Pour ceux qui aiment les chiffres, vous pouvez vous penchez sur les guérisons de cancer en France, région par région, et faire en même temps un tableau de la prescription d'homéopathie, région par région, et regarder l'Est.
Dans les années 1950-1970, au Royaume Uni, le nombre de téléviseurs et le nombre d'entrées en asile psychiatrique sont correlés.
Tu en déduis que la télé rend fou ?
C'est vrai. Tout le monde sait que le meilleur cidre est briard¹.
C'est comme pour le fromage : les meillleurs sont briards (Coulommiers, Brie de Meaux, de Melun). Sans compter la moutarde (de Meaux évidemment)...
Par KDE.org, j'entendais « l'ensemble des développeurs qui contribuent à une release et à la décision de la faire ».
Comme il était question de « versionning », il est évident que l'ensemble des applications et des bibliothèques qui font partie de la même release ont été contruites et testées pour fonctionner ensemble : pas de problème de version à ce niveau.
Le problème de version envisagé par tene ne peut donc se produire que lorsque l'on est en dehors de ce KDE.org. Et, dans ce cas, on est dans le même cas qu'il s'agisse d'un objet de base ou d'un composant complexe : s'il est bogué, ben on a trois solutions :
- attendre qu'il soit débogué ;
- déboguer soi-même ;
- ne pas s'en servir ;
si son API a changé, on peut :
- modifier son application en conséquence ;
- ou pleurer dans son coin.
J'ai simplement dit « ben ton application ne fonctionne plus » car, tant que « tu » n'as rien fait (déboguage ou modification de ton application), c'est toujours le cas.
Je voulais surtout montrer à tene qu'en ce qui concerne les bogues et le « versionning », il n'y a pas de différence entre une qlist, un qfiledialog et ces nouveaux composants.
Microsoft (c'est le logiciel qu'on vend comme un produit),
Pas vraiment : MS (et les autres) vend des licences, pas des logiciels. C'est le droit à l'utilisation du produit qui est elle-même devenue un produit.
(j'ai l'impression que tu me prends pour un c...;-)
C'est _toi_ qui le dit (on reproche souvent aux autres de faire ce qu'on leur fait ;oP).
Tu m'expliques que c'est un principe de base de KDE, super, ça ne solutionne pas le problème de définir des contrats entre ces composants permettant à la fois d'être souple, tout en restant implémentable. C'est un problème récurrent en IT depuis ... le tout début. Pratiquement: au plus ton contrat est précis et poussé, au plus il sera spécifique et limite le type d'échange possible.[...]
On est d'accord : c'est le problème des composants. Si on code tout dans une seule application, on est sûr (modulo les bogues et erreurs de conception) que tous les modules vont pouvoir discuter correctement. Et, si on décide de rendre les modules plus autonomes (jusqu'à en faire des applications autonomes), soit on est obligé d'avoir des contrats complexes bien spécifiés, soit on se limite dans les interactions entre les parties du document (p.ex. un sous-document prendra seulement un rectangle).
De plus, on parle ici de composants koffice, donc de composants spécifiques dont les contrats peuvent être déterminés, on ne parle pas d'un modèle générique ou d'intégrer n'importe quoi n'importe où n'importe comment.
L'objectif est de fournir des composants qui, p.ex., évitent à Konqueror d'avoir à lancer kword+kivio pour obtenir un aperçu d'un document composite. Ces composants permettront aussi à d'autres applications d'intégrer des sous-documents koffice d'une façon plus profonde (p.ex. intégrer un kcalc éditable dans Scribus).
Quand je parle de versionning, je ne parle pas de versionning de document, mais de composant, comment t'assurer que tu instancies bien la bonne version de ta classe? [...]
(Encore fallait-il dire que tu parlais de version de code et pas de document...)
Tu récupères le composant qui promet la bonne version du contrat. C'est tout.
En plus, KDE est un environnement total : tous les composants sont livrés par le même fabricant. Il y a peu de chances qu'ils ne soient pas correctement associés. Si tu n'est pas KDE.org et que tu construits une application qui utilise ces composants, tu es exactement dans le même cas que lorsque tu utilises le sélecteur de fichiers : s'il est bogué ou si l'API a changé, ben ton application ne fonctionne plus. Comme ton application a plus d'interactions avec KDE, elle en dépend d'autant plus. C'est évident mais ce n'est pas la peine d'en exagérer les problèmes.
