Ysabeau 🧶 a écrit 7462 commentaires

Formidable ! Bon courage.

Et euh, c'est quoi un ZRR ?

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

J'ai eu ça en deux tailles. Très pratique, j'y avais ajouté des tas de trucs comme un plan du métro ou des pochettes. J'ai toujours les reliures et la perforatrice (je m'étais aussi imprimé des pages pour les notes).

Mais j'ai laissé tomber avec mon premier palm !

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Intéressant le "poketmod" mais je ne comprends pas la nécessité d'un compte.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Elle n'a pas de mémoire de stockage ! Celle de l'article mis en lien, je veux dire. Et c'est prévu pour Microsoft.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Ah ! Oui, c'est de la faute d'une femme, alors forcément…

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Tout à fait.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

C'est, normalement, gratuit pour les particuliers (si j'ai bien compris l'article) et ça fait partie du droit européen, article 5-3. d) du règlement européen n° 260/2012 du 14 mars 2012 établissant des exigences techniques et commerciales pour les virements et les prélèvements en euros (dit « Règlement SEPA »).

Astuce protection contre le piratage d’IBAN : créer une liste blanche de prélèvements pour sécuriser son compte

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Si une a été capable de le faire par courriel, pourquoi l'autre ne l'est pas ?

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Il y a eu un échange et le résultat a été que la personne qui a fait le journal s'est complètement assise sur ce qui y avait été dit, bref ça m'a fait perdre du temps. Si elle avait présenté le projet d'emblée et expliqué tout ce qu'elle a dit après, ce serait bien passé. Je n'arrive même pas à comprendre comment quelqu'un de raisonnablement intelligent qui "s'intéresse" à la "communauté" dans le cadre d'une "étude" peut demander de but en blanc de remplir un questionnaire sans préciser les tenants et les aboutissants, ce qui était tout à fait le cas. Ça me dépasse complètement.

Et le fonctionnement que tu décris est assez courant en société. Mais c'est de ma faute ?

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Et bien ça aussi elles auraient pu le dire. Bref présenter correctement le sujet dès le départ n'aurait pas été du temps perdu.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Voila ! Ce "nouvel" ordinateur, je cite l'article :

Avec le « Windows 365 Link », Microsoft va proposer un PC facile à transporter aux amateurs de l’écosystème Windows. Il y a néanmoins un détail capital : il s’agit d’une machine conçue pour Windows 365, un système d’exploitation dans le cloud.

Bref y'a rien qui va.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Je m'attendais même à ce qu'elle demande des conseils, notamment pour le questionnaire et où l'héberger. Je précise que le premier courriel date du 16/11.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Je sais pas si tu fais vraiment des economies avec ce modèle (j'ai jamais dit ca d'ailleurs, c'est marrant comme tu inventes des paroles que je n'ai pas dites), mais pour moi l'avantage c'est que tu évites surtout de faire un mauvais choix qui a un impact durable sur la boite.

Pas dit parce qu'il n'y a aucune maîtrise budgétaire à partir du moment ou tu dépends pour ton fonctionnement d'un organisme tiers que tu ne peux pas changer et qui peut modifier ses tarifs comme il l'entend parce qu'il a une clientèle captive.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Je peux faire l’historique des échanges sur la liste « modérateurs ».

Une des étudiantes du trio (pas celle qui a fait les journaux) nous envoie un message disant qu’elle est étudiante en Master 2 IPM et qu’elle fait une étude sur les communautés de pratique et se demande si « Linux » (Linux, pas LinuxFR) en est une.

Ma réponse :

merci de penser à nous pour votre master. Mais pourriez-vous un peu préciser ce que vous entendez par « communauté de pratique » et ce que qu’est un « Master 2 IPM ».

La réponse indique que le Master IPM forme des Digital Learning Managers et définit la communauté de pratique comme un : « un groupe de personnes partageant un intérêt commun pour une pratique ou un domaine spécifique » en ajoutant que la communauté Linux (pas Linuxfr) colle à la définition et qu’elle souhaiterait pouvoir l’étudier (pas nous, mais je). Et elle termine par : « Je vais procéder à mon analyse en observant la plateforme riche en informations, mais si je peux éventuellement vous soumettre un questionnaire pour recueillir des témoignages, ce serait encore mieux. »

Ma réponse :

Intéressant (bon je ne sais toujours pas ce que sont des ingénieurs en pédagogie multimodale 🙂 mais peu importe).

