La plupart des bureaux de votes insistent pour que tu prennes plusieurs bulletins avant d'aller dans l'isoloir.
Il est regrettable que cela donne ainsi lieu à un rapport de force entre personnes.
Ce système est mauvais ! dans la mesure où il ne cherche pas à garantir le secret du vote./
Même si la loi dit ceci, et les assesseurs insistent sur cela… Dans les faits, les gens peuvent n'en faire qu'à leur tête. Tout dépend éventuellement du rapport de force humain ou de la présence d'esprit des assesseurs. C'est par exemple de nature à alimenter des malaises, des incompréhension, des conflits, etc. Tout ça autour de l'une des rares occasions de participer à la "démocratie"… Cela me rends triste.
En Belgique, papier ou électronique (autre problème), le bulletin reprends les noms de tous les candidats. L'électeur doit entrer dans l'isoloir (obligatoire) avec ce bulletin, et en toute discrétion cocher la case (ronde) en regard de la personne de son choix … ou ne rien cocher (→ vote non obligatoire)./
En France, historiquement, d'où vient cette mascarade d'un papier (dit bulletin) par candidat ?
Oui c’est bien ça. Jusqu’ici je me suis toujours abstenu de prendre un bulletin FN… Et les dernières fois je me suis contenté de prendre seulement trois ou quatre bulletins avant d’aller à l’isoloir, aucun assesseurs n’est jamais venu me dire quelque chose.
Cela dit tu as raison. Même si un citoyen peut (en pratique) prendre un seul bulletin, donc en quelque sorte dévoiler le secret de son vote, c’est bien que ceux qui veulent vraiment voter secrètement puissent le faire.
Selon moi, le vote en France ne garanti pas le secret ! C'est une question de logique. Car en pratique, il est possible de faire pression sur un électeur pour qu'il ne prenne qu'un seul bulletin, aille dans l'isoloir qui n'a alors plus de sens et en ressorte … indemne, littéralement car il serait observé et casse « ta gueule si tu fais pas c'qu'on te dit ! » Ou au contraire, il reçoit ce qu'il lui a été promis … « 50 % chez Marchant pour qui apporte la preuve de n'avoir pas voté FN ! » ? Ça c'est vu… :( Triste …
Sachez qu'ici, en Belgique, hormis le problème du vote électronique, le secret est garanti ! Ou en tout cas, tout est fait pour.
Ce qui est important, c’est la transparence par une technologie maîtrisée et comprise par suffisamment de personnes. L’informatique, le code source commencent à être compris par pas mal de personnes.
Des ordinateurs et les logiciels libres qui vont avec pourraient donc être utilisés. Mais comment ? dans quel processus ?
Le second problème est le secret, pour lutter contre la pression sociale. Jusque dans l’isoloir, il est possible de fanfaronner tout ce que « l’on veut » ou tout « ce qui nous place favorablement dans la société », bande copain, etc. Mais dans l’isoloir, il est important de pouvoir faire exactement le contraire si on le souhaite et de ne pouvoir rien démontrer ni dans un sens, ni dans l’autre en sortant de là.
Parenthèse : je ne suis pas sûr, mais en France, n’est-il pas possible de ne prendre ce que vous appelez qu’un seul bulletin (d’un candidat), de rentrer dans l’isoloir et d’en ressortir fièrement avec une enveloppe dont tout le monde alors connaît le contenu ? Ou dont on connaît en tout cas ce qu’elle ne peut contenir… ?
Bref, c’est aussi pour ça qu’en Belgique, le passage dans l’isoloir est obligatoire. Dans l’isoloir, nous ne sommes pas obligé de voter proprement dit. Donc il est faux de parler de vote obligatoire. C’est le passage dans l’isoloir qui l’est. Et cela garanti que l’on ne s’en abstiendra pas non plus par pression sociale, pour faire bien devant les copains.
Ce que je trouve le plus regrettable en France, pour la présidentielle (en plus que le passage dans l’isoloir n’est pas obligatoire), c’est cette histoire de deux tours avec deux candidats au second tour.
Vous êtes donc tiraillé entre voter sincèrement pour celui que vous voudriez de préférence voir être président et voter pour soutenir l’un ou l’autre capable d’arriver au second tour. De là ces histoires de dispersions des voix et de votes utiles :(
Un sondage dynamique par méthode de Condorcet serait l’idéal en ce moment pour vous aider.
Le vote électronique est souvent conçu de sorte qu’il serait possible, selon l’image, d’avoir des pressions sociales discrètes, à domicile, là où personne ne peut voir ce qui se passe… entre époux, entre parents et enfants, entre frères, entre copains… Et parfois, l’on m’a répondu que l’on devait pouvoir voter à visage découvert, et assumer socialement son vote… Hum… qu’en pensez-vous, ici ?
Juste au cas où, voici la commande pour que Linux considère le CMOS à l'heure locale :
sed -i 's|UTC=yes|UTC=no|g' /etc/default/rcS
Depuis les systèmes Unix, il était apparus logique d'y (CMOS) placer l'heure UTC, et c'est cette même heure qui est alors utilisée partout, à commencer par le système de fichiers. Seul l'affichage pour l'utilisateur tient alors compte de la localité.
Mais Microsoft, à voulu rassurer les utilisateurs qui passaient par la configuration du BIOS en y plaçant déjà là (CMOS) l'heure locale.
Côté Linux, il a fallu s'adapter et pouvoir gérer cela de cette manière également dès lors que les deux systèmes devraient cohabiter et démarrer alternativement l'un et l'autre. D'où cette variable UTC =yes ou =no dans (ici) /etc/default/rcS
À l'installation d'un système GNU/Linux, typiquement, si un Windows est également déjà présent et doit resté présent (dual boot) → UTC=no ; s'il n'y a pas de Windows (ou que présent il sera supprimé) → UTC=yes.
Chez Microsoft également des efforts ont été consentis pour faire les choses correctement (CMOS=UTC) et là par contre je sais pas comment ça se passe… Par défaut, ça reste CMOS=local mais il se pourrait que dans certaines circonstances le Windows 10 par exemple s'installe en CMOS=UTC … à voir…
Sous GNU/Linux, pour effectuer la synchronisation de l'heure (UTC) à partir de serveur de temps de manière progressive si nécessaire, il me semble que c'est le paquetage ntp qu'il faut installer.