Ça apporte un plus : plus d'interactions possibles.
Ça apporte un moins : plus d'intrication, de dépendance.
Personne n'est, non plus, obligé de s'en servir. C'est un choix à faire en pesant les pours et les contres.
Voilà, ça veut pas dire que c'est une mauvaise idée, que c'est nul, que c'est pas bien, et surement pas que je ferais mieux, plutôt que je suis curieux de voir comment seront [adresser abordés, pris en compte, réglés ?] ces différents problèmes, qui sont bien réel[s] (si tu veux des exemples de ma vie de tous les jours, c'est quand tu veux ;).
Je ne nie pas les questions (qui ne sont pas des problèmes mais des choix à faire), j'ai juste essayé de répondre à tes remarques (qu'on pourrait qualifier de peu argumentées).
Bref, tout comme KDE4, je suis intéress[anté], et curieux de voir ce que ça va donner!
- Est-ce que cela ne revient pas à chercher un dénominateur commun entre toute les appli?
Non. C'est un des principes de base de KDE qui est ici utilisé : avoir des composants que les applications peuvent utiliser.
L'exemple typique était le composant pour afficher du html : n'importe quelle application KDE qui veut afficher du html ne va pas se retaper un moteur de rendu html ni utiliser/intégrer tout konqueror, elle va se contenter d'utiliser le composant KDE de rendu de html.
À partir de maintenant, on aura d'autres exemples réels que le html.
- Comment gérer le versionning?
Parce que les éléphants de mer ?
Un document reste un document. Qu'il intègre un sous-document n'est pas nouveau et ne change rien à sa gestion logique. C'est juste qu'au lieu de lancer une autre application pour manipuler ce sous-document, ce sera plus intégré aussi au niveau du code (et donc de l'interface).
- Comment retomber sur ses pates si un de ces objets est buggé?
Ça se passe de la même façon (mais avec un peu plus d'interactions) que lorsqu'on utilise le composant « sélecteur de fichier » : comment fait-on s'il est bogué ? On débogue ou on contourne en ne s'en servant pas.
De toute façon, comme ces nouveaux composants vont aussi être utilisés par les applications correspondantes, cela voudrait dire que les applications aussi seront boguées : éditer un graphique dans kword ou dans kivio, ce sera pareil.
Ben au niveau applicatif, ça ressemble quand même fortement à du http/www. Par exemple du courriel par http : entre une page html d'un webmail ou d'une archive et directement un courriel qui arrive en http (c'est quoi déjà le nom du « smtp over http » ?), pas facile de voir la différence.
Alors là, moi je suis d'accord.
Mais voilà certains proxy ne laissent passer que le 80 à cause du http :
Fait n°1 : 80 = port standard du http/www ;
Fait n°2 : la connexion internet ne doit servir qu'à faire du http/www ;
Conclusion : on n'ouvre que le 80.
Donc si tu veux que tous tes clients potentiels puissent utiliser ton service, il faut qu'ils puissent passer par un proxy méchamment configuré, donc tu utilises le 80 avec du http, même si c'est pas du www classique.
Et puis tout le monde le sait, les serveurs web qui utilisent un autre port sont des sites peu fréquentables, tenus par des anarchistes, des crypto-communistes et des terroristes...
Oui, c'est parce que HTTP fournit pas mal de choses utiles par rapport à TCP.
Par exemple, il n'y a pas besoin de se taper un parser compliqué pour le flux, il existe déjà. En fait, on réutilise toute la grammaire, facilement extensible (on peut ajouter des en-têtes ou passer ça dans le contenu).
Et puis ça passe les proxy. Ok, c'est con de casser le principe « une application = un port connu » qui permet un filtrage simple par « toutes les applications = le port 80 »...
Hexakosioihexehontahexa : préfixe grec, donc ça pourrait aller (si les français comprenaient encore un peu les préfixes grecs). Dance : mot anglais, donc ça va pas.
