Je choisirais Edubuntu car j'ai l'habitude d'installer et utiliser des systèmes GNU/Linux Dabian, Ubuntu et Mint.
Je choisirais d'installer un système GNU/Linux Mint MATE d'abord, et d'y installer ensuite edubuntu-desktop et d'autres paquetages car alors je proposerais aux parents un profile classique MATE et un profile auto-connecté "edubuntu"(Unity ?) pour l'enfant.
Pourquoi edubuntu ne serait-il pas aussi francisé que d'autres distrib' pour enfant ?
Il est question d'installer le paquetage edubuntu-desktop mais une flaupé d'autres sont alors suggéré… Parmis ceux-la, lesquels me conseilleriez-vous :
Merci, je vais investiguer du côté de duplicity… Par contre, je l'utiliserait sur la version chiffré du eCryptFS, de sorte à ce qui sorte soit chiffré et ne puisse pas être lisible par le propriétaire de l'ordinateur distant.
Il s'agirait d'un NAS pour petite structures associatives (asbl en Belgique ; loi 1901 en France).
Ce schéma n'illustre que l'aspect sécurité contre les désastres (sauvegardes externes) et les indiscrétions (chiffrement). D'autres dispositions sont prises pour les aspects défaillances matériels (RAID6) et "utilisateur" (genre rsnapshot).
Le but aussi étant d'utiliser des technologies et protocoles "simples". Par exemple, ne pas compter sur des protocoles tels que drbd ou avoir un accès root sur une machine distante, mais uniquement un accès FTP. La gestion des droits se fait au niveau du système de fichiers monté par loop device sur fsimage (ext4). Je sais qu'avec BTRFS, des tas de super choses similaires sont possibles, mais je préfère attendre encore pour BTRFS en production et aussi, BTRFS devrait alors également être installé sur la machine distante, configuré en cohérence et spécifiquement, etc. Hors en FTP, on peut très facilement mettre en place la solution.
Par ailleurs, une autre machine à remonter le temps peut être utiliser côté machine distante sur les morceaux chiffrés. J'envisagerais également de désactiver le chiffrement des nom de fichier au niveaux eCryptFS car cela n'est pas nécessaire. Avec les noms de fichier originaux, les version chiffrée pourrait être manipuler sans crainte de les mélanger…
Selon mon approche, le projet GNU a été à l’origine du paradigme de logiciels libres pour l’aspect sociétal, et de manière concret défendre l’idée que tout logiciel devrait être libre. Avec la licence GPL, le projet GNU propose un domaine concret au sein duquel le projet GNU peut se concrétiser, au sein duquel les logiciels sont libres dans le sens originel du projet GNU. Sous licence GPL, tout logiciel peut donc être vu comme faisant partie du projet « de société » GNU mais peuvent également de manière concrète s’intégrer à un système GNU. Car le seul fait d’être un logiciel libre ne suffit pas forcément, ni d’un point de vue pratique, ni d’un point de vue philosophique vis-à-vis du projet GNU. Un logiciel libre doit être compatible avec la GPL, et le copyleft est un attribut supplémentaire pour l’aspect philosophique, sociétalement du projet GNU. C’est comme si la GPL proposait au-delà du concept de logiciel libre, un dôme protecteur sous lequel il est possible de vivre concrètement le projet GNU en toute sécurité juridique (c’est le but). Cela n’empêche pas les désaccords et les malentendus. Certaines licences seront considérées libres par la FSF-même, alors qu’elles seront incompatibles avec la GPL. Certaines de ces licences placent le logiciel en dehors du dôme originellement proposé par le projet GNU et la GPL, alors même qu’elles proposeront peut-être un autre dôme, mais distinct… (je trouve ça dommage)
Par ailleurs, il y a bien un aspect dit engagé sociétallement, philosophiquement, politiquement, que certains fuiront comme la peste alors même qu’ils apprécieront d’autres avantages, dits parfois collatéraux, des logiciels libres et de la licence GPL.
Nous n’arrêterons jamais de nous percevoir différent de la sorte, et les logiciels libres que certains nommerons Open Source, autant que les systèmes que certains appellerons GNU et d’autres Linux, sans parler des autres systèmes ou logiciels, BSD, Haiku, LibreOffice et autres, seront autant de lieux de "dispute" autour des approches et des valeurs véhiculées, mises en œuvre ou valorisées, volontairement ou pas…
En effet, lorsque tu parles ici de linux, je comprends que tu parles en réalité du projet GNU, un système d'exploitation complet constitué exclusivement de logiciels libres pour utiliser nos ordinateurs.
Face aux résultats obtenus par les sociétés privées et leurs moyens toujours plus grands, en termes de recherche et de développement, nous ne pouvons réellement compter que sur le principe de la souveraineté technologique pour défendre et promouvoir le projet GNU et l'intérêt spécifique des logiciels libres et dans une certaine mesure du copyleft.
Je suis fière d'appartenir à ce mouvement populaire. Des entreprises privées puissent y trouver leur compte également. Mais si les logiciels sont réellement libres et non tenus par d'autres chaînes telles que les brevets logiciels (cf. v3 GPL), alors le peuple n'est pas particulièrement dominé par ces logiciels et les personnes qui les développent.
Mais vis-à-vis des logiciels non-libres, privateurs… Nos logiciels libres donc, ne sont peut-être pas à la hauteur de leurs logiciels, ceux de Microsoft, ceux de Apple, de Google (ceux qui ne sont pas libres), de Facebook, etc. Mais nos logiciels libres sont bien à nous. Et cela nous rend libre, libre vis-à-vis de Microsoft, libre vis-à-vis de Apple, etc.
