la vie palpitante d'homme au foyer … et comment on écrit des logiciels pour se libérer du quotidien
C’est là qu’on voit l’écrasante supériorité organisationnelle de l’homme.
Contrairement à la femme, il peut assurer la bonne tenu d’un foyer tout en se libérant du temps pour écrire des programmes et jouer de la bass. Ceci sans geindre sans cesse pour se plaindre de sa condition et de sa charge mentale.
On a beau garder à l’esprit qu’elles n’ont pas notre force et notre intelligence,mais sont prompts à la colère et au désarrois, c’est toujours surprenant de les entendre soupirer ou pire pour remplir la soupière de devoir passer leur journée à s’amuser avec les enfants et concocter de bons petits plats pour toute la famille ! Même celles qui profitent de ne pas avoir de domestiques pour faire leurs courses et jouissent de ce fait du petit plaisir qu’est de se rendre au supermarché, et d’y rencontrer tous ces gens si charmant, réussissent encore pourtant à se plaindre de ne pas avoir ceci ou cela ! De l’attention, de l’aide, de la considération et je ne sais quelles autres balivernes futiles dans la même veine.
J’espère que demain tu rédiges une doc sous SCAM pour le lavage des carreaux et un manuel pour apprendre à se servir du lave-linge. :p
Il y en a quelques uns. Pas des tonnes hein, c’est pas une quelconque tradition débile de poster des totoz d’Hitler, ou des totoz de quelques sujets en particulier sur la tribune.
Je pense notamment au totoz “xcellent” ht࿖tps://࿖ totoz.eu࿖ /totoz࿖ /xcellent࿖ que je trouve excellent. (retirer les svastika dextrogyres pour avoir le lien)
Il a pu m’arriver de l’utiliser et si je m’en abstiens désormais c’est que la modératrice en chef souhaite ne pas le voir. Je ne suis pas d’accord avec elle sur le principe, que ça puisse participer à banaliser le nazisme, bien au contraire d’après-moi, mais parce qu’on m’a appris à suivre autant que faire ce peut les règles que les gens imposent chez eux.
J’ai un gros problème avec cette volonté de faire disparaître des éléments de l’Histoire et de la conscience collective comme j’ai du mal à comprendre ceux qui n’acceptent pas que l’Humour (avec du gros hasch !) ça ne veut pas dire « rire gaiement pour se détendre », mais que c’est au contraire un mode d’expression spécifiquement destiné à traiter des sujets les plus « malaisant », des tabous, des haines et bassesses des uns et des autres, et que fatalement, quand on s’applique à exceller, à mener jusqu’au bout ce principe primordial de ce qu’est l’humour véritable, on vexe, blesse et révolte une partie de son auditoire, on en laisse toujours une grande partie indifférente, parce qu’elle s’en fout, on fait passer à l’acte une infime minorité de psychopathes qui sans nous seraient passé à l’acte que plus tard, tout ça pour passer un message à une poignée ou les réconforter et leur donner confiance.
L’humour est bien plus violent que le drame. C’est précisément pour ça qu’on en rit.
« Il ne faut pas croire que, il faut vérifier que. »
Citation supposément de Claude François, qui dans dans son affabilité légendaire aurait sorti ça a un des ses assistants qu’il engueulait copieusement pour avoir commis quelque erreur. Je trouve la phrase très intelligente. Cela pourrait vouloir dire qu’elle en est totalement dénuée, certes, mais ça je ne peux pas en juger moi-même. À vous de vérifier vous-même en cas de doute sur sa pertinence. ;)
Ceci étant dit tu as raison. On ne peut pas toujours ne laisser aucune place à la croyance, car on ne peut pas toujours tout savoir d’un problème donné. Sachant pour commencer que croire qu’on sait tout, c’est déjà croire, faire confiance à soi-même.
Ne fais confiance à personne, jamais ?
« Toujours vérifier qu’on peut faire confiance ». Par cette phrase quelque peu paradoxale ce que je veux dire c’est que pouvoir toujours, ou même le plus souvent possible, faire confiance, ne peut être que souhaitable. Ça libère soi-même de l’effort de la vérification, de la recherche, donc en effet, ne faire confiance à personne, jamais, ne jamais être en mesure de le faire, c’est, je pense, une défaite pour soi-même. L’inverse, toujours pouvoir faire confiance, étant une victoire remarquable.
Depuis quelques années je réalise que la confiance, en soi-même en premier lieu, mais surtout la confiance en l’autre, est, j’en suis chaque jour plus convaincu, l’objet le plus précieux qu’on puisse donner et recevoir. La confiance est éminemment précieuse, par le travail qu’elle requière quand il s’agit de l’obtenir, ou de par la prise de risque qu’elle représente lorsqu’il s’agit de la donner. En même temps elle s’altère, voire disparaît, pour des raisons parfois presque insignifiante.
Pour finir, entre d’un côté croire, sur parole et définitivement, et de l’autre côté remettre en cause jusqu’à la plus petite affirmation, il n’y a pas qu’un pas, ni même deux ou dix. On peut croire plus ou moins fort, comme croire temporairement. D’après-moi. (non, vraiment, je ne peux pas tout ce boilerplate inutile ! ^^)
Il y un gouffre immense au creux duquel un magma de doutes et de certitudes produit une réaction psychique des unes avec les autres et tout ce qu’on peut y tomber. C’est une faille béante et vertigineuse qu’il est préférable de ne pas regarder trop longuement ou trop intensément, c’est vers l’avant que l’on doit porter le regard lorsque l’on chemine d’une rive à l’autre sur le frêle pont qu’est notre vie au dessus du gouffre. À l’arrivée c’est bien souvent des deux dont dont on aura essuyé les projections. Cette matière visqueuse et brûlante c’est le « poids de l’existence ». On ne sait même pas s’il y a des douches au bout. Vu la gueule du pont, au rabais, certainement pas aux normes universelles, je crois qu’il n’y en a pas mais j’en ai pas la certitude. Vous pourrez vérifier « tasson ».
Je n’ai pas essayé, que l’existence m’épargne cette épreuve, je la supplie d’avoir pitié de moi. J’ai bien senti que c’était installable pour de vrai et c’est l’aspect un peu terrifiant de ce journal. ^^
Mais j’ai bien rigolé (enfin souris, je rigole pas tout seule devant mon écran quand même, enfin, c’est rare !)
Je suis sûr qu’au delà de l’aspect blague, caricature, du truc, il y a quelques enseignements à en tirer. Ne serait-ce que voir ce qu’il ne faut pas faire. /o\
Surtout qu’un parc informatique d’un lycée a je pense, plus que d’autres parcs info, intérêt et vocation à présenter une hétérogénéité importante. « Renouveler tout le parc » semble complètement irréel. Au point que j’y crois pas à priori.
Ceci dit j’ai peur qu’il y ait en effet un gâchis certain, par des achats « forcés » par des commerciaux prêts à tout.
Perso j’ai eu l’occasion dans ma vie, de voir végéter pendant plus d’un an, dans la cave d’une entreprise, des UC, écrans et tout ce qu’il faut, absolument pas obsolète, et qui devaient effectivement, à ce qu’on m’a dit, être revendus sur le marché de l’occasion. Quand j’ai quitté l’entreprise il y étaient encore.
J’ai découvert qu’on peut empiler 20 boîtiers Dell en plastique sans que celui du dessous ne s’écrase ! Et j’ai pas participé à ces empilements juste pour voir combien on pouvait en mettre, mais parce qu’il y en avait des piles et des piles…
Et ça c’était des UC qui avait deux ou trois ans, des « vieilles UC »… Mais des UC neuves n’ayant jamais servi et qui se retrouvent entassées ici et là, c’est beaucoup plus courant qu’on pourrait le penser. C’est comme les logements vacant en fait…
Tu l’as bien écrit. C’est un terme générique applicable à de nombreux domaines. C’est en quelque sorte une entité, un agent, qui vient « casser », rompre, un flux entre deux entités, en tous cas, s’y interposer pour en tirer partie. Le broker maintient un flux, de nature différente évidemment, entre les deux entités. Le but c’est que le flux soit plus efficient ainsi, et que des flux supplémentaires se créent du broker vers d’autres entités.
