Barnabé a écrit 701 commentaires

AAAAAAAAAAAHhhhhhhhhhhhhhhhhh !

C'est trop horrible !!!!


Sérieusement, si tu regardes un peu les commentaires sur ce site, tu te rendras compte que tout le monde fait l'effort d'écrire en francais.

Tu devrais essayer.....

D'autres font mieux....

Ou pire ?

http://youtube.com/watch?v=CXTtXU34I4A

Le point de Pierre Mazière, c'est plutôt, si je l'ai bien compris, qu'on ne peut pas considérer que le passage de l'administration au logiciel libre soit une avancée dans une société sans liberté.

Pour le coté « société sans liberté » d'autres ont répondu, souvent en partant dans des débats assez stériles, que sont venu calmer la réponse si bien posée de Christophe Amalvy ( https://linuxfr.org/comments/843309.html#843309 )

Pour le coté « avancée », j'ai tenté de répondre, visiblement pas assez clairement, que toutes choses égales par ailleurs, je préfère une administration poussant à l'utilisation de logiciels libres, qu'une autre n'utilisant que du propriétaire.

Personne n'a parlé d'être obligé d'installer Linux.

Ou alors on ne lit pas les mêmes commentaires, ou alors pas le même site, peut être pas sur le même internet....

J'y suis !

Nous ne sommes pas sur la même planète !

«Tout dépend de ce que l'état en question compte faire des logiciels libres.»

Et moi je pense que cela n'en dépend pas. Ca peut être une avancée complètement dérisoire par rapport à d'autres qui seraient nécessaires, mais c'est une avancée.

Même si les logiciels en question servent à ficher les citoyens, ou bien à monter un site de vente en ligne d'instruments de torture, je préfère qu'ils soient libres que propriétaires. (Attention, je ne parle plus ici du Vénézuela, et bien évidemment, je suis contre le fichage et la torture.)

Je suis bien d'accord que ce n'est pas une avancée prioritaire, mais cela n'en fait pas un recul pour autant.

Affirmer comme tu le fais que ce n'est pas une avancée est manifestement faux.

Mais si, il y en a...

Vers Guantanamo....

« l'adoption de logiciels libres par un état constitue une avancée si et seulement si cet état offre tous les gages d'une démocratie »

Tu pourrais étayer un peu ?

Par-ce que là, ca fait vérité assénée à grand coup de marteau-pilon.

En quoi l'adoption des logiciels libres par la pire des dictatures ne constituerait elle pas une avancée ?

Tu as tout à fait raison, ou en tout cas je ne vais pas discuter avec toi de la qualité de Mandriva ou des raisons de leurs échecs.

Il n'en reste pas moins que ce qu'ils disent est vrai :
Paris Capitale du Libre est une pure opération marketing de Linagora.
L'ass2l est complètement contrôlée par Linagora.
Linagora percoit Mandriva comme un ennemi qu'il faut battre (ceci dit, sur ce point la réciproque est certainement tout aussi vraie).

En fait, ce qui t'aidera, c'est effectivement de trouver la MIB du matériel que as. Elles sont souvent assez bien commentées.

Je te suggères de commencer tes recherches ici : http://www.snmplink.org/

Tu ne confondrais pas la MIB et les grandeurs SNMP ?

Une MIB est juste un fichier texte, décrivant un sous-arbre snmp. Une MIB de 20 Mo, c'est assez surprenant....

L'idéal pour toi, ce serait de récupérer la MIB de tes équipements, qui te donnera simplement une correspondance du genre :
1.3.6.1.2.1.1.1 <=> SNMPv2-MIB::sysDescr

Ensuite, tu te sers de cette MIB pour «rendre intelligent» ton client SNMP, (je te conseille tkmib). Tu peux alors explorer les grandeurs (OIDs) retournées par tes équipements, et trouver celles qui t'intéressent.

Une fois que tu as la liste des OIDs à surveiller, un script à base de snmpget, ou bien un environnement plus complexe à base de RRDtool par exemple te donnerait à la demande les infos.

«on reste asujetti à l'élément qui se trouve juste au dessus de nous.»

C'est vrai pour le F.A.I, par contre, utiliser GMail reste un choix.