Bien entendu, cette liberté peut paraître fort théorique à première vue et à l'utilisateur lambda, mais pourquoi ? Car elle repose sur le collectif, la communauté. Hors, l'individualisme nous éloigne tellement les uns des autres, que nous avons difficile à considérer le collectif, ou les collectifs au sein desquels nous pouvons être inscrit.
Plus que jamais, les logiciels libres ont besoin d'un tissu social. Le goût du collectif et la confiance doivent être restauré.
Parmi-nous, il y a des utilisateurs. Parmi-nous, il y a des connaisseurs. Parmi-nous, il y a des installateurs. Parmi-nous, il y a des programmeurs, des traducteurs, des ergonomistes, des chercheurs, des mathématiciens, des statisticiens, des philosophes, etc., etc.
Avons-nous besoin d'autant de clans ? Avons-nous besoin d’enrichir les uns davantage que d'autres ? Avons-nous besoin que les uns aient un pouvoir sur les autres ? Avons-nous besoin de menaces, des pressions, de secrets, des monopoles, etc. ?
Pour moi donc, le projet GNU, les logiciels libres, ce sont également ces questions :)
La licence CeCILL est une licence de logiciel libre, explicitement compatible avec la GNU GPL.
Le texte de la licence CeCILL utilise des mots partiaux qui doivent être évités : « propriété intellectuelle » et « protection » ; cette décision a été malheureuse, car la lecture de la licence tend à répandre les présupposés associés à ces termes. Cependant, cela ne pose pas de problème particulier pour les programmes sous licence CeCILL.
Le paragraphe 9.4 de la licence CeCILL engage les développeurs de programmes à certaines formes de coopération avec les utilisateurs, si quelqu'un attaque le programme avec un brevet. On pourrait voir ceci comme un problème pour le développeur ; cependant, si vous êtes sûr de vouloir travailler dans ce sens avec les utilisateurs, alors ce n'est pas un problème pour vous.
Non car alors un éventuel changement des options par défaut au niveau de l'imprimante ne serait pas effectif dans Atril.
→ /dev/null olige Atril à considérer (comme les autres logiciels) les options par défaut.
Mais en effet, le 444 était évoqué dans la discussion précédente (à laquelle j'aurais préféré pouvoir répondre, mais ce n'est malheureusement plus possible). De même que le → /dev/null. La solution que j'applique actuellement est un mix des deux car a-w sur le dossier, c'est un peu l'équivalent du 444 :)
LibreOffice est encore un autre problème car une impression à été effectuée avant l'enregistrement du document, alors les options d'impression ainsi que l'imprimante sélectionnée sont enregistrées dans le fichier. C'est parfois également un problème…
J'aimerais que d'office, quelque soit le logiciel et le document utilisé, par défaut (genre impression rapide) cela s'imprime en noir et blanc. Mais que l'utilisateur s'il en a réellement besoin puisse choisir facilement la couleur, ponctuellement ; évitant ainsi les impressions couleurs accidentelles.
Je cherche un site web pédagogique sur lequel toutes les critiques envers Facebook seraient regroupées, sourcées, etc.
La raison principale pour laquelle je n'aime pas Facebook, c'est la centralisation du pouvoir. Les personnes aux commandes de Facebook ont un pouvoir énorme sur la « population Facebook » (= population mondiale ?). Ils possèdent les algorithmes, la gestion des utilisateurs, réels ou virtuels (bots).
Ils ont décidé que l'on ne pouvait qu'aimer les choses, ou passer son chemin. Ils ont décidé d’éradiquer purement et fondamentalement la contestation. Le fait de pouvoir créer un groupe contre ceci ou contre cela n'est pas comparable à ce qu'aurait été un bouton « Je n'aime pas ! ».
Facebook, c'est la revanche du quidam sur le geek… Enfin, la possibilité de s'exprimer sur l'Internet ; enfin la possibilité de rameuter du monde autour d'une cause… 'bien plus facile que de gérer le multiples destinataires du courrier électronique, (« cc ou cci, je sais jamais… » ; enfin la possibilité de mettre des images et des vidéos, etc.
D'accord, c'est bien légitime… Mais à quel prix (sociétal, social et géostratégique) ?
Facebook, c'est comme le Pays des jouets dans Pinocchio … ils sont tous transformés en baudets…
Le swap, ou mémoire virtuel est utilisé lorsque la mémoire vive ne suffit plus à l'ensemble des logiciels et documents ouverts. Lorsque la mémoire virtuelle (swap) est utilisée, "tout" devient plus lent. L'idéal est de ne jamais avoir besoin de mémoire virtuelle. Il suffit pour se faire d'avoir beaucoup de mémoire vive. La quantité de mémoire vive normalement utilisée évolue d'année en année avec la complexité des logiciels et la taille des données. Un logiciel de traitement de texte offre de nos jours plus de fonctionnalités qu'il y a 10 ans, pareil pour le navigateur web. Les photos de nos jour sont composées de plus de pixels qu'il y a dix ans ; même compressées en jpeg sur la carte sd, elles font facilement 10 Mo de nos jours alors qu'elles en faisaient 1 Mo il y a dix ans. Une fois chargée en mémoire, une photo de 12 Mpx occupera 36 Mo en mémoire vive, et chaque opération dans GIMP par exemple multipliera ce nombre…
Tout ça pour dire qu'il n'est pas possible d'espérer à long terme pouvoir comparer le besoin de mémoire vive d'une époque à une autre. Actuellement, le navigateur web pose un problème. C'est le logiciel que nous devons tous surveiller ! de temps en temps fermer des onglets, ou redémarrer le navigateur. Il n'y a pas réellement de limite. 4 Gio suffiront généralement, et la mémoire virtuelle ne sera pas utilisée. Je dis ça car je n'utilise jamais l’hibernation ! L'hibernation copie le contenu de la mémoire vive dans le swap avant d'éteindre l'ordinateur (à ce que je sache) donc il faudrait au minimum la même taille. Le ×2 date d'une époque ou nous avions moins d'un Gio de mémoire vive… Donc voila… L'hibernation, je ne connais pas plus que ça, donc faudrait vérifier. À partir de 4 Gio de mémoire vive, il est tout à fait possible également de désactiver la mémoire virtuelle et de se passer d'une partition swap ; pour autant que l'on surveille sérieusement l'utilisation de la mémoire vive, par exemple en incluant un monitoring au tableau de bord.
