I. [Dans des expr.]
A. Emploi adj. Qui constitue l'extrémité ultime de quelque chose (souvent le tout début ou l'extrême fin).
[...]
- Au fig. Le fin mot de. Le mot qui donne la clé de quelque chose. Fabrice comprit le fin mot de tout ce qui lui arrivait (STENDHAL, Chartreuse, 1839, p. 33).
J'avais mis « pas épais » pour expliciter adjectif courant, en opposition au nom fin. Mais ce n'est pas le sens le plus terre à terre « pas épais » de l'adjectif fin qui est utilisé.
En fait, c'est une sorte de final dans le sens « à l'extrémité » (et non dans le sens « en rapport avec la finalité, l'objectif »). Ce sens de fin n'est utilisé que dans les expressions.
En nom masculin, ça veut aussi dire « caché, secret » (dans « le fin du fin »).
En adj., ça veut aussi dire « complètement » : « fin saoul ».
Il y a aussi « fin fond ».
Euh, au « commencement », il y avait :
- les pipes ;
- les sockets (unix ou IP) ;
- la mémoire partagée (et les sémaphores qui vont avec) ;
- Sun RPC.
_Après_ est venu (-e l'idée de¹) CORBA.
¹ : parce que la spéc. c'est arrivé plus tard et la mise en ½uvre (qui fonctionne) encore plus tard (qui a dit « pas encore » ?).
Et CORBA n'a jamais été ni conçu ni utilisé pour la « communication inter applications sous unix ». Il a été conçu et est utilisé pour la communication _objet_ entre applications², sur IP.
² : donc : orienté objet (mais fonctionne aussi avec des langages non objets, comme C) et multi-plateforme (l'OS n'a rien à voir).
En français, la position de l'adjectif n'a été fixée que récemment. Le latin permet de le poser n'importe où. Avec la perte des différents cas (= la modification de la forme du mot suivant sa fonction, comme les désinences en latin), le français a perdu l'information de la fonction du mot. Pour remplacer la perte de cette information dans la morphologie, on l'a replacée dans la syntaxe : la position obligatoire (ou presque).
Les mots anglais ont une morphologie très peu variable (juste le pluriel, le -s des verbes pour he/she/it, les -ed, -ing des verbes, le -ly des adverbes (et encore, c'est discutable)). Donc la position est très importante en anglais.
On peut aussi penser au chinois (qui a subi il y a 2000 ans ce que l'anglais subit aujourd'hui).
Or donc, pendant la phase transitionnelle entre le marquage morphologique des cas et leur marquage positionnel, le français a oscillé et a été plus souple que maintenant (mais il reste encore souple). Cela permet de jolies distinctions : brave homme / homme brave...
D'ailleurs, le français a un mécanisme oral très pratique pour discerner certains cas ambigus (un peu comme la distinction d'accent en anglais ou en chinois) : la liaison, qui n'est possible qu'à l'intérieur d'un groupe solidaire. P.ex. : « le savant aveugle » qui peut être prononcé avec ou sans liaison (*taveugle) suivant qu'il s'agit respectivement d'un aveugle qui est savant ou d'un savant qui est aveugle.
Pour revenir au « fin mot de l'histoire », « fin » y est l'adjectif courant : « pas épais ».
Il faut avoir l'esprit plus fin !
Ah ? Moi j'avais compris que c'était tout un tas de hackers qui y allaient ensemble de leur petite contribution pour féconder le noyal et lui faire accoucher d'une nouvelle version...
Ça ne me semble pas être une contradiction :
1. ils baissent les impôts qui existent et en créent d'autres (ils sont nouveaux, ils ne peuvent donc être baissés) ;
2. les impôts créés ne font pas partie des charges patronales, ils sont « universels ».
En général (j'ai pas vérifié hier), à 0h42, sur Gully, il y a un gros « Gully » qui ronfle. C'est une mire.
À noter que la mire (hertzienne, quand elle existait encore) faisait parfois plus d'audience que d'autres programmes.
(P.ex., moi, fut un temps ou je préfèrais regarder les trois gus d'Arte déguisés en moutons que les redifs des « Histoires naturelles » ou des « Aventures du jeune Patrick Packard ».)
Yahoo en achetant del.icio.us a peut etre trouve mieux que le PageRank: utiliser les bookmarks que les internautes mettent sur ce site.
Pas évident du tout. Personnellement, dans mes marque-pages, je mets les pages que j'aurais du mal à retrouver, pas celles que j'utilise le plus.
P.ex., je ne mettrais pas www.debian.org, mais une page « Comment configurer le filtre anti-boulet de Ploum avec dotclear sur Debian ». Et pour une recherche dans un moteur sur mot clef « debian », je préfèrerais que celui-ci me renvoie www.debian.org et pas la seconde page (que tout le monde aura enregistrée dans del.icio.us car tout le monde a une debian et dotclear pour son blog).
