Parce que jusqu'à preuve du contraire il n'est pas possible d'alimenter une boite ADSL via la ligne de cuivre et ce n'est donc "pas optimal" niveau sécurité…
Bizarre que personne n'ai encore fait ce genre de boitier. Une ligne ADSL ne devrait pas consommer tant de puissance, non ? au pire, il faut limiter le débit pour que cela rentre.
Les rédacteurs de la GPL avaient très probablement l'intention de considérer que l'interaction d'un programme avec un logiciel sous GPL imposait à ce programme de se conformer à la GPL.
Pas l'interaction : la dépendance. C'est même fait exprès pour pouvoir faire des lib compatible GPL pour commencer.
Cependant, la rédaction de la GPLv3 prouve que les auteurs de la licence ne sont pas aussi sûrs d'eux, puisque la GPLv3 admet que dans un "aggregate", chaque élément garde sa licence.
Rien à voir. L'aggregate, c'est le bundle, le CDROM. Le but est de pouvoir mettre à jour ses logiciels GPL v3 par l'utilisateur pour ne pas être coincé (tivoïsation).
Il semble en effet que l'idée qu'une simple laison, voire une inclusion dans un même binaire, ne peut raisonnablement pas être considéré comme un travail dérivé, et que le ton péremtoire de la FAQ de GNU ne reflète pas la diversité des opinions des spécialistes sur le sujet. J'espère avoir pu convaincre nos lecteurs au moins que des gens très sérieux pensent que la GPL ne protège pas de ce cas spécifique (interfaçage entre composants logiciels). Je ne souhaite pas continuer ce «débat», puisque j'ai simplement l'impression que tu ne souhaites pas considérer la possibilité que tu te puisses te tromper…
Depuis le début, je dis que le link n'a aucune importance, j'ai même repris le bout de ton article qui le dit. Ils disent la même chose que la FSF : peut importe comment le code est inclus. La différence d'interprétation est sur le fait de reprendre sans y toucher le code GPL pour savoir si cela créait un produit dérivé ou non. Même les opposants à la FSF disent que cela dépend des cas.
Ton 2ième article propose une autre piste : les obligations d'interopérabilités. C'est intéressant, mais ils oublient que la mise en oeuvre de ces lois sont très contraintes.
Depuis le début, j'explique la vision de la GPL par leurs auteurs, et l'articulation de la GPL avec les lois sur le droit d'auteur.
De toutes manières, j'ai réellement l'impression que tu n'as pas l'intention de revoir ton opinion, donc la discussion va s'arrêter rapidement. Je pense avoir fait des efforts pour avoir apporté des arguments légitimes que tu repousses systématiquement parce que tu n'as pas envie de changer de point de vue.
Tu n'apportes aucun argument juridique, tu essais de réfléchir dessus sans connaitre les concepts juridiques utilisés.
un travail dérivé se base sur l'inclusion: "includes major copyright-protected elements of an original, previously created first work". Or, dans la liaison dynamique, rien n'est inclus, à part les headers, qui pésentent l'API, et que les défenseurs du LL ont toujours jusqu'ici prétendu qu'elle n'était pas soumise à copyright.
Tu n'as retenu que la seule phrase qui confirmait ta vision biaisée. Il faut comprendre "includes" de façon bien plus large. D'ailleurs, la loi françaises parle plus "d’œuvres composites" qui est encore plus parlant.
Bah pourtant ça change tout, parce que c'est bien la distribution des morceaux qui va compter.
Non justement, cela ne change rien au fait que le logiciel fermé ne sert à rien sans le morceau GPL. C'est juste une tentative de noyer le poisson.
Si tu récupères plusieurs parties légalement en respectant les droits respectifs des différents ayant-droit, je ne vois pas quelle licence tu violes.
De base, le code fermé qui ne fonctionne qu'avec un code GPL n'est pas légal de base. Même sans la lib, il n'est pas légal, distribution ou pas du morceau GPL.
Par exemple, Lawrence Rosen, de l'OSI, a toujours prétendu que cette interprétation était abusive et que la liaison ne créait pas de travail dérivé
Ce n'est pas ce qui est écrit dans l'article que tu pointes :
"4) In most cases we shouldn't care how the linkage between separate programs was technically done, unless that fact helps determine whether the creators of the programs designed them with some apparent common understanding of what a derivative work would look like. We should consider subtle market-based factors as indicators of intent, such as whether the resulting program is being sold as an “enhanced” version of the original, or whether the original was designed and advertised to be improvable “like a library”."
C'est l'interprétation de la FSF depuis le début, mais quand tu creuses un peu les avis de juristes, ça n'est pas du tout l'unique interprétation (et notamment l'OSI considère que n'importe quelle liaison, statique ou dynamique, n'enfreint pas la GPL, chose que je ne comprends pas vraiment pour la liaison statique, mais bon).