Pour le vendeur, ce genre de close est plus facile à « imposer » en pratique avec un logiciel non-libre et obscure si possible avec des DRM au cœur du mécanisme, c'est encore mieux (pour le vendeur/fabricant).
Donc si le logiciels était libre et l'ensemble “hackable”, il serait plus facile et envisageable de contourner cette close, faisant le deuil de la garantie, etc. Mais le choix est alors possible.
Il ne faut pas négliger le fait qu'il y a bien là un enjeux pouvoir. Même s'il n'est pas le seul.
Numerama a son instance Mastodon. Ce n'était pas très compliqué à mettre en place et nous pensons que c'est bon pour notre média et pour le web. Petites explications.
L'animation n'est peut-être pas ta tasse de thé mais c'est actuellement la principale motivation de l'un des deux principaux développeurs de GIMP, en tant qu'utilisateur. En même tant, le projet et ses fruits seront libres également ! Cela signifie que des écoles d'infographie et d'animation auront le nec plus ultra en terme de matériel pédagogique en lien avec GIMP et la démonstration faite que GIMP peut être utilisé pour de tels réalisations professionnelles (libres ou pas libres). Voila pourquoi, j'ai personnellement trouvé un sens multiple au fait de faire un don pour le projet ZeMarmot tout en soutenant le travail de Jehan, qui dans le cadre de ce projet va être pour une bonne partie des avancées dans GIMP et l’imminente sortie d'une version 2.10, etc. → « Soutenir l'œuf et la poule ! »
C'est par ailleurs dans l'un des commentaires que tu trouveras la réponse de Jehan à propos de comment faire un dons et à qui…
Cela ne m’empêche pas de n'utiliser que GIMP, même en 2.8 / 8 bits, de manière très poussée et parfois professionnelle avec au final Scribus qui s'occupe de la quadri' pour l'imprimeur par exemple… (oui, car il y a également la question du RGB vs CMJK)
Cela ne m'empêche pas non plus d'inviter mes clients, mes collègues ou mes élèves à utiliser GIMP, en 2.8/8b, avec le système GNU que je leur ai installé.
Cela fait maintenant plus de 12 ans que je n'ai pas touché un Photoshop d'Adobe. Et donc je sais pas s'ils ont fait des progrès et c'est pas très important car à ma connaissance, côté liberté et de l'éthique, ils sont toujours nul part. Mais donc, à l'époque, GIMP avait également ses propres avantages "techniques" :
Fenêtres multiples. À l'époque, Photoshop était mono-fenêtre et donc pour ceux qui travaillaient avec plusieurs programmes à l'écran, le multi-fenêtres de GIMP pouvait apparaître comme un avantage, on voit les outils d'un côté, et plusieurs images disposées à l'écran… Bref, la mode à changée et les deux modes sont possibles à présent ;
Fenêtre non-modales. À l'époque, de nombreuses fenêtres dans Photoshop étaient modales, c'est à dire que tant qu'elles étaient ouvertes il n'était plus possible même de zoomer ou se déplacer dans l'image. Je pense aux fenêtres telles que la courbe, l'enregistrement, etc. À ma connaissance, dans GIMP, il n'y a aucune fenêtre modale. Pouvoir zoomer et se déplacer dans une image pour laquelle ont met au point une courbe, c'est pratique ;)
Attention, attention !
Je ne cherche pas ici à comparer les deux logiciels ! D'un point de vue technique, je suis presque sûr que la dernière version de Photoshop est "supérieur" à GIMP 2.8. Alors que d'un point de vue des libertés et de l'éthique, GIMP à toujours maintenu une énorme supériorité (presque infinie) sur Photoshop.
Comme je l'ai signalé dès le départ, j'attends moi aussi une version stable, « grand public » de GIMP 2.10 et ensuite 3.x avec de grosses nouveautés comme le 16 bits (et plus) ! mais pas que…
Comme le dis ppb31, GIMP a déjà su se faire une belle réputation. Mais dans le milieu, tous le monde sait que GIMP* n'est « que en 8 bits » (*: version stable, facile d'accès, livres, etc.).
Alors imaginons un peu, le bruit que pourrait faire une sortie officielle d'une version stable, facile à installer pour toutes les plateformes, avec enfin le 16 bits ! (et la quadri)
Personnellement, j'attends ça depuis plus de 3 ans maintenant !
On se demanderait presque s'il n'y a pas du sabotage au sein de l'équipe GIMP pour ralentir et retarder un tel événement :)
On nous fait languir et presque baisser « le soutient » (à l'instar de la garde) avec cette histoire d'un 2.9 avec du 16 bits pour les initiés… Donc à la fois oui, et non… :/
Mais j'ai cru comprendre également, que l'intégration de GEGL à énormément ralenti la sortie du « 16 bits » et de nouvelle versions majeurs. Et en même tant, GEGL permettrait tellement plus encore, que nous aurions tout à y gagner à patienter encore, et encore…
Et finalement, si tout cela ne tenait également qu'au financement ?
C'est donc pour cela que, dès lors que j'en avais la possibilité, j'ai effectué un don. Et j'aimerais vous encourager tous, dans la mesure du possible à faire pareil. Car l'argent est parfois le nerf du progrès, y compris pour les libertés et l'éthique.
GIMP est pour moi une pièce maîtresse de nos systèmes GNU. GIMP en 16 bits, il est plus que temps ! Alors, pour ceux d'entre-nous qui souhaitons vivre le projet GNU, investir dans GIMP 1 €, c'est un peut comme pour un « capitaliste » d'investir 100 € ou 1000 € en actions Adobe.
Investir dans « le commun » n'est-il pas beaucoup moins coûteux que d'investir dans « la domination » ?