(Oui, l'exemple est bidon. C'est normal, c'est un exemple.)
En fait, le moteurs utilisent de plus en plus de données secondaires et heuristiques pour essayer de mieux approximer une pertinence car ils ne peuvent accéder à une pertinence objective.
T'as des chiffres ?
Parce que moi aussi je peux sortir des affirmations sans chiffres : armée de conscrits ou armée professionnelle, c'est le même prix, c'est juste un déplacement de budgets...
Je ne dis pas que ça ne se fait pas.
Je ne dis pas que ça ne sert pas.
Je dis que :
- soit on fait du relationnel et on doit alors se poser des questions quand on commence à envisager un mapping ;
- soit on fait de l'objet.
En clair, partir sur du relationnel pour tout coller dans un blob (sens propre ou figuré), je vois plus l'intérêt du relationnel.
on utilise la commande \tableofcontents, celle-ci :
- inclut le contenu du fichier .toc ;
- écrase/crée le fichier .toc ;
ensuite, les commandes \section et consorts écrivent, s'il existe, dans le fichier .toc.
C'est pour cela qu'il faut compiler au moins deux fois (souvent trois parce que ça rajoute des pages donc les références ne sont plus bonnes) :
- la première compilation crée le fichier et le remplit ;
- la seconde compile le contenu inséré du fichier.
(Ça marche pareil que la commande soit avant ou après les \section.)
Si on utilise deux fois la commande : la première utilisera le fichier .toc plein et écrasera le fichier, la seconde aura un fichier .toc vide.
Pour insérer plusieurs tables, il faut créer plusieurs fichiers.
Si tu veux une toc + un sommaire, il faut créer une commande \sommaire sur le modèle de la commande \tableofcontents et modifier les commandes \section pour qu'elles écrivent aussi dans le fichier .som.
Autre solution, plus simple mais moins automatique : faire une copie du fichier .toc (cp toto.toc toto.toc.copie) et faire \include{\jobname.toc.copie} (avec une \section{Sommaire} avant).
comme si l'existence du droit des marques etait normal
Tu proposes quoi ? de supprimer le droit des marques ?
Dans ce cas, le même « mot » (anciennement « marque ») pourra désigner plusieurs produits différents, plusieurs entreprises différentes. Et comment s'y retrouve-t-on ?
Une Traban pourra être nommée « Peugeot 206 ». Drôlement pratique.
Donner le même nom à plusieurs choses, dans le même domaine, c'est impossible. Il faut donc qu'un mot (signe, référent), dans un domaine, ait un seul objet (signifié, référé).
Il faut un « annuaire », une table qui relie les mots aux choses.
Il faut un mécanisme de gestion de cet annuaire pour y entrer un nouveau mot : le dépôt de marque.
Il faut aussi que la règle « un signe dans un domaine correspond à un objet au plus » soit vérifiée : le droit des marques.
Pour faire un parallèle avec la programmation, si tu as une meilleure solution qu'une table des symboles pour faire correspondre un symbole avec, au plus, un emplacement mémoire (variable, objet, fonction...), je crois que ça en intéresserait plus d'un.
De même si tu as une meilleure solution que d'écraser le contenu de cette table ou de crier à l'erreur lorsqu'un tel écrasement est tenté.
Il y a au moins l'affreuse possibilité de coder la liste des tags comme une chaîne de caractères. Ensuite : un split dans le langage (ici Php) et d'autres requêtes pour avoir les tags eux-mêmes (p.ex. : "1 5 9" = tags 1, 5 et 9, ou, pire, directement "bureautique java kde").
Mais un SGBD relationnel, ça sert à avoir un modèle simple avec des requêtes simples et optimisées. Si c'est pour sérialiser un modèle objet, il faut trouver autre chose (p.ex. un SGBD objet).
[^] # Re: Je râle
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Apache sur votre mobile. Évalué à 3.
J'avais mis « pas épais » pour expliciter adjectif courant, en opposition au nom fin. Mais ce n'est pas le sens le plus terre à terre « pas épais » de l'adjectif fin qui est utilisé.
En fait, c'est une sorte de final dans le sens « à l'extrémité » (et non dans le sens « en rapport avec la finalité, l'objectif »). Ce sens de fin n'est utilisé que dans les expressions.
En nom masculin, ça veut aussi dire « caché, secret » (dans « le fin du fin »).
En adj., ça veut aussi dire « complètement » : « fin saoul ».
Il y a aussi « fin fond ».
Enfin, fin, c'est finaud.
[^] # Re: Je râle
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Apache sur votre mobile. Évalué à 2.
