Ysabeau 🧶 a écrit 7491 commentaires

Bien sûr que si on paie des droits de successions sur les œuvres d'art, en France en tout cas. Quand la valeur est élevée, il est possible, notamment en faisant des donations à l'État d'avoir une fiscalité plus légère.

Par contre, effectivement, elles ne sont pas inclues dans le calcul de l'Impôt sur la Fortune Immobilière (ce qui est assez logique).

Voir, par exemple (il y a d'autres liens, forcément) sur la question :
https://www.heritage-succession.com/sous-menu-fiscalite-et-oeuvres-d-art.html

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Je me demandais pourquoi tu avais relevé le score de Fortran dans ton lien précédent sur l'index TIOBE ! Je comprends mieux :-)

Merci pour le lien.

Du coup, as-tu une idée de l'utilisation de ce langage (qui est celui par lequel Frances Allen est entrée dans l'informatique, ne l'oublions pas) à l'heure actuelle ?

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Merci pour ton retour.

Ça, ce n'est pas un problème, mais un choix assez héroïque.

Ce n'est même peut-être pas un choix. Ne pas oublier qu'il s'agit d'une adolescente, entre une méconnaissance du lien entre sexualité et procréation que tu soulignes, une méconnaissance du fonctionnement de son corps (et, possiblement, des menstruations irrégulières) et des dispositifs existants etc. Il y a des tas de raisons pour lesquelles ce n'est pas forcément réellement un choix assumé.

Ça reste une décision, même forcée, difficile et courageuse à assumer. Parce que, mener des études et élever un gamin, c'est tout sauf facile.

Les filles avaient peut-être perçu tout ça différemment, mais pour un garçon, il y a un message plus ou moins implicite et facile à retenir : fais ce que tu veux tant que ta partenaire est d'accord, protégez-vous bien, et en cas de grossesse elle pourra choisir d'avorter, ça la regarde. Déresponsabilisation totale.

Et j'ai parlé à des pères de garçons qui considéraient que c'était à la fille de prendre ses précautions et que ce n'était pas le problème de leur fils.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

L'Autorité de la concurrence peut s'auto-saisir. Rien de suspect.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Ce n’est pas la première fois que la CUJE recale des demandes de protection de ce genre. Il y a eu des précédents avec les saveurs. Qu’on ne peut pas protéger.

Les fragrances non plus ne peuvent pas l’être (pour l’instant, mais les États-unis, jamais en reste en matière de malfaisance dans ce domaine, laissent la porte ouverte à une possibilité de protection d’une odeur), soit dit en passant. Mais comme un parfum c’est aussi lié au prestige d’une marque et à un emballage soigné…

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

En fait, j'ai déjà fait ça :

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Tout à fait ! Dans le cas des grossesses des lycéennes ou des jeunes étudiantes, souvent le père de l'enfant, souvent lui-même lycéen ou étudiant, est totalement inexistant. Un enfant ça met en péril la poursuite des études.

J'avais lu quelques études et articles sur le sujet et c'est à la fois triste et consternant.

Il ne reste effectivement plus qu'à souhaiter que la toute jeune mère ait un entourage familial ou assimilé accueillant. Ce qui n'est pas, non plus, toujours le cas.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Là, j'imagine qu'antistress connaît suffisamment la (trop) jeune mère :-).

Moi j'aurais tricoté des chaussettes au bébé, un arc-en-ciel de chaussettes. Ou, peut-être bien, oui, acheté le livre de naissance en "kit" comme antistress.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

C'est super gentil comme cadeau (et mieux que la version toute faite en fait). Mais, ce qui est consternant c'est que la gamine soit seule. Pourtant, cet enfant a bien un père.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

donc les personnels de santé peuvent servir de voie de contaminations des autres

C'est aussi ce que je dis.

Quant au fait d'imposer une obligation vaccinale supplémentaire, donc en l'espèce contre le covid, cela nécessite de légiférer sur le sujet. Il est possible que c'est cela qui fasse hésiter le gouvernement.

Aujourd'hui, le vaccin, dont on peut voir qu'il est efficace, est la seule arme contre la pandémie. Point. Je ne comprends pas ces réticences sur la vaccination des personnels de santé qui sont aux premières loges !

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Ben si ! À partir du moment ou les personnels de santé sont au contact avec des personnes fragiles, voire contagieuses, il est essentiel qu'ils soient vaccinés. Pour eux et pour les autres. Par exemple, pour le vaccin contre la grippe, il est plus efficace de vacciner les personnes qui s'occupent des personnes âgées vivant en institution (et qui souvent sortent assez peu) que les personnes âgées. Étant en contact avec plus de monde souvent, ils sont susceptibles d'être un fort vecteur d'entrée de la maladie dans l'institution.

Aussi, avant qu'il y ait un vaccin contre l'hépatite, dans les centres de dialyse, il était connu qu'on attrapait facilement la maladie. La vaccination, avec une meilleure connaissance des type d'hépatite et un protocole de soins stricts a permis d'en diminuer le taux de maladies drastiquement.

N'importe comment, il existe déjà des vaccins obligatoires pour les personnels de santé, il n'y a donc pas lieu à débat sur le sujet. Et aussi.

Oh, et aussi, il y a des vaccins à avoir obligatoirement pour voyager.