Entre mes revenus et ce que me coûte la vie (flux d’entrés/sorties), j’avais un petit surplus. Étant donné que je ne suis pas capitaliste pour un sou (“buffer overflow”), j’ai simplement pu réaliser un rêve, mais pas que… → « Soutenir l'œuf et la poule »
Entre mes revenus et ce que me coûte la vie (flux d’entrés/sorties), j’avais un petit surplus. Étant donné que je ne suis pas capitaliste pour un sou (“buffer overflow”), j’ai simplement pu réaliser un rêve, mais pas que… → « Soutenir l'œuf et la poule »
Entre mes revenus et ce que me coûte la vie (flux d’entrés/sorties), j’avais un petit surplus. Étant donné que je ne suis pas capitaliste pour un sou (“buffer overflow”), j’ai simplement pu réaliser un rêve, mais pas que… → « Soutenir l'œuf et la poule »
Avec un fichier de ± 730 Mo (obtenu à partir de /dev/urandom), j'obtiens sur base d'une moyenne de 4 exécutions en alternance de deux scripts, l'un basé sur tar et tee, l'autre sur 3 cp successifs :
Bien qu'en théorie une partition en Fat32 puisse aller jusqu'à 16 Tio (ou 8, selon…) et plus probablement du fait de la limite de taille maximum d'un fichier, 4 Gio, sous Windows, au delà de 32 Go, c'était jusqu'à il y a "peu" NTFS qui était "proposé". Cf. Wikipédia…
Depuis "peu" donc, le nouveau exFAT existe (avec licence à payer à Microsoft) et est de plus en plus utilisé pour les supports numérique au-delà des 32 Go ; (cf. microSDXC → exFAT )
Par contre, je suis donc surpris que l'option NTFS ne soit "pas proposée" par leur Windows 7. ExFat est l'unique option d'une liste déroulante.
Est-ce donc cela qui est « normal » ?
Et alors, quand "je partitionne", j'utilise un logiciel qui gère lui-même l'identifiant du type de partitions, 0x0B, 0x0C, 0x07, etc. En l'occurrence, GParted et le logiciel inclus dans le Windows 7, t'en penses quoi ? Tu crois que je dois vérifier ?
Les deux premières clés (32Go) sont "totalement défectueuses", mais cela à commencé par le genre de problèmes que je rencontre avec cette 3ème clé…
Pour tout ceux qui s'intéressent à l'usage des clés USB, je résume donc…
1°) Je format mes clés avec gparted : création d'une table de partition classique MSDOS + partition (primaire) Fat32 ou NTFS si de gros fichiers doivent pouvoir y être placés et qu'il n'est pas nécessaire de pouvoir insérer la clé directement dans une imprimante par exemple…
2°) Je prévient toujours le système avant le retrait de la clé, et j'attends bien le signe que toute écriture est terminée. La seule exception est lorsque j'oublie la clé et que j'éteins l'ordinateur. J'attends alors que l'ordinateur soit bien arrêté pour retirer la clé.
3°) En cas de problème, montage en lecture seule, FS non-reconnu sous Windows :
J'insère la clé sous GNU/Linux et avec la commande dmesg je cherche d'éventuels messages d'erreurs ou avertissements. Il peut par exemple s'agir du fameux bit qui est sensé indiquer que le FS à bien été clôturé avant extraction justement. Malgré toute la rigueur possible, cela arrive…
Éventuellement, je démonte le FS (attention à ne pas éjecter car alors plus accessible) et j'exécute la commande fsck.vfat -a. Pour une partition NTFS, je le ferais sous Windows.
Si des problèmes réapparaissent trop fréquemment, je reformate la clé (1°) après avoir éventuellement sauvegardé son contenu, que je replace ensuite. J'ai pour certaines clés un dossier de sauvegarde sur un ordinateur que je copie "par liens machines"(car ext4) avec cp -al et synchronise ensuite avec rsync -a --delete Je garde ainsi un historique au cas où des fichiers devaient s'avérer plus tard corrompus ou manquants.
Dans le cas qui nous intéresse (3ème clé, 64Go), le problème persiste. Le FS (Fat32) reste non-reconnu sous Windows XP et 7 :(
Cela ferait la 3ème clé… Ça commence à bien faire… Et j'aimerais connaître l'origine du problème qui semble pouvoir être une "usure" prématurée. Le contenu de cette clé n'évolue pas énormément. C'est pas comme si je renouvelait 80 % toutes les semaine. C'est plutôt 10 % tout les 3 mois.
En reformatant, mon attention à été attiré sur la taille de la partition obtenu, la capacité, qui m'a semblé être diminuée par rapport au premier formatage…
J'ai donc cherché à comparer avec un autre exemplaire du même modèle, supposé même série car achetées ensemble, de réserve et donc non-encore utilisée. Ce que j'ai constaté est une différence de taille au niveau de l'USB Mass Storage (/dev/sdz) :
Soit une différence de 29 × 65536 = 1900544 secteurs de 512 octets.
En interne, je crois savoir qu'une clé usb contient des cellules de réserve. Ces cellules auraient-elles une taille de 225 ? et au delà de la réserve, 29 cellules seraient "grillées" ?
J'ai effectué une vérification des octets "toujours" disponibles avec
# badblocks -w -s -o usbstick.log /dev/sdz
et aucune erreurs.
J'ai ensuite fait l'expérience de formater cette clé sous Windows 7, avec la surprise de n'y avoir pas d'autre choix que exFat. La clé fonctionne sous Windows et sous GNU (malgré exFat breveté, avec fuse donc, par pas intégrable au noyau Linux). Mais étant donné qu'en définitive, c'est sous Windows XP que je dois pouvoir également travailler, je crains que cela ne soit pas une solution.
Pourquoi formaté sous GNU (MSDOS/Fat32) ne fonctionne pas sous Windows mais bien formaté sous Windows en MSDOS(supposé)/exFAT.
Alors que, par ailleurs, la nouvelle clé (4ème, 64Go, même modèle que la 3ème), formaté sous GNU/Linux en MSDOS/Fat32 fonctionne très bien sous Windows. La 3ème clé aussi, au début, fonctionnait ainsi très bien…
C'est comme si au niveau USB, en tant que "Mass Storage" déjà, la détection n'était pas identique sous GNU/Linux et sous Windows. Je ne connais pas assez le Windows que pour y trouver un équivalent au dmesg qui sous GNU/Linux m'informe du "120979456×512 octets" ni d'un équivalent à un badblocks ou à un md5sum…
Sauf qu'on est pas à la boucherie en train d'acheter pour 200 grammes de saucisses… Là, oui, tantôt tu auras "précisément" 208,3 g, tantôt 201,8 g, etc.
Ici, je vous parle très précisément d'une clé USB, modèle Kingston DTR30G2/64GB
Je conçois qu'à partir de la spécification « 64 GB », il est hasardeux de présupposé pour un modèle donné ce que cela signifiera en terme d'octets réellement adressables sur le support (typiquement un nombre de secteurs de 512 octets chacun). D'une marque à une autre, d'un modèle à un autre, cela peut être différent.
Mais pour un même modèle (allons jusqu'à dire d'une même série), ce sera le même nombre d'octets pour différents exemplaires.