[^] # Re: 666
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal [HS] Aujourd'hui c'est la fin du monde. Évalué à 10.
[^] # Re: Haaaaaaaaaa
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal [HS] Aujourd'hui c'est la fin du monde. Évalué à 6.
Ha ha ha ha --pouf--> ¹
¹ : rire de gorge profond, nuage de fumée, disparition et odeur sulfureuse
[^] # Re: Et les autres ?
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Un de moins. Évalué à 4.
$ mf --version
Metafont 2.71828 (Web2C 7.5.4)
...
Ah zut. faut trouver des bogues à Metafont pour avoir plus de précision.
[^] # Re: A contre-courant...
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal KDE 4. Évalué à 8.
- les pipes ;
- les sockets (unix ou IP) ;
- la mémoire partagée (et les sémaphores qui vont avec) ;
- Sun RPC.
_Après_ est venu (-e l'idée de¹) CORBA.
¹ : parce que la spéc. c'est arrivé plus tard et la mise en ½uvre (qui fonctionne) encore plus tard (qui a dit « pas encore » ?).
Et CORBA n'a jamais été ni conçu ni utilisé pour la « communication inter applications sous unix ». Il a été conçu et est utilisé pour la communication _objet_ entre applications², sur IP.
² : donc : orienté objet (mais fonctionne aussi avec des langages non objets, comme C) et multi-plateforme (l'OS n'a rien à voir).
[^] # Re: Un commentaire
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal fluxbox-fr. Évalué à 3.
au secours ! -->[]
[^] # Re: Sympa ca !
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Konquefox - Extension et astuces pour une meilleure intégration de Firefox dans Linux et KDE. Évalué à 3.
(en haut à droite, dans le titre : « voter pour cette tâche »).
[^] # Re: Je râle
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Apache sur votre mobile. Évalué à 6.
Les mots anglais ont une morphologie très peu variable (juste le pluriel, le -s des verbes pour he/she/it, les -ed, -ing des verbes, le -ly des adverbes (et encore, c'est discutable)). Donc la position est très importante en anglais.
On peut aussi penser au chinois (qui a subi il y a 2000 ans ce que l'anglais subit aujourd'hui).
Or donc, pendant la phase transitionnelle entre le marquage morphologique des cas et leur marquage positionnel, le français a oscillé et a été plus souple que maintenant (mais il reste encore souple). Cela permet de jolies distinctions : brave homme / homme brave...
D'ailleurs, le français a un mécanisme oral très pratique pour discerner certains cas ambigus (un peu comme la distinction d'accent en anglais ou en chinois) : la liaison, qui n'est possible qu'à l'intérieur d'un groupe solidaire. P.ex. : « le savant aveugle » qui peut être prononcé avec ou sans liaison (*taveugle) suivant qu'il s'agit respectivement d'un aveugle qui est savant ou d'un savant qui est aveugle.
Pour revenir au « fin mot de l'histoire », « fin » y est l'adjectif courant : « pas épais ».
Il faut avoir l'esprit plus fin !
Ah, elle est fine, celle-là ! -->[]
[^] # Re: Apprends à un homme à pécher....
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal mes aventures avec les traitement de textes. Évalué à 6.
[^] # Re: En même temps
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Leroy Merlin. Évalué à 3.
[^] # Re: tiens
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Audimat et mensonges. Évalué à 3.
[^] # Re: Un lien ...
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Taxe sur les courriels et SMS. Évalué à 3.
Les grands esprits se rencontrent, les petits se cognent.
[^] # Re: Pourquoi ?
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Taxe sur les courriels et SMS. Évalué à 2.
1. ils baissent les impôts qui existent et en créent d'autres (ils sont nouveaux, ils ne peuvent donc être baissés) ;
2. les impôts créés ne font pas partie des charges patronales, ils sont « universels ».
Quoi ? où ? ah ok -->[]
[^] # Re: Enorme..
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Qu'il est bon de rire parfois - initiation à l'humour alsacien.. Évalué à 2.
Il reste même du francique à Mulhouse.
[^] # Re: tiens
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Audimat et mensonges. Évalué à 2.
À noter que la mire (hertzienne, quand elle existait encore) faisait parfois plus d'audience que d'autres programmes.
(P.ex., moi, fut un temps ou je préfèrais regarder les trois gus d'Arte déguisés en moutons que les redifs des « Histoires naturelles » ou des « Aventures du jeune Patrick Packard ».)
[^] # Re: Bien entendu...
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Les francais sont des pirates. Évalué à 3.
Importer à eux -> leur importer
Merci (deux fois).
[^] # Re: Je me demande si c'est pas dangereux
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse à la dépêche Google, futur grand méchant loup ?. Évalué à 4.