Les dernières versions du Windows de Microsoft utilisent également le partitionnement GPT. C'est en effet le système moderne de partitionnement. Mais il n'est pas dit que le fabriquant ai pré-installé leur Windows de cette manière. Peut-on migrer de MBR vers GPT ?
Personnellement, le seul partitionnement que je fais, c'est pour /home. J'ai donc typiquement ± 20 Go pour / et le reste pour /home.
Le Windows de Microsoft, personnellement, je m'en passe, et surtout, je n'en veux pas davantage que des OGM dans mon assiette. Ça, c'est l'approche éthique… Et pour être depuis plus de dix ans dans le mouvement du logiciel libre et du projet GNU, je suis de plus en plus persuadé que c'est la bonne raison pour utiliser des logiciels libres et bien entendu un système GNU.
Les opérations dont il est question, partitionner, installer un système GNU, etc. sont délicates et importantes ! Cela doit être effectué par quelqu'un qui sait ce qu'il fait, comment ça marche, et quoi faire en cas de difficultés. Tu peux apprendre par toi-même, mais avec des machines de teste, pas avec ton ordi' "de production", celui que tu utilises quotidiennement, avec tes précieuses photos, etc.
Avec l'un de nos* systèmes GNU/Linux, il n'est actuellement (et à ce que je sache) toujours pas nécessaire de ralentir l'ordinateur avec un antivirus en tâche de fond. L'ordinateur comme bouillon de culture, c'est avec leur Windows. Avec un système GNU, seuls les logiciels utiles et souhaités sont installés et sont susceptibles d'être en exécution. Néanmoins, tu peux utiliser un antivirus (ClamAV par exemple) par solidarité avec les utilisateurs du Windows, de sorte à leur signaler que leur clé USB ou leurs courriels contiennent de tels logiciels indésirables susceptibles d'être exécutés par le Windows de Microsoft.
*: J'aime opposer "nos logiciels libres" car, il nous appartienne à tous, en tant que "commun", à "leurs logiciels privateurs", ceux qui appartiennent à quelqu' "entités supérieurs" du coup, littéralement et de fait, dès lors que l'on ne s'en retrouve que simple utilisateur, consommateur, usager, etc.
Au quotidien, l'usage de l'un de nos systèmes GNU, ne pose pas de réel problème quant à la capacité d'avoir des échanges d'informations avec les utilisateurs du système Windows de Microsoft. Les images peuvent s'échanger dans un format standard tels que jpeg ou png ; les musique au format opus, ogg ou même mp3 ; les vidéos mkv, mpeg ou avi ; les mises en page au format pdf.
Les problèmes peuvent apparaître concernant les documents de travail. Mais ce genre de problèmes existe également pour deux utilisateurs du Windows de Microsoft, car ils devront se mettre d’accord sur le logiciel de travail utilisé, typiquement la version du Office Word de Microsoft ou la version de notre LibreOffice Writer. L’avantage de notre LibreOffice est qu’il peut également être utilisé avec l’un de nos systèmes GNU ! et qu’il n’oblige personne à devoir payer une licence, contraignante de surcroît. Donc, il est toujours plus courtois et respectueux de proposer à l’ensemble de l’équipe l’utilisation de notre LibreOffice plutôt que le Office de Microsoft.
S’il faut travailler ensemble sur des documents et que certains partenaires refusent d’utiliser notre LibreOffice, s’obstinant à « proposer » plutôt le Office de Microsoft à l’équipe, et partant de l’hypothèse selon laquelle l’un des partenaires utilise un système GNU, cela peut devenir très difficile pour ce dernier, en effet.
Car donc, le Office de Microsoft n’importera ("ouvrir") pas, ou pas correctement les fichiers ODF qu’utilise notre LibreOffice, de même que notre LibreOffice n’importera pas correctement les fichiers provenant de Microsoft Office. Et c’est pareil pour l’exportation ("enregistrement" vers un autre format que le format natif du logiciel). Ceux d’entre-nous qui travaillent au développement de notre LibreOffice multiplient leurs efforts pour toujours améliorer les import-exports mais la fameuse compatibilité ne sera probablement jamais à 100 % (mythique). L’utilisation de macros rend la chose encore plus compliquée… Il y a également le problème des polices de caractères. Certains d’entre-nous ont mis au point des polices qui adoptent les mêmes dimensions que celles de Microsoft. Mais elle non pas la même apparence. Par ailleurs, nous aimerions bien utiliser nos polices de caractères libres spécialement bien conçues telles que DejaVu mais elles ne sont pas présentes par défaut sur les ordinateurs équipés des seuls Windows et Office de Microsoft (à ce que je sache)…
Par curiosité, je vient d'installer galculato (v 2.1.3) alors soit ils ont vach'ment amélioré le soft, soit on pert la possibilité d'introduire tout un calcul du genre (4+8)*9 etc.
Dans mate-cal 1.8.0 c'est très agréable de pouvoir saisir toute un calcul, de voir les parenthèse, etc. avant d'appuyer sur = et d'obtenir le résultat. Ctrl+Z pour retrouver le calcul et pourvoir le modifier en se déplaçant dans toute une formule, etc.