Dans le mon cas, il y a d'abord un dysfonctionnement ! La clé et le système de fichier qui s'y trouve n'est plus reconnu par certains logiciels (ici, le Windows XP et 7 de Microsoft).
↓
Ce qui m'amène à regarder de plus près et en comparant avec un autre exemplaire (du même modèle, même série) qui lui fonctionne bien… et de constater une différence non négligeable de surcroît en terme d'octets adressables (par secteurs de 512).
Alors, il se peut que des cellules flash soit déclassées dans la clé usb, et au delà de la réserve prévue pour que cela ne soit pas directement conséquent.
Mais justement, c'est ce genre d'investigation que j'aimerais pouvoir faire.
L'équivalent de la SMART pour les disques durs par exemple.
Il semblerait que cela n'existe pas, ou qu'à travers quelques utilitaires non publié par le fabricant :(
La seule chose que j'ai pu faire, c'est un
# badblocks -w -s -o usbstick.log /dev/sdz
Et cela n'a rien donné. Aucune erreurs.
Quand-bien même le nombre de secteur aurait simplement diminué, pourquoi un re-partitionnement et formatage (en FAT32) sous GNU/Linux n'est pas reconnu par le Windows 7 ou XP ?
J'insiste, avec un autre exemplaire, cela fonctionne !
Par contre, avec cette clé considérée défectueuse, le Windows 7 la format en exFat et la clé est miraculeusement lisible et fonctionnelle sous GNU/Linux. Le problème est que, ben d'abord je serai triste de n'avoir pas pu faire ce formatage sous GNU/Linux, et qu'en plus, je suis presque sûr que le Windows XP ne pourra pas l'ouvrir. Hors, dans le contexte où je travail, je ne peut rien y faire.
Donc voila, pour moi il y a un mystère non résolu concernant cette clé…
Je me demandais s'il existait des outils plus "sophistiqués" sous GNU pour investiguer l'interface USB tel qu'accessible et géré par le noyau Linux… ?
Es-tu sûr de ne pas comparer les promesses de LibreOffice 5.3 à MS Office 2013 ?
Je dis ça, mais en même temps j'en sais trop rien car depuis plus de dix ans je n'utilise que des logiciels libres… Et donc, je n'utilise que LibreOffice… Bref.
Ce qui m'amène à la conviction suivante.
Nous vivons une période charnière (ou pas) où la majorité des individus sont tellement aliénés et rabaissés, que seul la question de "facilité" est primordiale. En ce qui concerne l'informatique, ce sera donc « l'ordinateur tel qu'il est vendu, comme pour les autres qu'ils peuvent m'aider et que je pourrai faire les mêmes trucs funs que eux et communiquer avec eux ; que l'ordinateur il est vendu pas trop cher pour moi et pas trop loin de chez moi et que j'aurai facile à le déballer et à l'utiliser au plus vite… ». Bref, le genre de description que nous nous amusons, nous qui savons, à faire des gens en général, que nous nous garderons de mépriser car nous-mêmes, en partie en informatique ou dans d'autres domaines sommes loin d'être parfait. Je dirais que de manière générale, on est loin… très loin… d'une manière de faire les choses en respects de l'éthique, des rapports égalitaires entre les hommes, de la nature, notre environnement, etc.
Et donc.
Oui, utiliser des logiciels libres c'est possible…
Mais c'est généralement comme favoriser le commerce équitable, d'agriculture biologique, production locale, etc.
C'est pour l'instant pas pareil, ça coûte au final plus cher, c'est pas facile, on est un peut "seul" ou pas comme notre entourage (famille, amis, collègue, voisins)…
Quand je vois le monde comment il part en co***, en vrille… On en est là, de discuter si l'on peut croire en l'homme ou pas, etc.
Autant vous le dire : je suis plutôt optimiste et enthousiaste !
Donc je pense qu'avec le temps, nous allons tous nous mettre (ou remettre) à réfléchir sur comment faire les choses "bien"… Et donc, les logiciels libres, on va y venir tous ensemble, comme on en viendra tous au commerce équitable, à l'agriculture biologique, à moins ou pas de viande, à l'énergie verte, etc.
Car dès lors que nous serons nombreux à nous y mettre dans tout ces trucs-là, qu'une politique collective ira dans ce sens, dans l'ensemble, tout fonctionnera mieux. En ce qui concerne les logiciels libres, il est évident que globalement il est plus efficace de pouvoir travailler tous ensemble avec du code source accessible à tous, depuis les étudiant jusqu'aux développeurs qui peuvent n'avoir été d'abord qu'utilisateurs, etc.
Mais actuellement, beaucoup « d'énergie » (d'argent principalement) est encore dirigée vers le développement des logiciels privateurs et vers leurs "maîtres"… "nos" maîtres ?
# FISCAL KOMBAT ! ? . le jeu
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au journal Le candidat du logiciel libre. Évalué à 5.
À propos de ce jeu, FISCAL KOMBAT, où es le code source ?
Par ailleurs, je ne le trouve pas dans F-Droid :(
(je viens d'adresser un courriel à ce sujet, je vous tiens au courant ici…)
[^] # Re: Isoloir et pressions sociales ?
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au journal Vote à l'urne et vote électronique. Évalué à 3.
Il est regrettable que cela donne ainsi lieu à un rapport de force entre personnes.
Ce système est mauvais ! dans la mesure où il ne cherche pas à garantir le secret du vote./
Même si la loi dit ceci, et les assesseurs insistent sur cela… Dans les faits, les gens peuvent n'en faire qu'à leur tête. Tout dépend éventuellement du rapport de force humain ou de la présence d'esprit des assesseurs. C'est par exemple de nature à alimenter des malaises, des incompréhension, des conflits, etc. Tout ça autour de l'une des rares occasions de participer à la "démocratie"… Cela me rends triste.
En Belgique, papier ou électronique (autre problème), le bulletin reprends les noms de tous les candidats. L'électeur doit entrer dans l'isoloir (obligatoire) avec ce bulletin, et en toute discrétion cocher la case (ronde) en regard de la personne de son choix … ou ne rien cocher (→ vote non obligatoire)./
En France, historiquement, d'où vient cette mascarade d'un papier (dit bulletin) par candidat ?
[^] # Re: Isoloir et pressions sociales ?
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au journal Vote à l'urne et vote électronique. Évalué à 1.