Le « fameux » anticonstitutionnellement n'est qu'un cas d'école, une vieille rengaine.
Un mot est français quand les français le comprennent et l'utilisent. Ce qui arrive avec anticonstitutionnellement mais, toujours ?, dans un usage métalinguistique (c'est-à-dire comme étant le « mot le plus long de la langue française »).
Pour qu'un mot entre dans un dictionnaire, il doit apparaître plusieurs fois dans plusieurs publications différentes (p.ex. un roman + un article de journal) (et évidemment dans une utilisation « normale » : pas comme une curiosité). C'est un test qui vaut ce qu'il vaut.
Il existe des mots plus longs mais qui sont considérés comme argotiques, techniques ou artificiels. Hexakosioihexehontahexadance serait considéré comme technique et faisant partie de l'argot, euh, chorégraphique ?
De plus, le français est une langue analytique : par opposition aux langues agglutinantes comme l'allemand ou l'inuit, le français utilise des « mots vides » (prépositions, articles...) et des propositions pour expliciter un concept (analyse = découpage). P.ex. antidésopérationalisationnellement, qui peut vouloir dire quelque chose si on s'y attache serait sûrement remplacé par « d'une façon qui s'oppose à la désopérationalisation », voire « d'une façon qui s'oppose à la perte de la faculté de rendre opérant (ou fonctionnel) ».
[^] # Re: Faire appliquer la loi.
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche L'Éducation nationale vend les produits de Microsoft dès la maternelle. Évalué à 5.
Dans les années 1950-1970, au Royaume Uni, le nombre de téléviseurs et le nombre d'entrées en asile psychiatrique sont correlés.
Tu en déduis que la télé rend fou ?
[^] # Re: Contre-mesures possibles
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche L'Éducation nationale vend les produits de Microsoft dès la maternelle. Évalué à 1.
de la pression
(hép garçon : une autre !)
[^] # Re: Coaca
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche Entretien avec Richard Stallman au sujet des DRMs. Évalué à 2.
C'est comme pour le fromage : les meillleurs sont briards (Coulommiers, Brie de Meaux, de Melun). Sans compter la moutarde (de Meaux évidemment)...
¹ : si, si, primé et tout.
[^] # Re: Ajax : vas te faire voir chez les Grecs!
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au sondage AJAX. Évalué à 3.
[^] # Re: D'un autre côté..
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal [HS] enigme refléchie. Évalué à 10.
Je sais pas vous, mais, moi, je n'ai qu'un seul bras droit, accompagné d'un seul bras gauche...
[^] # Re: secouez-moi, secouez-moi !
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche Entretien avec Richard Stallman au sujet des DRMs. Évalué à 4.
Pour ceux qui n'y croient pas : www.nestea.fr (qui est très moche et fonctionne mal) et le lien « notice légale » en bas à droite.
[^] # Re: liberté
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche Entretien avec Richard Stallman au sujet des DRMs. Évalué à 3.
[^] # Re: Coaca
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche Entretien avec Richard Stallman au sujet des DRMs. Évalué à 4.
Essaie un verre de Vittel/Contrex/Evian à une terrasse. Vu ce que ça coûte au client, ça m'étonnerait que ça ne rapporte rien au vendeur ;o)
[^] # Re: intérêt
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Un regard sur KOffice 2.0. Évalué à 2.
Comme il était question de « versionning », il est évident que l'ensemble des applications et des bibliothèques qui font partie de la même release ont été contruites et testées pour fonctionner ensemble : pas de problème de version à ce niveau.
Le problème de version envisagé par tene ne peut donc se produire que lorsque l'on est en dehors de ce KDE.org. Et, dans ce cas, on est dans le même cas qu'il s'agisse d'un objet de base ou d'un composant complexe : s'il est bogué, ben on a trois solutions :
- attendre qu'il soit débogué ;
- déboguer soi-même ;
- ne pas s'en servir ;
si son API a changé, on peut :
- modifier son application en conséquence ;
- ou pleurer dans son coin.
J'ai simplement dit « ben ton application ne fonctionne plus » car, tant que « tu » n'as rien fait (déboguage ou modification de ton application), c'est toujours le cas.