Après, tu as l'air très sûr de toi, mais une recherche rapide sur Google tendrait à montrer que tu es peut-être un peu trop sûr de toi, étant donné que la question reste très incertaine.
Je suis sûr de moi, car cette conversation a déjà eu lieu il y a 10 ans sur linuxfr. Que j'ai cherché une licence pour le f-cpu. Et que je me suis beaucoup documenté à l'époque.
alors je ne vois pas comment tu peux être accusé de contrefaçon : tu livres des sources, ou même un exécutable, et dans ce que tu livres, il n'y a rien qui est couvert par le droit d'auteur d'un tiers (à part les appels à l'API, et il est très douteux qu'une API puisse être protégée, même si récemment il y a eu une décision judiciaire locale aux US qui a conclu le contraire à la surprise générale).
En gros, tu parles de cas de livraisons de code fermé, qui ne fonctionne qu'avec une lib GPL, dont la liaison serait uniquement sous le contrôle de l'utilisateur finale et non par l'auteur du logiciel fermé. Tu pars aussi du principe qu'il n'y a aucun header (.h) de la lib GPL en question utilisé par le logiciel fermé.
Je ne vois pas trop ce que cela change au fait que le logiciel fermé n'a d’intérêt et ne fonctionne qu'avec une lib GPL. Il "dépend" au sens fort de cette librairy. C'est en cela que c'est un travail dérivé. ( https://en.wikipedia.org/wiki/Derivative_work )
En gros, ton code fermé est un travail dérivé. Tu dois donc respecter une licence d'utilisation de l’œuvre d'origine. Le fait de livrer la lib GPL ou non n'intervient pas la dedans.
Mais non, en cas de liaison dynamique, tu ne livres pas le binaire avec ton œuvre.
Je ne pense pas que cela change le fait que tu as fait une oeuvre composite de fait, même si c'est l'utilisateur qui colle les morceaux. Dans la cas du livre, cela pourrait être simplement l'ouverture d'une vidéo youtube avec la chanson. Il faudrait tout de même payer des droits, le fait de le prendre sur youtube, ne change rien à ça.
Pour moi, ça ne tient pas, même si le livre est inutilisable (par exemple, il ne s'ouvre pas, ou tu ne peux pas le comprendre si tu n'as pas la chanson).
C'est pourtant une des méthodes des juges pour savoir si il y a plagiat.
Il est totalement dépendant d'un logiciel tiers, mais le logiciel en question ne peut pas être considéré comme un travail dérivé de Windows.
Très mauvais exemple, toutes les lib de windows contiennent explicitement la licence d'en faire ce que tu veux, de la même façon que sous linux.
Visiblement, l'interprétation de la FSF se base sur une sorte d'extension du concept de travail dérivé, qui considère que quelque chose qui a besoin d'une œuvre X pour fonctionner correctement est par définition un travail dérivé.
Oui ou "travail composite" cf le lien wikipedia. La GPL est passé dans les mains de beaucoup de juriste, et personne n'a remis en cause ce principe (Eden Molgen, Lawrence Lessig,…).
D'après mes recherches rapides, j'ai l'impression que cette partie de la GPL n'a jamais été confrontée à une évaluation par un tribunal,
Directement, je n'ai pas de souvenir. Cette validation par les tribunaux a déjà été tenté : cf http://www.gpl-violations.org/ issue du codeur du firewall de linux de mémoire, qui en avait marre de voir son travail pillé par des vendeurs de boites noires sans redistribution de leur modification.
Il y a également des listes de symboles qui sont autorisés à s'interfacer avec des éléments sous licence quelconque, et d'autres qui ne peuvent être utilisés que pour du code sous GPL.
Il faut que je creuse mais pour moi, c'est là uniquement pour des raisons de clarté, ce n'est pas une extension de la GPL.
Écrire un bout de code qui s'interface avec un autre, ça n'a rien à voir avec du travail dérivé, et je ne vois pas comment la GPL peut "contaminer" du code qui ne contient rien que des appels à une fonction… sauf si c'est bien l'API qui est protégée.
C'est juste le principe de base juridique du copyleft de la GPL depuis le début.
Le code est protégé par le droit d'auteur, et c'est tout. Si tu écris une grosse fonction et que j'utilise ta fonction, ça n'est pas une contrefaçon, je n'ai pas diffusé ou recopié ton code… sauf le nom de l'appel de fonction.
Bien sûr que tu utilises le code derrière la fonction. Sinon, cela voudrais dire que le binaire ne l'appel pas. Si tu as un appel de fonction, tu as forcément l’exécution de son code, et la licence du code s'applique. La licence s'applique avant tout sur le binaire. Le code n'est que la "prefered form of work".