Selon moi, le vote en France ne garanti pas le secret ! C'est une question de logique. Car en pratique, il est possible de faire pression sur un électeur pour qu'il ne prenne qu'un seul bulletin, aille dans l'isoloir qui n'a alors plus de sens et en ressorte … indemne, littéralement car il serait observé et casse « ta gueule si tu fais pas c'qu'on te dit ! » Ou au contraire, il reçoit ce qu'il lui a été promis … « 50 % chez Marchant pour qui apporte la preuve de n'avoir pas voté FN ! » ? Ça c'est vu… :( Triste …
Sachez qu'ici, en Belgique, hormis le problème du vote électronique, le secret est garanti ! Ou en tout cas, tout est fait pour.
# Isoloir et pressions sociales ?
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au journal Vote à l'urne et vote électronique. Évalué à 3.
Ce qui est important, c’est la transparence par une technologie maîtrisée et comprise par suffisamment de personnes. L’informatique, le code source commencent à être compris par pas mal de personnes.
Des ordinateurs et les logiciels libres qui vont avec pourraient donc être utilisés. Mais comment ? dans quel processus ?
Le second problème est le secret, pour lutter contre la pression sociale. Jusque dans l’isoloir, il est possible de fanfaronner tout ce que « l’on veut » ou tout « ce qui nous place favorablement dans la société », bande copain, etc. Mais dans l’isoloir, il est important de pouvoir faire exactement le contraire si on le souhaite et de ne pouvoir rien démontrer ni dans un sens, ni dans l’autre en sortant de là.
Parenthèse : je ne suis pas sûr, mais en France, n’est-il pas possible de ne prendre ce que vous appelez qu’un seul bulletin (d’un candidat), de rentrer dans l’isoloir et d’en ressortir fièrement avec une enveloppe dont tout le monde alors connaît le contenu ? Ou dont on connaît en tout cas ce qu’elle ne peut contenir… ?
Bref, c’est aussi pour ça qu’en Belgique, le passage dans l’isoloir est obligatoire. Dans l’isoloir, nous ne sommes pas obligé de voter proprement dit. Donc il est faux de parler de vote obligatoire. C’est le passage dans l’isoloir qui l’est. Et cela garanti que l’on ne s’en abstiendra pas non plus par pression sociale, pour faire bien devant les copains.
Ce que je trouve le plus regrettable en France, pour la présidentielle (en plus que le passage dans l’isoloir n’est pas obligatoire), c’est cette histoire de deux tours avec deux candidats au second tour.
Vous êtes donc tiraillé entre voter sincèrement pour celui que vous voudriez de préférence voir être président et voter pour soutenir l’un ou l’autre capable d’arriver au second tour. De là ces histoires de dispersions des voix et de votes utiles :(
Un sondage dynamique par méthode de Condorcet serait l’idéal en ce moment pour vous aider.
Le vote électronique est souvent conçu de sorte qu’il serait possible, selon l’image, d’avoir des pressions sociales discrètes, à domicile, là où personne ne peut voir ce qui se passe… entre époux, entre parents et enfants, entre frères, entre copains… Et parfois, l’on m’a répondu que l’on devait pouvoir voter à visage découvert, et assumer socialement son vote… Hum… qu’en pensez-vous, ici ?
[^] # Re: CMOS et Linux
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au message Problème d'horloge en dual Boot Windows/Mint Serena. Évalué à 1.
Je me rends compte que cela à pu changer !
peut donner des résultats différents !
Soit
/etc/default/rcS
soit
/etc/init.d/hwclock.sh
# CMOS et Linux
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au message Problème d'horloge en dual Boot Windows/Mint Serena. Évalué à 3.
Juste au cas où, voici la commande pour que Linux considère le CMOS à l'heure locale :
Depuis les systèmes Unix, il était apparus logique d'y (CMOS) placer l'heure UTC, et c'est cette même heure qui est alors utilisée partout, à commencer par le système de fichiers. Seul l'affichage pour l'utilisateur tient alors compte de la localité.
Mais Microsoft, à voulu rassurer les utilisateurs qui passaient par la configuration du BIOS en y plaçant déjà là (CMOS) l'heure locale.
Côté Linux, il a fallu s'adapter et pouvoir gérer cela de cette manière également dès lors que les deux systèmes devraient cohabiter et démarrer alternativement l'un et l'autre. D'où cette variable UTC =yes ou =no dans (ici) /etc/default/rcS
À l'installation d'un système GNU/Linux, typiquement, si un Windows est également déjà présent et doit resté présent (dual boot) → UTC=no ; s'il n'y a pas de Windows (ou que présent il sera supprimé) → UTC=yes.
Chez Microsoft également des efforts ont été consentis pour faire les choses correctement (CMOS=UTC) et là par contre je sais pas comment ça se passe… Par défaut, ça reste CMOS=local mais il se pourrait que dans certaines circonstances le Windows 10 par exemple s'installe en CMOS=UTC … à voir…
Sous GNU/Linux, pour effectuer la synchronisation de l'heure (UTC) à partir de serveur de temps de manière progressive si nécessaire, il me semble que c'est le paquetage ntp qu'il faut installer.
[^] # Re: Je ne vois pas le rapport...
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au journal Pan, dans la g.. Évalué à 5.
Pour le vendeur, ce genre de close est plus facile à « imposer » en pratique avec un logiciel non-libre et obscure si possible avec des DRM au cœur du mécanisme, c'est encore mieux (pour le vendeur/fabricant).
Donc si le logiciels était libre et l'ensemble “hackable”, il serait plus facile et envisageable de contourner cette close, faisant le deuil de la garantie, etc. Mais le choix est alors possible.
Il ne faut pas négliger le fait qu'il y a bien là un enjeux pouvoir. Même s'il n'est pas le seul.
# Numerama : Pourquoi nous avons créé notre instance Mastodon
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au journal Mastodon, le réseau social qui monte ?. Évalué à 6.
→ lire la suite par ici
[^] # Re: C'est courant ?
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au journal [Tuto/HowTo] Changer la prise RJ45 d'une camera Trendnet TV-IP310PI. Évalué à 1.
J'ai encore jamais vu ça. Est-ce alors la pince à sertir qui coupe les fils qui dépassent ?
Par contre, « avec peigne », c'est facile également et plus courant me semble-t-il… → https://youtu.be/4gqGQtRl3eU
[^] # Re: Dons, mais où?
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse à la dépêche Wilber Week, GIMP, interviews des développeurs et sortie de la 2.10 à venir !. Évalué à 3.
