Ysabeau 🧶 a écrit 7491 commentaires

On est d'accord que les 1384 personnes qui refusent de l'installer n'ont pas non plus les apps mobiles Facebook, Twitter, Instragram, LinkedIn, Google Maps, Waze, etc. ?

J'avais pas ça sur l'ancien téléphone, je l'ai encore moins sur l'actuel sous LineageOS.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Visiblement, c'est, en effet, un secteur que vous méconnaissez totalement. Vous ne savez même pas ce qu'il recouvre ce qui vous donne, visiblement, toute autorité pour les insulter et les mépriser.

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Moi non plus, je ne vois pas trop l’intérêt. Cela dit, ça prend aussi les formats odt.

En fait ça récupère le texte et c’est censé traiter les noms et les prénoms, mais il faut lui apprendre avant. Et tu n’as que du texte, tu perds tout : structure, mise en forme, etc.

Bref. C’est peut-être utile pour un traitement en masse d’actes juridiques par exemple (pas en l’état cela dit). Mais, pour une utilisation courante, un rechercher-remplacer est plus efficace. En outre, comme je le disais plus haut, tu peux anonymiser ou pseudonymiser les propriétés du document, ce que ce truc ne fait pas.

Disons que c’est un truc en devenir. Mais clairement, le fait d’occulter le format odt est une erreur.

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Si tu vas sur le site et que tu lis les commentaires, tu peux voir que tu n'es pas le seul (à part moi). En plus l'intérêt est très limité : ça ne respecte pas la mise en forme du document.

Si tu veux anonymiser ou modifier l'auteur du document, dans LibreOffice, tu peux modifier le champs auteur en utilisant la fonctionnalité de Grammalecte. Tu peux aussi décocher l'option Utiliser les données d'identité dans les propriétés du document. Cela dit, je n'ai pas regardé dans le XML ce que ça fait réellement (est-ce que ça figure toujours ou pas ?).

Pour le reste, dans le document il reste la solution du rechercher-remplacer ou du caviardage d'un pdf (fonctionnalité qui ne fonctionne toujours pas avec ma version).

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Aucune raison de supprimer les réponses.

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Un modérateur vigilant s'est demandé si l'auteur du message initial ne serait pas un éventuel spammeur à surveiller : nouveau compte, message assez vaguement en rapport avec le sujet principal de linuxfr. En plus on a déjà vu passer quelque chose de similaire, mais avec des liens et qui était clairement du pourriel.

Après, j'aimerais aussi bien savoir quel outil Benoit utilise pour dépister le contenu dupliqué.

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Ah mais j'ai de très bons amis qui sont des cailloux, si ça peut te rassurer.

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La CNIL rappelle que l'appli n'est pas anonyme tandis que Cédric O se targue d'un million de téléchargements (perso, je n'appelle pas ça un succès franc et massif).

Faq de la CNIL sur le sujet.

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Les professionnels du livre (dont j'ai fait partie) savent très exactement de quoi il retourne, donc, non ce n'est pas un mythe. Un article peut être dépublié très facilement d'un site internet sans forcément être archivé.

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Sans parler du fait que le papier, tu peux le lire n'importe où sans électricité, le malmener (bon pas trop) et il reste lisible, même en plein soleil. Et ça ne tombe pas en panne de batterie ni en panne tout court (et accessoirement, ensuite on peut en faire quelque chose). Et on est tranquille, une fois imprimée, l'info perdure. Sur un site, c'est moins évident.

L'électronique ne remplace pas le papier, il se surajoute.

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Oui mais on te " souhaite un bon déconfinement et [on t']offre 5% de remise supplémentaire". Donc ils sont à la page.

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Et il y a des vélos couchés qui sont vraiment rase bitume. Tu ne les vois pas non plus dans le rétro.

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Honnêtement, je ne sais pas et j'attends de voir des articles sur d'autres sites comme NextInpact pour en savoir plus.

Cela dit, ce ne serait pas la première fois que l'État français donne libéralement des sommes aussi astronomiques à des entreprises informatiques sans que les contreparties soient à la hauteur.

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Joli.

On peut aussi relever l'effet Matilda.

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En ville, la visibilité n'est pas la même, surtout quand le circulation est dense.

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Tu sais quoi ? Ça me fait penser à une de mes voisines qui est naine. Un jour on parlait de vélo. elle m'a répondu "je ne pourrais, on ne me verrait pas". J'imagine (non j'en suis sure) que c'est quelque chose auquel elle est confrontée tous les jours, la réalité crue quoi.