Pas évident du tout. Personnellement, dans mes marque-pages, je mets les pages que j'aurais du mal à retrouver, pas celles que j'utilise le plus.
P.ex., je ne mettrais pas www.debian.org, mais une page « Comment configurer le filtre anti-boulet de Ploum avec dotclear sur Debian ». Et pour une recherche dans un moteur sur mot clef « debian », je préfèrerais que celui-ci me renvoie www.debian.org et pas la seconde page (que tout le monde aura enregistrée dans del.icio.us car tout le monde a une debian et dotclear pour son blog).
(Oui, l'exemple est bidon. C'est normal, c'est un exemple.)
En fait, le moteurs utilisent de plus en plus de données secondaires et heuristiques pour essayer de mieux approximer une pertinence car ils ne peuvent accéder à une pertinence objective.
[^] # Re: .
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Il ne faut pas être plus royaliste que le roi. Évalué à 1.
Parce que moi aussi je peux sortir des affirmations sans chiffres : armée de conscrits ou armée professionnelle, c'est le même prix, c'est juste un déplacement de budgets...
[^] # Re: comment les coder ?
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Nouvel annuaire d'applications libres. Évalué à 3.
Je ne dis pas que ça ne sert pas.
Je dis que :
- soit on fait du relationnel et on doit alors se poser des questions quand on commence à envisager un mapping ;
- soit on fait de l'objet.
En clair, partir sur du relationnel pour tout coller dans un blob (sens propre ou figuré), je vois plus l'intérêt du relationnel.
[^] # Re: Reponse
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal if (langageRapport == "LaTeX") return "Complications en vue";. Évalué à 3.
Le principe de la TOC en LaTeX est le suivant :
on utilise la commande \tableofcontents, celle-ci :
- inclut le contenu du fichier .toc ;
- écrase/crée le fichier .toc ;
ensuite, les commandes \section et consorts écrivent, s'il existe, dans le fichier .toc.
C'est pour cela qu'il faut compiler au moins deux fois (souvent trois parce que ça rajoute des pages donc les références ne sont plus bonnes) :
- la première compilation crée le fichier et le remplit ;
- la seconde compile le contenu inséré du fichier.
(Ça marche pareil que la commande soit avant ou après les \section.)
Si on utilise deux fois la commande : la première utilisera le fichier .toc plein et écrasera le fichier, la seconde aura un fichier .toc vide.
Pour insérer plusieurs tables, il faut créer plusieurs fichiers.
Si tu veux une toc + un sommaire, il faut créer une commande \sommaire sur le modèle de la commande \tableofcontents et modifier les commandes \section pour qu'elles écrivent aussi dans le fichier .som.
Autre solution, plus simple mais moins automatique : faire une copie du fichier .toc (cp toto.toc toto.toc.copie) et faire \include{\jobname.toc.copie} (avec une \section{Sommaire} avant).
[^] # Re: J'ai quand même des doutes...
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Java bientot libre ?. Évalué à 4.
Tu proposes quoi ? de supprimer le droit des marques ?
Dans ce cas, le même « mot » (anciennement « marque ») pourra désigner plusieurs produits différents, plusieurs entreprises différentes. Et comment s'y retrouve-t-on ?
Une Traban pourra être nommée « Peugeot 206 ». Drôlement pratique.
Donner le même nom à plusieurs choses, dans le même domaine, c'est impossible. Il faut donc qu'un mot (signe, référent), dans un domaine, ait un seul objet (signifié, référé).
Il faut un « annuaire », une table qui relie les mots aux choses.
Il faut un mécanisme de gestion de cet annuaire pour y entrer un nouveau mot : le dépôt de marque.
Il faut aussi que la règle « un signe dans un domaine correspond à un objet au plus » soit vérifiée : le droit des marques.
Pour faire un parallèle avec la programmation, si tu as une meilleure solution qu'une table des symboles pour faire correspondre un symbole avec, au plus, un emplacement mémoire (variable, objet, fonction...), je crois que ça en intéresserait plus d'un.
De même si tu as une meilleure solution que d'écraser le contenu de cette table ou de crier à l'erreur lorsqu'un tel écrasement est tenté.
[^] # Re: comment les coder ?
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Nouvel annuaire d'applications libres. Évalué à 2.
Mais un SGBD relationnel, ça sert à avoir un modèle simple avec des requêtes simples et optimisées. Si c'est pour sérialiser un modèle objet, il faut trouver autre chose (p.ex. un SGBD objet).
[^] # Re: OMFG
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal [HS] La cravate de Sarkozy. Évalué à 3.
Tu as peur qu'il se saoule ?
(indice : verbre plaindre)
[^] # Re: Prenons un cas réel
Posté par Sylvain Sauvage . En réponse au journal Les licences et l'innovation. Évalué à 2.