L'animation n'est peut-être pas ta tasse de thé mais c'est actuellement la principale motivation de l'un des deux principaux développeurs de GIMP, en tant qu'utilisateur. En même tant, le projet et ses fruits seront libres également ! Cela signifie que des écoles d'infographie et d'animation auront le nec plus ultra en terme de matériel pédagogique en lien avec GIMP et la démonstration faite que GIMP peut être utilisé pour de tels réalisations professionnelles (libres ou pas libres). Voila pourquoi, j'ai personnellement trouvé un sens multiple au fait de faire un don pour le projet ZeMarmot tout en soutenant le travail de Jehan, qui dans le cadre de ce projet va être pour une bonne partie des avancées dans GIMP et l’imminente sortie d'une version 2.10, etc. → « Soutenir l'œuf et la poule ! »
C'est par ailleurs dans l'un des commentaires que tu trouveras la réponse de Jehan à propos de comment faire un dons et à qui…
Merci d'avance _^
[^] # Re: le floue
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse à la dépêche Wilber Week, GIMP, interviews des développeurs et sortie de la 2.10 à venir !. Évalué à 2.
Je suis entièrement d'accord avec ppb31 ! :/
Cela ne m’empêche pas de n'utiliser que GIMP, même en 2.8 / 8 bits, de manière très poussée et parfois professionnelle avec au final Scribus qui s'occupe de la quadri' pour l'imprimeur par exemple… (oui, car il y a également la question du RGB vs CMJK)
Cela ne m'empêche pas non plus d'inviter mes clients, mes collègues ou mes élèves à utiliser GIMP, en 2.8/8b, avec le système GNU que je leur ai installé.
Cela fait maintenant plus de 12 ans que je n'ai pas touché un Photoshop d'Adobe. Et donc je sais pas s'ils ont fait des progrès et c'est pas très important car à ma connaissance, côté liberté et de l'éthique, ils sont toujours nul part. Mais donc, à l'époque, GIMP avait également ses propres avantages "techniques" :
Attention, attention !
Je ne cherche pas ici à comparer les deux logiciels ! D'un point de vue technique, je suis presque sûr que la dernière version de Photoshop est "supérieur" à GIMP 2.8. Alors que d'un point de vue des libertés et de l'éthique, GIMP à toujours maintenu une énorme supériorité (presque infinie) sur Photoshop.
Comme je l'ai signalé dès le départ, j'attends moi aussi une version stable, « grand public » de GIMP 2.10 et ensuite 3.x avec de grosses nouveautés comme le 16 bits (et plus) ! mais pas que…
Comme le dis ppb31, GIMP a déjà su se faire une belle réputation. Mais dans le milieu, tous le monde sait que GIMP* n'est « que en 8 bits » (*: version stable, facile d'accès, livres, etc.).
Alors imaginons un peu, le bruit que pourrait faire une sortie officielle d'une version stable, facile à installer pour toutes les plateformes, avec enfin le 16 bits ! (et la quadri)
Personnellement, j'attends ça depuis plus de 3 ans maintenant !
On se demanderait presque s'il n'y a pas du sabotage au sein de l'équipe GIMP pour ralentir et retarder un tel événement :)
On nous fait languir et presque baisser « le soutient » (à l'instar de la garde) avec cette histoire d'un 2.9 avec du 16 bits pour les initiés… Donc à la fois oui, et non… :/
Mais j'ai cru comprendre également, que l'intégration de GEGL à énormément ralenti la sortie du « 16 bits » et de nouvelle versions majeurs. Et en même tant, GEGL permettrait tellement plus encore, que nous aurions tout à y gagner à patienter encore, et encore…
Et finalement, si tout cela ne tenait également qu'au financement ?
C'est donc pour cela que, dès lors que j'en avais la possibilité, j'ai effectué un don. Et j'aimerais vous encourager tous, dans la mesure du possible à faire pareil. Car l'argent est parfois le nerf du progrès, y compris pour les libertés et l'éthique.
GIMP est pour moi une pièce maîtresse de nos systèmes GNU. GIMP en 16 bits, il est plus que temps ! Alors, pour ceux d'entre-nous qui souhaitons vivre le projet GNU, investir dans GIMP 1 €, c'est un peut comme pour un « capitaliste » d'investir 100 € ou 1000 € en actions Adobe.
Investir dans « le commun » n'est-il pas beaucoup moins coûteux que d'investir dans « la domination » ?
# Soutenir l'œuf et la poule !
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse à la dépêche Wilber Week, GIMP, interviews des développeurs et sortie de la 2.10 à venir !. Évalué à 1.
Entre mes revenus et ce que me coûte la vie (flux d’entrés/sorties), j’avais un petit surplus. Étant donné que je ne suis pas capitaliste pour un sou (“buffer overflow”), j’ai simplement pu réaliser un rêve, mais pas que… → « Soutenir l'œuf et la poule »
Un tout Grand Merci à vous !
# Quelques liens !
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au journal Soutenir l’œuf et la poule !. Évalué à 6.
Désolé, je pensais encore pouvoir modifier le journal ensuite pour ajouter des liens.
Donc, les voici :
# Soutenir l'œuf et la poule !
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse à la dépêche ZeMarmot : compte‐rendu de fin 2016 et appels aux dons. Évalué à 1.
Entre mes revenus et ce que me coûte la vie (flux d’entrés/sorties), j’avais un petit surplus. Étant donné que je ne suis pas capitaliste pour un sou (“buffer overflow”), j’ai simplement pu réaliser un rêve, mais pas que… → « Soutenir l'œuf et la poule »
Un tout Grand Merci à vous !
# Soutenir l'œuf et la poule !
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au journal Wilber Week, GIMP, interviews des développeurs et sortie de 2.10 à venir!. Évalué à 3.
Entre mes revenus et ce que me coûte la vie (flux d’entrés/sorties), j’avais un petit surplus. Étant donné que je ne suis pas capitaliste pour un sou (“buffer overflow”), j’ai simplement pu réaliser un rêve, mais pas que… → « Soutenir l'œuf et la poule »
Un tout Grand Merci à vous !
# Je participe aux sondages sur LinuxFr.org
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au sondage Pour défendre le logiciel libre et ses valeurs. Évalué à 3.
… mais je fais pas que ça non plus :)
[^] # Re: tee
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au message Commande Linux qui permet de copier un fichier vers différents dossiers . Évalué à 1.
