Il me semble que les composants d'une machine similaire coûtent moins de 1000€ chez un vendeur de pièce détachée. Rien ne vous empêche de le monter vous-même. Seul le CPU et la carte mère seront des sources de chaleur sérieuses dans cette machine. Un bon gros bloc dissipateur passif bien positionné (ailettes verticales) au nadir d'un évent du boitier doit pouvoir suffire. Non ?
Absolument. En étant conscient, je me suis donc fendu d'un laïus justifiant en quoi, dans ce cas précis, l'emploi de l'étymologie pouvait paraître parfaitement adaptée. Et pas qu'à moi (heureusement) puisque, par exemple atilf retient comme sens premier du mot « importance ».
L'introduction portant son emphase les aspects techniques — qui seront évoqués plus loin (cf. commentaire ci-avant pour un avis sur ces détails) et qui justifient l'intérêt de cette publication — ne peut que faire écho à ce journal récent, et en particulier ce paragraphe :
« Par ailleurs, je pense qu'il est dommage de présenter le logiciel libre comme un concurrent au logiciel privateur, et de n'avoir que des considérations techniques et pratiques lors des comparaisons[…] »
De nombreux points du discours me paraissent être purement interprétatifs — et bizarrement assez opposés à ce que j'aurai personnellement affirmé :-). Par exemple il est question des buts poursuivis par mirosoft au paragraphe traitant succinctement de visual studio : « faciliter la tâche aux développeurs ». S'agit-il vraiment de l'objectif, ou plutôt d'un moyen d'une politique bien connue ?
Autre exemple, la liste des huit architectures supportées par widows présentée comme « longue », ce qualificatif est-il déduit d'une comparaison avec les autres systèmes d'exploitations (BSD, linux…) disponibles ? Ou d'autre chose, le nombre d'architecture connue de madame Michue par exemple ?
Et encore, la présentation de l'implication de la firme dans le développement matériel me paraît sujette à caution. S'agit-il vraiment de constater les défaillances des partenaires ? Ou bien ne faudrait-il pas corréler cela à une volonté d'imitation d'une pomme bien connue, voire simplement à un manque de clairvoyance des stratèges ?
Nonobstant les possibilités d'initiatives locales, dès qu'un projet atteint une amplitude suffisante, je ne doute guère que la tête pensante se charge de l'orienter et de définir les stratégies. Imagineriez-vous les grands cadres exécutifs laisser libre cours aux vagabondages de leurs subordonnées si ceux-ci devaient impacter significativement l'image et les bénéfices de la société ?
D'où mon commentaire. l'EEE est une stratégie usuelle des éditeurs de logiciels privateurs. Et ma candeur me pousse à fantasmer que, dans d'éventuelles conditions favorables, elle pourrait bien être employée à nouveau ici. Sans doute s'agit-il là d'une vision trop naïve. Après tout, quand microsot parle d'open source, il s'agit évidemment de vrai open source garantissant les libertés des utilisateurs et des développeurs sur le long terme, comme le soulignait un prospectus publicitaire cité par la revue de presse de l'April.
Non, ça c'est l'un de ses emplois les plus courants (donc assez rare également, il faut bien l'admettre). Ce n'est pas exclusif de son acception première qui reste extrêmement proche de son étymologie. Étymologie au demeurant fort simple — ceci expliquant sans doute cela — permettant à tout un chacun d'inférer son sens dans l'expression où il était employé.
Magnitude, de l'anglais ? J'y voyais la composition du latin magn- (grand) et du suffixe français -itude (d'après atilf : suffixe formateur de substantifs abstraits de genre féminin désignant la qualité ou l'état exprimé par la base). D'où un substantif synonyme de grandeur.
« C'est pour cela que je trouve en soi abusif de m'obliger à changer la licence de mon code pour simplement utiliser une bibliothèque. »
Sauf que ce n'est justement pas ce qui se produit (si je ne m'abuse). Vous n'avez aucunement à changer la licence de votre code (sauf incompatibilité que j'ignorerais entre la MIT et la BSD). C'est juste le code lié à la bibliothèque GPL qui se retrouve mis sous une licence moins permissive par celui qui le distribue.