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Le vaccin contre le Covid, ça empêche d'être très gravement malade, ça empêche que des opérations soient déprogrammées entraînant des risques vitaux pour d'autres malades parce que les services de soins intensifs sont remplis de personnes atteintes du covid. Ça diminue les covid longs, voire ça semble améliorer la santé des personnes qui en sont atteintes (dont des gamins et des jeunes).

D'une manière générale, la vaccination protège les vaccinés de la maladie (dans le cas du tétanos, ça empêche de mourir dans d'atroces souffrances ou de de survivre avec des séquelles pas choucardes) et, dans le cas des maladies contagieuses, quand le couverture vaccinale est suffisante, cela protège aussi les personnes qui ne peuvent pas être vaccinées. Et, évidemment ça permet de lutter efficacement contre les épidémies.

Il y a des vaccins plus efficaces que d'autres, certes, ceux contre le covid font partie des plutôt plus efficaces. Voir ce qu'en dit Irène Frachon par exemple qui vient de s'exprimer sur le sujet.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

S'il n'y a que deux clampins isolés, ça n'aura aucun effet. Il faut plus que ça et aussi, l'époque étant ce qu'elle est, des bruits sur les réseaux sociaux les plus courus, Twitter principalement.

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Ça dure depuis un certain temps cette mode.

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Non, mais ça ne me plaît pas non plus d'avoir affaire à des soignants susceptibles de me contaminer parce qu'ils refusent d'être vaccinés, sachant qu'ils ont affaire à des perosnnes fragiles, parfois immunodéprimées. La vaccination est une histoire de santé publique, pas une histoire individuelle. Désolée.

Et non, un acte médical n'est pas forcément librement consenti, et encore heureux. Sinon cela poserait d'énormes problèmes aux urgences.

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Tu ne peux déjà pas prétendre à certains boulots si tu n'as pas certaines vaccinations, hépatite notamment pour le personnel de santé.

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Merci pour cette publication non seulement drôle, mais aussi instructive.

Et dire que cette dépêche a failli être abandonnée ! En soi, non seulement elle est intéressante, mais les anecdotes qui sont rajoutées dans les commentaires ajoutent des éléments tout aussi drôles et instructifs. Merci pour les tiennes.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Ce que je veux dire, c'est que partir du principe que les vieux peuvent apprendre, c'est un peu idéalistes.

Ce n’est pas idéaliste, c’est tout à fait exact. On apprend tout le temps, pas seulement à un moment donné.

En tant que formatrice (bureautique, initiation à l’informatique, etc.), j’ai eu plus affaire à des jeunes sortis de l’école qui refusaient d’apprendre que de personnes plus âgées (parfois très âgées, mon plus vieux client avait 80 ans) qui refusent d’apprendre. Un constat partagé avec d’autres formateurs et qui s’explique aisément d’ailleurs. Une personne qui ne peut plus apprendre est gravement malade.

Partir du principe que les personnes qui ne sont plus toute jeunes ne peuvent plus apprendre est à la fois inepte et insultant pour ces personnes.

Par contre, on peut avoir des résistances au changement, des difficultés physiques pour accéder à l’information en ligne, des problèmes de compréhension par rapport à des jargons, ne pas avoir la culture nécessaire pour comprendre que tel icône représente telle fonction ou encore, ben ne pas avoir envie et tout ça n’est pas spécialement un truc de l’âge.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Faudrait voir de quand date cette partie du code électoral cela dit. Peut-être d'une époque où, les femmes n'ayant pas le droit de vote, et le devoir électoral pouvant se faire lors d'une balade dominicale en famille, les épouses gardaient les enfants pendant que les époux accomplissaient leur devoir de citoyen.

Cela dit, interdire l'accès de la salle de vote aux enfants permet d'éviter qu'elle ne se transforme en garderie risquant ainsi de nuire à la vigilance des assesseurs (oui, c'est compliqué de trouver des justes milieux).

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Du reste, j'irais bien faire un test à l'Assemblée Nationale, et plus encore au Sénat: les voir devant l'ordi, sans assistant, effectuer les démarches administratives qu'ils supposent triviales pour leurs administrés.

Un certain nombre de membres du Parlement ont déjà bien du mal à faire ce qui est réclamé à tous les Français quand l'occasion se présente (et que le Parlement trouve normal d'imposer), à savoir demander des factures et des notes pour établir des notes de frais¹, il y en a même eu incapables de remplir une déclaration d'impôts. Je crois que tu en demandes trop.

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Oui l'excuse de l'enfant, en bas âge ou non, est pourrie de chez pourrie.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Et en plus, les enfants ne sont pas seuls dans la salle avec un seul adulte, donc il y a quelqu'un pour faire attention à eux pendant les quelques minutes (secondes ?) ou le parent est dans l'isoloir et aucun risque pour l'enfant d'avoir affaire à un quelconque prédateur ou je ne sais quoi.

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Ça ne signifie pas non plus forcément que les femmes sont incapables d'être scientifiques (on a des preuves abondantes du contraire), informaticiennes (elles sont à la source de de l'informatique), et ainsi de suite.

Bref cela ne signifie pas non plus que l'intelligence des hommes soit supérieure à la leur (et là, on n'a pas vraiment de preuve d'une supériorité masculine sur ce plan).

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

J'ai vu, il n'y a pas si longtemps, un commentaire de quelqu'un qui se posait des questions sur le cerveau féminin et l'informatique, aux sources de laquelle on trouve un paquet de femmes soit dit en passant.

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La télé a parlé des débuts de Linux à ses débuts justement.

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