A priori, ce n'est pas du tout le cas de galculato (v 2.1.3 en tout cas) et je trouve ça bien dommage :(
… un gap énorme entre ce que propose le libre et ce qui existe sur le marché …
Je dirais plutôt une différence entre ce que nous arrivons à faire nous-même pour l'instant et ce que les multinationales proposent.
"Nous", c'est la population, ou les peuples vis-à-vis des "puissantes" multinationales. Puissante car nous leur donnons aveuglément notre confience. Mais pourquoi ne pas avoir davantage confiance en nous-même dès le départ ?
Ce que nous faisons nous-même, ce sont en la matière des logiciels libres. Dans d'autres domaines, ce sont des semences naturelles que nous avons pu sélectionner durant des siècles pour obtenir ici du bon blé, de l'orge, des légumes, des fruits, etc. Ces semences, nous pouvons le replanter d'une année à l'autre ; nous pouvons les partager et en faire ce que nous voulons ; nous savons de quoi il en retourne.
Ce que les multinationales proposent, ce sont en la matière des logiciels privateurs. Dans cet autre domaine, ce sont des ogm terminator, des semences que nous devons payer ; dont les graines récoltées sont stériles ; pour lesquels nous devons payer d'autre produits toxiques, etc.
C'est incomparable !
Encore faut-il que la population se réveil et se réapproprie les techniques, les technologies, la connaissance, l'industrie, l'agriculture, etc.
« Le libre » ne désigne pas une Xème multinationale. « Le libre » ne désigne rien du tout ! Parlons de nous, de nous tous et parlons de nos logiciels, nos logiciels libres ! Opposons-les aux leurs, leurs logiciels privateurs, leurs logiciels privateur à Microsoft, leurs logiciels (privateurs) à Adobe, leurs logiciels à Apple, leurs logiciels à Google, à Facebook, etc.
Tu peux ajouter qu’en tant que prestataire responsable, tu dois proposer une solution pérenne sur le long terme, indépendante de tes aspirations futures ou de ton devenir. Bien entendu que dans l’instant tu restes fort motivé et capable d’assurer le développement et le suivi du logiciel. Mais nul ne sait ce que l’avenir nous réserve. La liberté sera autant pour les utilisateurs de pouvoir s’assurer de la maintenance de la solution logiciel mais la liberté est également pour le développeur, notamment d’un point moral, de pouvoir ralentir sa propre participation, voir de passer à d’autres choses, bref de ne pas être lui-même lié à ce logiciel.
[^] # Re: celui que tu maitrises
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au message Un GNU/Linux pour les enfants ?. Évalué à 1.
Je choisirais Edubuntu car j'ai l'habitude d'installer et utiliser des systèmes GNU/Linux Dabian, Ubuntu et Mint.
Je choisirais d'installer un système GNU/Linux Mint MATE d'abord, et d'y installer ensuite edubuntu-desktop et d'autres paquetages car alors je proposerais aux parents un profile classique MATE et un profile auto-connecté "edubuntu"(Unity ?) pour l'enfant.
Pourquoi edubuntu ne serait-il pas aussi francisé que d'autres distrib' pour enfant ?
[^] # Re: celui que tu maitrises
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au message Un GNU/Linux pour les enfants ?. Évalué à 1.
À priori, je partirait d'une distrib' GNU/Linux Mint (Ubuntu like ?)…
Que pensez-vous de https://doc.ubuntu-fr.org/edubuntu ?
Toujours d'actualité ?
Il est question d'installer le paquetage edubuntu-desktop mais une flaupé d'autres sont alors suggéré… Parmis ceux-la, lesquels me conseilleriez-vous :
activity-log-manager-control-center aisleriot alacarte app-install-data-partner apport apport-gtk atomix branding-ubuntu cheese deja-dup edubuntu-artwork edubuntu-docs edubuntu-fonts edubuntu-menueditor empathy epoptes example-content gbrainy gnome-accessibility-themes gnome-applets gnome-control-center-shared-data gnome-mahjongg gnome-orca gnome-screensaver gnome-terminal gnome-tweak-tool gnome-user-share gnomine gobby-infinote gramps hud ibus-gtk ibus-gtk3 ibus-pinyin ibus-pinyin:i386 ibus-qt4 ibus-table indicator-applet-complete indicator-appmenu indicator-messages indicator-printers indicator-session klavaro kolourpaint4 krecipes landscape-client-ui-install librecad libreoffice-style-human libwmf0.2-7-gtk liferea nautilus-share notify-osd-icons onboard opendict overlay-scrollbar pastebinit plymouth-theme-ubuntu-logo python-x2go remmina rhythmbox rhythmbox-plugin-magnatune scribus-ng shotwell telepathy-idle telepathy-indicator ubuntu-docs ubuntu-edu-preschool ubuntu-edu-primary ubuntu-edu-secondary ubuntu-edu-tertiary unity-lens-applications unity-lens-files unity-lens-friends unity-lens-music unity-lens-photos unity-lens-video unity-scope-audacious unity-scope-calculator unity-scope-chromiumbookmarks unity-scope-clementine unity-scope-colourlovers unity-scope-devhelp unity-scope-firefoxbookmarks unity-scope-gdrive unity-scope-gmusicbrowser unity-scope-gourmet unity-scope-guayadeque unity-scope-manpages unity-scope-musicstores unity-scope-musique unity-scope-openclipart unity-scope-texdoc unity-scope-tomboy unity-scope-video-remote unity-scope-virtualbox unity-scope-yelp unity-scope-zotero unity-webapps-common usb-creator-gtk vym whoopsie xaos xcursor-themes xterm xterm:i386 xul-ext-ubufox xul-ext-unity xul-ext-webaccounts zeitgeist zeitgeist-core
Merci d'avance :)
[^] # Re: Oui c'est possible
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au message loop device sur une série de "petits" fichiers ? (et non un seul gros). Évalué à 1.