Or, quel différence entre les MIT/BSD et la GPL ? Les deux premières catégories de licence ne sont-elles pas justement conçu dans ce but ? permettre que d'autre rendent moins permissives les conditions d'utilisation. Un archétype de cette permission d'enfermement est le code d'OS X. En quoi est-ce plus gênant de passer à la GPL qu'à une licence privatrice ? C'est ce que je ne m'explique guère, et vos explications ne m'éclairent pas. Je ne peux que constater que la grogne des utilisateurs paraît constante contre la GPL, et rester intrigué.
Ce que vous dites ne paraît pas faut, a un détail une peu outrancier près :
« C'est bien mon code qu'on veut forcer. »
Qui donc veut forcer votre code ? N'est-ce pas de votre plein grès que vous avez sélectionné une licence très permissive ? N'avez-vous pas choisi d'employer l'Api d'une librairie sous GPL ?
De l'open-source chez mirosoft ? Ils sont vraiment si mal que ça ?
Ou bien ne s'agirait-il pas de la sempiternelle trilogie « Embrace, extend, extinguish » ?
Du coup, même si à l'instant tout semble ouvert et compatible avec les standards, les utilisateurs téméraires auront bien intérêt à prendre garde aux évolutions ultérieures qui risqueraient de faire écho aux propos de S. McNeally sur le coût des barrières à la sortie ; coût qui ne manquera vraisemblablement pas de grimper ultérieurement.
« il suffit de croire qu'il est venu sur Terre se sacrifier pour nous sauver de nous pécher. »
Mon « pécher » donne des fruits absolument impossible à commercialiser, mais de là à ce qu'il faille m'en sauver…
Sérieux, votre analyse est intéressante, mais un peu courte jeune homme (cet introduction voulant paraphraser une tirade fameuse, on me pardonnera la hardiesse de ma familiarité ; ayez du nez, d'avance merci). Les religions monothéistes ont une tendance exclusive comme vous le faites judicieusement remarquer… ou pas.
Ne discutons pas dans le vide et prenons un exemple bien concret et des mieux documentés au fil des millénaires : le Judaïsme (en gardant à l'esprit que ce qui sera dit vaux certainement autant pour les autres). Donc le Judaïsme est à la fois cette religion si exclusive qu'elle fait passer au fil de l'épée des peuplades entières, et conduit ses tenants à afficher le plus profond mépris et la plus grand inhumanité à l'égard de leurs contemporains (cf. les samaritains et leurs alter-ego moderne les palestiniens). Et simultanément, qui lit attentivement la Torah y découvre une vocation totalement universaliste pour l'appel du monde au salut. Paradoxe ? Incohérence irréconciliable ? Singularité insoluble ? Ou bien simple constatation d'une dualité du monde ? Dualité qui, si elle a pu paraître longtemps un concept métaphysique vague, est maintenant familière à tous les lycéens.
Il est tout sauf certain que Judaïsme et Christianisme soient incompatibles entre eux. Le contre exemple parfait : une secte de juifs messianiques existe. Mais bien plus, il n'y a pas incompatibilité entre les humains tenants des différentes religions. Et là dessus, les divers systèmes de croyances semblent unanimes !
Excusez le côté superficiel de cette remarque. Être plus prolixe serait courir le risque de devenir verbeux et de commettre des raccourcis aussi formidables que ceux de votre résumé. Mais voyez où je souhaite en venir : l'affaire est peut-être bien plus complexe qu'une problématique d'exclusion mutuelle. Non seulement l'analyse semble le montrer, mais l'expérience également. À votre avis, de qui reçois-je le meilleur accueil en tant qu'évangélisateur, de celui qui se déclare musulman ou de celui qui s'affirme chrétien ?
Un article comme cela, ce n'est pas dans un commentaire qu'il faut en faire part, ni même dans un journal. Il faudrait qu'il soit mis en exergue dans une dépêche.
