C'est bien connu et un lieu commun : « l'enfer c'est les autres » (Sartre, Huit Clos), ou encore « […] Vous êtes la meilleure communauté, qu’on ait fait surgir pour les hommes […] la plupart [des autres] sont des pervers » (Muhammad, Coran s3.110)…
Mais l'important pour trouver la source du problème est de bien comprendre la vraie parole de sagesse suivante :
« […] le problème est bien plus proche de soit qu'on ne veut l'admettre […] » (Zenitram, Re: rien à foutre)
inutile donc de tourner des regards accusateurs ou suspicieux vers autrui.
« […] certaines collectivités françaises basculent leur parc informatique vers le logiciel libre. Une démarche semée d’embûches techniques et pratiques. »
Et pourtant le résultat c'est une journée qui commence bien en terme de moral. Parce que l'article décrit un vraie transition entamée par une municipalité qui secoue le carcan des formats privateurs[*] et autres outils destinés à faire fi du code des marchés public pour assurer des monopoles de longs termes à des dealers de logiciels. Même si ça reste superficiel, tout y est, des avantages en terme de qualité, aux difficultés crées par l'addiction aux outils monopolistiques savamment instillée parmi les personnels par des commerciaux redoutables, auxquels est asservie une technique qui, sinon, pourrait être utile et louable — science sans conscience n'est que ruine de l'âme. Sans oublier de passer par le travail de développement, le soutien d'association, l'engagement personnel de vrais citoyens… Très bon lien en somme.
[*] Le terme serait controversé, alors remplaçons le par une périphrase plus explicite et adaptée au contexte.
Si j’ai bien suivi, l’article rapporte l’évolution du concept d’open university : à la base un système très bancal visant à pallier l’absence de capacité à fournir des enseignements à la fois à des populations déshéritées et à des populations déjà en activité professionnelle ; dans un cas par manque de moyen et d’investissement, dans l’autre pour des raisons évidentes d’organisation. Ensuite, ou plutôt simultanément et tout au long d’un discours alambiqué, est évoquée la transition — apparemment souhaitée par certains gouvernements — de systèmes universitaires classiques à des universités ouvertes. La logique de la chose transparaît de chaque paragraphe. Pourtant l’article ne semble aboutir à aucune espèce de conclusion ou d’analyse suite à un exposé au ton assez neutre. Je peine à deviner le but poursuivi en écrivant ce texte. Si quelqu’un le comprend ?
La solution : un dns menteur renvoyant dans le vide pour toute requête associée de prêt ou de loin aux plus néfastes des acteurs de l’informatique. Même sans le faire exprès ils savent être nuisible. La force d’un entraînement d’élite de chaque instant. Vive dnsmasq.
D’un certain point de vue, ne peut-on considérer qu’il s’agisse déjà d’un sacré progrès par rapport à ce qui s’est pratiqué au cours des siècles antérieures ?
Sauf erreur, les filtre de flou perdent de l'information (en éliminant certaines fréquences, en ajoutant du bruit…). Reconstruire une information absente paraît délicat.
Un peu plus haut il nous a été expliqué qu'il n'était pas nécessaire de flouter les visages avant publication (sous réserve d'une bonne compréhension). Mais qu'en est-il des bâtiments et plus généralement des objets, voire des plantes taillées et autres jardins ? Ne sont-ils pas le reflet de la personnalité de leurs auteurs ? Et partant ne doit-on pas obtenir l'accord des ayants-droits, ne serait-ce que pour prendre les photographies, sans même imaginer s'autoriser à les publier ? Ou bien y a-t-il quelque exception salutaire là aussi ?
Vraisemblablement un mécanisme de type usage/copie privé/e s'appliquera pour des photographies non publiées. Mais qu'en est-il des autres ? Du coup n'aurait-il pas fallu flouter les bâtiments, les vêtements…
À mon avis — qui vaut ce qu'il vaut, comme ceux des autres — le PC employé est tout ce qu'il y a de plus apte à faire tourner une GNU/Linux classique, et la résolution de l'écran parfaitement standard. On peut s'inquiéter de voir une carte graphique Nvidia, mais bon… Mes premières réactions (et donc conseil) dans une telle situation pourraient être :
Tenter de lancer le mode live. Qui sait…
Si la machine dispose d'un processeur graphique intégré à la carte mère (mais il me semble que ça soit rare avec des Athlons II), démonter la carte graphique, et tenter de démarrer en affichant via la puce de la carte mère.