Je voulais surtout montrer à tene qu'en ce qui concerne les bogues et le « versionning », il n'y a pas de différence entre une qlist, un qfiledialog et ces nouveaux composants.
[^] # Re: Un besoin de l'industrie du logiciel ?
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au sondage AJAX. Évalué à 4.
Pas vraiment : MS (et les autres) vend des licences, pas des logiciels. C'est le droit à l'utilisation du produit qui est elle-même devenue un produit.
[^] # Re: Linux dominance of this market
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Windows Compute Cluster Server. Évalué à 3.
[^] # Re: NAND
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal en avant le matériel Vista-only. Évalué à 2.
Trop ouvert.
[^] # Re: Faire appliquer la loi.
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche L'Éducation nationale vend les produits de Microsoft dès la maternelle. Évalué à 3.
- l'homéopathie ça marche pas ;
- les cures, c'est de l'arnaque.
[^] # Re: Ajax : vas te faire voir chez les Grecs!
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au sondage AJAX. Évalué à 8.
Exploit d'Ajax le grand : massacre d'un troupeau de moutons puis suicide.
Sont gaies tes lectures...
[^] # Re: intérêt
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Un regard sur KOffice 2.0. Évalué à 2.
C'est _toi_ qui le dit (on reproche souvent aux autres de faire ce qu'on leur fait ;oP).
On est d'accord : c'est le problème des composants. Si on code tout dans une seule application, on est sûr (modulo les bogues et erreurs de conception) que tous les modules vont pouvoir discuter correctement. Et, si on décide de rendre les modules plus autonomes (jusqu'à en faire des applications autonomes), soit on est obligé d'avoir des contrats complexes bien spécifiés, soit on se limite dans les interactions entre les parties du document (p.ex. un sous-document prendra seulement un rectangle).
De plus, on parle ici de composants koffice, donc de composants spécifiques dont les contrats peuvent être déterminés, on ne parle pas d'un modèle générique ou d'intégrer n'importe quoi n'importe où n'importe comment.
L'objectif est de fournir des composants qui, p.ex., évitent à Konqueror d'avoir à lancer kword+kivio pour obtenir un aperçu d'un document composite. Ces composants permettront aussi à d'autres applications d'intégrer des sous-documents koffice d'une façon plus profonde (p.ex. intégrer un kcalc éditable dans Scribus).
(Encore fallait-il dire que tu parlais de version de code et pas de document...)
Tu récupères le composant qui promet la bonne version du contrat. C'est tout.
En plus, KDE est un environnement total : tous les composants sont livrés par le même fabricant. Il y a peu de chances qu'ils ne soient pas correctement associés. Si tu n'est pas KDE.org et que tu construits une application qui utilise ces composants, tu es exactement dans le même cas que lorsque tu utilises le sélecteur de fichiers : s'il est bogué ou si l'API a changé, ben ton application ne fonctionne plus. Comme ton application a plus d'interactions avec KDE, elle en dépend d'autant plus. C'est évident mais ce n'est pas la peine d'en exagérer les problèmes.
Ça apporte un plus : plus d'interactions possibles.
Ça apporte un moins : plus d'intrication, de dépendance.
Personne n'est, non plus, obligé de s'en servir. C'est un choix à faire en pesant les pours et les contres.
Je ne nie pas les questions (qui ne sont pas des problèmes mais des choix à faire), j'ai juste essayé de répondre à tes remarques (qu'on pourrait qualifier de peu argumentées).
Itou.
[^] # Re: intérêt
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Un regard sur KOffice 2.0. Évalué à 0.
Non. C'est un des principes de base de KDE qui est ici utilisé : avoir des composants que les applications peuvent utiliser.
L'exemple typique était le composant pour afficher du html : n'importe quelle application KDE qui veut afficher du html ne va pas se retaper un moteur de rendu html ni utiliser/intégrer tout konqueror, elle va se contenter d'utiliser le composant KDE de rendu de html.
À partir de maintenant, on aura d'autres exemples réels que le html.
Parce que les éléphants de mer ?
Un document reste un document. Qu'il intègre un sous-document n'est pas nouveau et ne change rien à sa gestion logique. C'est juste qu'au lieu de lancer une autre application pour manipuler ce sous-document, ce sera plus intégré aussi au niveau du code (et donc de l'interface).