Nulle mauvaise foi. Seulement, une vision différente de ce qui a tout d'une non-science : l'histoire. Afin de limiter les errements de mon imagination débordante, je préfère bien souvent une analyse combinée mêlant sciences humaines et faits historiques — en employant le postulat que les hommes n'ont guère changé depuis l'invention de l'écriture — plutôt qu'une vision purement historique.
Ce faisant, il me semble que l'affirmation d'une différence essentielle entre les conquêtes d'empires monothéistes et tous les autres présente une double faille.
D'une part, on trouve dans les textes antiques de nombreux exemples montrant comment la religion du vainqueur était imposée, ou s'imposait aux vaincus. Il ne s'agit donc nullement d'une prérogative des monothéismes.
D'autre part, les conquérants dits « chrétiens » (et probablement « musulmans ») avaient vraisemblablement les mêmes motivations en moyenne que tous leurs homologues : « c'était juste pour contrôler l'espace, les ressources. » Juste un exemple pour justifier ce second point de vue, en se rappelant que je ne suis pas historien.
D'aucuns attribueront à la soif de conversion et au prosélytisme délirant la conquête des Amériques et en particulier toutes ces missions jésuites ou auraient été parqués les indigènes au sud.
Cela me paraissait une vision acceptable jusqu'à ce que récemment, à la lecture sur wikipedia d'articles liés à l'histoire du Paraguay, il m'ait semblé comprendre la chose suivante. Pour se protéger de l'asservissement par des colons et autres conquistadors belliqueux, les indiens n'avaient d'autre choix que de se regrouper sous la protection des jésuites dans les misiones. C'était le seul havre de paix, planche de salut contre la sujétion, qui leur était offert. À tel point que l'épopée s'achève par la conquête sanglante et l'anéantissement des missions. Les colons, les militaires, et les politiques se liguant pour détruire ses îlots de résistance à la marche du monde.
En ce qui concerne la définition du mot religion, je ne suis pas certain de comprendre en quel sens vous souhaitez l'employer et ce que vous cherchez à démontrer à partir d'elle. Il me semble que la première phrase de l'article de Wikipedia mériterait d'être amendée aux vues du contenu qui la suit immédiatement ; en particulier, car il est certain que le concept n'échappait pas aux anciens, et que d'autres que Cicéron se soient essayés à en décrire le sens. Même si le temps a retenu la vision de cet orateur relativement proche de la notre, mais fort éloignée des conceptions d'autres cultures.
Je vous rejoins sur le fait que l'article est purement politique. Il est également juste d'affirmer que le logiciel libre n'est pas son thème central. C'est un peu comme l'autre article, celui que je dénonçais, le prospectus mirosot. Finalement, nos dénonciations se ressemblent en quelque sorte, chacun décriant ce qui le rebute le plus :-).
« Quand est ce que les auteurs comprendrons que le mouvement des logiciels libres est un mouvement apolitique ? »
Pas vraiment. Pour certains le logiciels libre c'est du pragmatisme, voire de l'individualisme ; pour d'autres de l'expertise technique ; et pour d'autres encore, il s'agit bel et bien d'un mouvement culturel, social, et politique ; liste sans souci d'exhaustivité et dont les objets sont non mutuellement exclusifs.
Nier la facette politique ne rime à rien ; même si la liberté veut que chacun puisse faire du logiciel libre sans entraves ni contraintes, et donc en particulier sans orientation politique particulière. Si l'on escamotait l'aspect politique, comment comprendrait-on alors le choix de la nomenclature « logiciels libres » ? Ou l'importance, sinon la prédominance, de licences ultra-politisée de la famille des GPL ?
« aucune religion polythéiste n'a participé à la colonisation de la planète entière. »
Si pour moi l'histoire commence à partir de cinquante ans en arrière, pour vous il semble falloir en limiter l'extension à un terme relativement proche ? Est-ce que des noms comme Alexandre, César, Gengis Khan, Manco Capac, Xerxés, Cirrus, Ramses, Anthiocus vous semblent familiers ? On dit même de Napoléon que son expédition d'Égypte n'aurait pas eu que des visées stratégiques ; d'aucuns prétendent qu'elle aurait eu des objectifs mystiques liés aux panthéons des anciens égyptiens. Les religions ont bon dos dans ces affaires.