Je crains qu’il n’y ait une confusion. Linux est un système d’exploitation et un logiciel libre. Le site linuxfr.org est un site web qui n’a pas de lien formel avec Linux. Le sujet du site, comme son nom l’indique est Linux (en particulier) et, en plus général les logiciels libres et leur environnement : informatique, personnes, évènements, matériels, etc. Il y a des fidèles du site qui développent pour Linux ou développent des distributions Linux, mais sans lien particulier avec la fondation Linux.

Maintenant, est-ce que le site Linuxfr.org peut être considéré comme une communauté de pratique, je suis à peu près sûre que vous aurez autant de réponses que de personnes. Si, toutefois, vous désirez lancer un questionnaire, n’hésitez pas à ouvrir un compte, seule condition pour écrire un journal où vous pourrez parler de votre projet. Sachant qu’il est plus que préférable de ne pas mettre votre questionnaire sur des sites de Gafam.

Et là au lieu d’observer le site (ce qui prend du temps, sachant en outre que Linux et le logiciel libre leur sont un domaine inconnu), une autre étudiante qui se définit comme membre d’un trio dont fait partie la correspondante, pond un journal à la va-vite. Et oui, ça m’a assez agacée, je dois dire. Elle s’est rattrapée avec le deuxième journal, celui-ci donc ou on apprend qu’il « simplement d’un devoir à rendre dans le cadre d’une évaluation. »

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Parce que dans le premier journal y'avait rien qui allait !

c'est pas un modérateur mais une modératrice ». Bam ! Ce n'est pas le sujet du journal mais je vais te reprendre. C'est aussi pertinent que de pointer des fautes d'orthographes, on reprend la forme sans rien dire sur le fond.

C'est pertinent ! Cela montre simplement avec tout le reste du journal qui a bien torpillé le questionnaire que l'échange qui a eu lieu sur la liste modération n'a pas été pris en compte sauf le fait de pouvoir publier un journal. Mais c'est facile de tout me mettre sur le dos.

On en profite pour militer « il était nettement préférable de ne pas mettre ce questionnaire chez un Gafam ». Toujours pas de rapport avec le fond mais pourquoi pas, avec la citation du journal ci-dessus.

Parce que cela a été dit dans les échanges sur la liste !

Je m'attendais d'ailleurs à ce que, au lieu de se précipiter pour bâcler un journal pas relu il y ait déjà une présentation du projet (qui semble n'être en définitive qu'un devoir à rendre pour avant-hier dernier délai et pas une vraie étude), mais non. Il a fallu un deuxième journal pour ça.

Je comprend largement le moinssage.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

La au moins c'est évolutif: si des gens passent sur un nouveau projet, hop on peut redimensionner les ressources a la hausse ou a la baisse, et s'assurer que tout le monde travaille dans de bonnes conditions.

Quelles ressources quand tout est en réseau, sur un réseau externe que tu ne maîtrise parce que c'est internet ? Si internet tombe pour une raison ou une autre : plus personne ne peut bosser.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Effectivement les ChromeBooks m'ont toujours fait penser à ça.

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Plutôt un retour en arrière. Ça fait beaucoup penser aux consoles des années 1980 et début 1990. Mais effectivement, elles ne fonctionnaient qu'en réseau interne. Là ça passe par internet.

Et évidemment, impossible de les utiliser avec un autre OS et sans internet. L'argument "sécurité" me laisse dubitative.

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Ils ne supportent pas trop les chapeaux non plus, remarque.

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Y'en a pas !

Mais tricoter rend plus zen (ou presque).

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Ben c'est ce que j'ai fait exactement si tu regardes le commentaire.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Donc ça reviendrait à obliger les personnes à posséder un ordiphone compatible avec l'appli juste par confort personnel.

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Les personnes qui interviennent ici. À ma connaissance, on ne sait ce que font les autres.

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J'ai corrigé, merci et, pour faire bonne mesure (ceinture + bretelles en somme) j'ai "neutralisé" l'adresse.

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Elles ! Ce sont des étudiantes !

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