Tenter d'employer une autre distribution. Parfois Ubuntu comporte des bogues qui lui sont propres. Qui sait si une autre distribution ou simplement une autre version ne passerait pas sans problème ?
Juste un coup de communication ? Parce qu'au fond, du ministre au chauffeur, en passant par tous les consultants, stagiaires, techniciens de surface, et autres fonctionnaires, du plus humble au plus glorieux, tout le monde n'emploie-il pas des logiciels privateurs, incluant toutes les portes dérobées nécessaires aux services étrangers ; voire même dépose consciencieusement ses données directement sur les ordinateurs de services étrangers — parfois en se gargarisant des services d'un empereur romain (feu, le fameux cloud Claude souverain). Du coup, des attaques il n'en faut peut-être pas beaucoup pour obtenir toute informations nécessaires sur les activités françaises ?
Par exemple, faut-il vraiment avoir un esprit mal tourné pour voir un lien possible entre l'annulation des contrats d'armement entre la France et l'Australie, et l’appétence de tous les incompétents de France, de Navarre, et d'ailleurs pour les services privateurs ? N'y avait-il pas eu déjà maints précédents ? Entre autre dans des histoires de marchés raflés au dernier moment par Boeing sous le nez d'Airbus ? ou par des F16 là où d'autres marchands d'armes français croyaient avoir réussi à refourguer leur camelote à tuer ? Quand on est incapable de mettre en place une infrastructure informatique, et à mille lieues de la moindre indépendance en la matière, ne faudrait-il pas être très fleure bleue pour croire ses données numériques en sécurité grâce à une nouvelle agence de com ?
Ayant cru comprendre que YOGA est un outil d'optimisation pour des images matricielles exclusivement, le doute m'étreint quant à la pertinence du test. Serait-ce une méprise ?
Article où l'on découvrira avec grand émoi mêlé de stupéfaction que savoir ce que l'on fait de ses données et les traiter de manière appropriée est souvent plus efficace — pour qui s'en préoccupe — que de les confier à une quelconque boîte noire, même soigneusement choisie en renouvellement plusieurs fois des tirages Monte-Carlo de type « plouf, plouf, ce sera toi que j'essaierai. »
On crois ça, jusqu'au jour où l'on subit un système administré à distance par autrui. Une fois devenu impossible d'enquêter sur les source des problèmes, autant que de procéder aux menus ajustements qui font la vie d'un système, les tickets ont tôt fait de se multiplier.
« Je me rappelle, lors de mes études supérieurs, les profs de maths nous demandait d'avoir une calculatrice Texas Instruments pour pouvoir expliquer en une fois et rapidement comment utiliser une fonction. On était en maths et non en formation calculatrice, donc la priorité était aux maths. »
Chez nous le problème était résolu différemment. Il s'agissait de cours d'algorithmiques en première année de Deug de sciences de la matière (pas d'informatique) pour lesquelles les travaux dirigés consistaient à programmer sur la calculatrice les algorithmes vus en cours. Évidemment prêter des ordinateurs aux étudiants pour les séances n'était pas envisageable. Donc la programmation se faisait sur calculatrice. Charge à chaque étudiant de RTFM du modèle de son choix. L'enseignant s'occupant uniquement des algorithmes. La liberté va de paire avec une certaine responsabilité ; de bon aloi dans le supérieur, après tout le terme étudiant implique une dimension active.
Il me semble que le choix d'un logiciel, surtout quand il s'agit en fait du choix d'un écosystème complet (système d'exploitation, services dans les nuages, logiciels espions, infraction au RGPD, délocalisation des emplois, délocalisation des compétences, évasion fiscal (tout ce qu'il y a de plus légale bien entendu), infractions au code des marchés publics, favoritisme, soutient actif à des pratiques visant à mettre en échec les lois du pays…) mériterait certainement une réflexion plus approfondie que de trancher entre deux éditions d'un même texte vendus à des prix similaires, sinon identiques.