Bref, il vaut mieux pour quelqu'un qui utilise un vélo couché d'y penser, tout le temps.

Les bornes, elles sont sur les côtés. Le vélo, s'il est juste devant, tu ne peux pas le percevoir à cause du capot. C'est toute la question des angles morts. Par contre, en effet, les véhicules plats devant comme les bus ou les camions, ont une nettement meilleure visibilité sur ce plan.

PS : et j'aimerais bien ne pas être traitée de menteuse. Il y a moyen de dire que c'est peut-être inexact, sans se montrer désagréable à ce point.

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Ne jouons pas sur les mots, le conducteur ne voit pas le vélo couché car il est trop bas (un genre d'angle mort quoi). C'est pourquoi les gens qui ont des vélos de ce type mettent des pavillons pour se signaler, mais même comme ça, il est difficile à un conducteur de voir à quoi il a affaire.

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Le montant, même simplement à l'année, est tellement important qu'il en est difficilement crédible. Mais, s'il est effectivement dans cet ordre de grandeur, c'est scandaleux, inadmissible, injustifiable et parfaitement indécent.

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C'est dangereux parce que c'est très bas et que les voitures ne les voient pas forcément.

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On verra bien ce qui ressort réellement de l'examen :

https://www.nextinpact.com/lebrief/edition-596.htm

Par ailleurs, j'ai vu passer un article du Nouvel Obs je crois (je ne remets plus la main sur le lien) comme quoi, bien que développée gratuitement, le coût de l'hébergement serait de l'ordre de… 200 000 € par mois.

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En France, en tout cas, ça n'est pas applicable. Heureusement.

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Il alerte

sur les risques d’atteinte aux droits et aux libertés fondamentaux et rejoignant l’avis de la Commission nationale consultative des droits de l’Homme, le barreau de Paris appelle officiellement à ne pas utiliser l’application gouvernementale StopCovid censée pister les cas contacts et avertir les utilisateurs via le Bluetooth de leur téléphone.

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Si, ni les professionnels du droit, ni ceux de l'informatique, ni les personnes qui œuvrent dans le secteur des libertés et du logiciel libre ne sont compétents et n'ont leur mot à dire, qui diable l'est dans cette histoire qui semble tout de même tout à fait louche aux trois catégories de personnes citées ?

Dois-je en conclure qu'il va de soit qu'on demande à des gens qui méconnaissent tout de ces domaines (voire en ignorent quasiment tout) de statuer parce que, quoi ? Ils ont des pouvoirs de droit divin qui leur permettent de prendre des décisions ?

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Cʼest surtout que je ne parlais pas de bon sens. Jʼévoquais des réminiscences d'une autre affaire où on nous a servi des arguments « étonnants » (oui cʼest un euphémisme) et qui me semblait du même tonneau.

Après, je ne comprends pas pourquoi Barmic se croit obligé de faire lʼavocat du diable, un piètre avocat dʼailleurs au vu de cet argument, dont jʼai compris tous les mots et même la teneur, mais pas vraiment la pertinence :

je préfère probablement que l'argent du ministère de la santé soit investi dans de la santé plutôt que dans l'informatique (qui n'en a pas vraiment besoin)

puisque, de toute façon lʼentreprise, américaine et douée en optimisation fiscale, qui va sʼoccuper de nos données de santé sera payée pour le faire (et peut-être même que ça coûtera plus cher que le choix dʼune entreprise française).

Par ailleurs, ce qui gêne aussi dans cette histoire cʼest la procédure adoptée car elle pourrait manquer aux règles de la commande publique, ce dont les professionnels du secteur se sont émus.

Et enfin, le journal dʼEnzo Bricolo ne manque pas dʼarguments, ou, tout du moins, de liens pour éclairer son propos.

Donc je ne comprends pas bien ce procès en « bon sens » qui mʼest fait.

Maintenant, il est possible que je sois particulièrement stupide, mais il me semble tout de même, et encore plus dans un domaine aussi sensible que celui-ci, que les procédures de commande publique doivent être suivies et, une fois de plus, confier ce chantier à une instance américaine sans quʼil y ait réellement eu concertation (cʼest, en tout cas, ce que semblent penser les professionnels français du secteur), cʼest, pour le moins dérangeant.

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Je crois que ça va drôlement aider, euh, des tas de gens.
On peut payer en sacrifice de poulet ?

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