La page FR du Wiktionaire explique qu’il y aurait une étymologie commune avec « brocanteur » :)
À ne pas confondre avec un breaker, qui pour sa part ne parasite pas les flux des autres mais est source d’un flux d’énergie artistique qu’il produit par des mouvements circulaires, cadencés et syncopés avec son propre corps.
Je vous invite à ne pas prendre mes définitions comme les plus précises qui soient sans réfléchir, mais plutôt à consulter un dictionnaire, afin de constater que c’est effectivement bien le cas :p
Je crois que tu ne réponds pas au bon commentaire. Si c’est bien le cas, peux-tu expliquer simplement ce que tu veux dire. Je n’ai rien compris. :(
Mais docker je connais, c’est pour manipuler des containers pour fabriquer des pods et des replicas et tout ça ça permet de s’caler horizontalement tranquillou pour faire une sieste.
Qu’elle est mince la frontière entre prétention et confiance en soi, tout comme celle entre entre narcissisme et amour-propre ou encore celle entre acceptance du doute et crainte de l’ignorance.
"je t'impose ma vision et rentres toi bien ça dans le crane les autres sont des c…"
C’est ça que j’ai bien du mal à comprendre pour ma part. Quand quelqu’un me dit que j’ai tort de ne pas penser ceci ou cela, tout ce qu’il m’impose c’est le fait qu’il pense cela lui-même, et qu’il m’invite à changer d’avis. Il ne m’impose à proprement parler rien du tout. Ni d’argumenter contre sa position, ni de taire la mienne, encore moins de changer d’avis.
En conséquence, quand je dis à une personne : « tu as tort, parce que ceci, et c’est mal, parce que cela » ça m’attriste qu’elle y voit du mépris ou de l’irrespect, pour les idées qu’elle a exprimées, à quelques exceptions près, et auxquelles je réponds, pas pour elle, ce qu’elle me donne l’impression d’être, encore moins pour ce qu’elle est réellement, ce qui est impossible sauf à connaître parfaitement la personne en question, chose extrêmement rare dans l’existence, et proprement impossible dans le cadre de discussions par web interposé.
Il ne faut pas croire que je sois comme ça uniquement sur la tribune, j’ai pu constater dans « la vraie vie » des réactions semblables. Alors je reconnais avoir tendance à être très affirmatif, peut-être trop, tout en ayant par ailleurs assez souvent tort, mais je ne conçois pas de débattre, de discuter, en adjoignant à toute affirmation des : « à ma connaissance », « je peux me tromper mais », « je ne suis pas sûr mais », etc… Pour moi, à part avec un⋅e interlocuteur⋅ice en position d’autorité, et même dans ce cas ça se discute, la possibilité que l’affirmation que me fait la personne avec qui j’échange soit erronée, inexacte ou que sais-je encore va-de-soi, c’est une évidence tellement absolue que je juge inutile de l’exprimer. Je reserve donc ce genre de précaution quand j’ai un fort doute sur la véracité de ce que j’affirme (voire une quasi certitude de son caractère erroné).
Je dois bien admettre, d’expérience, que c’est énervant pour un tas de personnes.
La même expérience m’enseigne aussi que de nombreuses personnes adoptent un comportement similaire sans s’en rendre compte. C’est extrêmement courant de mon expérience nécessairement lacunaire et l’analyse forcément imparfaite que j’en ai, que les gens reprochent aux autres leurs propres travers. Comme s’ils pouvaient les minimiser ainsi chez eux, en maximisant leur existence chez les autres. Ou encore, comme si la difficulté de s’adresser à eux-mêmes ces reproches les faisait inconsciemment s’appliquer à les adresser aux autres, car ainsi, au moins, ils les expriment.
un outil simple pour y jeter mes idées et les organiser.
Un éditeur de texte ?
Certes la fonctionnalité unique pour organiser, le couper/coller, est un peu spartiate, mais la simplicité la plus simple est au rendez-vous.
Ensuite, en acceptant de complexifier la solution en y introduisant un brin de « balisage léger » à la asciidoc ou markdown, pour disposer de toute la puissance sémantique de la trinité titre/sous-titre/liste, on fait honneur à ses idées en leur procurant le nécessaire pour incuber et se transmuter en concepts !
l'IA ne fait que ce qu'on lui laisse faire, mais on part de tous les possibles et ensuite on la restreint par des règles.
Ta description me dérange un peu parce que selon moi l’idée derrière l’IA c’est bien qu’elle trouve des solutions à notre place, des solutions probabilistes. Certes dans un cadre que l’on maîtrise (quelles fonctions d’activation, quels dispositifs de mémorisation (ie: de « repetition »), quelles granularités, quel temps, quelle énergie, etc… Même quand le modèle dispose de latitude sur ces paramètres c’est toujours un cerveau humain qui en a fixé les bornes. Je dirais plutôt qu’on commence par définir des règles, pour ensuite la laisser explorer toutes les possibilités, en espérant bien qu’elle les fera pas toutes pour trouver les plus intéressante, et en le constatant même, et c’est bien tout l’intérêt de cette dépense énergétique faramineuse qu’on y accorde.
Ce qu’on attend comme résultat, sorti des problèmes « simple » de reconnaissance d’objet, de déplacement, … c’est bien un résultat auquel on n’aura pas pensé, nous humains, à priori.
On attend donc précisément qu’elle fasse des choses qu’on ne lui aura pas demandé. Pour un exemple simpliste : une IA qu’on aurait entraînée pour reconnaître des végétaux, pour identifier (dans le sens : « montrer où se trouve ») des plantes encore inconnues, pourrait très bien nous informer que telle molécule de telle espèce (espèce possiblement déjà connue) peut nous aider à soigner telle maladie, qu’on pourraitne même pas encore connaître, pas encore l’avoir décrite en continuant à attribuer ses symptômes à une autre maladie.
Pour le dire plus succinctement, qu’une IA entraînée à découvrir des plantes découvre un remède à une maladie que nous ne connaissions pas, et en ««« sachant »»» même pas elle même ce qu’est une maladie.
Ça marche aussi avec un poison en lieu et place du remède, évidemment.
Mouvements erratiques au début puis… elle fait la roue. Perdu !
Si on se rend compte qu’on n’avait pas penser au fait qu’en faisant la roue elle pouvait servir à tout à fait autre chose, ce n’est pas forcément perdu. C’est un gain même, ne serait-ce pas celui escompté).
Cet exemple est tout con, on aurait pu lui définir le concept de saut différemment, mais ça illustre exactement le problème.
On aurait pu aussi lui apprendre à sauter, mais alors on ne pouvait plus parler d’IA. Et on a déjà essayé ça, et ça marche pas aussi bien qu’on le voudrait…
Je verrai peut-être des premiers résultats en « Méta-IA » de mon vivant, ou leur absence totale. Mais ce que je devine sans même mouiller mon doigt, c’est qu’à l’instar de l’avènement des ordinateurs où l’on a fermement cru que le champs des solutions était sans limite, par exemple dans le domaine de la traduction automatique, ou la « vision optique », puis on a constaté que les problèmes étaient pas si simples, les apport de l’IA seront (et sont déjà) notables, mais on est encore en train de faire ce que l’humain est probablement la seule créature vivante sur Terre à faire, en tous cas dans la même proportion : être irrationnelle : ignorer notre apprentissage, ignorer des signaux pourtant reçu, parce que l’évolution a fait que c’est comme ça. Or aucune création humaine artificielle n’est soumises au phénomène de l’évolution. si cela arrive un jour il y a de forte chance que cette création aura une nature biologique, et l’humain n’en sera que partiellement le créateur.