« Here is the most minimal patch needed: from the OMI GitHub repo, simply initialize to an invalid value…
Another disturbing issue we found was that this commit has been available in the OMI GitHub repo for anyone to see for over a month! »
D'après l'article cette faille ne devait pas poser tant de problèmes que ça dans la mesure ou le correctif traînait dans le dépôt depuis quelques temps déjà sans être déployée.
Peut-être que le raisonnement est le suivant : un système où quiconque le souhaite peut obtenir des droits maximum à distance satisfait naturellement aux exigences de sécurité de clients qui sont prêts à déléguer leurs systèmes informatiques à n'importe qui…
« Ce qui me désespère, c’est que ce sont ces grosses sociétés qui en poussant la consommation participent à la destruction de la terre malgré les quelques millions versé à des ong, des peenuts qui fait croire à leur engagement pour le climat mais participent à leur image de marque (a leur promotion). »
Il me semble avoir cru comprendre que la raison raison d'être de ces ONG est fondamentalement les exemptions d'impôts qu'elles permettent à leurs fondateurs. Le pire c'est que ces organisation à but fiscaux peuvent parfaitement faire plus de mal que de bien, servant la mégalomanie de leurs patrons ou d'autres objectifs moins avouables.
On se souvient peut-être des accusations relatives à l'une de ces entreprises qui était soupçonné de pratiquer des tests cliniques sur des populations déshérités de pays pauvres, économisant ainsi de précieuses sommes aux laboratoires pharmaceutiques. De l'humanitaire gagnant-gagnant en somme.
Récemment je lisais un article journalistique s'intéressant à l'origine du Sars Cov2. À en croire l'auteur les bruyantes et unanimes dénégations d'une origine humaine du virus pourraient s'avérer peu sérieuses. Son enquête le conduit à formuler comme plus plausible l'hypothèse que la pandémie trouverait son origine dans l'un des orgueilleux programme d'une telle ONG visant à ajouter des fonctionnalités à des virus à des fins humanitaires. Hypothèse qui semble loin d'être exclue par des analyses, scientifiques cette fois, du CNRS.
Pas vraiment. Selon moi, ou serait-ce plutôt selon Buffon, « ce qui se conçoit bien s'énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément. » Dans beaucoup d'activités il est possible de se retrouver en contact avec des éléments qui nous sont inconnus décrits en anglais. Il est alors naturel de reprendre la terminologie initiale ; mais seulement le temps de bien comprendre de quoi il s'agit. Ne pas exprimer dans sa propre langue quelque chose qui s'y dit aisément (c'est-à-dire quand les mots existent déjà) est un marqueur certains de l'incapacité à saisir réellement ce qu'exprimait la langue étrangère — a contrario, si la chose est réellement nouvelle, je n'ai aucun a priori contre l'adoption du terme étranger employé par le découvreur, ex : électron.
La liste de termes donnés correspond uniquement à des traductions simples ; il n'est pas question de concepts qui s'exprimeraient de manière plus élégante, ou très différente, en anglais et nécessitant de longues périphrases en français ; simplement des traductions mot à mot. Il me semble qu'un cas comme ça soit révélateur soit d'une forme de snobisme déplacée — je parle de frangliche, tenez vous bien mesdames and gentle… messieurs — soit plutôt d'une paresse intellectuelle consistant à ne même pas essayer d'intégrer le sens plus général des termes étrangers.
Ça me rappel l'exemple le d'une étudiante qui m'avait remerciée le jour où je lui avais traduit le concept de bowing avec lequel elle travaillait pourtant depuis des années sans avoir jamais bien compris de quoi il retournait.