Merci, je vais investiguer du côté de duplicity… Par contre, je l'utiliserait sur la version chiffré du eCryptFS, de sorte à ce qui sorte soit chiffré et ne puisse pas être lisible par le propriétaire de l'ordinateur distant.
[^] # Re: Oui c'est possible
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au message loop device sur une série de "petits" fichiers ? (et non un seul gros). Évalué à 2.
Il s'agirait d'un NAS pour petite structures associatives (asbl en Belgique ; loi 1901 en France).
Ce schéma n'illustre que l'aspect sécurité contre les désastres (sauvegardes externes) et les indiscrétions (chiffrement). D'autres dispositions sont prises pour les aspects défaillances matériels (RAID6) et "utilisateur" (genre rsnapshot).
Le but aussi étant d'utiliser des technologies et protocoles "simples". Par exemple, ne pas compter sur des protocoles tels que drbd ou avoir un accès root sur une machine distante, mais uniquement un accès FTP. La gestion des droits se fait au niveau du système de fichiers monté par loop device sur fsimage (ext4). Je sais qu'avec BTRFS, des tas de super choses similaires sont possibles, mais je préfère attendre encore pour BTRFS en production et aussi, BTRFS devrait alors également être installé sur la machine distante, configuré en cohérence et spécifiquement, etc. Hors en FTP, on peut très facilement mettre en place la solution.
Par ailleurs, une autre machine à remonter le temps peut être utiliser côté machine distante sur les morceaux chiffrés. J'envisagerais également de désactiver le chiffrement des nom de fichier au niveaux eCryptFS car cela n'est pas nécessaire. Avec les noms de fichier originaux, les version chiffrée pourrait être manipuler sans crainte de les mélanger…
[^] # Re: Oui c'est possible
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au message loop device sur une série de "petits" fichiers ? (et non un seul gros). Évalué à 1.
Merci, ça mangera pas trop de pain de recopier ici les solutions en question…
Je vais me renseigner sur nbd. Vous connaissez ? C'est "bien" (solide, maintenu, etc.) ?
J'aurai plusieurs milliers de "petits" fichiers, pour un total de plusieurs Go, voir To, par "petit" fichier d'une centaine de Mo maximum…
… donc cette autre solution ne pourrait probablement pas faire l'affaire à cause d'un loop-device par "petit" fichier :
[^] # Re: Merci au projet GNU !
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au journal C'est lundi : Mon expérience Linux ou l'utopie devient réalité extatique. Évalué à 0.
Je comprends bien.
Selon mon approche, le projet GNU a été à l’origine du paradigme de logiciels libres pour l’aspect sociétal, et de manière concret défendre l’idée que tout logiciel devrait être libre. Avec la licence GPL, le projet GNU propose un domaine concret au sein duquel le projet GNU peut se concrétiser, au sein duquel les logiciels sont libres dans le sens originel du projet GNU. Sous licence GPL, tout logiciel peut donc être vu comme faisant partie du projet « de société » GNU mais peuvent également de manière concrète s’intégrer à un système GNU. Car le seul fait d’être un logiciel libre ne suffit pas forcément, ni d’un point de vue pratique, ni d’un point de vue philosophique vis-à-vis du projet GNU. Un logiciel libre doit être compatible avec la GPL, et le copyleft est un attribut supplémentaire pour l’aspect philosophique, sociétalement du projet GNU. C’est comme si la GPL proposait au-delà du concept de logiciel libre, un dôme protecteur sous lequel il est possible de vivre concrètement le projet GNU en toute sécurité juridique (c’est le but). Cela n’empêche pas les désaccords et les malentendus. Certaines licences seront considérées libres par la FSF-même, alors qu’elles seront incompatibles avec la GPL. Certaines de ces licences placent le logiciel en dehors du dôme originellement proposé par le projet GNU et la GPL, alors même qu’elles proposeront peut-être un autre dôme, mais distinct… (je trouve ça dommage)
Par ailleurs, il y a bien un aspect dit engagé sociétallement, philosophiquement, politiquement, que certains fuiront comme la peste alors même qu’ils apprécieront d’autres avantages, dits parfois collatéraux, des logiciels libres et de la licence GPL.
Nous n’arrêterons jamais de nous percevoir différent de la sorte, et les logiciels libres que certains nommerons Open Source, autant que les systèmes que certains appellerons GNU et d’autres Linux, sans parler des autres systèmes ou logiciels, BSD, Haiku, LibreOffice et autres, seront autant de lieux de "dispute" autour des approches et des valeurs véhiculées, mises en œuvre ou valorisées, volontairement ou pas…
# Merci au projet GNU !
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au journal C'est lundi : Mon expérience Linux ou l'utopie devient réalité extatique. Évalué à 2.
En effet, lorsque tu parles ici de linux, je comprends que tu parles en réalité du projet GNU, un système d'exploitation complet constitué exclusivement de logiciels libres pour utiliser nos ordinateurs.
Face aux résultats obtenus par les sociétés privées et leurs moyens toujours plus grands, en termes de recherche et de développement, nous ne pouvons réellement compter que sur le principe de la souveraineté technologique pour défendre et promouvoir le projet GNU et l'intérêt spécifique des logiciels libres et dans une certaine mesure du copyleft.
Je suis fière d'appartenir à ce mouvement populaire. Des entreprises privées puissent y trouver leur compte également. Mais si les logiciels sont réellement libres et non tenus par d'autres chaînes telles que les brevets logiciels (cf. v3 GPL), alors le peuple n'est pas particulièrement dominé par ces logiciels et les personnes qui les développent.