Ça m'apprendra à faire le malin ! Ce serait plutôt cinquante ans. Même à ce terme là les états rechignent encore bien souvent à ouvrir la boîte de pandore des détails de leur édification.
Sinon, je ne faisais pas allusion à des événements particuliers. Mais, connaissant mal le vaste monde, le choix de contrées à citer pour des religions dominantes non monothéistes m'apparaît nécessairement limité. Or, j'ai souvenir d'avoir périodiquement, à échéance de la décennie, entendu mentionner tel ou tel atrocité massive attribué à l'emportement religieux en Inde.
Mais le vrai sens de mon commentaire n'est surtout pas dans une tentative absurde de stigmatiser une population, une culture, ou une religion particulière. En fait, mon idée serait plutôt que de telles atrocités sont consubstantielles à l'humanité. Et qu'il est donc vain, et révélateur d'un manque de clairvoyance quant à sa propre nature, de les attribuer à une doctrine, à une idéologie, ou autre.
(Plus encore — je le précise par souci d'honnêteté quant aux motivations de mon appréciation — j'y vois la manifestation du péché, c'est-à-dire de l'éloignement entre les humains et leur créateur. Mais je suis bien conscient en écrivant cela qu'il s'agit d'une affirmation sortant absolument du champ philosophique.)
S'il advient occasionnellement que ces revues de presse soit des plus étriqués en terme d'intérêt, ce n'est pas le cas aujourd'hui : six articles dignes d'au moins un clic sur sept référencés, bravo. Seul bémol : qu'apporte l'article de tekiano ? Il me semble qu'en y cherchant de l'information on le trouverait, au mieux, échevelé, sans queue ni tête ; et qu'avec un peu de recule on ne puisse y voir guère autre chose qu'un laïus publicitaire débitant à tout va des arguments marketing. Ai-je complètement raté un point crucial ?
Eh voilà. Preums sur le brevet d'idées : je brevète l'idée que ces brevets puissent engendrer des blocages ou créer des nuisances quelconques.
Maintenant, essayez donc de me donner un argument contre le brevetage sans enfreindre mon brevet… (NB et attendez-vous à voir vos idées promptement déposées !)
# DIY
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal refroidissement passif (et bruit). Évalué à 2.
Il me semble que les composants d'une machine similaire coûtent moins de 1000€ chez un vendeur de pièce détachée. Rien ne vous empêche de le monter vous-même. Seul le CPU et la carte mère seront des sources de chaleur sérieuses dans cette machine. Un bon gros bloc dissipateur passif bien positionné (ailettes verticales) au nadir d'un évent du boitier doit pouvoir suffire. Non ?
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[^] # Re: Refroidissement passif
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal refroidissement passif (et bruit). Évalué à 3.
Normalement 80°C ce n'est pas un (gros) problème pour les composants en silicium. Le plus souvent, ils opèrent normalement jusqu'à 105°C.
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[^] # Re: Ordre de magnitude ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Keccak remporte la mise et devient SHA-3. Évalué à -1. Dernière modification le 04 octobre 2012 à 12:21.
Absolument. En étant conscient, je me suis donc fendu d'un laïus justifiant en quoi, dans ce cas précis, l'emploi de l'étymologie pouvait paraître parfaitement adaptée. Et pas qu'à moi (heureusement) puisque, par exemple atilf retient comme sens premier du mot « importance ».
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[^] # continuons
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Windows 8, Windows Server 2012 et Windows Phone 8. Évalué à 4. Dernière modification le 04 octobre 2012 à 12:15.