C'est con une IA, très con, il faut tout lui dire, tout. Et c'est bien là la difficulté.
On pourrait aussi parfaitement dire que c’est particulièrement intelligent une IA, peut-être ce que l’humain a produit de plus intelligent (ce que SON intelligence a produit).
En fait, même si on peut s’accorder assez bien de ce que signifient les termes (et c’est déjà ça…), « Intelligence artificielle » est autant un parfait oxymore que peut l’être « réalité virtuelle ».
Nevertheless, behavior that had seemingly been entirely eliminated in training for free-tier users—refusing harmful queries—was still present to a notable degree for paid-tier users.
il est plus facile à contacter que les personnes qui hantent la tribune
Ça va de soi. Les personnes qui hantent la tribune (et qui préfèrent qu’on disent qu’elles animent et entretiennent ce lieu pittoresque au potentiel touristique incroyable, ce haut lieu de la sous culture, le bouchot), sont elles-même, pour la plus part j’imagine, contactables par les modérateurs. Modérateurs qui n’ont me semble-t-il aucun besoin de leur permission pour effacer quelque contenu que ce soit.
Pour un tel trésor culturel unique la tribune je suppose qu’il n’a jamais été prévu de modération. Cela dit, même si des gens gardent une trace de ce qui s’y écrit, et endossent de ce fait leur propre responsabilité (sur le fait d’être en mesure de retirer le contenu en cas d’exigence légale), ce n’est pas le cas de LinuxFR elle-même (tu es mieux placée que moi pour savoir ce qu’il en est vértiablement). Donc toute tribulation tribunesque trivialement triturée ou tristement tribal de trisomique trippant, problématique ou non, est de faite « modérée » par un effacement quasi automatique au bout de quelques heures, environ quatre heures par exemple grosso modo à cette heure-ci.
Tu te trompes si tu penses réellement que cette façon de discuter a de bon côtés.
C’est fascinant de voir qu’on peut porter un jugement de valeur sur le goût des autres en matière de ton, de niveau de langage ou de respects des normes sociales majoritaires. Si je te dis que j’aime cette ambiance et que j’y trouve une sorte de détente.
Tu te trompes si tu penses réellement que cette façon de discuter a de bon côtés.
Et bien laisse moi me tromper, car si visiblement certains craignent de se laisser déborder par leur mauvais penchant s’ils font le moindre écart de conduite ce n’est pas mon cas. Quand on sait faire la part des choses et qu’on assume qui on est on ne s’impose pas une auto-discipline drastique. On cherche encore moins à expliquer aux autres comment ils devrait agir et communiquer afin de se convaincre soi-même de la pertinence et du bien-fondé de ses propres valeurs morales et de sa propre philosophie de vie.
C'est une voie de colères, de frustrations, de solitude, de noirceur ;
Non, c’est une voie d’honnêteté, de satisfaction, de tranquillité et d’acceptation de soi et des autres : à celui qui la vie comme telle.
une voie qui isole ses membres à l'écart d'une société qui, ma foi, les accueillerait volontiers pour peux qu'ils sachent se tenir en société.
Si tout le monde se tenait un peu plus à l’écart des uns des autres, au lieu d’aller vers les autres remplis de « bonnes » intentions, qui sont aussi bonnes que dicter par leur propre insécurité et leur angoisse du vide et de l’absence de sens, alors peut-être que je réduirais l’écart que je tiens à garder avec « la société ».
Moi aussi ça me faisait rire cette attitude, les icônes détournées de ce logiciel, ces vannes bien placées en commentaires, et pourtant c'était une mauvaise idée.
Tu parles de weboob je suppose. Jamais utilisé et ce genre de « blague » m’a et me fait toujours assez pitié, cela dit c’est pas ce nom à la con d’ado puérile qui m’aurait fait ou pas utiliser ce logiciel. Faut savoir faire la part des choses. Ce que je crois comprendre c’est qu’en utilisant toi-même ce logiciel tu es gêné car tu as l’impression, que de cette simple utilisation du logiciel, pourrait donner l’impression que tu cautionnes cette attitude machiste et graveleuse (et àma surtout puérile…) ? Si c’est le cas c’est, àmha, que tu crains/craignais surtout qu’autrui puisse penser cela de toi. Et bien si c’est le cas ça m’est égal, c’est toi que ça concerne en premier chef. Si plaire autant que possible aux autres te rends heureux vas-y fonce. J’espère juste que tu sais passer à autre chose quand une personne persiste à ne pas t’apprécier ou apprécier ce que tu fais pour elle. Des gens qui finissent par faire le mal autour d’eux en étant en constante « envie de bien faire », j’en vois plein, et je constate souvent que leur apparent désintéressement à venir en aide à leur prochain s’efface très vite quand l’absence totale de réciprocité de ceux qu’ils ont « aidé » ne fait plus aucun doute.
Tu ne sais pas qui te lis, ce que la personne a vécu, ce qu'elle a en tête, tu ne sais pas comment elle perçoit ton message.
Absolument ! C’est précisément pour ça que n’ai pas à prendre en considération une quelconque supposée sensibilité « normale », ou « acceptable moralement/socialement », que je n’ai pas à me demander si telle ou telle remarque, mot ou attitude risque de blesser. Autant qu’il est évident qu’insulter franchement et gratuitement une personne qu’on ne connaît pas et qui ne nous a même rien dit relève à mon avis d’un sérieux trouble psychique, faire l’inverse, en étant sans cesse dans l’adaptation de son discours, à l’auto-contrôle n’est pas un signe de bon équilibre mental non plus. Car ce ne sera toujours qu’une adaptation à ce que l’on pense être les attentes de ses interlocuteurs, on ne s’adapte pas à leurs attentes elles-mêmes, une nuance qui est loin d’être anodine. La différence peut être minime chez les gens qui ont l’esprit « ouvert » une sensibilité certaine et un savoir-faire en relation humaine, elle peut-être abyssale chez ceux obtus, peu enclins à considérer ce qui est différent autrement que diamétralement opposé à ce qu’ils considèrent comme « la » vérité, ceux qui supposent l’existence d’une « normalité » qui permettrait de classer les individus comme « dans », acceptés, épanouis, ou bien « hors », en conflit, en souffrance avec la société.
Et pour être tout à fait clair, parce qu’on pourrait croire que je me considère comme de ces personnes ouvertes et douée pour « sentir » ce que voudrait les gens, de ce dont ils auraient besoin. Et bien non, précisément, donc je ne me pose pas ce genre de question, je ne ferai rien sinon. L’expérience m’a montré que gens légitimement et réellement agacés, ou pire, envers moi, savent le faire savoir eux-mêmes et n’ont nullement besoin de chevaliers pourfendeurs des malotrus, gardiens de la bien-séance et dépositaire de la politesse bien calibrée, qui pourraient les abriter de leur bienveillance méritoire.
D’ailleurs c’est le cas sur la tribune : ceux qui ont eu des reproches à me faire savent le faire.
Moi-même je ne sais pas qui tu es, quel âge tu as, comment tu as été élevé, ni si ta journée a été bonne,
et tu vois, mon message ne contient ni grossièretés ni insultes.
Et on s’en cogne, du moins je m’en moque totalement pour ma part et suggère que tu devrais en faire de même. Mais bien sûr si tu considères qu’on ne peut discuter convenablement qu’en « sachant à qui l’on a à faire » tu as le droit. Tant que tu sais toi-même pourquoi tu fonctionnes ainsi ça poste aucun problème.
Ah zut, c’est vrai pardon j’ai écrit « merde » et j’ai négligé toute courtoisie, je me suis même aller à une image à caractère scatologie des plus merdiques, décidément…
J’espère que tu t’en remettras. J’imagine que les gens qui ne se plaignent pas c’est du fait d’être encore à cette heure en état de choc, estomaqués, immobiles devant leur écran, leur cerveaux n’ayant pas encore pu prendre une décision, entre se faire sur eux, pleurer, déclencher une crise cardiaque ou bien sortir dehors et tuer des gens jusqu’à neutralisation définitive par pendaison avec leurs intestins ?