À mon sens le fait marquant de ces propositions, c'est qu'il s'agit ni plus ni moins que de traductions littérales ; pas de néologismes donc. En résumé : « apprenez à ouvrir un dictionnaire messieurs. »
La plupart des traductions proposées ne sont guère que… des traductions. Le fait qu'il faille une commission spécialisée pour imposer à l'élite d'employer des mots qu'ils puissent comprendre plutôt que des barbarismes adoptés visiblement pour causes d'incapacités cognitives semble en dire long sur la dite élite et sa déliquescence.
Votre problème ainsi décrit, l'emploi d'un outil de mise en page raisonnablement performant (et facilement automatisable) me paraît moins encore superfétatoire. Comment s'assurer que les deux faces tombent bien précisément l'une derrière l'autre sans un contrôle fin de la pagination ? Mais peut-être que je me fais des idées sur les difficultés de la chose et le manque de précision des imprimantes. Deux images de mêmes tailles centrées s'impriment-elles bien l'une sur l'autre avec votre périphérique ?
Me semble-t-il du moins. Gimp fais des images matriciels, pas des documents et de la mise en page. Pour faire des documents, il faudrait plutôt envisager d’employer un logiciel idoine. De Latex à Libreoffice les choix ne manquent pas.
Votre question revient un peu à s’interroger sur pourquoi un pétrin ne propose pas la fonction four à pain. Souvent les machines qui ont ces deux fonctionnalités sont plutôt limitées dans les deux. Dans le numérique les contraintes sont différentes, et rien n’interdirait qu’un seul logiciel fasse tout. Simplement la prise en main serait peut être complexe. On finirait par développer des interfaces spécifiques pour chaque tâches… on pourrait même attribuer des noms différents à ces interfaces… voire les décrire comme des logiciels indépendants.
Au final, pourquoi ne pas utiliser deux logiciels libres plutôt qu’un seul ? Cela vous permet de mieux maîtriser votre production. Kiss dit-on paraît-il.
En remontant encore un chouïa plus loin, il me semble que c'était l'une des pistes prometteuses de lutte contre le Vih voici quelques décennies. Des recherches avaient découvert que certaines populations développaient une immunité naturelle contre le Sida via la réponse des muqueuses. La piste paraissait prometteuse car elle évitait l'écueil des lymphocytes T₄. Visiblement les succès de cette approche s'avèrent mitigés.
Quelqu'un aurait-il connaissance d'autres recherches/applications sur des vaccins orientés vers la réponse des muqueuses ?
Pas tant pour l'anecdote d'une voix du libre qu'on va essayer de bâillonner en la poussant dans un carcan administratif — souhaitons à M. Kauffmann que ça ne soit pas le cas — mais plutôt pour les rappels historiques sur la corruption par certains gafaM à l'éducation nationale, les velléités de résistance de certains élus, et quelques succès individuels ou associatifs.
« Une asso comme LQDN aurait plus de poids en restant dans son domaine […] »
Ne le fait-elle pas en l'occurrence ? Si au contraire elle ne s'intéressait pas à la mise en place d'un traitement numérique massif de données personnelles ne serait-on pas plus inquiets encore ?
[^] # Re: rien à foutre
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au lien un chercheur rend publiques quatre zéro-day d'Apple. Évalué à 8.
C'est bien connu et un lieu commun : « l'enfer c'est les autres » (Sartre, Huit Clos), ou encore « […] Vous êtes la meilleure communauté, qu’on ait fait surgir pour les hommes […] la plupart [des autres] sont des pervers » (Muhammad, Coran s3.110)…
Mais l'important pour trouver la source du problème est de bien comprendre la vraie parole de sagesse suivante :
inutile donc de tourner des regards accusateurs ou suspicieux vers autrui.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
# Ça commence mal
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au lien "Pourquoi les administrations ont-elles tant de mal à passer au logiciel libre à grande échelle ?". Évalué à 4.
