenus.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Le temps libre des Américains qui doivent cumuler les emplois pour pouvoir payer une assurance maladie et économiser pour leur retraite ?

Le taux de de prix Nobel (curieuse référence), notamment sur le plan scientifique, est généralement à corréler avec la richesse d'un pays qui peut, ou pas, payer des infrastructures de recherche coûteuses et qui a aussi les moyens de le faire savoir (c'est valable pour la littérature d'ailleurs).

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Il me semble que c'était le cas des Kibboutz en Israël au début. En fait le problème c'est qu'un système qui va bien fonctionner finit souvent par dégénérer. On le voit avec,le capitalisme. Qu'il y ait des gens dont la richesse est supérieure au PIB d'un État de petite à moyenne importance quand une grande partie de la population mondiale est pauvre, est totalement inadmissible.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

C'est tout à fait correct en effet !

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Le commentaire n'a pas été moinssé, c'est son auteur qui est en négatif. Il poste à -quelque chose.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Apparemment le 30 octobre : https://fr.ulule.com/galae-le-service-email/news/-campagnee-reussie-c-est-maintenance-que-tout-commence--380656/?published#anchor

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Ou "La Techno française" pour faire court.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Manque de culture, ignorance du secteur, vision du bout du nez, manque de réflexion mais grosse idéologie.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Découvert par hasard, ce site recense une tonne de flux (dont un qu'on connaît bien ici) :

http://atlasflux.saynete.net/

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

C'est belle et bien ;) oublier la problématique de la traduction des langues et des choix qui sont faits, j'ai bien du mal à imaginer des textes qui signifient exactement la même chose dans deux langues différentes. Il y aura forcément de la sur ou de la sous-spécification (et je ne vais pas lister tous les effets déformants systématiques d'une traduction [ceci dit, y'a un beau texte de Tristan Berman là-dessus]). Et un mếme texte écrit ou oral ne contiendra pas les mêmes informations, sans compter qu'habituellement ces deux "formats"/modalités de textes sont rarement rédigés de la même manière.

En fait c’est même plus complexe que ça. Une bonne partie des textes est polysémique, et, si on ajoute à ça toutes les connotations et dénotations qui environnent les mots, le contexte, le moment où c’est dit (ou lu) et les personnes, un texte peut être compris de façon différente par une personne donnée.

Un exemple qu’on peut citer c’est celui-ci :

« c’est le moment de passer à table ». En fonction du contexte, le sens est radicalement différent sans que les mots changent de sens. D’ailleurs, le mot « table », lui-même, en français peut avoir une multitude de connotations en fonction des personnes, des secteurs dans lesquels elles travaillent, et, évidemment du moment de la journée. Et même si on se restreint au seul meuble sur le plan strictement matériel, les connotations vont varier : chiffre d’affaire, opération, composition musicale, travail du bois, et, évidemment, repas (a priori, d’ailleurs, il n’y aurait que dans la restauration que le mot table fasse d’abord penser au chiffre d’affaires au moment du repas). Le contexte n’éclaire pas toujours.

C’est un des grands intérêts de la littérature. D’une certaine manière, on ne relit jamais exactement le même livre et le voisin ou la voisine de palier aura lu un livre un peu différent.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Euh tu fais partie de l'équipe de modération ?

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Soit c'est de la mauvaise foi, soit c'est du troll, soit ce sont des insultes. Parce que l'esthétique des dépêches et les prouesses qu'ont peut accomplir en la matière sont très limitées sur LinuxFr.

Et je ne vois pas beaucoup de dépêches qui privilégieraient l'esthétique au contenu, ni qu'on laisserait passer des dépêches nulles mais avec un joli emballage.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Oui mais ça oblitère le fait qu'on utilise maintenant beau à la place de bon ailleurs ! Et c'est bien ça qui m'agace.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Large aussi remplace grand, faux ami également. Versatile, à la place de polyvalent, multi-couleur à la place de… multicolore, là ce n'est pas un faux ami, mais disons hypocritement un manque de recherche dans un dictionnaire.

D'ailleurs tu parles de casting, avant on parlait de distribution.

Et maintenant sur France-Musique, les présentateurs se sentent obligés de parler "d'encore" pour les bis.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.