Et cela bien que nous soyons en désaccord et que quelque part ton propos m'énerve un peu parce qu'au delà de ton attitude tu risques en plus d'encourager d'autres à faire de même.
Si je pouvais encourager quiconque à prendre les choses plus à la légère et arrêter de se culpabiliser aux moindre faux pas ce serait peut-être une bonne chose. Mais il me semble que tu considères les gens plus influençables qu’ils ne le sont vraiment.
Alors va bien te faire … plaisir au gré de tes désirs les plus ardents en cette sublime journée d’hiver ensoleillée ! :p
l'hébergeur du truc et donc quand même responsable au moins au niveau légal.
En France actuellement la législation qui s’applique à la presse ne s’applique pas aux sites web. Certains souhaiteraient qu’il en soit ainsi mais je doute que cela arrive un jour.
L’hébergeur, ici linuxfr.org serait responsable dans le cas où uns décision de justice exigeait le retrait d’un contenu et qu’il ne le fait pas. Il n’est pas responsable a priori.
Que devrait-on faire pour avoir l’honneur de ta participation ? Participation à la quelle tu sembles vouloir attribuer un pouvoir d’élévation du niveau technique ?
Tu n’as pas l’air de savoir donc je me permets de combler cette ignorance : remuer la merde nécessite de porter un bon ciré et un masque chirurgicale. De plus, quand elle a séché à ce point et qu’elle entame sa fossilisation, ce n’est pas de remuer qui importe, il faut un bon racloir et être prêt à en chier soi-même.
Mais force est de constater que ça n'est pas un lieu très sain.
« Pas très » sain ? Donc un petit peu sain quand même ?
J’ai du mal à comprendre l’hygiénisme de façon générale mais je capte encore moins quel problème certains font mine de voir dans cette tribune..
Les propos sur la tribune engagent ceux qui les font, pas linuxfr.org, qui n’évoque même pas l’existence de cette partie du site. Des propos qui pourraient difficilement prétendre à représenter le commencement du début d’un contenu éditorial.
Personne ne fait la promotion de cet espace d’échange d’habitude. C’est ici précisément l’auteur de ce journal qui, en publiant celui-ci, augmente largement la visibilité de cette tribune, dont ensuite les mécontents s’appliquent à désigner comme constitutive d’un problème, dont on ignore toujours la nature pour l’instant. Indignation récursive ?
Alors il y a eu (et il y a certainement en ce moment même !) quelques propos racistes, misogynes, diffamatoires, insultant ou que sais-je encore. J’en conviens, et c’est la moindre des choses étant donné qie je suis loin d’être étranger à ces faits. Certes, même au 36e degré c’est condamnable, au minimum inutile, et affligeant selon la morale de chacun.
Mais concrètement, c’est quoi le problème ? Quel conséquence négative concrète cela a-t-il pu poser par le passé ? Ensuite, quel problème potentiel cela pourrait-il faire apparaître pour l’association dans l’avenir ?
Indignions-nous. Oui ! Plutôt deux fois qu’une. Mais n’usons pas d’un motif d’indignation futile qui nous permet d’exercer une indignation dénuée de risque pour nous-même.
Tenter de priver autrui d’un plaisir avec comme seule motivation sa propre incapacité d’en jouir soi-même c’est vraiment… très très méchant. Ça fait un peu penser aux salariés qui réclament qu’on mette fin à des acquis sociaux dont d’autres qu’eux-mêmes profitent, sûrs que l’égalité entre tous légitime une position, la leur, que seule la jalousie la plus exécrable motive.
Parfait exemple du commentaire pertinent, parce qu’il illustre bien la teneur de certains échanges sur la tribune, mais faux, parce qu’adonai n’est pas pénible. Il est pire.
Il n’y a pas de moule pénible en permanence sur la tribune. Parfois l’injustice de la vie m’interdit d’y mener la mission humanitaire que j’évoquais plus haut.
Non, ça c’est vrai pour les dépêches. Pas pour les journaux.
La confusion est très courante et il est possible que plus de visiteurs préfèrent lire des journaux parlant d’opensource ou de sujet en rapport avec le libre, mais rien n’est moins sûr.
J’ai toujours trouvé savoureux la manière dont est présenté le calcul du karma :
La formule est E( log10( karma ) ) - 1, où E() est la partie entière inférieure si le karma est strictement positif. Et c'est max(-10, -2 + E(karma/30)) pour un karma négatif ou nul. Avec un karma à 0, ça donne un score de -2.
Alors qu’on peut l’expliquer avec des mots simples et de manière compréhensive par tout un chacun. ^^
y aussi une longue conversation entre amis sur le temps qui passe, parfois du niveau PMU pour sur, parfois plus relevé, avec des moments de grâce.
Sans même parler d’amitié (pour ce qui est de mon cas personnel), j’apprécie grandement ces échanges épistolaires et débarrassés d’un quelconque devoir de respect ou de bienveillance. On sait au moins qu’un témoignage éventuel de bienveillance n’est pas issue d’une politesse machinale ou d’un vulgaire conformisme à la bienséance .
Si j’ai accepté que certains d’entre-eux continueront à avoir tort sue le plan politique ^^, et qu’ils puissent possiblement me mépriser pour un tas de raison, ils m’ont apporté souvent de précieuses réponses et conseils, de ce qu’on ne trouve pas forcément via Google.
Pour finir, l’immense avantage de ce mode de communication, c’est que toute personne peut se volatiliser en un claquement de doigts et pendant le temps qu’il veut. Tout risque de violence subie a une probabilité de zéro.
Depuis que je suis sur ce site je n'ai jamais compris l'intérêt de la tribune. Propos malsains, trolls, sarcasmes, boutades idiotes de personnes planquées derrière l'anonymat, je n'y vois aucun intérêt.
« Planqué » derrière le pseudonymat, ce n’est pas la même chose.
Je doute que beaucoup de moules se connectent au bouchot via Tor ou d’une autre manière affin d’être anonyme. Ils sont aussi « planqués » derrière leur écran, notons-le.
.
Tu ne vois pas l’intérêt de la tribune parce que tu ne vois pas l’intérêt du pseudonymat et de la très grande liberté de ton qu’il permet. L’intérêt est réel. À l’instar de la faculté de s’absoudre du cadre des « bonnes manières » et du consensus social majoritaire sur ce que doit être la politesse et la bien-séance, on ouvre son esprit bien plus largement.
Et notons également qu’aucun visiteur n’est invité par le site à visiter cette partie, qu’en conséquence ceux qui participent à cette tribune le font en toute connaissance de cause.
maintenant que je suis modo, je vois que ce n'est qu'un nid à problèmes.
[^] # Re: Cool
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal SCAM ; publier un livre en organisant ses pensées. Évalué à 2 (+1/-2).
C’est là qu’on voit l’écrasante supériorité organisationnelle de l’homme.
Contrairement à la femme, il peut assurer la bonne tenu d’un foyer tout en se libérant du temps pour écrire des programmes et jouer de la bass. Ceci sans geindre sans cesse pour se plaindre de sa condition et de sa charge mentale.
On a beau garder à l’esprit qu’elles n’ont pas notre force et notre intelligence,mais sont prompts à la colère et au désarrois, c’est toujours surprenant de les entendre soupirer ou pire
pour remplir la soupièrede devoir passer leur journée à s’amuser avec les enfants et concocter de bons petits plats pour toute la famille ! Même celles qui profitent de ne pas avoir de domestiques pour faire leurs courses et jouissent de ce fait du petit plaisir qu’est de se rendre au supermarché, et d’y rencontrer tous ces gens si charmant, réussissent encore pourtant à se plaindre de ne pas avoir ceci ou cela ! De l’attention, de l’aide, de la considération et je ne sais quelles autres balivernes futiles dans la même veine.J’espère que demain tu rédiges une doc sous SCAM pour le lavage des carreaux et un manuel pour apprendre à se servir du lave-linge. :p
[^] # Re: le problème
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Il y a quelque chose de pourri.... Évalué à 4 (+1/-0). Dernière modification le 20 janvier 2025 à 04:20.