L'introduction portant son emphase les aspects techniques — qui seront évoqués plus loin (cf. commentaire ci-avant pour un avis sur ces détails) et qui justifient l'intérêt de cette publication — ne peut que faire écho à ce journal récent, et en particulier ce paragraphe :
De nombreux points du discours me paraissent être purement interprétatifs — et bizarrement assez opposés à ce que j'aurai personnellement affirmé :-). Par exemple il est question des buts poursuivis par mirosoft au paragraphe traitant succinctement de visual studio : « faciliter la tâche aux développeurs ». S'agit-il vraiment de l'objectif, ou plutôt d'un moyen d'une politique bien connue ?
Autre exemple, la liste des huit architectures supportées par widows présentée comme « longue », ce qualificatif est-il déduit d'une comparaison avec les autres systèmes d'exploitations (BSD, linux…) disponibles ? Ou d'autre chose, le nombre d'architecture connue de madame Michue par exemple ?
Et encore, la présentation de l'implication de la firme dans le développement matériel me paraît sujette à caution. S'agit-il vraiment de constater les défaillances des partenaires ? Ou bien ne faudrait-il pas corréler cela à une volonté d'imitation d'une pomme bien connue, voire simplement à un manque de clairvoyance des stratèges ?
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[^] # Re: EEE
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Nouveau projet OpenSource chez Microsoft: TypeScript. Évalué à 0.
Nonobstant les possibilités d'initiatives locales, dès qu'un projet atteint une amplitude suffisante, je ne doute guère que la tête pensante se charge de l'orienter et de définir les stratégies. Imagineriez-vous les grands cadres exécutifs laisser libre cours aux vagabondages de leurs subordonnées si ceux-ci devaient impacter significativement l'image et les bénéfices de la société ?
D'où mon commentaire. l'EEE est une stratégie usuelle des éditeurs de logiciels privateurs. Et ma candeur me pousse à fantasmer que, dans d'éventuelles conditions favorables, elle pourrait bien être employée à nouveau ici. Sans doute s'agit-il là d'une vision trop naïve. Après tout, quand microsot parle d'open source, il s'agit évidemment de vrai open source garantissant les libertés des utilisateurs et des développeurs sur le long terme, comme le soulignait un prospectus publicitaire cité par la revue de presse de l'April.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Ordre de magnitude ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Keccak remporte la mise et devient SHA-3. Évalué à -3.
Et dans beaucoup de domaines où il est nécessaire de définir des grandeurs relatives. Bizarre…
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[^] # Re: Ordre de magnitude ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Keccak remporte la mise et devient SHA-3. Évalué à -1.
Non, ça c'est l'un de ses emplois les plus courants (donc assez rare également, il faut bien l'admettre). Ce n'est pas exclusif de son acception première qui reste extrêmement proche de son étymologie. Étymologie au demeurant fort simple — ceci expliquant sans doute cela — permettant à tout un chacun d'inférer son sens dans l'expression où il était employé.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: EEE
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Nouveau projet OpenSource chez Microsoft: TypeScript. Évalué à 1.
Oui, même si les artisans prétendent nous dépasser. Toujours est-il que je ne vois pas bien le rapport entre cette question et le schmilblick.
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[^] # Re: Ordre de magnitude ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Keccak remporte la mise et devient SHA-3. Évalué à -2.
Magnitude, de l'anglais ? J'y voyais la composition du latin magn- (grand) et du suffixe français -itude (d'après atilf : suffixe formateur de substantifs abstraits de genre féminin désignant la qualité ou l'état exprimé par la base). D'où un substantif synonyme de grandeur.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Ordre de magnitude ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Keccak remporte la mise et devient SHA-3. Évalué à -2.
Magnitude (latin MAGNUS = grand) est grandeur, non ? J'ai du mal à saisir la nuance exprimée en substituant l'un à l'autre ?
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: EEE
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Nouveau projet OpenSource chez Microsoft: TypeScript. Évalué à -2.
La plus grosse de France !
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: EEE
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Nouveau projet OpenSource chez Microsoft: TypeScript. Évalué à -2.
Mais dans un corps n'est-ce pas la tête qui décide relativement indépendamment des « appréciation » des organes exécutants ?
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: héritage
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Licence virale minimaliste ou licence incestueuse. Évalué à 8.