Mais vis-à-vis des logiciels non-libres, privateurs… Nos logiciels libres donc, ne sont peut-être pas à la hauteur de leurs logiciels, ceux de Microsoft, ceux de Apple, de Google (ceux qui ne sont pas libres), de Facebook, etc. Mais nos logiciels libres sont bien à nous. Et cela nous rend libre, libre vis-à-vis de Microsoft, libre vis-à-vis de Apple, etc.
Bien entendu, cette liberté peut paraître fort théorique à première vue et à l'utilisateur lambda, mais pourquoi ? Car elle repose sur le collectif, la communauté. Hors, l'individualisme nous éloigne tellement les uns des autres, que nous avons difficile à considérer le collectif, ou les collectifs au sein desquels nous pouvons être inscrit.
Plus que jamais, les logiciels libres ont besoin d'un tissu social. Le goût du collectif et la confiance doivent être restauré.
Parmi-nous, il y a des utilisateurs. Parmi-nous, il y a des connaisseurs. Parmi-nous, il y a des installateurs. Parmi-nous, il y a des programmeurs, des traducteurs, des ergonomistes, des chercheurs, des mathématiciens, des statisticiens, des philosophes, etc., etc.
Avons-nous besoin d'autant de clans ? Avons-nous besoin d’enrichir les uns davantage que d'autres ? Avons-nous besoin que les uns aient un pouvoir sur les autres ? Avons-nous besoin de menaces, des pressions, de secrets, des monopoles, etc. ?
Pour moi donc, le projet GNU, les logiciels libres, ce sont également ces questions :)
# GNU.org
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au message Différence et choix entre (L)GPL v3 et CeCILL v2.1. Évalué à 1.
http://www.gnu.org/licenses/license-list.html#SoftwareLicenses
[^] # Re: qui a le droit ?
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au journal Réponse du conseil constitutionnel par rapport au projet de loi relatif au renseignement.. Évalué à 6.
« dev/null n’est censé ignorer le code source ! » :)
[^] # Re: Lecture seule
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au message Imprimer par défaut en noir et blanc ! 2 (suite). Évalué à 1.
Non car alors un éventuel changement des options par défaut au niveau de l'imprimante ne serait pas effectif dans Atril.
→ /dev/null olige Atril à considérer (comme les autres logiciels) les options par défaut.
Mais en effet, le 444 était évoqué dans la discussion précédente (à laquelle j'aurais préféré pouvoir répondre, mais ce n'est malheureusement plus possible). De même que le → /dev/null. La solution que j'applique actuellement est un mix des deux car a-w sur le dossier, c'est un peu l'équivalent du 444 :)
LibreOffice est encore un autre problème car une impression à été effectuée avant l'enregistrement du document, alors les options d'impression ainsi que l'imprimante sélectionnée sont enregistrées dans le fichier. C'est parfois également un problème…
J'aimerais que d'office, quelque soit le logiciel et le document utilisé, par défaut (genre impression rapide) cela s'imprime en noir et blanc. Mais que l'utilisateur s'il en a réellement besoin puisse choisir facilement la couleur, ponctuellement ; évitant ainsi les impressions couleurs accidentelles.
# Facebook critique center ?
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au journal Facebook sauce XMPP est mort. Évalué à 10.
Je cherche un site web pédagogique sur lequel toutes les critiques envers Facebook seraient regroupées, sourcées, etc.
La raison principale pour laquelle je n'aime pas Facebook, c'est la centralisation du pouvoir. Les personnes aux commandes de Facebook ont un pouvoir énorme sur la « population Facebook » (= population mondiale ?). Ils possèdent les algorithmes, la gestion des utilisateurs, réels ou virtuels (bots).
Ils ont décidé que l'on ne pouvait qu'aimer les choses, ou passer son chemin. Ils ont décidé d’éradiquer purement et fondamentalement la contestation. Le fait de pouvoir créer un groupe contre ceci ou contre cela n'est pas comparable à ce qu'aurait été un bouton « Je n'aime pas ! ».
Facebook, c'est la revanche du quidam sur le geek… Enfin, la possibilité de s'exprimer sur l'Internet ; enfin la possibilité de rameuter du monde autour d'une cause… 'bien plus facile que de gérer le multiples destinataires du courrier électronique, (« cc ou cci, je sais jamais… » ; enfin la possibilité de mettre des images et des vidéos, etc.
D'accord, c'est bien légitime… Mais à quel prix (sociétal, social et géostratégique) ?
Facebook, c'est comme le Pays des jouets dans Pinocchio … ils sont tous transformés en baudets…
# Quelques pistes
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au message linuxMint 17.1 et 17.2 cinnamon. Évalué à 2.
Le swap, ou mémoire virtuel est utilisé lorsque la mémoire vive ne suffit plus à l'ensemble des logiciels et documents ouverts. Lorsque la mémoire virtuelle (swap) est utilisée, "tout" devient plus lent. L'idéal est de ne jamais avoir besoin de mémoire virtuelle. Il suffit pour se faire d'avoir beaucoup de mémoire vive. La quantité de mémoire vive normalement utilisée évolue d'année en année avec la complexité des logiciels et la taille des données. Un logiciel de traitement de texte offre de nos jours plus de fonctionnalités qu'il y a 10 ans, pareil pour le navigateur web. Les photos de nos jour sont composées de plus de pixels qu'il y a dix ans ; même compressées en jpeg sur la carte sd, elles font facilement 10 Mo de nos jours alors qu'elles en faisaient 1 Mo il y a dix ans. Une fois chargée en mémoire, une photo de 12 Mpx occupera 36 Mo en mémoire vive, et chaque opération dans GIMP par exemple multipliera ce nombre…
Tout ça pour dire qu'il n'est pas possible d'espérer à long terme pouvoir comparer le besoin de mémoire vive d'une époque à une autre. Actuellement, le navigateur web pose un problème. C'est le logiciel que nous devons tous surveiller ! de temps en temps fermer des onglets, ou redémarrer le navigateur. Il n'y a pas réellement de limite. 4 Gio suffiront généralement, et la mémoire virtuelle ne sera pas utilisée. Je dis ça car je n'utilise jamais l’hibernation ! L'hibernation copie le contenu de la mémoire vive dans le swap avant d'éteindre l'ordinateur (à ce que je sache) donc il faudrait au minimum la même taille. Le ×2 date d'une époque ou nous avions moins d'un Gio de mémoire vive… Donc voila… L'hibernation, je ne connais pas plus que ça, donc faudrait vérifier. À partir de 4 Gio de mémoire vive, il est tout à fait possible également de désactiver la mémoire virtuelle et de se passer d'une partition swap ; pour autant que l'on surveille sérieusement l'utilisation de la mémoire vive, par exemple en incluant un monitoring au tableau de bord.