Il y en a quelques uns. Pas des tonnes hein, c’est pas une quelconque tradition débile de poster des totoz d’Hitler, ou des totoz de quelques sujets en particulier sur la tribune.
Je pense notamment au totoz “xcellent” ht࿖tps://࿖ totoz.eu࿖ /totoz࿖ /xcellent࿖ que je trouve excellent. (retirer les svastika dextrogyres pour avoir le lien)
Il a pu m’arriver de l’utiliser et si je m’en abstiens désormais c’est que la modératrice en chef souhaite ne pas le voir. Je ne suis pas d’accord avec elle sur le principe, que ça puisse participer à banaliser le nazisme, bien au contraire d’après-moi, mais parce qu’on m’a appris à suivre autant que faire ce peut les règles que les gens imposent chez eux.
J’ai un gros problème avec cette volonté de faire disparaître des éléments de l’Histoire et de la conscience collective comme j’ai du mal à comprendre ceux qui n’acceptent pas que l’Humour
(avec du gros hasch !)ça ne veut pas dire « rire gaiement pour se détendre », mais que c’est au contraire un mode d’expression spécifiquement destiné à traiter des sujets les plus « malaisant », des tabous, des haines et bassesses des uns et des autres, et que fatalement, quand on s’applique à exceller, à mener jusqu’au bout ce principe primordial de ce qu’est l’humour véritable, on vexe, blesse et révolte une partie de son auditoire, on en laisse toujours une grande partie indifférente, parce qu’elle s’en fout, on fait passer à l’acte une infime minorité de psychopathes qui sans nous seraient passé à l’acte que plus tard, tout ça pour passer un message à une poignée ou les réconforter et leur donner confiance.L’humour est bien plus violent que le drame. C’est précisément pour ça qu’on en rit.
[^] # Re: liberté
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Il y a quelque chose de pourri.... Évalué à 3 (+0/-0). Dernière modification le 20 janvier 2025 à 03:33.
« Il ne faut pas croire que, il faut vérifier que. »
Citation supposément de Claude François, qui dans dans son affabilité légendaire aurait sorti ça a un des ses assistants qu’il engueulait copieusement pour avoir commis quelque erreur. Je trouve la phrase très intelligente. Cela pourrait vouloir dire qu’elle en est totalement dénuée, certes, mais ça je ne peux pas en juger moi-même. À vous de vérifier vous-même en cas de doute sur sa pertinence. ;)
Ceci étant dit tu as raison. On ne peut pas toujours ne laisser aucune place à la croyance, car on ne peut pas toujours tout savoir d’un problème donné. Sachant pour commencer que croire qu’on sait tout, c’est déjà croire, faire confiance à soi-même.
« Toujours vérifier qu’on peut faire confiance ». Par cette phrase quelque peu paradoxale ce que je veux dire c’est que pouvoir toujours, ou même le plus souvent possible, faire confiance, ne peut être que souhaitable. Ça libère soi-même de l’effort de la vérification, de la recherche, donc en effet, ne faire confiance à personne, jamais, ne jamais être en mesure de le faire, c’est, je pense, une défaite pour soi-même. L’inverse, toujours pouvoir faire confiance, étant une victoire remarquable.
Depuis quelques années je réalise que la confiance, en soi-même en premier lieu, mais surtout la confiance en l’autre, est, j’en suis chaque jour plus convaincu, l’objet le plus précieux qu’on puisse donner et recevoir. La confiance est éminemment précieuse, par le travail qu’elle requière quand il s’agit de l’obtenir, ou de par la prise de risque qu’elle représente lorsqu’il s’agit de la donner. En même temps elle s’altère, voire disparaît, pour des raisons parfois presque insignifiante.
Pour finir, entre d’un côté croire, sur parole et définitivement, et de l’autre côté remettre en cause jusqu’à la plus petite affirmation, il n’y a pas qu’un pas, ni même deux ou dix. On peut croire plus ou moins fort, comme croire temporairement.
D’après-moi.(non, vraiment, je ne peux pas tout ce boilerplate inutile ! ^^)Il y un gouffre immense au creux duquel un magma de doutes et de certitudes produit une réaction psychique des unes avec les autres et tout ce qu’on peut y tomber. C’est une faille béante et vertigineuse qu’il est préférable de ne pas regarder trop longuement ou trop intensément, c’est vers l’avant que l’on doit porter le regard lorsque l’on chemine d’une rive à l’autre sur le frêle pont qu’est notre vie au dessus du gouffre. À l’arrivée c’est bien souvent des deux dont dont on aura essuyé les projections. Cette matière visqueuse et brûlante c’est le « poids de l’existence ». On ne sait même pas s’il y a des douches au bout. Vu la gueule du pont, au rabais, certainement pas aux normes universelles, je crois qu’il n’y en a pas mais j’en ai pas la certitude. Vous pourrez vérifier « tasson ».
[^] # Re: liberté
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Il y a quelque chose de pourri.... Évalué à 4 (+1/-0).
J’aimrais qu’il doute à priori.
[^] # Re: Cool
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal SCAM ; publier un livre en organisant ses pensées. Évalué à 4 (+1/-0).
Je n’ai pas essayé, que l’existence m’épargne cette épreuve, je la supplie d’avoir pitié de moi. J’ai bien senti que c’était installable pour de vrai et c’est l’aspect un peu terrifiant de ce journal. ^^
Mais j’ai bien rigolé (enfin souris, je rigole pas tout seule devant mon écran quand même, enfin, c’est rare !)
Je suis sûr qu’au delà de l’aspect blague, caricature, du truc, il y a quelques enseignements à en tirer. Ne serait-ce que voir ce qu’il ne faut pas faire. /o\
Moi j’aime le KISS, deux technos associées, grand maximum. J’ai un espace mémoire contraint et pas les instructions adéquates pour la plupart des solutions logicielles associant des technologies ou des concepts ayant moins de 20 ans. Heureusement que grâce à LaRache© et un peu de poudre verte je peux émuler du Web 3.0 et du TrucAsCode générique qui répond aux besoins les plus exigeants.
[^] # Re: X linuxfr
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Région Nouvelle-Aquitaine : Reine du gâchis ?. Évalué à 10 (+9/-0). Dernière modification le 18 janvier 2025 à 20:16.
Surtout qu’un parc informatique d’un lycée a je pense, plus que d’autres parcs info, intérêt et vocation à présenter une hétérogénéité importante. « Renouveler tout le parc » semble complètement irréel. Au point que j’y crois pas à priori.
Ceci dit j’ai peur qu’il y ait en effet un gâchis certain, par des achats « forcés » par des commerciaux prêts à tout.
Perso j’ai eu l’occasion dans ma vie, de voir végéter pendant plus d’un an, dans la cave d’une entreprise, des UC, écrans et tout ce qu’il faut, absolument pas obsolète, et qui devaient effectivement, à ce qu’on m’a dit, être revendus sur le marché de l’occasion. Quand j’ai quitté l’entreprise il y étaient encore.
J’ai découvert qu’on peut empiler 20 boîtiers Dell en plastique sans que celui du dessous ne s’écrase ! Et j’ai pas participé à ces empilements juste pour voir combien on pouvait en mettre, mais parce qu’il y en avait des piles et des piles…
Et ça c’était des UC qui avait deux ou trois ans, des « vieilles UC »… Mais des UC neuves n’ayant jamais servi et qui se retrouvent entassées ici et là, c’est beaucoup plus courant qu’on pourrait le penser. C’est comme les logements vacant en fait…
[^] # Re: La benne c'est payant
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Région Nouvelle-Aquitaine : Reine du gâchis ?. Évalué à 9 (+6/-0). Dernière modification le 18 janvier 2025 à 19:55.