Sauf que ce n'est justement pas ce qui se produit (si je ne m'abuse). Vous n'avez aucunement à changer la licence de votre code (sauf incompatibilité que j'ignorerais entre la MIT et la BSD). C'est juste le code lié à la bibliothèque GPL qui se retrouve mis sous une licence moins permissive par celui qui le distribue.
Or, quel différence entre les MIT/BSD et la GPL ? Les deux premières catégories de licence ne sont-elles pas justement conçu dans ce but ? permettre que d'autre rendent moins permissives les conditions d'utilisation. Un archétype de cette permission d'enfermement est le code d'OS X. En quoi est-ce plus gênant de passer à la GPL qu'à une licence privatrice ? C'est ce que je ne m'explique guère, et vos explications ne m'éclairent pas. Je ne peux que constater que la grogne des utilisateurs paraît constante contre la GPL, et rester intrigué.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: héritage
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Licence virale minimaliste ou licence incestueuse. Évalué à 7.
Ce que vous dites ne paraît pas faut, a un détail une peu outrancier près :
Qui donc veut forcer votre code ? N'est-ce pas de votre plein grès que vous avez sélectionné une licence très permissive ? N'avez-vous pas choisi d'employer l'Api d'une librairie sous GPL ?
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
# EEE
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Nouveau projet OpenSource chez Microsoft: TypeScript. Évalué à -5.
De l'open-source chez mirosoft ? Ils sont vraiment si mal que ça ?
Ou bien ne s'agirait-il pas de la sempiternelle trilogie « Embrace, extend, extinguish » ?
Du coup, même si à l'instant tout semble ouvert et compatible avec les standards, les utilisateurs téméraires auront bien intérêt à prendre garde aux évolutions ultérieures qui risqueraient de faire écho aux propos de S. McNeally sur le coût des barrières à la sortie ; coût qui ne manquera vraisemblablement pas de grimper ultérieurement.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
# Pour les malheureuses victimes
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Un papier révolutionnaire!. Évalué à 3.
piégées par ce pseudo article, et afin de ne pas avoir perdu totalement votre temps, voici un lien vers un excellent article sur les brevets trouvé dans les commentaires d'un autre journal. Et ça, c'est vraiment digne d'intérêt, pour qui baragouine modérément l'english.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Peine perdue
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Une religion open source ?. Évalué à 2.
« il suffit de croire qu'il est venu sur Terre se sacrifier pour nous sauver de nous pécher. »
Mon « pécher » donne des fruits absolument impossible à commercialiser, mais de là à ce qu'il faille m'en sauver…
Sérieux, votre analyse est intéressante, mais un peu courte jeune homme (cet introduction voulant paraphraser une tirade fameuse, on me pardonnera la hardiesse de ma familiarité ; ayez du nez, d'avance merci). Les religions monothéistes ont une tendance exclusive comme vous le faites judicieusement remarquer… ou pas.
Ne discutons pas dans le vide et prenons un exemple bien concret et des mieux documentés au fil des millénaires : le Judaïsme (en gardant à l'esprit que ce qui sera dit vaux certainement autant pour les autres). Donc le Judaïsme est à la fois cette religion si exclusive qu'elle fait passer au fil de l'épée des peuplades entières, et conduit ses tenants à afficher le plus profond mépris et la plus grand inhumanité à l'égard de leurs contemporains (cf. les samaritains et leurs alter-ego moderne les palestiniens). Et simultanément, qui lit attentivement la Torah y découvre une vocation totalement universaliste pour l'appel du monde au salut. Paradoxe ? Incohérence irréconciliable ? Singularité insoluble ? Ou bien simple constatation d'une dualité du monde ? Dualité qui, si elle a pu paraître longtemps un concept métaphysique vague, est maintenant familière à tous les lycéens.
Il est tout sauf certain que Judaïsme et Christianisme soient incompatibles entre eux. Le contre exemple parfait : une secte de juifs messianiques existe. Mais bien plus, il n'y a pas incompatibilité entre les humains tenants des différentes religions. Et là dessus, les divers systèmes de croyances semblent unanimes !