Ça se passe de la même façon (mais avec un peu plus d'interactions) que lorsqu'on utilise le composant « sélecteur de fichier » : comment fait-on s'il est bogué ? On débogue ou on contourne en ne s'en servant pas.
De toute façon, comme ces nouveaux composants vont aussi être utilisés par les applications correspondantes, cela voudrait dire que les applications aussi seront boguées : éditer un graphique dans kword ou dans kivio, ce sera pareil.
[^] # Re: ... HS, moinssage, etc.
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche Actions contre les DRM le vendredi 9 juin. Évalué à 2.
re-->[]
[^] # Re: ... HS, moinssage, etc.
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche Actions contre les DRM le vendredi 9 juin. Évalué à 2.
-->[]
[^] # Re: Ajax ou X11 ?
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal À quand tous nos logiciels favoris en AJAX ?. Évalué à 3.
[^] # Re: Ajax ou X11 ?
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal À quand tous nos logiciels favoris en AJAX ?. Évalué à 3.
Mais voilà certains proxy ne laissent passer que le 80 à cause du http :
Fait n°1 : 80 = port standard du http/www ;
Fait n°2 : la connexion internet ne doit servir qu'à faire du http/www ;
Conclusion : on n'ouvre que le 80.
Donc si tu veux que tous tes clients potentiels puissent utiliser ton service, il faut qu'ils puissent passer par un proxy méchamment configuré, donc tu utilises le 80 avec du http, même si c'est pas du www classique.
Et puis tout le monde le sait, les serveurs web qui utilisent un autre port sont des sites peu fréquentables, tenus par des anarchistes, des crypto-communistes et des terroristes...
[^] # Re: Ajax ou X11 ?
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal À quand tous nos logiciels favoris en AJAX ?. Évalué à 3.
Par exemple, il n'y a pas besoin de se taper un parser compliqué pour le flux, il existe déjà. En fait, on réutilise toute la grammaire, facilement extensible (on peut ajouter des en-têtes ou passer ça dans le contenu).
Et puis ça passe les proxy. Ok, c'est con de casser le principe « une application = un port connu » qui permet un filtrage simple par « toutes les applications = le port 80 »...
[^] # Re: c'est un vrai mot ?
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal H+18. Évalué à 7.
Dance : mot anglais, donc ça va pas.
Le « fameux » anticonstitutionnellement n'est qu'un cas d'école, une vieille rengaine.
Un mot est français quand les français le comprennent et l'utilisent. Ce qui arrive avec anticonstitutionnellement mais, toujours ?, dans un usage métalinguistique (c'est-à-dire comme étant le « mot le plus long de la langue française »).
Pour qu'un mot entre dans un dictionnaire, il doit apparaître plusieurs fois dans plusieurs publications différentes (p.ex. un roman + un article de journal) (et évidemment dans une utilisation « normale » : pas comme une curiosité). C'est un test qui vaut ce qu'il vaut.
Il existe des mots plus longs mais qui sont considérés comme argotiques, techniques ou artificiels. Hexakosioihexehontahexadance serait considéré comme technique et faisant partie de l'argot, euh, chorégraphique ?
De plus, le français est une langue analytique : par opposition aux langues agglutinantes comme l'allemand ou l'inuit, le français utilise des « mots vides » (prépositions, articles...) et des propositions pour expliciter un concept (analyse = découpage). P.ex. antidésopérationalisationnellement, qui peut vouloir dire quelque chose si on s'y attache serait sûrement remplacé par « d'une façon qui s'oppose à la désopérationalisation », voire « d'une façon qui s'oppose à la perte de la faculté de rendre opérant (ou fonctionnel) ».
[^] # Re: Firefox 2.0
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Paris capitale du libre réagit au troll. Évalué à 5.
(Au passage : « tous les ». À chaque fois qu'on peut mettre « les » après « tou* », c'est « tous ».)
[^] # Re: A toi ...
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Quid de la propriété intellectuelle dans le cadre d'une association de loi 1901?. Évalué à 3.
sauf mention contraire.
[^] # Re: Un commentaire
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal fluxbox-fr. Évalué à 2.