En incipit :
Et pourtant le résultat c'est une journée qui commence bien en terme de moral. Parce que l'article décrit un vraie transition entamée par une municipalité qui secoue le carcan des formats
privateurs[*] et autres outils destinés à faire fi du code des marchés public pour assurer des monopoles de longs termes à des dealers de logiciels. Même si ça reste superficiel, tout y est, des avantages en terme de qualité, aux difficultés crées par l'addiction aux outils monopolistiques savamment instillée parmi les personnels par des commerciaux redoutables, auxquels est asservie une technique qui, sinon, pourrait être utile et louable — science sans conscience n'est que ruine de l'âme. Sans oublier de passer par le travail de développement, le soutien d'association, l'engagement personnel de vrais citoyens… Très bon lien en somme.[*] Le terme serait controversé, alors remplaçons le par une périphrase plus explicite et adaptée au contexte.
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# En résumé
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au lien l’enseignement à distance. Évalué à 2.
Si j’ai bien suivi, l’article rapporte l’évolution du concept d’open university : à la base un système très bancal visant à pallier l’absence de capacité à fournir des enseignements à la fois à des populations déshéritées et à des populations déjà en activité professionnelle ; dans un cas par manque de moyen et d’investissement, dans l’autre pour des raisons évidentes d’organisation. Ensuite, ou plutôt simultanément et tout au long d’un discours alambiqué, est évoquée la transition — apparemment souhaitée par certains gouvernements — de systèmes universitaires classiques à des universités ouvertes. La logique de la chose transparaît de chaque paragraphe. Pourtant l’article ne semble aboutir à aucune espèce de conclusion ou d’analyse suite à un exposé au ton assez neutre. Je peine à deviner le but poursuivi en écrivant ce texte. Si quelqu’un le comprend ?
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# DNS menteur
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au lien Flambée des prix sur autodiscover.[tld] !. Évalué à 0.
La solution : un dns menteur renvoyant dans le vide pour toute requête associée de prêt ou de loin aux plus néfastes des acteurs de l’informatique. Même sans le faire exprès ils savent être nuisible. La force d’un entraînement d’élite de chaque instant. Vive dnsmasq.
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# Jolie réflexion
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au lien Competitive Compatibility: Let's Fix the Internet, Not the Tech Giants. Évalué à 3.
Sur la nécessité de lois rendant obligatoire l’interoperabilité ; agrémentée d’un parallèle frappant avec AT&T.
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# Rapport Latombe :
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Rapport Latombe — Émission « Libre à vous ! » du 7 septembre 2021 - Podcasts et références . Évalué à 2.
Le bien nommé. Même pas besoin de l’enterrer s’il s’y trouve de bonnes idées.
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# Conquête pacifique ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au lien Des entreprises chinoises amassent des terres tout autour du globe. Évalué à 4.
D’un certain point de vue, ne peut-on considérer qu’il s’agisse déjà d’un sacré progrès par rapport à ce qui s’est pratiqué au cours des siècles antérieures ?
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[^] # Re: Risque de déconvolution ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Deface: flouter simplement et automatiquement les visages dans une vidéo. Évalué à 5.
Sauf erreur, les filtre de flou perdent de l'information (en éliminant certaines fréquences, en ajoutant du bruit…). Reconstruire une information absente paraît délicat.
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# Mauvaise cible pour le floutage ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Deface: flouter simplement et automatiquement les visages dans une vidéo. Évalué à 2.
Un peu plus haut il nous a été expliqué qu'il n'était pas nécessaire de flouter les visages avant publication (sous réserve d'une bonne compréhension). Mais qu'en est-il des bâtiments et plus généralement des objets, voire des plantes taillées et autres jardins ? Ne sont-ils pas le reflet de la personnalité de leurs auteurs ? Et partant ne doit-on pas obtenir l'accord des ayants-droits, ne serait-ce que pour prendre les photographies, sans même imaginer s'autoriser à les publier ? Ou bien y a-t-il quelque exception salutaire là aussi ?
Vraisemblablement un mécanisme de type usage/copie privé/e s'appliquera pour des photographies non publiées. Mais qu'en est-il des autres ? Du coup n'aurait-il pas fallu flouter les bâtiments, les vêtements…
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[^] # Re: Le rapport en question est en lien
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au lien Rapport sur la cyberpropagande chinoise de l’Institut de Recherche Stratégique de l’École Militaire . Évalué à 2.