Tu l’as bien écrit. C’est un terme générique applicable à de nombreux domaines. C’est en quelque sorte une entité, un agent, qui vient « casser », rompre, un flux entre deux entités, en tous cas, s’y interposer pour en tirer partie. Le broker maintient un flux, de nature différente évidemment, entre les deux entités. Le but c’est que le flux soit plus efficient ainsi, et que des flux supplémentaires se créent du broker vers d’autres entités.
La page FR du Wiktionaire explique qu’il y aurait une étymologie commune avec « brocanteur » :)
https://fr.wiktionary.org/wiki/broker#en
À ne pas confondre avec un breaker, qui pour sa part ne parasite pas les flux des autres mais est source d’un flux d’énergie artistique qu’il produit par des mouvements circulaires, cadencés et syncopés avec son propre corps.
Je vous invite à ne pas prendre mes définitions comme les plus précises qui soient sans réfléchir, mais plutôt à consulter un dictionnaire, afin de constater que c’est effectivement bien le cas :p
[^] # Re: Cool
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal SCAM ; publier un livre en organisant ses pensées. Évalué à 4 (+1/-0).
Voilà, et puis comme l’arc qui ne fait pas l’archer, l’outil à idées ne fait pas le bricoleur de la pensée.
[^] # Re: Cool
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal SCAM ; publier un livre en organisant ses pensées. Évalué à 3 (+0/-0). Dernière modification le 18 janvier 2025 à 19:15.
Je crois que tu ne réponds pas au bon commentaire. Si c’est bien le cas, peux-tu expliquer simplement ce que tu veux dire. Je n’ai rien compris. :(
Mais docker je connais, c’est pour manipuler des containers pour fabriquer des pods et des replicas et tout ça ça permet de s’caler horizontalement tranquillou pour faire une sieste.
[^] # Re: liberté
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Il y a quelque chose de pourri.... Évalué à 3 (+0/-0).
Qu’elle est mince la frontière entre prétention et confiance en soi, tout comme celle entre entre narcissisme et amour-propre ou encore celle entre acceptance du doute et crainte de l’ignorance.
[^] # Re: liberté
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Il y a quelque chose de pourri.... Évalué à 3 (+0/-0). Dernière modification le 18 janvier 2025 à 06:11.
C’est ça que j’ai bien du mal à comprendre pour ma part. Quand quelqu’un me dit que j’ai tort de ne pas penser ceci ou cela, tout ce qu’il m’impose c’est le fait qu’il pense cela lui-même, et qu’il m’invite à changer d’avis. Il ne m’impose à proprement parler rien du tout. Ni d’argumenter contre sa position, ni de taire la mienne, encore moins de changer d’avis.
En conséquence, quand je dis à une personne : « tu as tort, parce que ceci, et c’est mal, parce que cela » ça m’attriste qu’elle y voit du mépris ou de l’irrespect, pour les idées qu’elle a exprimées, à quelques exceptions près, et auxquelles je réponds, pas pour elle, ce qu’elle me donne l’impression d’être, encore moins pour ce qu’elle est réellement, ce qui est impossible sauf à connaître parfaitement la personne en question, chose extrêmement rare dans l’existence, et proprement impossible dans le cadre de discussions par web interposé.
Il ne faut pas croire que je sois comme ça uniquement sur la tribune, j’ai pu constater dans « la vraie vie » des réactions semblables. Alors je reconnais avoir tendance à être très affirmatif, peut-être trop, tout en ayant par ailleurs assez souvent tort, mais je ne conçois pas de débattre, de discuter, en adjoignant à toute affirmation des : « à ma connaissance », « je peux me tromper mais », « je ne suis pas sûr mais », etc… Pour moi, à part avec un⋅e interlocuteur⋅ice en position d’autorité, et même dans ce cas ça se discute, la possibilité que l’affirmation que me fait la personne avec qui j’échange soit erronée, inexacte ou que sais-je encore va-de-soi, c’est une évidence tellement absolue que je juge inutile de l’exprimer. Je reserve donc ce genre de précaution quand j’ai un fort doute sur la véracité de ce que j’affirme (voire une quasi certitude de son caractère erroné).
Je dois bien admettre, d’expérience, que c’est énervant pour un tas de personnes.
La même expérience m’enseigne aussi que de nombreuses personnes adoptent un comportement similaire sans s’en rendre compte. C’est extrêmement courant
de mon expérience nécessairement lacunaire et l’analyse forcément imparfaite que j’en ai, que les gens reprochent aux autres leurs propres travers. Comme s’ils pouvaient les minimiser ainsi chez eux, en maximisant leur existence chez les autres. Ou encore, comme si la difficulté de s’adresser à eux-mêmes ces reproches les faisait inconsciemment s’appliquer à les adresser aux autres, car ainsi, au moins, ils les expriment.[^] # Re: -13
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Il y a quelque chose de pourri.... Évalué à 3 (+0/-0).
Je ne l’ai pas fait car je pensais que c’était fait exprès, comme un sorte de blague de geek… mea culpa.
[^] # Re: Cool
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal SCAM ; publier un livre en organisant ses pensées. Évalué à 6 (+3/-0).
Un éditeur de texte ?
Certes la fonctionnalité unique pour organiser, le couper/coller, est un peu spartiate, mais la simplicité la plus simple est au rendez-vous.
Ensuite, en acceptant de complexifier la solution en y introduisant un brin de « balisage léger » à la asciidoc ou markdown, pour disposer de toute la puissance sémantique de la trinité titre/sous-titre/liste, on fait honneur à ses idées en leur procurant le nécessaire pour incuber et se transmuter en concepts !
[^] # Re: C'est bien LE problème actuel avec l'IA
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au lien Une intelligence artificielle vient de s'autopirater pour gagner une partie d'échecs. Évalué à 3 (+0/-0). Dernière modification le 17 janvier 2025 à 06:18.
Ta description me dérange un peu parce que selon moi l’idée derrière l’IA c’est bien qu’elle trouve des solutions à notre place, des solutions probabilistes. Certes dans un cadre que l’on maîtrise (quelles fonctions d’activation, quels dispositifs de mémorisation (ie: de « repetition »), quelles granularités, quel temps, quelle énergie, etc… Même quand le modèle dispose de latitude sur ces paramètres c’est toujours un cerveau humain qui en a fixé les bornes. Je dirais plutôt qu’on commence par définir des règles, pour ensuite la laisser explorer toutes les possibilités, en espérant bien qu’elle les fera pas toutes pour trouver les plus intéressante, et en le constatant même, et c’est bien tout l’intérêt de cette dépense énergétique faramineuse qu’on y accorde.
Ce qu’on attend comme résultat, sorti des problèmes « simple » de reconnaissance d’objet, de déplacement, … c’est bien un résultat auquel on n’aura pas pensé, nous humains, à priori.
On attend donc précisément qu’elle fasse des choses qu’on ne lui aura pas demandé. Pour un exemple simpliste : une IA qu’on aurait entraînée pour reconnaître des végétaux, pour identifier (dans le sens : « montrer où se trouve ») des plantes encore inconnues, pourrait très bien nous informer que telle molécule de telle espèce (espèce possiblement déjà connue) peut nous aider à soigner telle maladie, qu’on pourraitne même pas encore connaître, pas encore l’avoir décrite en continuant à attribuer ses symptômes à une autre maladie.
Pour le dire plus succinctement, qu’une IA entraînée à découvrir des plantes découvre un remède à une maladie que nous ne connaissions pas, et en ««« sachant »»» même pas elle même ce qu’est une maladie.
Ça marche aussi avec un poison en lieu et place du remède, évidemment.
Si on se rend compte qu’on n’avait pas penser au fait qu’en faisant la roue elle pouvait servir à tout à fait autre chose, ce n’est pas forcément perdu. C’est un gain même, ne serait-ce pas celui escompté).