Excusez le côté superficiel de cette remarque. Être plus prolixe serait courir le risque de devenir verbeux et de commettre des raccourcis aussi formidables que ceux de votre résumé. Mais voyez où je souhaite en venir : l'affaire est peut-être bien plus complexe qu'une problématique d'exclusion mutuelle. Non seulement l'analyse semble le montrer, mais l'expérience également. À votre avis, de qui reçois-je le meilleur accueil en tant qu'évangélisateur, de celui qui se déclare musulman ou de celui qui s'affirme chrétien ?
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: How a rogue appeals court wrecked the patent system
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Un bilan de la guerre des brevets des télécommunications (de 2007 à aujourd’hui). Évalué à 2.
Un article comme cela, ce n'est pas dans un commentaire qu'il faut en faire part, ni même dans un journal. Il faudrait qu'il soit mis en exergue dans une dépêche.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Peine perdue
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Une religion open source ?. Évalué à 4.
Nulle mauvaise foi. Seulement, une vision différente de ce qui a tout d'une non-science : l'histoire. Afin de limiter les errements de mon imagination débordante, je préfère bien souvent une analyse combinée mêlant sciences humaines et faits historiques — en employant le postulat que les hommes n'ont guère changé depuis l'invention de l'écriture — plutôt qu'une vision purement historique.
Ce faisant, il me semble que l'affirmation d'une différence essentielle entre les conquêtes d'empires monothéistes et tous les autres présente une double faille.
D'une part, on trouve dans les textes antiques de nombreux exemples montrant comment la religion du vainqueur était imposée, ou s'imposait aux vaincus. Il ne s'agit donc nullement d'une prérogative des monothéismes.
D'autre part, les conquérants dits « chrétiens » (et probablement « musulmans ») avaient vraisemblablement les mêmes motivations en moyenne que tous leurs homologues : « c'était juste pour contrôler l'espace, les ressources. » Juste un exemple pour justifier ce second point de vue, en se rappelant que je ne suis pas historien.
D'aucuns attribueront à la soif de conversion et au prosélytisme délirant la conquête des Amériques et en particulier toutes ces missions jésuites ou auraient été parqués les indigènes au sud.
Cela me paraissait une vision acceptable jusqu'à ce que récemment, à la lecture sur wikipedia d'articles liés à l'histoire du Paraguay, il m'ait semblé comprendre la chose suivante. Pour se protéger de l'asservissement par des colons et autres conquistadors belliqueux, les indiens n'avaient d'autre choix que de se regrouper sous la protection des jésuites dans les misiones. C'était le seul havre de paix, planche de salut contre la sujétion, qui leur était offert. À tel point que l'épopée s'achève par la conquête sanglante et l'anéantissement des missions. Les colons, les militaires, et les politiques se liguant pour détruire ses îlots de résistance à la marche du monde.
En ce qui concerne la définition du mot religion, je ne suis pas certain de comprendre en quel sens vous souhaitez l'employer et ce que vous cherchez à démontrer à partir d'elle. Il me semble que la première phrase de l'article de Wikipedia mériterait d'être amendée aux vues du contenu qui la suit immédiatement ; en particulier, car il est certain que le concept n'échappait pas aux anciens, et que d'autres que Cicéron se soient essayés à en décrire le sens. Même si le temps a retenu la vision de cet orateur relativement proche de la notre, mais fort éloignée des conceptions d'autres cultures.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Mélange des genres
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de presse de l’April pour la semaine 39 de l'année 2012. Évalué à 2.
Je vous rejoins sur le fait que l'article est purement politique. Il est également juste d'affirmer que le logiciel libre n'est pas son thème central. C'est un peu comme l'autre article, celui que je dénonçais, le prospectus mirosot. Finalement, nos dénonciations se ressemblent en quelque sorte, chacun décriant ce qui le rebute le plus :-).
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[^] # Re: Mélange des genres
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de presse de l’April pour la semaine 39 de l'année 2012. Évalué à 2.