Si dans un roman tu expliques que le personnage écoute "Let it be" des Beatles, le roman n'enfreint pas les droits de la chanson, toute la discussion ne peut porter que sur le titre. Et ça, ça marche même si le lecteur va se chanter la chanson dans sa tête, "utiliser" un élément protégé par le droit d'auteur en faisant référence à son nom n'a jamais constitué une contrefaçon.
Très mauvaise comparaison, une vrai comparaison serait que "Let it be" se fasse écouter au moment ou tu ouvres le livres à cette page. Et crois-moi l'auteur aura payer les droits qu'il faut.
C'est un cas à part, puisque Linux définit spécifiquement des exceptions à la GPL afin de permettre ce genre de choses. On a le même genre de restrictions dans les implémentations des "headers" standard dans les compilateurs libres.
Pas du tout justement. Il n'y a aucune exception comme pour la lib gpl de GCC qui se lie à chaque binaire produit par lui.
Quel est réellement l'argument avancé par la FSF pour prétendre que lorsqu'on utilise une bibliothèque sous GPL, notre programme est «contaminé» par la GPL, et ce, même quand la liaison est dynamique?
C'est l'usage qui le dit. Est-ce que ton programme fonctionne sans le code GPL ? Est-ce qu'il existe une alternative non GPL ? Cela te donne ta réponse.
À noter que cette interprétation semble être la plus courante (en tout cas, c'est la seule que je connaissais), puisqu'elle a justifié l'existence de la LGPL qui permet la liaison sans «contaminer» le logiciel appelant.
C'est l'inverse. La LGPL a été créé pour le permettre car c'était impossible avec la GPL.
Or, si le seul critère à prendre en compte est le «travail dérivé», ça voudrait dire que l'effet contaminant n'existe que parce qu'on considère qu'utiliser l'API d'une bibliothèque GPL définit un travail dérivé.
En gros oui.
Ça ne peut être vrai que si l'on considère qu'une API est soumise à la protection par le droit d'auteur, chose qui a récemment ici même été considéré comme une hérésie.
C'est pas l'API qui compte, c'est le code derrière.
Je sais que la GUI de gimp est un éternel débats, très très chiant pour les dev. Entre les utilisateurs qui veulent du Photophop like, du GIMP canal historique, un truc simple ou un truc moderne, personne ne sera d'accord.
Mais est-ce qu'il serait possible de modulariser la GUI ? La séparer du reste ? Ainsi on pourrait voir des mod de gimps simplifié, pour ceux qui mélange tout (calques/image/canevas), et certains pourraient expérimenter sans vous casser les pieds. On pourrait imaginer des mods orienté retouche photo et d'autres orientés dessins.
Pour complètement la première réponse, il y a le cas des drivers non libre dans linux. Ils sont légaux, car à l'origine fait pour un autre OS. Je crois que le tout premier exemple est le code de gestion du système de fichier de Minix, qui n'était pas sous GPL. Ensuite, il y a le drivers issues du monde Windows comme celui de Nvidia.
La GPL ne parle jamais de technique et se base uniquement sur les concepts du droit d'auteur. Pour implémenter la vaccination, il utilise le concept de travaux dérivé. Habituellement, c'est le cas des traduction de livre, des interprétations de chansons, ou des représentations théâtrales. Bref, tout nouveaux travaux qui se base/repose/dépend du travail actuelle. La licence GPL impose que ce travail dérivé soit aussi en GPL.
Donc, on peut bidouiller ce que l'on veut d'un point de vue technique, la GPL s'en fout, elle ne joue pas sur ce terrain-là.
Si les CC ont vu le jour tout de même, c'est que la GPL est bien pour des outils en perpétuel évolution, un texte fini qui reflète la pensé d'un auteur, n'a pas beaucoup d’intérêt d'être en GPL (sinon on pourrait faire dire l'inverse à l'auteur en question). La GPL s'applique mal sur le hardware car les produits fini ne sont pas géré par les droits d'auteurs. Seuls les plans, les fichiers d'entrée/généré (code VHDL, bitstream, floorplan), le sont. Ainsi, les travaux dérivés n'incluent pas les objets finis.
Ils n'ont peur que d'une chose : perdre les élections. Avec l'affaire de Tarnac, ils n'attendaient que ça après les brigades rouges, les brigades verte.
Cela consomme énormément de mémoire, car chaque étape ou presque garde une copie intermédiaire du traitement, darktable était parfois dur à utiliser par exemple, à cause de ça.
l'utilisateur peut très bien les installer indépendamment et reconstituer un jeu parfaitement fonctionnel, sans aucun problème de licence.
Si la reconstruction se fait après, à condition que cela ne soit pas artificielle. Si le code est nécessaire pour l'art work, cela ne marche pas. Car c'est un dérivé, une extension d'un travail sous GPL (c'était la méthode pour faire payer des licences MySQL malgré l'usage du réseau), et la GPL s'applique.
si les parties sous licence proprio ne se lient pas dynamiquement à la partie sous GPL
Non, cela ne changerait absolument rien d'un point de vue licence. Seul la LGPL parle de liaison dynamique, la GPL jamais.