En cliquant sur télécharger ? Chez moi ça marche.
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[^] # Re: Difficile...
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message Installation Linux. Évalué à 4.
À mon avis — qui vaut ce qu'il vaut, comme ceux des autres — le PC employé est tout ce qu'il y a de plus apte à faire tourner une GNU/Linux classique, et la résolution de l'écran parfaitement standard. On peut s'inquiéter de voir une carte graphique Nvidia, mais bon… Mes premières réactions (et donc conseil) dans une telle situation pourraient être :
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# Prévenir/guérir
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au lien [podcast] Viginum : une nouvelle agence contre les attaques numériques étrangères. Évalué à 9.
Juste un coup de communication ? Parce qu'au fond, du ministre au chauffeur, en passant par tous les consultants, stagiaires, techniciens de surface, et autres fonctionnaires, du plus humble au plus glorieux, tout le monde n'emploie-il pas des logiciels privateurs, incluant toutes les portes dérobées nécessaires aux services étrangers ; voire même dépose consciencieusement ses données directement sur les ordinateurs de services étrangers — parfois en se gargarisant des services d'un empereur romain (feu, le fameux
cloudClaude souverain). Du coup, des attaques il n'en faut peut-être pas beaucoup pour obtenir toute informations nécessaires sur les activités françaises ?Par exemple, faut-il vraiment avoir un esprit mal tourné pour voir un lien possible entre l'annulation des contrats d'armement entre la France et l'Australie, et l’appétence de tous les incompétents de France, de Navarre, et d'ailleurs pour les services privateurs ? N'y avait-il pas eu déjà maints précédents ? Entre autre dans des histoires de marchés raflés au dernier moment par Boeing sous le nez d'Airbus ? ou par des F16 là où d'autres marchands d'armes français croyaient avoir réussi à refourguer leur camelote à tuer ? Quand on est incapable de mettre en place une infrastructure informatique, et à mille lieues de la moindre indépendance en la matière, ne faudrait-il pas être très fleure bleue pour croire ses données numériques en sécurité grâce à une nouvelle agence de com ?
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[^] # Re: Et combien avec YOGA ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au lien Vector? Raster? Why not both!. Évalué à 3.
Ayant cru comprendre que YOGA est un outil d'optimisation pour des images matricielles exclusivement, le doute m'étreint quant à la pertinence du test. Serait-ce une méprise ?
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# Évidence
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au lien Vector? Raster? Why not both!. Évalué à 3.
Article où l'on découvrira avec grand émoi mêlé de stupéfaction que savoir ce que l'on fait de ses données et les traiter de manière appropriée est souvent plus efficace — pour qui s'en préoccupe — que de les confier à une quelconque boîte noire, même soigneusement choisie en renouvellement plusieurs fois des tirages Monte-Carlo de type « plouf, plouf, ce sera toi que j'essaierai. »
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[^] # Re: Fonctionnalités d'Office
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal En Belgique, l’usage de LibreOffice est interdit par les (certaines ?) Écoles !. Évalué à 3.
On crois ça, jusqu'au jour où l'on subit un système administré à distance par autrui. Une fois devenu impossible d'enquêter sur les source des problèmes, autant que de procéder aux menus ajustements qui font la vie d'un système, les tickets ont tôt fait de se multiplier.
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[^] # Re: Harmonisation
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal En Belgique, l’usage de LibreOffice est interdit par les (certaines ?) Écoles !. Évalué à 5.
Chez nous le problème était résolu différemment. Il s'agissait de cours d'algorithmiques en première année de Deug de sciences de la matière (pas d'informatique) pour lesquelles les travaux dirigés consistaient à programmer sur la calculatrice les algorithmes vus en cours. Évidemment prêter des ordinateurs aux étudiants pour les séances n'était pas envisageable. Donc la programmation se faisait sur calculatrice. Charge à chaque étudiant de RTFM du modèle de son choix. L'enseignant s'occupant uniquement des algorithmes. La liberté va de paire avec une certaine responsabilité ; de bon aloi dans le supérieur, après tout le terme étudiant implique une dimension active.