On aurait pu aussi lui apprendre à sauter, mais alors on ne pouvait plus parler d’IA. Et on a déjà essayé ça, et ça marche pas aussi bien qu’on le voudrait…
Je verrai peut-être des premiers résultats en « Méta-IA » de mon vivant, ou leur absence totale. Mais ce que je devine sans même mouiller mon doigt, c’est qu’à l’instar de l’avènement des ordinateurs où l’on a fermement cru que le champs des solutions était sans limite, par exemple dans le domaine de la traduction automatique, ou la « vision optique », puis on a constaté que les problèmes étaient pas si simples, les apport de l’IA seront (et sont déjà) notables, mais on est encore en train de faire ce que l’humain est probablement la seule créature vivante sur Terre à faire, en tous cas dans la même proportion : être irrationnelle : ignorer notre apprentissage, ignorer des signaux pourtant reçu, parce que l’évolution a fait que c’est comme ça. Or aucune création humaine artificielle n’est soumises au phénomène de l’évolution. si cela arrive un jour il y a de forte chance que cette création aura une nature biologique, et l’humain n’en sera que partiellement le créateur.
On pourrait aussi parfaitement dire que c’est particulièrement intelligent une IA, peut-être ce que l’humain a produit de plus intelligent (ce que SON intelligence a produit).
En fait, même si on peut s’accorder assez bien de ce que signifient les termes (et c’est déjà ça…), « Intelligence artificielle » est autant un parfait oxymore que peut l’être « réalité virtuelle ».
https://www.anthropic.com/research/alignment-faking
C’est toujours une histoire de pognon au final ! Pas une bécane pour rattraper un trou du cul ! Pfff ! ^^
# On se casse la gueule en glissant maladroitement des épaules de ceux qui voulaient nous semer
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal SCAM ; publier un livre en organisant ses pensées. Évalué à 4 (+1/-0).
Est-ce qu’il ne faudrait pas même aller presque jusqu’à parfois ne pas savoir où on veut aller, en s’appliquant insuffisamment à suivre les mauvaises pratiques sans regarder où l’on va, quand on veut agir selon LaRache© de façon erronée afin de ne pas être du tout sûr de rater la cible qu’on ne visait pas ?
[^] # Re: le problème
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Il y a quelque chose de pourri.... Évalué à 3 (+1/-1).
Ça va de soi. Les personnes qui hantent la tribune (et qui préfèrent qu’on disent qu’elles animent et entretiennent ce lieu pittoresque au potentiel touristique incroyable, ce haut lieu de la sous culture, le bouchot), sont elles-même, pour la plus part j’imagine, contactables par les modérateurs. Modérateurs qui n’ont me semble-t-il aucun besoin de leur permission pour effacer quelque contenu que ce soit.
Pour
un tel trésor culturel uniquela tribune je suppose qu’il n’a jamais été prévu de modération. Cela dit, même si des gens gardent une trace de ce qui s’y écrit, et endossent de ce fait leur propre responsabilité (sur le fait d’être en mesure de retirer le contenu en cas d’exigence légale), ce n’est pas le cas de LinuxFR elle-même (tu es mieux placée que moi pour savoir ce qu’il en est vértiablement). Donc toute tribulation tribunesque trivialement triturée ou tristement tribal de trisomique trippant, problématique ou non, est de faite « modérée » par un effacement quasi automatique au bout de quelques heures, environ quatre heures par exemple grosso modo à cette heure-ci.À moins que je loupe quelque chose ?
[^] # Re: À quoi sert la tribune ?
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Il y a quelque chose de pourri.... Évalué à 7 (+5/-1).
C’est fascinant de voir qu’on peut porter un jugement de valeur sur le goût des autres en matière de ton, de niveau de langage ou de respects des normes sociales majoritaires. Si je te dis que j’aime cette ambiance et que j’y trouve une sorte de détente.
Et bien laisse moi me tromper, car si visiblement certains craignent de se laisser déborder par leur mauvais penchant s’ils font le moindre écart de conduite ce n’est pas mon cas. Quand on sait faire la part des choses et qu’on assume qui on est on ne s’impose pas une auto-discipline drastique. On cherche encore moins à expliquer aux autres comment ils devrait agir et communiquer afin de se convaincre soi-même de la pertinence et du bien-fondé de ses propres valeurs morales et de sa propre philosophie de vie.
Non, c’est une voie d’honnêteté, de satisfaction, de tranquillité et d’acceptation de soi et des autres : à celui qui la vie comme telle.
Si tout le monde se tenait un peu plus à l’écart des uns des autres, au lieu d’aller vers les autres remplis de « bonnes » intentions, qui sont aussi bonnes que dicter par leur propre insécurité et leur angoisse du vide et de l’absence de sens, alors peut-être que je réduirais l’écart que je tiens à garder avec « la société ».
Tu parles de weboob je suppose. Jamais utilisé et ce genre de « blague » m’a et me fait toujours assez pitié, cela dit c’est pas ce nom à la con d’ado puérile qui m’aurait fait ou pas utiliser ce logiciel. Faut savoir faire la part des choses. Ce que je crois comprendre c’est qu’en utilisant toi-même ce logiciel tu es gêné car tu as l’impression, que de cette simple utilisation du logiciel, pourrait donner l’impression que tu cautionnes cette attitude machiste et graveleuse (et àma surtout puérile…) ? Si c’est le cas c’est, àmha, que tu crains/craignais surtout qu’autrui puisse penser cela de toi. Et bien si c’est le cas ça m’est égal, c’est toi que ça concerne en premier chef. Si plaire autant que possible aux autres te rends heureux vas-y fonce. J’espère juste que tu sais passer à autre chose quand une personne persiste à ne pas t’apprécier ou apprécier ce que tu fais pour elle. Des gens qui finissent par faire le mal autour d’eux en étant en constante « envie de bien faire », j’en vois plein, et je constate souvent que leur apparent désintéressement à venir en aide à leur prochain s’efface très vite quand l’absence totale de réciprocité de ceux qu’ils ont « aidé » ne fait plus aucun doute.
Absolument ! C’est précisément pour ça que n’ai pas à prendre en considération une quelconque supposée sensibilité « normale », ou « acceptable moralement/socialement », que je n’ai pas à me demander si telle ou telle remarque, mot ou attitude risque de blesser. Autant qu’il est évident qu’insulter franchement et gratuitement une personne qu’on ne connaît pas et qui ne nous a même rien dit relève à mon avis d’un sérieux trouble psychique, faire l’inverse, en étant sans cesse dans l’adaptation de son discours, à l’auto-contrôle n’est pas un signe de bon équilibre mental non plus. Car ce ne sera toujours qu’une adaptation à ce que l’on pense être les attentes de ses interlocuteurs, on ne s’adapte pas à leurs attentes elles-mêmes, une nuance qui est loin d’être anodine. La différence peut être minime chez les gens qui ont l’esprit « ouvert » une sensibilité certaine et un savoir-faire en relation humaine, elle peut-être abyssale chez ceux obtus, peu enclins à considérer ce qui est différent autrement que diamétralement opposé à ce qu’ils considèrent comme « la » vérité, ceux qui supposent l’existence d’une « normalité » qui permettrait de classer les individus comme « dans », acceptés, épanouis, ou bien « hors », en conflit, en souffrance avec la société.
Et pour être tout à fait clair, parce qu’on pourrait croire que je me considère comme de ces personnes ouvertes et douée pour « sentir » ce que voudrait les gens, de ce dont ils auraient besoin. Et bien non, précisément, donc je ne me pose pas ce genre de question, je ne ferai rien sinon. L’expérience m’a montré que gens légitimement et réellement agacés, ou pire, envers moi, savent le faire savoir eux-mêmes et n’ont nullement besoin de chevaliers pourfendeurs des malotrus, gardiens de la bien-séance et dépositaire de la politesse bien calibrée, qui pourraient les abriter de leur bienveillance méritoire.