Là, pas de problème de licence, puisqu'ils proposent deux logiciels, un proprio et un libre, et que le proprio interagit avec le logiciel libre de manière transitoire (juste pour l'installer) et sans lien binaire (c'est juste de la manipulation de fichier, et éventuellement des input/output, ce genre de choses). Le hic, c'est que dans ce cas, leur discours qui tourne autour d'un seul logiciel ne tient pas.
Il y a toujours eu des problèmes avec les œuvres composites. J'ai souvenir de moteur de jeux vidéo qui était open source, mais proposait des "art work" non libre pour un jeu particuliers pour le vendre. Cela permettait d'avoir du code libre et un jeu fermé. Ce qui semblait vertueux.
Mais je crois que la justice n'a pas aimé ça du tout, et il y a une condamnation disant qu'une seule licence s'appliquait.
Ici, on a une sorte de multilicence, pourquoi pas, mais pour cela il doivent posséder les droits d'auteur de tout le code, et ne pas réutiliser des libraries GPL par exemple.
De plus, la GPL a été explicitement écrite pour interdire sa modification comme l'ajout de clause non-commercial. Une fois une version distribué sous cette licence, ils ne peuvent pas du tout s'opposer à une redistribution.
Genre je déteste le moteur de recherche de twitter, qui est trop stupide. Est-ce qu'il serait possible de remplir les champs du moteur stupide avec votre library (série de date, d'auteur, voir de gamme de mot proche)
Je suis de moins en moins d'accord avec cette vision des choses. Les mainteneurs connaissent la distrib et leur contrainte bien mieux qu'un dev, c'est évident. Les mainteneurs peuvent être plus à jour sur les problèmes de sécurité (sauf pour openssl…).
Mais typiquement, j'ai un frein psychologique à mettre à jour ma distrib : je n'ai pas envie de perdre des jours à rependre un éventuel "epic fail" de mise à jour. Résultat, je me trouve avec un firefox obsolète, alors que son système d'upgrade est sécurisé. En tout cas, bien plus que de garder une vieille version, même en LTS.
Peut-être que les mainteneurs devraient faire des packageurs automatiques, utiliser des conteneurs Dockers (sans doute la meilleur idée pour les applications serveurs ayant 12000 dépendances).
Urpmi et autre yum ont montré la voix à suivre, mais Androïd et iOS ont montré une autre voie un peu plus souple (un "store" et une base qui se met à jour d'une autre façon).
Je me doute qu'il existe plein de langage, mais entre un prof of concept et un un truc utilisable en production il y a un monde. SystemC était à la mode, mais la détection d'erreur n'était vraiment pas sympa.
Après pour l'histoire du «behavioral», le principe de chisel est de faire un design synchrone et synthétisable. Du coup si c'est pas synthétisable ou synchrone alors le code n'est pas juste et doit provoquer une erreur. Il n'y a donc pas de séparation entre le comportementale (behavioral) et le synthétisable (RTL).
De mémoire, le behavioral était synchrone, c'est juste que le synthétiseur générait sa clock. A l'époque (autour de 2000), il y avait 3 modes: sans clock, avec une metaclock (la vrai clock était un multiple de la metaclock), ou avec une horloge mais avec des constructions inhabituel comme des wait sur l'horloge qui induisait des machines d'états parfois plus simple à écrire que le gros switch.
Toujours faux. On peut augmenter le travail à temps partiel en agissant sur les chômeurs et les personnes en situation de non-emploi (et donc sans convertir des temps plein en temps partiel). Et dans ce cas là, c'est difficile de prouver que l'augmentation de l'emploi à temps partiel se ferait avec une augmentation de la pauvreté. Cela pourrait même être l'inverse.
Oui, tu peux. Les gouvernements successifs ont essayer pendant 30 ans, et cela ne marche pas. Ta proposition est juste ce qu'ils tentent de faire depuis 30 ans, sans aucun succès. A un moment, il faut arrêter de jouer aux shadocks, et de croire à la marmotte.
Tu résumes un long poste par sa dernière phrase, donc forcément tu passes à coté.
Le sujet était le chômage avec des statistiques des pays.
Ensuite, je parle de temps partiel en France, avec l'état actuel des choses. Si on augmente le temps partiel, les salaires seront réduit d'autant, forcément. Si il y a plus de temps partiel, les salaires baisseront et la pauvreté augmentera. Les salaires horaires français ne vont pas magiquement augmenter.
Pour les bas salaires, c'est le cas. Regardes avec quoi vivent la cohorte de caissière et de femmes de ménage à temps partiel payé au SMIC horaire.