Il me semble que le choix d'un logiciel, surtout quand il s'agit en fait du choix d'un écosystème complet (système d'exploitation, services dans les nuages, logiciels espions, infraction au RGPD, délocalisation des emplois, délocalisation des compétences, évasion fiscal (tout ce qu'il y a de plus légale bien entendu), infractions au code des marchés publics, favoritisme, soutient actif à des pratiques visant à mettre en échec les lois du pays…) mériterait certainement une réflexion plus approfondie que de trancher entre deux éditions d'un même texte vendus à des prix similaires, sinon identiques.
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# Problème sans importance
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au lien Omigod - un agent Microsoft déployé sur les VM Linux Azure donne l'accès root (local et distant). Évalué à 8.
D'après l'article cette faille ne devait pas poser tant de problèmes que ça dans la mesure ou le correctif traînait dans le dépôt depuis quelques temps déjà sans être déployée.
Peut-être que le raisonnement est le suivant : un système où quiconque le souhaite peut obtenir des droits maximum à distance satisfait naturellement aux exigences de sécurité de clients qui sont prêts à déléguer leurs systèmes informatiques à n'importe qui…
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[^] # Re: Réactions sur la liste...
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal En Belgique, l’usage de LibreOffice est interdit par les (certaines ?) Écoles !. Évalué à -1.
Il me semble avoir cru comprendre que la raison raison d'être de ces ONG est fondamentalement les exemptions d'impôts qu'elles permettent à leurs fondateurs. Le pire c'est que ces organisation à but fiscaux peuvent parfaitement faire plus de mal que de bien, servant la mégalomanie de leurs patrons ou d'autres objectifs moins avouables.
On se souvient peut-être des accusations relatives à l'une de ces entreprises qui était soupçonné de pratiquer des tests cliniques sur des populations déshérités de pays pauvres, économisant ainsi de précieuses sommes aux laboratoires pharmaceutiques. De l'humanitaire gagnant-gagnant en somme.
Récemment je lisais un article journalistique s'intéressant à l'origine du Sars Cov2. À en croire l'auteur les bruyantes et unanimes dénégations d'une origine humaine du virus pourraient s'avérer peu sérieuses. Son enquête le conduit à formuler comme plus plausible l'hypothèse que la pandémie trouverait son origine dans l'un des orgueilleux programme d'une telle ONG visant à ajouter des fonctionnalités à des virus à des fins humanitaires. Hypothèse qui semble loin d'être exclue par des analyses, scientifiques cette fois, du CNRS.
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[^] # Re: Riche d'enseignement
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au lien Professionnels, ne dites plus « smurfing » mais « schtroumpfage ». Évalué à 5.
Pas vraiment. Selon moi, ou serait-ce plutôt selon Buffon, « ce qui se conçoit bien s'énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément. » Dans beaucoup d'activités il est possible de se retrouver en contact avec des éléments qui nous sont inconnus décrits en anglais. Il est alors naturel de reprendre la terminologie initiale ; mais seulement le temps de bien comprendre de quoi il s'agit. Ne pas exprimer dans sa propre langue quelque chose qui s'y dit aisément (c'est-à-dire quand les mots existent déjà) est un marqueur certains de l'incapacité à saisir réellement ce qu'exprimait la langue étrangère — a contrario, si la chose est réellement nouvelle, je n'ai aucun a priori contre l'adoption du terme étranger employé par le découvreur, ex : électron.
La liste de termes donnés correspond uniquement à des traductions simples ; il n'est pas question de concepts qui s'exprimeraient de manière plus élégante, ou très différente, en anglais et nécessitant de longues périphrases en français ; simplement des traductions mot à mot. Il me semble qu'un cas comme ça soit révélateur soit d'une forme de snobisme déplacée — je parle de frangliche, tenez vous bien mesdames and gentle… messieurs — soit plutôt d'une paresse intellectuelle consistant à ne même pas essayer d'intégrer le sens plus général des termes étrangers.
Ça me rappel l'exemple le d'une étudiante qui m'avait remerciée le jour où je lui avais traduit le concept de bowing avec lequel elle travaillait pourtant depuis des années sans avoir jamais bien compris de quoi il retournait.