Pas vraiment. Pour certains le logiciels libre c'est du pragmatisme, voire de l'individualisme ; pour d'autres de l'expertise technique ; et pour d'autres encore, il s'agit bel et bien d'un mouvement culturel, social, et politique ; liste sans souci d'exhaustivité et dont les objets sont non mutuellement exclusifs.
Nier la facette politique ne rime à rien ; même si la liberté veut que chacun puisse faire du logiciel libre sans entraves ni contraintes, et donc en particulier sans orientation politique particulière. Si l'on escamotait l'aspect politique, comment comprendrait-on alors le choix de la nomenclature « logiciels libres » ? Ou l'importance, sinon la prédominance, de licences ultra-politisée de la famille des GPL ?
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[^] # Re: Peine perdue
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Une religion open source ?. Évalué à 5.
Si pour moi l'histoire commence à partir de cinquante ans en arrière, pour vous il semble falloir en limiter l'extension à un terme relativement proche ? Est-ce que des noms comme Alexandre, César, Gengis Khan, Manco Capac, Xerxés, Cirrus, Ramses, Anthiocus vous semblent familiers ? On dit même de Napoléon que son expédition d'Égypte n'aurait pas eu que des visées stratégiques ; d'aucuns prétendent qu'elle aurait eu des objectifs mystiques liés aux panthéons des anciens égyptiens. Les religions ont bon dos dans ces affaires.
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[^] # Re: Peine perdue
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Une religion open source ?. Évalué à 1.
Ça m'apprendra à faire le malin ! Ce serait plutôt cinquante ans. Même à ce terme là les états rechignent encore bien souvent à ouvrir la boîte de pandore des détails de leur édification.
Sinon, je ne faisais pas allusion à des événements particuliers. Mais, connaissant mal le vaste monde, le choix de contrées à citer pour des religions dominantes non monothéistes m'apparaît nécessairement limité. Or, j'ai souvenir d'avoir périodiquement, à échéance de la décennie, entendu mentionner tel ou tel atrocité massive attribué à l'emportement religieux en Inde.
Par exemple, en recherchant rapidement des liens pour répondre, j'ai trouvé cette relation d'événements qui ne m'étaient pas inconnus.
Mais le vrai sens de mon commentaire n'est surtout pas dans une tentative absurde de stigmatiser une population, une culture, ou une religion particulière. En fait, mon idée serait plutôt que de telles atrocités sont consubstantielles à l'humanité. Et qu'il est donc vain, et révélateur d'un manque de clairvoyance quant à sa propre nature, de les attribuer à une doctrine, à une idéologie, ou autre.
(Plus encore — je le précise par souci d'honnêteté quant aux motivations de mon appréciation — j'y vois la manifestation du péché, c'est-à-dire de l'éloignement entre les humains et leur créateur. Mais je suis bien conscient en écrivant cela qu'il s'agit d'une affirmation sortant absolument du champ philosophique.)
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# Actualité riche
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de presse de l’April pour la semaine 39 de l'année 2012. Évalué à 3.
S'il advient occasionnellement que ces revues de presse soit des plus étriqués en terme d'intérêt, ce n'est pas le cas aujourd'hui : six articles dignes d'au moins un clic sur sept référencés, bravo. Seul bémol : qu'apporte l'article de tekiano ? Il me semble qu'en y cherchant de l'information on le trouverait, au mieux, échevelé, sans queue ni tête ; et qu'avec un peu de recule on ne puisse y voir guère autre chose qu'un laïus publicitaire débitant à tout va des arguments marketing. Ai-je complètement raté un point crucial ?
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[^] # « nous serions soumis à des blocages inimaginables »
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Un bilan de la guerre des brevets des télécommunications (de 2007 à aujourd’hui). Évalué à 1.
Eh voilà. Preums sur le brevet d'idées : je brevète l'idée que ces brevets puissent engendrer des blocages ou créer des nuisances quelconques.
Maintenant, essayez donc de me donner un argument contre le brevetage sans enfreindre mon brevet… (NB et attendez-vous à voir vos idées promptement déposées !)
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