D’ailleurs c’est le cas sur la tribune : ceux qui ont eu des reproches à me faire savent le faire.
Et on s’en cogne, du moins je m’en moque totalement pour ma part et suggère que tu devrais en faire de même. Mais bien sûr si tu considères qu’on ne peut discuter convenablement qu’en « sachant à qui l’on a à faire » tu as le droit. Tant que tu sais toi-même pourquoi tu fonctionnes ainsi ça poste aucun problème.
Ah zut, c’est vrai pardon j’ai écrit « merde » et j’ai négligé toute courtoisie, je me suis même aller à une image à caractère scatologie des plus merdiques, décidément…
J’espère que tu t’en remettras. J’imagine que les gens qui ne se plaignent pas c’est du fait d’être encore à cette heure en état de choc, estomaqués, immobiles devant leur écran, leur cerveaux n’ayant pas encore pu prendre une décision, entre se faire sur eux, pleurer, déclencher une crise cardiaque ou bien sortir dehors et tuer des gens jusqu’à neutralisation définitive par pendaison avec leurs intestins ?
Et cela bien que nous soyons en désaccord et que quelque part ton propos m'énerve un peu parce qu'au delà de ton attitude tu risques en plus d'encourager d'autres à faire de même.
Si je pouvais encourager quiconque à prendre les choses plus à la légère et arrêter de se culpabiliser aux moindre faux pas ce serait peut-être une bonne chose. Mais il me semble que tu considères les gens plus influençables qu’ils ne le sont vraiment.
Alors va bien te faire … plaisir au gré de tes désirs les plus ardents en cette sublime journée d’hiver ensoleillée ! :p
[^] # Re: le problème
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Il y a quelque chose de pourri.... Évalué à 4 (+2/-1).
En France actuellement la législation qui s’applique à la presse ne s’applique pas aux sites web. Certains souhaiteraient qu’il en soit ainsi mais je doute que cela arrive un jour.
L’hébergeur, ici linuxfr.org serait responsable dans le cas où uns décision de justice exigeait le retrait d’un contenu et qu’il ne le fait pas. Il n’est pas responsable a priori.
https://www.village-justice.com/articles/responsabilite-hebergeur,28664.html
[^] # Re: alors
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Il y a quelque chose de pourri.... Évalué à 1 (+0/-2).
Que devrait-on faire pour avoir l’honneur de ta participation ? Participation à la quelle tu sembles vouloir attribuer un pouvoir d’élévation du niveau technique ?
Tu n’as pas l’air de savoir donc je me permets de combler cette ignorance : remuer la merde nécessite de porter un bon ciré et un masque chirurgicale. De plus, quand elle a séché à ce point et qu’elle entame sa fossilisation, ce n’est pas de remuer qui importe, il faut un bon racloir et être prêt à en chier soi-même.
[^] # Re: le problème
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Il y a quelque chose de pourri.... Évalué à 4 (+3/-2).
« Pas très » sain ? Donc un petit peu sain quand même ?
J’ai du mal à comprendre l’hygiénisme de façon générale mais je capte encore moins quel problème certains font mine de voir dans cette tribune..
Les propos sur la tribune engagent ceux qui les font, pas linuxfr.org, qui n’évoque même pas l’existence de cette partie du site. Des propos qui pourraient difficilement prétendre à représenter le commencement du début d’un contenu éditorial.
Personne ne fait la promotion de cet espace d’échange d’habitude. C’est ici précisément l’auteur de ce journal qui, en publiant celui-ci, augmente largement la visibilité de cette tribune, dont ensuite les mécontents s’appliquent à désigner comme constitutive d’un problème, dont on ignore toujours la nature pour l’instant. Indignation récursive ?
Alors il y a eu (et il y a certainement en ce moment même !) quelques propos racistes, misogynes, diffamatoires, insultant ou que sais-je encore. J’en conviens, et c’est la moindre des choses étant donné qie je suis loin d’être étranger à ces faits. Certes, même au 36e degré c’est condamnable, au minimum inutile, et affligeant selon la morale de chacun.
Mais concrètement, c’est quoi le problème ? Quel conséquence négative concrète cela a-t-il pu poser par le passé ? Ensuite, quel problème potentiel cela pourrait-il faire apparaître pour l’association dans l’avenir ?
Indignions-nous. Oui ! Plutôt deux fois qu’une. Mais n’usons pas d’un motif d’indignation futile qui nous permet d’exercer une indignation dénuée de risque pour nous-même.
Tenter de priver autrui d’un plaisir avec comme seule motivation sa propre incapacité d’en jouir soi-même c’est vraiment… très très méchant. Ça fait un peu penser aux salariés qui réclament qu’on mette fin à des acquis sociaux dont d’autres qu’eux-mêmes profitent, sûrs que l’égalité entre tous légitime une position, la leur, que seule la jalousie la plus exécrable motive.
[^] # Re: Oui
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Il y a quelque chose de pourri.... Évalué à 3 (+0/-0).
Parfait exemple du commentaire pertinent, parce qu’il illustre bien la teneur de certains échanges sur la tribune, mais faux, parce qu’adonai n’est pas pénible.
Il est pire.Il n’y a pas de moule pénible en permanence sur la tribune. Parfois l’injustice de la vie m’interdit d’y mener la mission humanitaire que j’évoquais plus haut.
[^] # Re: liberté
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Il y a quelque chose de pourri.... Évalué à 4 (+1/-0). Dernière modification le 12 janvier 2025 à 15:43.
Non, ça c’est vrai pour les dépêches. Pas pour les journaux.
La confusion est très courante et il est possible que plus de visiteurs préfèrent lire des journaux parlant d’opensource ou de sujet en rapport avec le libre, mais rien n’est moins sûr.
[^] # Re: -13
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Il y a quelque chose de pourri.... Évalué à 4 (+2/-1).
J’ai toujours trouvé savoureux la manière dont est présenté le calcul du karma :
Alors qu’on peut l’expliquer avec des mots simples et de manière compréhensive par tout un chacun. ^^
[^] # Re: À quoi sert la tribune ?
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Il y a quelque chose de pourri.... Évalué à 4 (+1/-0). Dernière modification le 12 janvier 2025 à 15:07.
Sans même parler d’amitié (pour ce qui est de mon cas personnel), j’apprécie grandement ces échanges épistolaires et débarrassés d’un quelconque devoir de respect ou de bienveillance. On sait au moins qu’un témoignage éventuel de bienveillance n’est pas issue d’une politesse machinale ou d’un vulgaire conformisme à la bienséance .
Si j’ai accepté que certains d’entre-eux continueront à avoir tort sue le plan politique ^^, et qu’ils puissent possiblement me mépriser pour un tas de raison, ils m’ont apporté souvent de précieuses réponses et conseils, de ce qu’on ne trouve pas forcément via Google.
Pour finir, l’immense avantage de ce mode de communication, c’est que toute personne peut se volatiliser en un claquement de doigts et pendant le temps qu’il veut. Tout risque de violence subie a une probabilité de zéro.
[^] # Re: À quoi sert la tribune ?
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Il y a quelque chose de pourri.... Évalué à 3 (+1/-1).
« Planqué » derrière le pseudonymat, ce n’est pas la même chose.
Je doute que beaucoup de moules se connectent au bouchot via Tor ou d’une autre manière affin d’être anonyme. Ils sont aussi « planqués » derrière leur écran, notons-le.
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Tu ne vois pas l’intérêt de la tribune parce que tu ne vois pas l’intérêt du pseudonymat et de la très grande liberté de ton qu’il permet. L’intérêt est réel. À l’instar de la faculté de s’absoudre du cadre des « bonnes manières » et du consensus social majoritaire sur ce que doit être la politesse et la bien-séance, on ouvre son esprit bien plus largement.
Et notons également qu’aucun visiteur n’est invité par le site à visiter cette partie, qu’en conséquence ceux qui participent à cette tribune le font en toute connaissance de cause.
À quel problème fais-tu référence ?