À mon sens le fait marquant de ces propositions, c'est qu'il s'agit ni plus ni moins que de traductions littérales ; pas de néologismes donc. En résumé : « apprenez à ouvrir un dictionnaire messieurs. »
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# Riche d'enseignement
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au lien Professionnels, ne dites plus « smurfing » mais « schtroumpfage ». Évalué à 6. Dernière modification le 14 septembre 2021 à 16:49.
La plupart des traductions proposées ne sont guère que… des traductions. Le fait qu'il faille une commission spécialisée pour imposer à l'élite d'employer des mots qu'ils puissent comprendre plutôt que des barbarismes adoptés visiblement pour causes d'incapacités cognitives semble en dire long sur la dite élite et sa déliquescence.
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[^] # Re: La réponse est dans la question
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message [Résolu] Problème GIMP - Recto-verso. Évalué à 2.
Votre problème ainsi décrit, l'emploi d'un outil de mise en page raisonnablement performant (et facilement automatisable) me paraît moins encore superfétatoire. Comment s'assurer que les deux faces tombent bien précisément l'une derrière l'autre sans un contrôle fin de la pagination ? Mais peut-être que je me fais des idées sur les difficultés de la chose et le manque de précision des imprimantes. Deux images de mêmes tailles centrées s'impriment-elles bien l'une sur l'autre avec votre périphérique ?
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# La réponse est dans la question
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message [Résolu] Problème GIMP - Recto-verso. Évalué à 3.
Me semble-t-il du moins. Gimp fais des images matriciels, pas des documents et de la mise en page. Pour faire des documents, il faudrait plutôt envisager d’employer un logiciel idoine. De Latex à Libreoffice les choix ne manquent pas.
Votre question revient un peu à s’interroger sur pourquoi un pétrin ne propose pas la fonction four à pain. Souvent les machines qui ont ces deux fonctionnalités sont plutôt limitées dans les deux. Dans le numérique les contraintes sont différentes, et rien n’interdirait qu’un seul logiciel fasse tout. Simplement la prise en main serait peut être complexe. On finirait par développer des interfaces spécifiques pour chaque tâches… on pourrait même attribuer des noms différents à ces interfaces… voire les décrire comme des logiciels indépendants.
Au final, pourquoi ne pas utiliser deux logiciels libres plutôt qu’un seul ? Cela vous permet de mieux maîtriser votre production. Kiss dit-on paraît-il.
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[^] # Re: Copie de titre original
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au lien Un vaccin français administrable par voie nasale contre la COVID-19 qui bloque les contaminations. Évalué à 2.
En remontant encore un chouïa plus loin, il me semble que c'était l'une des pistes prometteuses de lutte contre le Vih voici quelques décennies. Des recherches avaient découvert que certaines populations développaient une immunité naturelle contre le Sida via la réponse des muqueuses. La piste paraissait prometteuse car elle évitait l'écueil des lymphocytes T₄. Visiblement les succès de cette approche s'avèrent mitigés.
Quelqu'un aurait-il connaissance d'autres recherches/applications sur des vaccins orientés vers la réponse des muqueuses ?
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# Article intéressant
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au lien Alexis Kauffmann rejoint la Direction du Numérique pour l'Éducation de l’Éducation Nationale. Évalué à 4.
Pas tant pour l'anecdote d'une voix du libre qu'on va essayer de bâillonner en la poussant dans un carcan administratif — souhaitons à M. Kauffmann que ça ne soit pas le cas — mais plutôt pour les rappels historiques sur la corruption par certains gafaM à l'éducation nationale, les velléités de résistance de certains élus, et quelques succès individuels ou associatifs.
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[^] # Re: Tout est politique, mais là encore plus.
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal La Quadrature du Net fait-elle fausse route ?. Évalué à 10.
Ne le fait-elle pas en l'occurrence ? Si au contraire elle ne s'intéressait pas à la mise en place d'un traitement numérique massif de données personnelles ne serait-on pas plus inquiets encore ?
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