Bref, tu insinues des choses sur la pauvreté sans la mesurer, ni la corréler avec le taux de temps partiel d'un pays.
Tu peux le faire aussi ! Mais cela ne change rien. Le temps partiel étant corrélé avec le taux de chômage, et le chômage ne l'étant pas avec la pauvreté, la pauvreté n'est pas corrélé avec le temps partiel.
Encore des grosses boites privés, comme tu le notes toi-même. En Allemagne, la rh d'une usine peut être tenu par un syndicat, et les patrons n'ont pas le choix. Ainsi, ils sont responsables, et ne s'oppose pas bêtement, mais en même temps, la moindre demande est satisfaite ou presque, ou alors, il y a une grosse gréve comme la dernière.
Enfin un HDL open source à la base :) Ce n'est pas si courant.
Une question bête : est-ce qu'il est facile de faire une sorte de code "behavioral VHDL". En 2000, cela permettait de sortir l'horloge du design, mais au prix d'une synthèse lente. Cela permettait de faire générer des machines d'état avec des "wait" de signal. Cela permet aussi de redécouper un pipeline après coup (en VHDL, il faut ajouter des registres en sortie et faire confiance au synthétiseur).
Faut savoir si tu ne parles que de chômage ou si tu insinues des choses sur la pauvreté.
J’insinue qu'il n'y a pas de corrélation entre taux de chômage et pauvreté. J'ai bricolé un diagramme XY avec le taux de pauvreté de l'OCDE De 2015 et le taux de chomage de T2 2016 de l'OCDE aussi (quelle interface de merde pour créer un graph aussi simple).
Comme on peut le voir : il n'y a aucune corrélation entre taux de pauvreté et chômage.
[^] # Re: Ligne SIP + ATA
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Remplacement ligne FAX. Évalué à 3.
Bizarre que personne n'ai encore fait ce genre de boitier. Une ligne ADSL ne devrait pas consommer tant de puissance, non ? au pire, il faut limiter le débit pour que cela rentre.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Contacter les auteurs de Geogebra?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Du respect de la licence des logiciels libres : GeoGebra - SimulaMaths. Évalué à 3.
Pas l'interaction : la dépendance. C'est même fait exprès pour pouvoir faire des lib compatible GPL pour commencer.
Rien à voir. L'aggregate, c'est le bundle, le CDROM. Le but est de pouvoir mettre à jour ses logiciels GPL v3 par l'utilisateur pour ne pas être coincé (tivoïsation).
Depuis le début, je dis que le link n'a aucune importance, j'ai même repris le bout de ton article qui le dit. Ils disent la même chose que la FSF : peut importe comment le code est inclus. La différence d'interprétation est sur le fait de reprendre sans y toucher le code GPL pour savoir si cela créait un produit dérivé ou non. Même les opposants à la FSF disent que cela dépend des cas.
Ton 2ième article propose une autre piste : les obligations d'interopérabilités. C'est intéressant, mais ils oublient que la mise en oeuvre de ces lois sont très contraintes.
Depuis le début, j'explique la vision de la GPL par leurs auteurs, et l'articulation de la GPL avec les lois sur le droit d'auteur.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Contacter les auteurs de Geogebra?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Du respect de la licence des logiciels libres : GeoGebra - SimulaMaths. Évalué à 3.
Tu n'apportes aucun argument juridique, tu essais de réfléchir dessus sans connaitre les concepts juridiques utilisés.
Tu n'as retenu que la seule phrase qui confirmait ta vision biaisée. Il faut comprendre "includes" de façon bien plus large. D'ailleurs, la loi françaises parle plus "d’œuvres composites" qui est encore plus parlant.
Non justement, cela ne change rien au fait que le logiciel fermé ne sert à rien sans le morceau GPL. C'est juste une tentative de noyer le poisson.
De base, le code fermé qui ne fonctionne qu'avec un code GPL n'est pas légal de base. Même sans la lib, il n'est pas légal, distribution ou pas du morceau GPL.
Ce n'est pas ce qui est écrit dans l'article que tu pointes :
"4) In most cases we shouldn't care how the linkage between separate programs was technically done, unless that fact helps determine whether the creators of the programs designed them with some apparent common understanding of what a derivative work would look like. We should consider subtle market-based factors as indicators of intent, such as whether the resulting program is being sold as an “enhanced” version of the original, or whether the original was designed and advertised to be improvable “like a library”."
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Contacter les auteurs de Geogebra?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Du respect de la licence des logiciels libres : GeoGebra - SimulaMaths. Évalué à 3.
Je suis sûr de moi, car cette conversation a déjà eu lieu il y a 10 ans sur linuxfr. Que j'ai cherché une licence pour le f-cpu. Et que je me suis beaucoup documenté à l'époque.