Avec un fichier de ± 730 Mo (obtenu à partir de /dev/urandom), j'obtiens sur base d'une moyenne de 4 exécutions en alternance de deux scripts, l'un basé sur tar et tee, l'autre sur 3 cp successifs :
Pour tar&tee :
real 8,80s
user 0.19s
sys 4.90s
Pour 3×cp :
real 9.21s
user 0.02s
sys 3.02s
# tee
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au message Commande Linux qui permet de copier un fichier vers différents dossiers . Évalué à 1.
Mise en place de la situation :
Copie multiple :
Vérification :
Il resterait à voir ce que cela donne avec de gros fichiers…
[^] # Re: pas significatif
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au message Clés USB défectueuses, investigation ?. Évalué à 1.
Bien qu'en théorie une partition en Fat32 puisse aller jusqu'à 16 Tio (ou 8, selon…) et plus probablement du fait de la limite de taille maximum d'un fichier, 4 Gio, sous Windows, au delà de 32 Go, c'était jusqu'à il y a "peu" NTFS qui était "proposé". Cf. Wikipédia…
Depuis "peu" donc, le nouveau exFAT existe (avec licence à payer à Microsoft) et est de plus en plus utilisé pour les supports numérique au-delà des 32 Go ; (cf. microSDXC → exFAT )
Par contre, je suis donc surpris que l'option NTFS ne soit "pas proposée" par leur Windows 7. ExFat est l'unique option d'une liste déroulante.
Est-ce donc cela qui est « normal » ?
Et alors, quand "je partitionne", j'utilise un logiciel qui gère lui-même l'identifiant du type de partitions, 0x0B, 0x0C, 0x07, etc. En l'occurrence, GParted et le logiciel inclus dans le Windows 7, t'en penses quoi ? Tu crois que je dois vérifier ?
[^] # Re: pas significatif
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au message Clés USB défectueuses, investigation ?. Évalué à 1.
Les deux premières clés (32Go) sont "totalement défectueuses", mais cela à commencé par le genre de problèmes que je rencontre avec cette 3ème clé…
Pour tout ceux qui s'intéressent à l'usage des clés USB, je résume donc…
1°) Je format mes clés avec gparted : création d'une table de partition classique MSDOS + partition (primaire) Fat32 ou NTFS si de gros fichiers doivent pouvoir y être placés et qu'il n'est pas nécessaire de pouvoir insérer la clé directement dans une imprimante par exemple…
2°) Je prévient toujours le système avant le retrait de la clé, et j'attends bien le signe que toute écriture est terminée. La seule exception est lorsque j'oublie la clé et que j'éteins l'ordinateur. J'attends alors que l'ordinateur soit bien arrêté pour retirer la clé.
3°) En cas de problème, montage en lecture seule, FS non-reconnu sous Windows :
J'insère la clé sous GNU/Linux et avec la commande dmesg je cherche d'éventuels messages d'erreurs ou avertissements. Il peut par exemple s'agir du fameux bit qui est sensé indiquer que le FS à bien été clôturé avant extraction justement. Malgré toute la rigueur possible, cela arrive…
Éventuellement, je démonte le FS (attention à ne pas éjecter car alors plus accessible) et j'exécute la commande fsck.vfat -a. Pour une partition NTFS, je le ferais sous Windows.
Si des problèmes réapparaissent trop fréquemment, je reformate la clé (1°) après avoir éventuellement sauvegardé son contenu, que je replace ensuite. J'ai pour certaines clés un dossier de sauvegarde sur un ordinateur que je copie "par liens machines"(car ext4) avec cp -al et synchronise ensuite avec rsync -a --delete Je garde ainsi un historique au cas où des fichiers devaient s'avérer plus tard corrompus ou manquants.
Dans le cas qui nous intéresse (3ème clé, 64Go), le problème persiste. Le FS (Fat32) reste non-reconnu sous Windows XP et 7 :(
Cela ferait la 3ème clé… Ça commence à bien faire… Et j'aimerais connaître l'origine du problème qui semble pouvoir être une "usure" prématurée. Le contenu de cette clé n'évolue pas énormément. C'est pas comme si je renouvelait 80 % toutes les semaine. C'est plutôt 10 % tout les 3 mois.
En reformatant, mon attention à été attiré sur la taille de la partition obtenu, la capacité, qui m'a semblé être diminuée par rapport au premier formatage…
J'ai donc cherché à comparer avec un autre exemplaire du même modèle, supposé même série car achetées ensemble, de réserve et donc non-encore utilisée. Ce que j'ai constaté est une différence de taille au niveau de l'USB Mass Storage (/dev/sdz) :
Soit une différence de 29 × 65536 = 1900544 secteurs de 512 octets.
En interne, je crois savoir qu'une clé usb contient des cellules de réserve. Ces cellules auraient-elles une taille de 225 ? et au delà de la réserve, 29 cellules seraient "grillées" ?
J'ai effectué une vérification des octets "toujours" disponibles avec
et aucune erreurs.
J'ai ensuite fait l'expérience de formater cette clé sous Windows 7, avec la surprise de n'y avoir pas d'autre choix que exFat. La clé fonctionne sous Windows et sous GNU (malgré exFat breveté, avec fuse donc, par pas intégrable au noyau Linux). Mais étant donné qu'en définitive, c'est sous Windows XP que je dois pouvoir également travailler, je crains que cela ne soit pas une solution.
Pourquoi formaté sous GNU (MSDOS/Fat32) ne fonctionne pas sous Windows mais bien formaté sous Windows en MSDOS(supposé)/exFAT.
Alors que, par ailleurs, la nouvelle clé (4ème, 64Go, même modèle que la 3ème), formaté sous GNU/Linux en MSDOS/Fat32 fonctionne très bien sous Windows. La 3ème clé aussi, au début, fonctionnait ainsi très bien…
C'est comme si au niveau USB, en tant que "Mass Storage" déjà, la détection n'était pas identique sous GNU/Linux et sous Windows. Je ne connais pas assez le Windows que pour y trouver un équivalent au dmesg qui sous GNU/Linux m'informe du "120979456×512 octets" ni d'un équivalent à un badblocks ou à un md5sum…
[^] # Re: pas significatif
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au message Clés USB défectueuses, investigation ?. Évalué à 0.
J'en ai assez d'être pris pour un con…
C'est pas ça le problème !
Franchement, en lisant tout ce que j'ai écrit, t'as pas un peut l'impression que je connais ce genre de choses ?