Je pense personellement que le service rendu par GMail ne vaut pas que je leur confie une telle part de ma vie privée.

Comment se fait-il que le lien «Alexandre ZAPOLSKY», entre «Posté par» et «Modéré le ...» soit pour tous les participants à ce site un lien vers la page perso, et pour Monsieur Zapolsky un lien mailto: ?

Ca n'en a peut-être pas l'air, mais c'est une vraie question.

Ah, alors Linagora n'aura pas de prix....

C'est bien pour cela que j'utilise emacs !

Je suis en permanence dans un environement où les fins de lignes sont en \n, si il y a des \r qui trainent, j'ai envie d'être au courant.

Oui....

http://arisme.free.fr/Whitephone/

Uniquement si tu distribues ta femme.

J'avais bien lu...

Le problème est bien lorsqu'une tierce personne va vouloir distribuer les polices modifiées (et sans la clause supplémentaire)

Le premier modificateur des polices n'a pas ce problème, puisque c'est RedHat qui lui a distribué les polices, et que donc la clause est active.

Ce que j'essayais de dire, c'est que le gars, il fait absolument ce qu'il veut avec son super processeur et les sources de Linux, il n'est absolument obligé à rien, il peut tout garder pour lui, tant qu'il ne va pas redistribuer sa version modifiée de Linux.

Par contre, si il distribue par exemple un noyau binaire issus de Linux, il doit fournir les sources correspondantes, sous une forme qui permette à l'utilisateur de s'en servir. L'utilisateur doit avoir la liberté d'executer du code modifié. Si on ne lui donne pas le moyen de le faire, on le prive de cette liberté.

Ceci dit, l'exemple du nouveau processeur me parait un peu bancal, car on rentre dans quelque chose de beaucoup plus complexe que les seules sources du noyau (chaîne de compilation croisée, modifications de gcc, ...)

C'est simple, mais on peut aussi penser que si dans un fichier il y a des lignes en \r\n et d'autres en \n, cela a un sens qu'il n'appartient pas à l'éditeur de determiner, mais à l'utilisateur.

Et le téléphone WiFi de free, qui n'est pas prété, lui, on les trouve où les sources ?

Tu confonds la liberté du code et la liberté de l'utilisateur.

Ce qui est gênant dans le cas de Tivo, c'est que l'utilisateur est finalement privé de la liberté de faire tourner du code modifié sur le hardware qui lui appartient. C'est un trou dans la GPLv2 que la GPLv3 va boucher.

«Ca voudrait dire que si jamais un mec fabrique un nouveau processeur, et qu'il fait tourner linux dessus, il serait *obliger*(sic) de fournir le compilateur qui va avec ??»

Pas du tout.

Sela signifie que si il distribue la version de linux qui tourne sur son processeur, il devra bien entendu donner à ses licenciés les moyens de l'utiliser, et donc un compilateur.

L'important, c'est « si il distribue »

« Donc on peut se retrouver avec un dérivé de Liberation qui à chaque utilisation dans un pdf par exemple exige que le document soit aussi sous GPL... »

Et où est le problème ?

Ca m'enerve un peu ce discours, qui tend à présenter comme un défaut la nature même de la GPL.

Si je prends les polices Liberation, que j'en fait une version modifiée et que je la redistribue sous GPL pure, c'est un choix que j'ai fait.

Maintenant, quelqu'un qui serait intéressé par mes modifications se trouve devant une alternative, soit il les utilise en en acceptant la licence, soit il ne les utilise pas.

Il n'y a pas de piège, les choses sont claires. RedHat distribue ses polices sous GPL avec une clause particulière, et permet aux distributeurs de travaux dérivés de supprimer cette clause, mais personne n'oblige personne à se servir des dits travaux dérivés.

Quand on voit les caracteristiques des bestioles, c'est largement supérieur à la capacité des PC d'il n'y a pas si longtemps...

Peut on parler d'embarqué dans ce cas ?

Quand on inclut du code extérieur en svn:externals, il est fortement recommandé d'associer un numéro de révision du projet exterieur à la propriété. Dans ce cas, la création d'un tag ne pose aucun problème.