En gros, tu parles de cas de livraisons de code fermé, qui ne fonctionne qu'avec une lib GPL, dont la liaison serait uniquement sous le contrôle de l'utilisateur finale et non par l'auteur du logiciel fermé. Tu pars aussi du principe qu'il n'y a aucun header (.h) de la lib GPL en question utilisé par le logiciel fermé.
Je ne vois pas trop ce que cela change au fait que le logiciel fermé n'a d’intérêt et ne fonctionne qu'avec une lib GPL. Il "dépend" au sens fort de cette librairy. C'est en cela que c'est un travail dérivé. ( https://en.wikipedia.org/wiki/Derivative_work )
En gros, ton code fermé est un travail dérivé. Tu dois donc respecter une licence d'utilisation de l’œuvre d'origine. Le fait de livrer la lib GPL ou non n'intervient pas la dedans.
Je ne pense pas que cela change le fait que tu as fait une oeuvre composite de fait, même si c'est l'utilisateur qui colle les morceaux. Dans la cas du livre, cela pourrait être simplement l'ouverture d'une vidéo youtube avec la chanson. Il faudrait tout de même payer des droits, le fait de le prendre sur youtube, ne change rien à ça.
C'est pourtant une des méthodes des juges pour savoir si il y a plagiat.
Très mauvais exemple, toutes les lib de windows contiennent explicitement la licence d'en faire ce que tu veux, de la même façon que sous linux.
Oui ou "travail composite" cf le lien wikipedia. La GPL est passé dans les mains de beaucoup de juriste, et personne n'a remis en cause ce principe (Eden Molgen, Lawrence Lessig,…).
Directement, je n'ai pas de souvenir. Cette validation par les tribunaux a déjà été tenté : cf http://www.gpl-violations.org/ issue du codeur du firewall de linux de mémoire, qui en avait marre de voir son travail pillé par des vendeurs de boites noires sans redistribution de leur modification.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Contacter les auteurs de Geogebra?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Du respect de la licence des logiciels libres : GeoGebra - SimulaMaths. Évalué à 4.
Il faut que je creuse mais pour moi, c'est là uniquement pour des raisons de clarté, ce n'est pas une extension de la GPL.
C'est juste le principe de base juridique du copyleft de la GPL depuis le début.
Bien sûr que tu utilises le code derrière la fonction. Sinon, cela voudrais dire que le binaire ne l'appel pas. Si tu as un appel de fonction, tu as forcément l’exécution de son code, et la licence du code s'applique. La licence s'applique avant tout sur le binaire. Le code n'est que la "prefered form of work".
Très mauvaise comparaison, une vrai comparaison serait que "Let it be" se fasse écouter au moment ou tu ouvres le livres à cette page. Et crois-moi l'auteur aura payer les droits qu'il faut.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Contacter les auteurs de Geogebra?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Du respect de la licence des logiciels libres : GeoGebra - SimulaMaths. Évalué à 4.
En gros oui. Sauf si l'interface est standard ou si il y a un autre moyen de l'utiliser par du code non-gpl aussi (cf driver non libre linux).
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Contacter les auteurs de Geogebra?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Du respect de la licence des logiciels libres : GeoGebra - SimulaMaths. Évalué à 4.
Pas du tout justement. Il n'y a aucune exception comme pour la lib gpl de GCC qui se lie à chaque binaire produit par lui.
C'est l'usage qui le dit. Est-ce que ton programme fonctionne sans le code GPL ? Est-ce qu'il existe une alternative non GPL ? Cela te donne ta réponse.
C'est l'inverse. La LGPL a été créé pour le permettre car c'était impossible avec la GPL.
En gros oui.
C'est pas l'API qui compte, c'est le code derrière.
"La première sécurité est la liberté"
# GUI ?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche GIMP 2.10 roule au GEGL. Évalué à 9.
Je sais que la GUI de gimp est un éternel débats, très très chiant pour les dev. Entre les utilisateurs qui veulent du Photophop like, du GIMP canal historique, un truc simple ou un truc moderne, personne ne sera d'accord.
Mais est-ce qu'il serait possible de modulariser la GUI ? La séparer du reste ? Ainsi on pourrait voir des mod de gimps simplifié, pour ceux qui mélange tout (calques/image/canevas), et certains pourraient expérimenter sans vous casser les pieds. On pourrait imaginer des mods orienté retouche photo et d'autres orientés dessins.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Contacter les auteurs de Geogebra?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Du respect de la licence des logiciels libres : GeoGebra - SimulaMaths. Évalué à 5.
Pour complètement la première réponse, il y a le cas des drivers non libre dans linux. Ils sont légaux, car à l'origine fait pour un autre OS. Je crois que le tout premier exemple est le code de gestion du système de fichier de Minix, qui n'était pas sous GPL. Ensuite, il y a le drivers issues du monde Windows comme celui de Nvidia.