[^] # Re: pas significatif
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au message Clés USB défectueuses, investigation ?. Évalué à 2.
Sauf qu'on est pas à la boucherie en train d'acheter pour 200 grammes de saucisses… Là, oui, tantôt tu auras "précisément" 208,3 g, tantôt 201,8 g, etc.
Ici, je vous parle très précisément d'une clé USB, modèle Kingston DTR30G2/64GB
Je conçois qu'à partir de la spécification « 64 GB », il est hasardeux de présupposé pour un modèle donné ce que cela signifiera en terme d'octets réellement adressables sur le support (typiquement un nombre de secteurs de 512 octets chacun). D'une marque à une autre, d'un modèle à un autre, cela peut être différent.
Mais pour un même modèle (allons jusqu'à dire d'une même série), ce sera le même nombre d'octets pour différents exemplaires.
Dans le mon cas, il y a d'abord un dysfonctionnement ! La clé et le système de fichier qui s'y trouve n'est plus reconnu par certains logiciels (ici, le Windows XP et 7 de Microsoft).
↓
Ce qui m'amène à regarder de plus près et en comparant avec un autre exemplaire (du même modèle, même série) qui lui fonctionne bien… et de constater une différence non négligeable de surcroît en terme d'octets adressables (par secteurs de 512).
Alors, il se peut que des cellules flash soit déclassées dans la clé usb, et au delà de la réserve prévue pour que cela ne soit pas directement conséquent.
Mais justement, c'est ce genre d'investigation que j'aimerais pouvoir faire.
L'équivalent de la SMART pour les disques durs par exemple.
Il semblerait que cela n'existe pas, ou qu'à travers quelques utilitaires non publié par le fabricant :(
La seule chose que j'ai pu faire, c'est un
Et cela n'a rien donné. Aucune erreurs.
Quand-bien même le nombre de secteur aurait simplement diminué, pourquoi un re-partitionnement et formatage (en FAT32) sous GNU/Linux n'est pas reconnu par le Windows 7 ou XP ?
J'insiste, avec un autre exemplaire, cela fonctionne !
Par contre, avec cette clé considérée défectueuse, le Windows 7 la format en exFat et la clé est miraculeusement lisible et fonctionnelle sous GNU/Linux. Le problème est que, ben d'abord je serai triste de n'avoir pas pu faire ce formatage sous GNU/Linux, et qu'en plus, je suis presque sûr que le Windows XP ne pourra pas l'ouvrir. Hors, dans le contexte où je travail, je ne peut rien y faire.
Donc voila, pour moi il y a un mystère non résolu concernant cette clé…
Je me demandais s'il existait des outils plus "sophistiqués" sous GNU pour investiguer l'interface USB tel qu'accessible et géré par le noyau Linux… ?
[^] # Re: La FSF et le logiciel libre en phase terminale ?
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au journal Flash est en phase terminale!. Évalué à 10.
Es-tu sûr de ne pas comparer les promesses de LibreOffice 5.3 à MS Office 2013 ?
Je dis ça, mais en même temps j'en sais trop rien car depuis plus de dix ans je n'utilise que des logiciels libres… Et donc, je n'utilise que LibreOffice… Bref.
Ce qui m'amène à la conviction suivante.
Nous vivons une période charnière (ou pas) où la majorité des individus sont tellement aliénés et rabaissés, que seul la question de "facilité" est primordiale. En ce qui concerne l'informatique, ce sera donc « l'ordinateur tel qu'il est vendu, comme pour les autres qu'ils peuvent m'aider et que je pourrai faire les mêmes trucs funs que eux et communiquer avec eux ; que l'ordinateur il est vendu pas trop cher pour moi et pas trop loin de chez moi et que j'aurai facile à le déballer et à l'utiliser au plus vite… ». Bref, le genre de description que nous nous amusons, nous qui savons, à faire des gens en général, que nous nous garderons de mépriser car nous-mêmes, en partie en informatique ou dans d'autres domaines sommes loin d'être parfait. Je dirais que de manière générale, on est loin… très loin… d'une manière de faire les choses en respects de l'éthique, des rapports égalitaires entre les hommes, de la nature, notre environnement, etc.
Et donc.
Oui, utiliser des logiciels libres c'est possible…
Mais c'est généralement comme favoriser le commerce équitable, d'agriculture biologique, production locale, etc.
C'est pour l'instant pas pareil, ça coûte au final plus cher, c'est pas facile, on est un peut "seul" ou pas comme notre entourage (famille, amis, collègue, voisins)…
Quand je vois le monde comment il part en co***, en vrille… On en est là, de discuter si l'on peut croire en l'homme ou pas, etc.
Autant vous le dire : je suis plutôt optimiste et enthousiaste !
Donc je pense qu'avec le temps, nous allons tous nous mettre (ou remettre) à réfléchir sur comment faire les choses "bien"… Et donc, les logiciels libres, on va y venir tous ensemble, comme on en viendra tous au commerce équitable, à l'agriculture biologique, à moins ou pas de viande, à l'énergie verte, etc.
Car dès lors que nous serons nombreux à nous y mettre dans tout ces trucs-là, qu'une politique collective ira dans ce sens, dans l'ensemble, tout fonctionnera mieux. En ce qui concerne les logiciels libres, il est évident que globalement il est plus efficace de pouvoir travailler tous ensemble avec du code source accessible à tous, depuis les étudiant jusqu'aux développeurs qui peuvent n'avoir été d'abord qu'utilisateurs, etc.
Mais actuellement, beaucoup « d'énergie » (d'argent principalement) est encore dirigée vers le développement des logiciels privateurs et vers leurs "maîtres"… "nos" maîtres ?
[^] # Re: Aide pratique pour GNU MakeTools ? rendez-vous ?
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse à la dépêche FOSDEM 2017 le week‐end du 4 et 5 février. Évalué à 1.
Je propose un Framapad (plutôt qu'un FramaDate, car en plus de l'heure, il y a le lieu aussi, etc.) :
→ https://mensuel.framapad.org/p/FOSDEM_2017_GNU_MakeTools_Help_RDV
[^] # Re: Aide pratique pour GNU MakeTools ? rendez-vous ?
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse à la dépêche FOSDEM 2017 le week‐end du 4 et 5 février. Évalué à 1.
J'habite du côté de Braine-le-Comte. Je travaille régulièrement sur Bruxelles et Nivelles.
Mais ici, je me disais que le Fosdem, ce serait une bonne occasion…