Ysabeau 🧶 a écrit 7494 commentaires

En tout cas c'est comme ça que j'avais conçu des présentations sous Impress :)

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Évidemment, c’est pour tout le monde :) mais elle a été pensée dans ce sens. Compte-tenu des limitations du nombre de signes dans les titres des liens, mal-voyant m’a paru plus parlant et percutant.

La licence impose les mêmes limitations à la vente de la police seule. Je n’ai pas comparé les deux licences, mais j’ai l’impression qu’en fait c’est la licence SIL OFL, mais elle n’est pas nommée.

Personnellement, des deux polices que je connais pour avoir été développée spécifiquement en tenant compte des personnes avec des déficiences visuelles, celle-ci et Luciole, je trouve cette dernière plus élégante, et, même plus lisible pour mes yeux fatigués.

On relèvera tout de même que la police Atkinson Hyperlegible propose un pack de polices pour l’impression et un pour le web avec, notamment, le format WOFF pour le web.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Il y a un truc qui serait bien, serait de prendre la peine de mettre un vrai sujet aux commentaires aussi parce que le point est très petit et qu'il n'est pas aisé de cliquer dessus.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Dans Mageia j'ai un dossier .fonts dans lequel on range les polices. C'est un dossier utilisateur. Une fois là, je les retrouve sans problème.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

IL parle du copyright, pas du droit d'auteur.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Les bulletins que j'ai vus sur le site sont assez peu lisibles ! C'est peut-être plus rapide à dépouiller mais plus long pour le vote.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Et ça fonctionnait comment ?

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Cela peut arriver aux Français de l'étranger.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Par les assesseurs de bords différents, voire les observateurs "neutres". Le dépouillement est public. Pas besoin de caméras.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Et n’oublions que les machines à compter (ou autre) éloignent les citoyennes et les citoyens de la maîtrise totale des procédures de vote puisqu’il faut des gens qualifiés pour les maintenir et les vérifier. Alors que la procédure de vote n’exige des personnes que de savoir compter et lire.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Non !

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Pourquoi compliquer (et enchérir) le vote papier ? Le fonctionnement est simple, efficace, peu gourmand en ressources de tous ordres et peu cher. Pourquoi diable vouloir à tout prix ajouter des machines qu'il faudra payer, stocker, entretenir et changer ?
À partir du moment où on rajoute des machines, on rajoute une couche de potentiels problèmes, les adorateurs des machines qui pensent qu'elles ne se trompent jamais étant les plus grands dangers.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Si le vote est matériel, si, bien sûr !

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Tout à fait !

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

En fait, le terme devait être "boucher" qui signifie, ben, mettre un bouchon.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Il y a quelques années, j’ai été pressentie, comme un tas d’autres gens, pour assurer la formation de salariés d’un labo pharmaceutique sur leur nouvel outil de CRM.

La base de données sur laquelle travaillait l’équipe de formateurs et formatrices pour sa propre formation, n’était ni fictive, ni une extraction de la base de données de l’entreprise, mais un accès à ladite base de données à partir d’un compte réel et le même pour tout le monde… Ce qui, entre autres, entraînait des problèmes de lenteur pour l’accès, etc. La formation était gérée en amont par un grand cabinet de conseil, que ce « détail » n’a pas gêné du tout. Il a fallu vraiment insister pour qu’on puisse disposer d’une vraie base de données de test. Le dispositif n’aurait pas tenu la route lors des formations des personnels.

Ben oui, une base de données fictive ça coûte des sous. Tout cela sent les ratiocinations sur les prix et l’incompétence des conseilleurs.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Au départ, quand j'ai lancé les interviews, c'était aussi pour attirer un autre public et diversifier le lectorat de LinuxFr. J'ai l'impression que ça a complètement loupé.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Misère encore 363 jours avant la fin de l’année. Je ne sais pas si je tiendrais le choc.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Disons que GAFAM est devenu un nom commun générique désignant ces trop grandes entreprises du Net et de l'informatique.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Et à la modératrice aussi, ou bien ? Et autres contributrices et commentatrices ?

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Les gens qui la font, pas forcément les gens qui la reçoivent. Une revue de presse c'est aussi une incitation à aller les lire les articles.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Je pense que cela peut être signifié de façon plus amène à l'auteur du billet. Personnellement je ne suis pas allée vérifier les sources. Je trouvais seulement que l'idée était bonne et valait d'être partagée.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

C'est à mettre à leur actif, en effet. Merci :)

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Merci. Je me demandais si j'avais vu ça quelque part.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Quand on pense que les banquiers des gens ordinaires les menacent d'interdit bancaire dès qu'on dépasse le découvert autorisé :)

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.