La GPL ne parle jamais de technique et se base uniquement sur les concepts du droit d'auteur. Pour implémenter la vaccination, il utilise le concept de travaux dérivé. Habituellement, c'est le cas des traduction de livre, des interprétations de chansons, ou des représentations théâtrales. Bref, tout nouveaux travaux qui se base/repose/dépend du travail actuelle. La licence GPL impose que ce travail dérivé soit aussi en GPL.
Donc, on peut bidouiller ce que l'on veut d'un point de vue technique, la GPL s'en fout, elle ne joue pas sur ce terrain-là.
Si les CC ont vu le jour tout de même, c'est que la GPL est bien pour des outils en perpétuel évolution, un texte fini qui reflète la pensé d'un auteur, n'a pas beaucoup d’intérêt d'être en GPL (sinon on pourrait faire dire l'inverse à l'auteur en question). La GPL s'applique mal sur le hardware car les produits fini ne sont pas géré par les droits d'auteurs. Seuls les plans, les fichiers d'entrée/généré (code VHDL, bitstream, floorplan), le sont. Ainsi, les travaux dérivés n'incluent pas les objets finis.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Acta 10 ans après
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sauvons le partage de code ! Appel à signature de la lettre ouverte « Save Code Share ». Évalué à 5.
Ils n'ont peur que d'une chose : perdre les élections. Avec l'affaire de Tarnac, ils n'attendaient que ça après les brigades rouges, les brigades verte.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: traitement d'image non-destructif
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche GIMP 2.10 roule au GEGL. Évalué à 8.
Cela consomme énormément de mémoire, car chaque étape ou presque garde une copie intermédiaire du traitement, darktable était parfois dur à utiliser par exemple, à cause de ça.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Contacter les auteurs de Geogebra?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Du respect de la licence des logiciels libres : GeoGebra - SimulaMaths. Évalué à 3.
Non justement. "Prefered form of work"
Si la reconstruction se fait après, à condition que cela ne soit pas artificielle. Si le code est nécessaire pour l'art work, cela ne marche pas. Car c'est un dérivé, une extension d'un travail sous GPL (c'était la méthode pour faire payer des licences MySQL malgré l'usage du réseau), et la GPL s'applique.
Non, cela ne changerait absolument rien d'un point de vue licence. Seul la LGPL parle de liaison dynamique, la GPL jamais.
Là, je suis d'accord.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Contacter les auteurs de Geogebra?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Du respect de la licence des logiciels libres : GeoGebra - SimulaMaths. Évalué à 10.
Il y a toujours eu des problèmes avec les œuvres composites. J'ai souvenir de moteur de jeux vidéo qui était open source, mais proposait des "art work" non libre pour un jeu particuliers pour le vendre. Cela permettait d'avoir du code libre et un jeu fermé. Ce qui semblait vertueux.
Mais je crois que la justice n'a pas aimé ça du tout, et il y a une condamnation disant qu'une seule licence s'appliquait.
Ici, on a une sorte de multilicence, pourquoi pas, mais pour cela il doivent posséder les droits d'auteur de tout le code, et ne pas réutiliser des libraries GPL par exemple.
De plus, la GPL a été explicitement écrite pour interdire sa modification comme l'ajout de clause non-commercial. Une fois une version distribué sous cette licence, ils ne peuvent pas du tout s'opposer à une redistribution.
A priori, il y a des lib GPL et pas seulement MPL, leur truc n'est pas possible :
https://dev.geogebra.org/trac/wiki/SourcesForUsedLibraries
Il ne leur reste que le cout de la licence différente sur l'installeur, et les fichiers de traduction mais je ne pense pas que cela tienne en justice.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Auteur de snips-nlu
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche Snips ouvre sa technologie NLU. Évalué à 4.
Genre je déteste le moteur de recherche de twitter, qui est trop stupide. Est-ce qu'il serait possible de remplir les champs du moteur stupide avec votre library (série de date, d'auteur, voir de gamme de mot proche)
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Auteur de snips-nlu
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche Snips ouvre sa technologie NLU. Évalué à 7.
C'est génial votre truc. Est-ce possible de s'en servir aussi pour comprendre simplement du texte ? Par exemple l'entrée d'un moteur de recherche ?
Est-ce que vous prévoyez des modules "d'actions" lié à l'interprétation du texte ?
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Pourquoi se donner tant de mal ?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal [bookmark] terminaux et protection contre la copie. Évalué à 2.
Je suis de moins en moins d'accord avec cette vision des choses. Les mainteneurs connaissent la distrib et leur contrainte bien mieux qu'un dev, c'est évident. Les mainteneurs peuvent être plus à jour sur les problèmes de sécurité (sauf pour openssl…).