Les dernières versions du Windows de Microsoft utilisent également le partitionnement GPT. C'est en effet le système moderne de partitionnement. Mais il n'est pas dit que le fabriquant ai pré-installé leur Windows de cette manière. Peut-on migrer de MBR vers GPT ?
Personnellement, le seul partitionnement que je fais, c'est pour /home. J'ai donc typiquement ± 20 Go pour / et le reste pour /home.
Le Windows de Microsoft, personnellement, je m'en passe, et surtout, je n'en veux pas davantage que des OGM dans mon assiette. Ça, c'est l'approche éthique… Et pour être depuis plus de dix ans dans le mouvement du logiciel libre et du projet GNU, je suis de plus en plus persuadé que c'est la bonne raison pour utiliser des logiciels libres et bien entendu un système GNU.
Les opérations dont il est question, partitionner, installer un système GNU, etc. sont délicates et importantes ! Cela doit être effectué par quelqu'un qui sait ce qu'il fait, comment ça marche, et quoi faire en cas de difficultés. Tu peux apprendre par toi-même, mais avec des machines de teste, pas avec ton ordi' "de production", celui que tu utilises quotidiennement, avec tes précieuses photos, etc.
Avec l'un de nos* systèmes GNU/Linux, il n'est actuellement (et à ce que je sache) toujours pas nécessaire de ralentir l'ordinateur avec un antivirus en tâche de fond. L'ordinateur comme bouillon de culture, c'est avec leur Windows. Avec un système GNU, seuls les logiciels utiles et souhaités sont installés et sont susceptibles d'être en exécution. Néanmoins, tu peux utiliser un antivirus (ClamAV par exemple) par solidarité avec les utilisateurs du Windows, de sorte à leur signaler que leur clé USB ou leurs courriels contiennent de tels logiciels indésirables susceptibles d'être exécutés par le Windows de Microsoft.
*: J'aime opposer "nos logiciels libres" car, il nous appartienne à tous, en tant que "commun", à "leurs logiciels privateurs", ceux qui appartiennent à quelqu' "entités supérieurs" du coup, littéralement et de fait, dès lors que l'on ne s'en retrouve que simple utilisateur, consommateur, usager, etc.
Au quotidien, l'usage de l'un de nos systèmes GNU, ne pose pas de réel problème quant à la capacité d'avoir des échanges d'informations avec les utilisateurs du système Windows de Microsoft. Les images peuvent s'échanger dans un format standard tels que jpeg ou png ; les musique au format opus, ogg ou même mp3 ; les vidéos mkv, mpeg ou avi ; les mises en page au format pdf.
Les problèmes peuvent apparaître concernant les documents de travail. Mais ce genre de problèmes existe également pour deux utilisateurs du Windows de Microsoft, car ils devront se mettre d’accord sur le logiciel de travail utilisé, typiquement la version du Office Word de Microsoft ou la version de notre LibreOffice Writer. L’avantage de notre LibreOffice est qu’il peut également être utilisé avec l’un de nos systèmes GNU ! et qu’il n’oblige personne à devoir payer une licence, contraignante de surcroît. Donc, il est toujours plus courtois et respectueux de proposer à l’ensemble de l’équipe l’utilisation de notre LibreOffice plutôt que le Office de Microsoft.
S’il faut travailler ensemble sur des documents et que certains partenaires refusent d’utiliser notre LibreOffice, s’obstinant à « proposer » plutôt le Office de Microsoft à l’équipe, et partant de l’hypothèse selon laquelle l’un des partenaires utilise un système GNU, cela peut devenir très difficile pour ce dernier, en effet.
Car donc, le Office de Microsoft n’importera ("ouvrir") pas, ou pas correctement les fichiers ODF qu’utilise notre LibreOffice, de même que notre LibreOffice n’importera pas correctement les fichiers provenant de Microsoft Office. Et c’est pareil pour l’exportation ("enregistrement" vers un autre format que le format natif du logiciel). Ceux d’entre-nous qui travaillent au développement de notre LibreOffice multiplient leurs efforts pour toujours améliorer les import-exports mais la fameuse compatibilité ne sera probablement jamais à 100 % (mythique). L’utilisation de macros rend la chose encore plus compliquée… Il y a également le problème des polices de caractères. Certains d’entre-nous ont mis au point des polices qui adoptent les mêmes dimensions que celles de Microsoft. Mais elle non pas la même apparence. Par ailleurs, nous aimerions bien utiliser nos polices de caractères libres spécialement bien conçues telles que DejaVu mais elles ne sont pas présentes par défaut sur les ordinateurs équipés des seuls Windows et Office de Microsoft (à ce que je sache)…
# Quelques fiches techniques libres
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse à la dépêche Entretien avec Jehan, développeur GIMP. Évalué à 10.