Mais typiquement, j'ai un frein psychologique à mettre à jour ma distrib : je n'ai pas envie de perdre des jours à rependre un éventuel "epic fail" de mise à jour. Résultat, je me trouve avec un firefox obsolète, alors que son système d'upgrade est sécurisé. En tout cas, bien plus que de garder une vieille version, même en LTS.
Peut-être que les mainteneurs devraient faire des packageurs automatiques, utiliser des conteneurs Dockers (sans doute la meilleur idée pour les applications serveurs ayant 12000 dépendances).
Urpmi et autre yum ont montré la voix à suivre, mais Androïd et iOS ont montré une autre voie un peu plus souple (un "store" et une base qui se met à jour d'une autre façon).
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: un nouveau HDL !
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Un composant électronique TapTempo avec Chisel3. Évalué à 3.
Je me doute qu'il existe plein de langage, mais entre un prof of concept et un un truc utilisable en production il y a un monde. SystemC était à la mode, mais la détection d'erreur n'était vraiment pas sympa.
De mémoire, le behavioral était synchrone, c'est juste que le synthétiseur générait sa clock. A l'époque (autour de 2000), il y avait 3 modes: sans clock, avec une metaclock (la vrai clock était un multiple de la metaclock), ou avec une horloge mais avec des constructions inhabituel comme des wait sur l'horloge qui induisait des machines d'états parfois plus simple à écrire que le gros switch.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: C'est dommage de ne pas être complet
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal [HS ou presque] Réduire le chômage ?. Évalué à 3.
Oui, tu peux. Les gouvernements successifs ont essayer pendant 30 ans, et cela ne marche pas. Ta proposition est juste ce qu'ils tentent de faire depuis 30 ans, sans aucun succès. A un moment, il faut arrêter de jouer aux shadocks, et de croire à la marmotte.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: C'est dommage de ne pas être complet
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal [HS ou presque] Réduire le chômage ?. Évalué à 3.
Tu résumes un long poste par sa dernière phrase, donc forcément tu passes à coté.
Le sujet était le chômage avec des statistiques des pays.
Ensuite, je parle de temps partiel en France, avec l'état actuel des choses. Si on augmente le temps partiel, les salaires seront réduit d'autant, forcément. Si il y a plus de temps partiel, les salaires baisseront et la pauvreté augmentera. Les salaires horaires français ne vont pas magiquement augmenter.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: C'est dommage de ne pas être complet
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal [HS ou presque] Réduire le chômage ?. Évalué à 6.
il y a eu des élections fin 2015, et début 2016, qui ont changé ça.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: C'est dommage de ne pas être complet
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal [HS ou presque] Réduire le chômage ?. Évalué à 3.
Pour les bas salaires, c'est le cas. Regardes avec quoi vivent la cohorte de caissière et de femmes de ménage à temps partiel payé au SMIC horaire.
Tu peux le faire aussi ! Mais cela ne change rien. Le temps partiel étant corrélé avec le taux de chômage, et le chômage ne l'étant pas avec la pauvreté, la pauvreté n'est pas corrélé avec le temps partiel.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: C'est dommage de ne pas être complet
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal [HS ou presque] Réduire le chômage ?. Évalué à 3.
Ils ont aussi changé de méthode en cours de route, lié à une élection de mémoire, et en n'appliquant plus les règles du FMI.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Definir temps complet
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal [HS ou presque] Réduire le chômage ?. Évalué à 3.
Encore des grosses boites privés, comme tu le notes toi-même. En Allemagne, la rh d'une usine peut être tenu par un syndicat, et les patrons n'ont pas le choix. Ainsi, ils sont responsables, et ne s'oppose pas bêtement, mais en même temps, la moindre demande est satisfaite ou presque, ou alors, il y a une grosse gréve comme la dernière.
"La première sécurité est la liberté"
# un nouveau HDL !
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Un composant électronique TapTempo avec Chisel3. Évalué à 5.
Enfin un HDL open source à la base :) Ce n'est pas si courant.
Une question bête : est-ce qu'il est facile de faire une sorte de code "behavioral VHDL". En 2000, cela permettait de sortir l'horloge du design, mais au prix d'une synthèse lente. Cela permettait de faire générer des machines d'état avec des "wait" de signal. Cela permet aussi de redécouper un pipeline après coup (en VHDL, il faut ajouter des registres en sortie et faire confiance au synthétiseur).
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: C'est dommage de ne pas être complet
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal [HS ou presque] Réduire le chômage ?. Évalué à 3.
J’insinue qu'il n'y a pas de corrélation entre taux de chômage et pauvreté. J'ai bricolé un diagramme XY avec le taux de pauvreté de l'OCDE De 2015 et le taux de chomage de T2 2016 de l'OCDE aussi (quelle interface de merde pour créer un graph aussi simple).
Comme on peut le voir : il n'y a aucune corrélation entre taux de pauvreté et chômage.
"La première sécurité est la liberté"