Ma petite pierre à l'édifice … qui ne devrait n'être qu'un début…
→ http://www.spaceeman.be/ftl/#GIMP
# galculato et calcule complet...
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sortie de Mate Desktop Environment 1.10 . Évalué à 1.
Par curiosité, je vient d'installer galculato (v 2.1.3) alors soit ils ont vach'ment amélioré le soft, soit on pert la possibilité d'introduire tout un calcul du genre (4+8)*9 etc.
Dans mate-cal 1.8.0 c'est très agréable de pouvoir saisir toute un calcul, de voir les parenthèse, etc. avant d'appuyer sur = et d'obtenir le résultat. Ctrl+Z pour retrouver le calcul et pourvoir le modifier en se déplaçant dans toute une formule, etc.
A priori, ce n'est pas du tout le cas de galculato (v 2.1.3 en tout cas) et je trouve ça bien dommage :(
[^] # Re: Videéo de la conférence ?
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse à la dépêche Retour sur la conférence donnée par Richard Stallman le 12 mai 2015 à Brest.. Évalué à 1.
Cette conférence semble fort semblable à celle à laquelle nous avions eu droit chez nous :)
Vidéo montage de la conférence de Richard Stallman à la HEB-ESI, le 28 septembre 2012
# site officiel...
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au journal Orthanc, prestigieuse récompense !. Évalué à 3.
→ https://code.google.com/p/orthanc/
# Bouton Wi-Fi sur la machine ?
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au message aide pour installation driver de carte wifi. Évalué à 1.
Il y a parfois un bouton physiquement sur la machine pour activer ou désactiver le Wi-Fi.
C'est tout bête mais qu'est-ce qu'on peut bêtement perdre du temps quand on y pense pas :)
# firmware-b43-installer
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au message aide pour installation driver de carte wifi. Évalué à 1.
J'ai parfois du installer le paquet suivant : firmware-b43-installer
(sous GNU/Linux Debian like)
[^] # Re: Pas concerné
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au journal Linux pas prêt pour le desktop ? Pas grave !. Évalué à -2.
… un gap énorme entre ce que propose le libre et ce qui existe sur le marché …
Je dirais plutôt une différence entre ce que nous arrivons à faire nous-même pour l'instant et ce que les multinationales proposent.
"Nous", c'est la population, ou les peuples vis-à-vis des "puissantes" multinationales. Puissante car nous leur donnons aveuglément notre confience. Mais pourquoi ne pas avoir davantage confiance en nous-même dès le départ ?
Ce que nous faisons nous-même, ce sont en la matière des logiciels libres. Dans d'autres domaines, ce sont des semences naturelles que nous avons pu sélectionner durant des siècles pour obtenir ici du bon blé, de l'orge, des légumes, des fruits, etc. Ces semences, nous pouvons le replanter d'une année à l'autre ; nous pouvons les partager et en faire ce que nous voulons ; nous savons de quoi il en retourne.
Ce que les multinationales proposent, ce sont en la matière des logiciels privateurs. Dans cet autre domaine, ce sont des ogm terminator, des semences que nous devons payer ; dont les graines récoltées sont stériles ; pour lesquels nous devons payer d'autre produits toxiques, etc.
C'est incomparable !
Encore faut-il que la population se réveil et se réapproprie les techniques, les technologies, la connaissance, l'industrie, l'agriculture, etc.
« Le libre » ne désigne pas une Xème multinationale. « Le libre » ne désigne rien du tout ! Parlons de nous, de nous tous et parlons de nos logiciels, nos logiciels libres ! Opposons-les aux leurs, leurs logiciels privateurs, leurs logiciels privateur à Microsoft, leurs logiciels (privateurs) à Adobe, leurs logiciels à Apple, leurs logiciels à Google, à Facebook, etc.
# .profile
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au message Impression en N&B par défaut !?.. Évalué à 2. Dernière modification le 10 mars 2015 à 13:03.
Actuellement, c'est dans ~/.profile que j'ai ajouté la ligne
Mais même durant une même session, l'accident peut encore se produire :(
En fait, Evince ou Atril ne devrait pas du tout sauvegarder les paramètre d'impression ! :(
Ou je devrais trouver le moyen de supprimer le fichier, dès qu'il à été écrit… Peut-être avec inotify ?
[^] # Re: à propos de Composer et autres
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au journal Je n'aime pas le code moderne. Évalué à -1.
J'ajouterais le Manifeste GNU (même si l'on fut déjà plus dans du concret, quoi que…)
[^] # Re: select() n’est pas fait pour ça
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au message jQuery : comment sélectionner tout le texte contenu d'un <table> ?. Évalué à 1.
Merci beaucoup :)
Voici ma fonction actuelle :
[^] # Re: re
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au message compiler header. Évalué à 1.
→ error
→ ok, ça march'…
[^] # Re: Doutes
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse au journal Sony pictures et la Corée du Nord. Évalué à 1.
Kim Jong-un devrait lui-même organiser une grande avant première du film en Corée du Nord. Ce serait un magnifique pied de nez…
[^] # Re: Bravo
Posté par Space_e_man (site web personnel) . En réponse à la dépêche Joker, un logiciel pour doubler des films sous licence GPL. Évalué à 8.
Tu peux ajouter qu’en tant que prestataire responsable, tu dois proposer une solution pérenne sur le long terme, indépendante de tes aspirations futures ou de ton devenir. Bien entendu que dans l’instant tu restes fort motivé et capable d’assurer le développement et le suivi du logiciel. Mais nul ne sait ce que l’avenir nous réserve. La liberté sera autant pour les utilisateurs de pouvoir s’assurer de la maintenance de la solution logiciel mais la liberté est également pour le développeur, notamment d’un point moral, de pouvoir ralentir sa propre participation, voir de passer à d’autres choses, bref de ne pas être lui-même lié à ce logiciel.